Humour pas triste
C'est une jeune femme qui se confie à une amie :
"Je suis triste parce que je suis encore vierge à 30 ans, tu comprends, je ne connais pas les hommes et j'ai peur de me tromper pour la première fois !"
Son amie lui dit :
" Je vais t'expliquer : Tu regardes leurs chaussures, plus ils ont de grands pieds, plus
leur sexe est grand !"
Un jour, dans le train, le contrôleur frappe à la porte : " Billets SVP."
La demoiselle regarde ses pieds : immenses !
Elle file dans le couloir, le contrôleur la poursuit : " Votre billet Mademoiselle !"
Elle s'enferme avec lui dans les toilettes et lui dit : " Prenez-moi ! Je suis à vous toute entière ! "
L'occasion faisant le larron, le contrôleur met sa sacoche de côté et pour être plus à l'aise essaye de dégrafer le col de sa chemise.
Il n'y arrive pas et se plaint :
" Çà ! C'est bien la SNCF ! Les chemises deux fois trop petites et les chaussures quatre fois trop grandes !"
Le pilote est juif. Le copilote, lui, est chinois. C'est leur premier vol ensemble.
Un silence de plomb règne dans la cabine de pilotage.
L'harmonie n'est pas au rendez-vous.
Une fois la vitesse de croisière atteinte, le pilote actionne le
pilote automatique, s'enfonce dans son fauteuil et murmure :
«Les Chinois me font chier...
«Vous, pas aimer Chinois. Pourquoi ? » de
répondre le co-pilote :
«Ils ont bombardé Pearl Harbour!»
«Non, Chinois pas bombardé Pearl Harbour, mais Japonais !»
«Japonais, Chinois, Viets. qu'est-ce que ça
peut bien faire : vous êtes tous pareils ! »
Un lourd silence s'abat à nouveau dans le cockpit.
«Moi, pas aimer Juifs»... murmure à
son tour le Chinois.
«Ah oui, et pourquoi donc ?»
«Juifs, couler Titanic !»
«Non, mais faut être malade : les Juifs n'ont jamais coulé le
Titanic !» de s'exclamer le pilote, «C'est
un iceberg qui l'a coulé !»
«Iceberg, Goldberg, Rosenberg, Steinberg... tous pareils !»
Soirée chez les Parents
Julie décide de passer à l'offensive. Un soir, elle se blottit dans ses bras
en disant : « Oh ! François, j'ai froid ! »
Bon prince, François se lève et remonte le thermostat de
plusieurs degrés.
Deuxième tentative : elle se blottit à nouveau : «François, j'ai encore froid ! »
Notre benêt de mari, se lève à nouveau et prend dans une armoire une belle couverture « Sole Mio » et
couvre Julie.
A la troisième tentative, Julie se veut plus explicite : J'ai encore froid ! Je vais te dire un truc :
quand maman avait froid, mon père se couchait sur elle ! Et François de
répondre : « On ne va quand même pas réveiller ton père à cette heure-ci ! »
(Ça réchauffe de rire !)