Les forçats du travail...
Publié le 6 mai 2021
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On rêve souvent de lointains voyages, dans les pays exotiques, paradisiaques
luxuriants...
Et un jour le destin sans qu'on le veuille nous y emmène, dépaysement total, mode de vie autre...
On nous montre tant de choses nouvelles belles, inattendues.
Oui c'est ce que l'on rêvait, mais après une pose
la carte postale se ternie, s’assombrie, le vrai visage est derrière.
Des hommes aux visages blafards dans les rochers de souffre d’Amazonie a coups de hache enlèvent des pans de souffre, les mettant dans deux paniers portés sur leurs épaules 20 a 25 kg chacun
Puis, à travers des chemins rocailleux et pentus, les déchargent enfin a l'usine.
Le soir ils auront quelques pièces selon leur poids apportés.
Eux, harassés, les poumons brûlants, de quoi faire survivre femme et enfants tant que la santé tiendra...
D’autres s'enfoncent dans des mines profondes et souterraines à coups de pics détacher des blocs pour les faire remonter pour y trouver
d’éventuelles belles émeraudes ou rubis.
À la surface, d'autres forçats chercheront le diamant, la pierre
pour un salaire aussi dérisoire pour le bénéfice de plus chanceux.
Revenons chez nous, dans le nord, l'est d'autres ont travaillés aussi, ne voyant guère la lumière du jour dans les mines de charbons, beaucoup y ont laissés leur santé et leur vies dans ce travail plus embarrassant ....
Aussi, pensons à ces forçats usée par le travail, le dur labeurs, leurs yeux sont hagards, éteints.
Dans la vie, il faut voir la face cachée de la misère, et savoir se contenter de ce que l'on a.
N'oublions pas ces hommes et femmes, ne se plaignant jamais, eux démunis...nous on a la liberté un trésor caché.





Mousse, juin 2015



luxuriants...
Et un jour le destin sans qu'on le veuille nous y emmène, dépaysement total, mode de vie autre...
On nous montre tant de choses nouvelles belles, inattendues.
Oui c'est ce que l'on rêvait, mais après une pose
la carte postale se ternie, s’assombrie, le vrai visage est derrière.
Des hommes aux visages blafards dans les rochers de souffre d’Amazonie a coups de hache enlèvent des pans de souffre, les mettant dans deux paniers portés sur leurs épaules 20 a 25 kg chacun
Puis, à travers des chemins rocailleux et pentus, les déchargent enfin a l'usine.
Le soir ils auront quelques pièces selon leur poids apportés.
Eux, harassés, les poumons brûlants, de quoi faire survivre femme et enfants tant que la santé tiendra...
D’autres s'enfoncent dans des mines profondes et souterraines à coups de pics détacher des blocs pour les faire remonter pour y trouver
d’éventuelles belles émeraudes ou rubis.
À la surface, d'autres forçats chercheront le diamant, la pierre
pour un salaire aussi dérisoire pour le bénéfice de plus chanceux.
Revenons chez nous, dans le nord, l'est d'autres ont travaillés aussi, ne voyant guère la lumière du jour dans les mines de charbons, beaucoup y ont laissés leur santé et leur vies dans ce travail plus embarrassant ....
Aussi, pensons à ces forçats usée par le travail, le dur labeurs, leurs yeux sont hagards, éteints.
Dans la vie, il faut voir la face cachée de la misère, et savoir se contenter de ce que l'on a.
N'oublions pas ces hommes et femmes, ne se plaignant jamais, eux démunis...nous on a la liberté un trésor caché.






Mousse, juin 2015


