L'ete
Publié le 10 mars 2021
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Avez-vous remarqué comme ce mot est doux?
Enfin le soleil illumine nos rues citadines
Pare les maisons de reflets dorés dès mâtine
L'air est chaud, le ciel d'un bleu andalou.
Juillet, Août, c'est le branle-bas dans les maisons,
Beaucoup se préparent à partir en vacances
Evasion temporaire de quelques jours vers une autre existence
Faite de farniente, de rires, de chants, de trilles des pinsons.
En ville, hélas, pas de coquelicots au rouge ardent
Mais nos parcs, nos squares foisonnent d'arbustes fleuris
Nos fenêtres s'égaient de géraniums aux pétales cramoisies
De jasmins blancs ou de lierres grimpants.
A Paris la Seine retrouve ses visiteurs, son activité.
Les bateaux-mouches se prélassent amarrés à leurs pontons
Attendant de passer en ronronnant sous les ponts
Pour un voyage de charme au cœur de la Cité.
Puis arrive septembre, fini les vacances, c'est l'automne.
On reprend le rythme métro-boulot-dodo, nostalgiques,
Essayant de reculer au maximum le moment fatidique
Où les fleurs se fanent au long des jours monotones....
Paule Husson
Enfin le soleil illumine nos rues citadines
Pare les maisons de reflets dorés dès mâtine
L'air est chaud, le ciel d'un bleu andalou.
Juillet, Août, c'est le branle-bas dans les maisons,
Beaucoup se préparent à partir en vacances
Evasion temporaire de quelques jours vers une autre existence
Faite de farniente, de rires, de chants, de trilles des pinsons.
En ville, hélas, pas de coquelicots au rouge ardent
Mais nos parcs, nos squares foisonnent d'arbustes fleuris
Nos fenêtres s'égaient de géraniums aux pétales cramoisies
De jasmins blancs ou de lierres grimpants.
A Paris la Seine retrouve ses visiteurs, son activité.
Les bateaux-mouches se prélassent amarrés à leurs pontons
Attendant de passer en ronronnant sous les ponts
Pour un voyage de charme au cœur de la Cité.
Puis arrive septembre, fini les vacances, c'est l'automne.
On reprend le rythme métro-boulot-dodo, nostalgiques,
Essayant de reculer au maximum le moment fatidique
Où les fleurs se fanent au long des jours monotones....
Paule Husson