Octobre 2002
Publié le 11 janvier 2019
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dans son linceul de bois noirçi par les ans, égrenant le temps qui passe... exonérablement.
Dans le silence de cette belle nuit d'automne. alors qu'il n'y avait plus personne, sauf les feuilles mortes qui dorment dehors; j'ai écris ces quelques lignes...
Avec le sang de ma mémoire assis devant la cheminée; à la lueur des flammes qui dansent dans l’âtre... Reste t'il encore quelqu'un qui s'étonne en ce bas monde de la misère qui s’amorce ?...
Il y a t'il encore des hommes qui sommeillent dehors ? ou seulement le vent qui s'éveille et qui râge !
Anges gardiens réveillez nous ; ou alors serions nous tous devenus fous! pour permettre de telles choses (...) Cette sombre histoire sans nom vous étonne ? Alors c'est que nous y sommes tous en nombre, un peu pour quelque chose. ..
Eward Dio