Histoires de Paris
Publié le 4 mars 2018
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Faire sa petite commission sur le trottoir de paris ? C'est sale , mais c'est surtout 35€
en cas de flagrant délit et franchement un peu cher pour un simple pipi ,mais
jusqu'en 1980 , les parisiens pouvaient librement soulager leur vessie dans
les "Vespasiennes" ces urinoirs public aujoud'hui disparus est remplacés par de
nouveaux modèles cette fois-ci appelés "Sanisettes" ces nouvelles toilettes publiques
semblables à celles que nous pouvons trouver aujourd'hui dans l'espace public son
cette fois-ci fermées pour permette au femme et personnes non valides de pouvoir les
utiliser pour assouvir un besoin naturel, qui n'en reste pas moins désagréable lorsqu'on
est loin de chez soi !
Où faisait'on pipi à Paris en 1860 ?

Ces photographies nous plongent dans le Paris de l'époque Haussmannien
elle nous permettent de découvrir les toilettes d'aisance ou toilette de nécessités
publiques de l'époque , toujours réservées à l'usage des hommes , appelés
"Vespasiennes" en référence à l'empereur Vespasien à qui on a attribué l'établissement d'urinoirs public payants à Rome . Pour leur besoins les femmes
furent longtemps moins bien servies et il leur fallu attendre plusieurs décennies
avant de voir apparaître des chalets de nécessités à leur usage .
Le petit palais du pipi Champs-Élysées. Paris VIIIe 1874
Pour la petite histoire
Les premiers urinoir public on vue le jour en 1770 à paris un vrai progrès pour
l'hygiène publiques dans un paris alors bien insalubre , c'est l'époque du tous-a-la rue
la population urines et jette ses ordures dehors avant l'apparition des gouttières
et trottoirs Paris été cra-cra , la rue sérever de latrines publiques il était donc d'usage
de faire ses petit ( et plus gros) besoins la où le vent potait . Les eau usées déchets
des chevaux et autres immondices de toute sorte nagent dans les rigoles se trouvant
au centre des rue est contribuant à la prolifération des épidémies .
Urinoir champêtre aux Champs-Élysées1875

En 1763 , Gontran Peaupot le bien nommé industriel dans le textile avait soumis
à Mr de Laverdy , lieutenant de police un projet il voulait établire des brouettes à
demeure à différents coins de rue où il aurait des lunettes qui se trouveraient prêtes
à recevoire ceux que les besoins urgents presseraient tout à coup .
Nous voyons ici un superbe urinoir à six places surmonté d'un bec de gaze
Ce style d'urinoir est idéal pour les lieux à fort trafic Paris Xe 1875

Cette idée ne reçut pas l'accueil bienveillant qu'elle eût mérité de la part d'un édile
attentif au bien-être de ses administrés , car elle fut réalisée que huit ans plus tard ,
par un autre lieutenant de police Mr.De Satines qui pris la décision de faire disposer
des baril d'aisance ( demi-baril en bois) à tous les coin de rue de paris , pour
prévenir les amendes et les punition corporelles dont on est menacé , de par le Roy
il était interdit de satisfaire au besoins naturels . Les (demi-barils en bois) De Mr de
Satines obtinrent un succès mérité , mais on trouva non sans raison qu'il n'avait pas
songé à tout et que sa pensée demandait à être complétée .
Urinoir à 6 places en ardoise . Halles centrales au coin de la rue
Berger et de la rue Baltard , Paris 1er 1875

Elle le fut vers 1780 un particulier imagina une garde-robe ployante , il se promenait
dans les rue avec des seaux en bois couvert et tenant sous son bras sa garde-robe
le seau servait de siège , est de temps en temps il criait «chacun sait ce qu'il a à faire »
et il se faisait payer quatre sous par séance . En 1832 , une épidémie de choléra
ravagé Paris , à l'initiative du Comte Claude-Philibert barthelot de Rambuteau préfet
de la seine estima que les rue étroites, tortueuses et insalubres du centre de Paris
favorisent le développement de la maladie . Appliquant sa devise « de l'eau , de l'air
de l'ombre » Mr de Rambuteau renouvela la face de Paris . Il lance le percement d'une
voie de 13 mètres de largeur ce qui constitue une nouveauté dans le centre de la capitale , les vieilles rue furent rendues plus praticables cents vingt kilomètre d'égouts
furent remaniés , les boulevards nivelés il généralise l'éclairage au gaze , construis
de nombreuses fontaines dont certaines son encore en fonction dans les jardin public
Plus tard en 1834, Mr de Rambuteau fit installer 478 "Vespasiennes" sur les trottoirs
de la ville .
Urinoir dit "Colonne Rambuteau" avec son bilboquet 1 place
en maçonnerie , quai de l'hôtel de ville Paris IVe 1865

