ENSEMBLE,le voyage...
Publié le 4 février 2020
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}Ensemble,
Viendra l'âge avancé, de crins blancs, couronné.
Ensemble nous irons vers les îles lointaines,
Quérir la fleur sauvage, unique et souveraine,
De la folle passion de nos jeunes années ;
Le soleil ardent, réchauffera la flamme,
fragile comme un souffle, sur les frimas de l'âme :
Quand se fâche le vent,et que le coeur prend froid
Nos corolles d'argile se fanent parfois
Un instant veux-tu.., laissons passer le monde,
En silence écoutons les doux frissons de l'onde.
Entrons dans l'infini, aux portes des étoiles
Sous la lueur d'Orion, amour hissons la voile.
N'aies plus peur de la nuit, prends ma main et voguons
Sur l'océan des âges,ensemble dépassons
les blessures du temps,s'éloignant du rivage,
Avec les vains espoirs, d'une vie sans ambages.
Jours dorés, sur la mer aux mille facettes,
Où la lune blonde, se mire et s'y reflète ;
Mais le vent argenté, soudain souffle du gris,
De grands oiseaux noirs, croisent le ciel assombri.
A l'horizon du grand voyage , où s'en vont
Nos brèves amours , tissés au coeur des saisons?
Nos rires et chansons, dans les greniers du temps,
Pour ceux que nous aimons, résonneront longtemps……
Oderay
Viendra l'âge avancé, de crins blancs, couronné.
Ensemble nous irons vers les îles lointaines,
Quérir la fleur sauvage, unique et souveraine,
De la folle passion de nos jeunes années ;
Le soleil ardent, réchauffera la flamme,
fragile comme un souffle, sur les frimas de l'âme :
Quand se fâche le vent,et que le coeur prend froid
Nos corolles d'argile se fanent parfois
Un instant veux-tu.., laissons passer le monde,
En silence écoutons les doux frissons de l'onde.
Entrons dans l'infini, aux portes des étoiles
Sous la lueur d'Orion, amour hissons la voile.
N'aies plus peur de la nuit, prends ma main et voguons
Sur l'océan des âges,ensemble dépassons
les blessures du temps,s'éloignant du rivage,
Avec les vains espoirs, d'une vie sans ambages.
Jours dorés, sur la mer aux mille facettes,
Où la lune blonde, se mire et s'y reflète ;
Mais le vent argenté, soudain souffle du gris,
De grands oiseaux noirs, croisent le ciel assombri.
A l'horizon du grand voyage , où s'en vont
Nos brèves amours , tissés au coeur des saisons?
Nos rires et chansons, dans les greniers du temps,
Pour ceux que nous aimons, résonneront longtemps……
Oderay