L'ART D'ÉCRIRE PRÉCÈDE LA PENSÉE

Réflexions

L'ART D'ÉCRIRE PRÉCÈDE LA PENSÉE

Ecrit par l'Ordissinaute claudLo

Avez-vous remarqué, mes chers Ordissinautes, que c'est dans la dernière ligne droite que nos pensées nous absorbent de façon récurrente, que nos souvenirs remontent.
Peut-être qu'inconsciemment nous faisons le bilan de notre vie.
Je fais surtout allusion à ceux qui, comme moi, ont atteint un âge dit "respectable" mais au fond, cette ligne droite qui mène vers l'inconnu, ne peut en aucun cas être définie.
Tout est une question d'état d'esprit, de moral et de physique.
Ce dont nous sommes sûrs et, vous êtes là pour en témoigner, "L'intelligence, c'est ce qui en nous reste toujours jeune". Je ne cite pas cela pour éveiller vos égos car, " Faire plaisir, n'est pas être menteur, flatteur, courtisan.", l'intelligence doit influencer notre sagesse pour nous faire comprendre " Qu'à vouloir s'informer de tout, on ne sait jamais rien".
Dans le même ordre d'idée, il y a plus grave : "Savoir et ne point faire usage de ce qu'on sait, c'est pire qu'ignorer".
Revenons à la sagesse : il n'y a pas d'âge pour la contracter, on est donc toujours à même de constater que "Aimer, c'est trouver sa richesse hors de soi".

Cette dernière citation est une belle conclusion à ce récit un peu alambiqué, je le concède.
Mon objectif étant de prouver qu'en intégrant des pensées (en bleu) du grand philosophe ALAIN à un simple texte, la philosophie devient accessible à tous.
Ai-je réussi ?... À vous de me le dire.


                                                                     Cl. Lopez le 08/06/2017


La photo : le palais IDÉAL du Facteur Cheval (1836 /1924) à Hauterives, Drôme.