Rambuteau n'a pas eu les moyens qui permettront plus tard à Haussmann de mener
à bien les grands travaux dont il a montré la voie . Mr de Rambuteau fut , on ne la
pas oublié l'Haussmann du gouvernement de Louis-Philippe , mais un Haussmann
raisonnable et modéré , moins audacieux , moins aventureux , plus sérieusement administrateur , plus économe des deniers des contribuables , enfin moins dédaigneux
de l'opinion de ses administrés , comme il convenait à un régime constitutionnel .
en cas de flagrant délit et franchement un peu cher pour un simple pipi ,mais
jusqu'en 1980 , les parisiens pouvaient librement soulager leur vessie dans
les "Vespasiennes" ces urinoirs public aujoud'hui disparus est remplacés par de
nouveaux modèles cette fois-ci appelés "Sanisettes" ces nouvelles toilettes publiques
semblables à celles que nous pouvons trouver aujourd'hui dans l'espace public son
cette fois-ci fermées pour permette au femme et personnes non valides de pouvoir les
utiliser pour assouvir un besoin naturel, qui n'en reste pas moins désagréable lorsqu'on
est loin de chez soi !
Où faisait'on pipi à Paris en 1860 ?

Ces photographies nous plongent dans le Paris de l'époque Haussmannien
elle nous permettent de découvrir les toilettes d'aisance ou toilette de nécessités
publiques de l'époque , toujours réservées à l'usage des hommes , appelés
"Vespasiennes" en référence à l'empereur Vespasien à qui on a attribué l'établissement d'urinoirs public payants à Rome . Pour leur besoins les femmes
furent longtemps moins bien servies et il leur fallu attendre plusieurs décennies
avant de voir apparaître des chalets de nécessités à leur usage .
Le petit palais du pipi Champs-Élysées. Paris VIIIe 1874

Pour la petite histoire
Les premiers urinoir public on vue le jour en 1770 à paris un vrai progrès pour
l'hygiène publiques dans un paris alors bien insalubre , c'est l'époque du tous-a-la rue
la population urines et jette ses ordures dehors avant l'apparition des gouttières
et trottoirs Paris été cra-cra , la rue sérever de latrines publiques il était donc d'usage
de faire ses petit ( et plus gros) besoins la où le vent potait . Les eau usées déchets
des chevaux et autres immondices de toute sorte nagent dans les rigoles se trouvant
au centre des rue est contribuant à la prolifération des épidémies .
Urinoir champêtre aux Champs-Élysées1875

En 1763 , Gontran Peaupot le bien nommé industriel dans le textile avait soumis
à Mr de Laverdy , lieutenant de police un projet il voulait établire des brouettes à
demeure à différents coins de rue où il aurait des lunettes qui se trouveraient prêtes
à recevoire ceux que les besoins urgents presseraient tout à coup .
Nous voyons ici un superbe urinoir à six places surmonté d'un bec de gaze
Ce style d'urinoir est idéal pour les lieux à fort trafic Paris Xe 1875

Cette idée ne reçut pas l'accueil bienveillant qu'elle eût mérité de la part d'un édile
attentif au bien-être de ses administrés , car elle fut réalisée que huit ans plus tard ,
par un autre lieutenant de police Mr.De Satines qui pris la décision de faire disposer
des baril d'aisance ( demi-baril en bois) à tous les coin de rue de paris , pour
prévenir les amendes et les punition corporelles dont on est menacé , de par le Roy
il était interdit de satisfaire au besoins naturels . Les (demi-barils en bois) De Mr de
Satines obtinrent un succès mérité , mais on trouva non sans raison qu'il n'avait pas
songé à tout et que sa pensée demandait à être complétée .
Urinoir à 6 places en ardoise . Halles centrales au coin de la rue
Berger et de la rue Baltard , Paris 1er 1875

Elle le fut vers 1780 un particulier imagina une garde-robe ployante , il se promenait
dans les rue avec des seaux en bois couvert et tenant sous son bras sa garde-robe
le seau servait de siège , est de temps en temps il criait «chacun sait ce qu'il a à faire »
et il se faisait payer quatre sous par séance . En 1832 , une épidémie de choléra
ravagé Paris , à l'initiative du Comte Claude-Philibert barthelot de Rambuteau préfet
de la seine estima que les rue étroites, tortueuses et insalubres du centre de Paris
favorisent le développement de la maladie . Appliquant sa devise « de l'eau , de l'air
de l'ombre » Mr de Rambuteau renouvela la face de Paris . Il lance le percement d'une
voie de 13 mètres de largeur ce qui constitue une nouveauté dans le centre de la capitale , les vieilles rue furent rendues plus praticables cents vingt kilomètre d'égouts
furent remaniés , les boulevards nivelés il généralise l'éclairage au gaze , construis
de nombreuses fontaines dont certaines son encore en fonction dans les jardin public
Plus tard en 1834, Mr de Rambuteau fit installer 478 "Vespasiennes" sur les trottoirs
de la ville .
Urinoir dit "Colonne Rambuteau" avec son bilboquet 1 place
en maçonnerie , quai de l'hôtel de ville Paris IVe 1865

Rambuteau n'a pas eu les moyens qui permettront plus tard à Haussmann de mener
à bien les grands travaux dont il a montré la voie . Mr de Rambuteau fut , on ne la
pas oublié l'Haussmann du gouvernement de Louis-Philippe , mais un Haussmann
raisonnable et modéré , moins audacieux , moins aventureux , plus sérieusement administrateur , plus économe des deniers des contribuables , enfin moins dédaigneux
de l'opinion de ses administrés , comme il convenait à un régime constitutionnel .