Promenade automnale
Publié le 27 septembre 2019
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Il faut à mon cœur lourd de peine et de remord
Une saison bonheur où je puisse flâner
Dans l'ombre de nos bois dont aucun bruit ne sort
Je m'enfonce et me noie pour aller méditer
Les grands chênes seigneurs de la haute futaie
Ont à peine entrevu l'insoupçonné quidam.
Je me fraie un chemin aux pieds de la chênaie
En ex habitué des voies en macadam.
Là, loin de vos tumultes et loin de tous vos cris
J’aperçois l'écureuil engrangeant pour l'hiver
Tous les fruits. En adulte grave et réfléchi
Il connaît son besoin et le comble en expert.
Je suis là en modeste, sans être lassé,
Moi, le calme rêveur à vos pieds de géant,
Sous la voûte céleste où volent mes pensées,
Plus près du créateur qui vous fit triomphant.
Composé le : 21/09/2013
Une saison bonheur où je puisse flâner
Dans l'ombre de nos bois dont aucun bruit ne sort
Je m'enfonce et me noie pour aller méditer
Les grands chênes seigneurs de la haute futaie
Ont à peine entrevu l'insoupçonné quidam.
Je me fraie un chemin aux pieds de la chênaie
En ex habitué des voies en macadam.
Là, loin de vos tumultes et loin de tous vos cris
J’aperçois l'écureuil engrangeant pour l'hiver
Tous les fruits. En adulte grave et réfléchi
Il connaît son besoin et le comble en expert.
Je suis là en modeste, sans être lassé,
Moi, le calme rêveur à vos pieds de géant,
Sous la voûte céleste où volent mes pensées,
Plus près du créateur qui vous fit triomphant.
Composé le : 21/09/2013