hommage à Georges BRASSENS

Ils sont pour toi ces quelques vers,
Toi qui dénonçais les travers,
De ces cocus de maris  trompés,
Par leur femme que tu as aimer.
De ceux qui t'ont laissé jeûner,
Te fermant la porte au nez.
Tu leur criais " Mort aux vaches",
Caché derrière ta moustache.
Tu as écrit toutes ces chansons,
Qui les décrivaient comme ils sont.
Qu'ils te pardonnent ton franc-parlé,
Sans toi ils n'auraient  jamais existé.
Quant à cette pauvre Lulu,
Une autre chute lui aurait plu.
Mais tu préférais rimailler,
Au mépris de ceux qui étaient nommé.
Elle est pour toi cette oraison,
Car pour toutes ces raisons,
Dans les écoles on t'étudie,
Un parc porte ton nom à Paris.
Mais tu rirais de ces honneurs,
Toi qui refusas la Légion d'honneur.
Toi le pornographe polisson,
Non, tu n'étais pas le  roi des Cons.
N'en déplaise à tes détracteurs,
Te dédier ces vers est un honneur. 
Que sonnent les trompettes de ta renommée,
Tu les a bien mérité,
Qu'elles te conduisent à travers ciel,
Au Père éternel.

Toi le poète...quand tu mourras.