Parenthèse fleurie
Publié le 25 juin 2018
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La rosée du matin
C'est comme un gros chagrin,
Qui s'est évanoui
Dans le creux de la nuit.
Une fraîcheur étrangère
Dans une bulle légère,
Qui répand des baisers
Sous la lune dorée.
C'est la face cachée
D'amours inavoués,
Qui donne au printemps
Un sourire insolant.
Des couleurs, des senteurs,
Au langage puissant,
Qui trouvent leur bonheur
Dans la fugue du vent.
Tous les matins je cueille
Cette fleur éphémère,
Flâneuse passagère
Que tendrement j'effeuille.
Vivi
C'est comme un gros chagrin,
Qui s'est évanoui
Dans le creux de la nuit.
Une fraîcheur étrangère
Dans une bulle légère,
Qui répand des baisers
Sous la lune dorée.
C'est la face cachée
D'amours inavoués,
Qui donne au printemps
Un sourire insolant.
Des couleurs, des senteurs,
Au langage puissant,
Qui trouvent leur bonheur
Dans la fugue du vent.
Tous les matins je cueille
Cette fleur éphémère,
Flâneuse passagère
Que tendrement j'effeuille.
Vivi