Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
17/02/2018 - 12:39
Bonjour ,
j'aime beaucoup les Animaux , et, les chats me font ' craquer' ....
Quand , j'en vois dans la rue , je leur parle .....eh! oui....je 'craque'  ;
mais , comme le savent les personnes avec qui je correspond et d'autres qui ont peut-être lu certains de mes commentaires :
- je suis allergique aux poils des Animaux et aux plumes.....;
entre autres.....
Donc pas d'animaux chez moi , et quand je vais chez des amis  qui ont des animaux, je pars avec ma plaquette de Cétirizine  (en faîte , je l'ai souvent avec moi)
Merci pour la vidéo sur les chats , et la photo : tous très beaux
17/02/2018 - 12:10
Merci Mayyan ! ....mais le plus beau c'est toujours " le " ou " les " nôtres
Passez une bonne journée , c'est gentil de nous avoir proposé cette vidéo .
17/02/2018 - 11:14
Mayyan1 Merci beaucoup pour les chats et oui pour moi, je l'adore, depuis je suis née, j'ai eu les chats, voici une petite photo de la sœur de mon Charlie qui est parti au paradis octobre dernière, elle avait 18 ans et 2 mois.
17/02/2018 - 07:40
Sans les chats, l’humain ne serait jamais heureux! Vrai ou faux? 

 
On se demande que serait notre vie sans les chats et cette question n’a hélas pas de réponse, car pour certains, leur vie n’existerait plus sansleur matou, alors que pour d’autres ce serait le paradis sur Terre.
Pour nous, rien ne compte plus que ces adorables boules de poils, alors rien que pour les amoureux des chats, admirez ces belles séquences en musique!



16/02/2018 - 08:03
Les oiseaux peuvent aussi être d’excellents animaux de thérapie!  
 
L’article que voici raconte une petite histoire sans début ni faim, mais elle est belle puisqu’elle concerne nos amis les animaux.
Cette maman a trouvé en ses oiseaux d’excellents compagnons qui lui offrent de grands moments de joie et cela rien qu’en les observant.
On sait tous ce que c’est que d’être maman, alors on est forcément épuisée à longueur de journée et donc avoir un peu de réconfort, cela fait du bien.
En admirant ses quatre oiseaux, cette femme se sent transportée dans un autre univers alors elle s’est mise à les photographier et cela donne demerveilleux clichés qu’elle poste sur son compte Instagram pour donner un peu de joie à ses amis et fans.
Nous allons voir ses oiseaux, mais pas maintenant!
Patientez!
En mode macro, les oiseaux offrent des détails incroyables de leurs plumes, de leur bec et leur beauté se révèle encore plus.
La relation qui lie les oiseaux de cette femme semble toute belle et c’est une superbe chose qui lui a fait du bien. Les amis ont aussi trouvé queses oiseaux ont quelque chose de magique, alors, a vous les images qui montrent la beauté, la tendresse, la perfection, les couleurs, le charmeet plein d’autres choses!


 

16/02/2018 - 07:52
Photos...Des Nurseries Sous L’eau... Pour «Repeupler La Mer» .

AFP
A une dizaine de mètres de profondeur, à la sortie du port de La Ciotat, trois plongeurs détachent un grand filet blanc couvrant une cage sous-marine, libérant dans ce mouvement des centaines de bébés poissons.

Leur Objectif...«Repeupler La Mer».
Sous le filet apparaît une «biohut», une cage faite de grillages et de coquilles d’huîtres, qui sert pendant quelques jours de nursery à des poissons réacclimatés à leur milieu naturel.
Jeunes mérous bruns, rascasses, congres, rougets et dorades grises se dispersent peu à peu dans les profondeurs de la Méditerranée.


AFP «Restauration Écologique» L’opération réalisée mercredi vient parachever plusieurs mois de travail pour la PME Ecocean, basée à Montpellier.
Première étape, son «coeur de métier», explique son président Gilles Lecaillon...
La capture de larves, pour permettre la «restauration écologique» des milieux marins endommagés par les activités humaines, notamment dans des ports, en France ou à l’étranger.
«Dans ce domaine, nous avons développé des solutions innovantes complémentaires qui sont validées scientifiquement», dit-il, rappelant que la société...
A été créée en 2003, elle avait été fondée à partir du constat que depuisles années 1950, le nombre d’espèces marines en danger n’a cessé de croître, victimes de la pollution, de la destruction des habitats ou encore de la surexploitation des ressources marines.
La conservation ne suffit donc plus, il faut «réparer» l’écosystème et «repeupler la mer», argumente Gilles Lecaillon.
La solution la plus simple proposée par l’entreprise est donc celle des «biohuts», et consiste uniquement à déposer ces cages sous-marines dans des zones dégradées comme des ports.


« Repeupler La Mer »
Mais la solution la plus complète, baptisée «Biorestore», vise à «repeupler la mer» en trois étapes: la pêche de post-larves qui sont ensuite acclimatées et élevées dans des nurseries à terre, puis relâchées en milieu naturel.

C’est cette troisième étape déterminante qui a eu lieu mercredi lorsqu’un millier de bébés poissons pêchés et élevés depuis mars ont été relâchés dans le cadre du projet Casciomar, un contrat de baie portant sur la zone Cassis, La Ciotat, Marseille (Bouches-du-Rhône).


AFP
« