Les laissés pour compte
Publié le 22 mai 2017
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Les laissés pour compte.
Quelques mots, quelques vers,
pour exprimer notre colère.
Des mots bien inutiles,
Pour ces gens que le froid mutile.
Des mots bien dérisoires,
Pour ces gens sans espoir,
Qui dans le froid se meurent,
Quand d'autres au chaud, demeurent.
Quelques mots, quelques vers,
Pour alléger cette misère.
Des vers bien inutiles,
Pour ces gens en péril.
Des vers bien aléatoires,
Pour ces gens au désespoir.
Tant ces vers sont des leurres,
Dépeignant leurs malheurs.
Quelques pensées émues, sincères,
Aux portes de l'hiver.
Des pensées bien inutiles,
Pour ces gens en exil.
Des pensées bien trop illusoires,
Pour ces gens qui peinent à croire,
Aux paroles des bonimenteurs,
Qui jamais ne feront leur bonheur.
Les laissés pour compte.
Quelques mots, quelques vers,
pour exprimer notre colère.
Des mots bien inutiles,
Pour ces gens que le froid mutile.
Des mots bien dérisoires,
Pour ces gens sans espoir,
Qui dans le froid se meurent,
Quand d'autres au chaud, demeurent.
Quelques mots, quelques vers,
Pour alléger cette misère.
Des vers bien inutiles,
Pour ces gens en péril.
Des vers bien aléatoires,
Pour ces gens au désespoir.
Tant ces vers sont des leurres,
Dépeignant leurs malheurs.
Quelques pensées émues, sincères,
Aux portes de l'hiver.
Des pensées bien inutiles,
Pour ces gens en exil.
Des pensées bien trop illusoires,
Pour ces gens qui peinent à croire,
Aux paroles de bonimenteurs,
Qui jamais ne feront leur bonheur.
Quelques mots, quelques vers,
pour exprimer notre colère.
Des mots bien inutiles,
Pour ces gens que le froid mutile.
Des mots bien dérisoires,
Pour ces gens sans espoir,
Qui dans le froid se meurent,
Quand d'autres au chaud, demeurent.
Quelques mots, quelques vers,
Pour alléger cette misère.
Des vers bien inutiles,
Pour ces gens en péril.
Des vers bien aléatoires,
Pour ces gens au désespoir.
Tant ces vers sont des leurres,
Dépeignant leurs malheurs.
Quelques pensées émues, sincères,
Aux portes de l'hiver.
Des pensées bien inutiles,
Pour ces gens en exil.
Des pensées bien trop illusoires,
Pour ces gens qui peinent à croire,
Aux paroles des bonimenteurs,
Qui jamais ne feront leur bonheur.
Les laissés pour compte.
Quelques mots, quelques vers,
pour exprimer notre colère.
Des mots bien inutiles,
Pour ces gens que le froid mutile.
Des mots bien dérisoires,
Pour ces gens sans espoir,
Qui dans le froid se meurent,
Quand d'autres au chaud, demeurent.
Quelques mots, quelques vers,
Pour alléger cette misère.
Des vers bien inutiles,
Pour ces gens en péril.
Des vers bien aléatoires,
Pour ces gens au désespoir.
Tant ces vers sont des leurres,
Dépeignant leurs malheurs.
Quelques pensées émues, sincères,
Aux portes de l'hiver.
Des pensées bien inutiles,
Pour ces gens en exil.
Des pensées bien trop illusoires,
Pour ces gens qui peinent à croire,
Aux paroles de bonimenteurs,
Qui jamais ne feront leur bonheur.