CES CHEVAUX, ESCLAVES DU PLAISIR DE L'HOMME

Écoutez le pas las, de ces chevaux tirant les caléches de touristes insouciants sur les gros pavés
de la ville ce n'est pas leur milieux, ils sont  éfflanqués le regard portant toute leur tristesse,sous un soleil de plomb
ceux de camargue attendant,imperturbables les promenades en chemins pentus et rocailleux ,mais toujours dociles
en bord de mer ,là, il faut galoper ,un peu de fraicheur au moin.
Que dire des poneys,dans les fetes foraines ,tournant en rond toute l'aprés midi
pour le plaisir innocent des enfants,sous la musique assourdissante
il ne faut pas oublier,les animaux de cirques ,enfermés ,abrutis ,forcés,
certains,la vie entiere dans de petites cages,
les dauphins n'y échappent pas,les oiseaux non plus.
pourquoi ne pas leur laisser la liberté de vivre dans leurs milieux
là ,tout serait bonheur car tous,souffrent,ils obéissent,mais sont
un peu plus intélligents,que leurs exploiteurs
pour eux de grace,laissons les en paix ,ils le valent bien vos vacances seront aussi belles
une amie des animaux , et ,de tous.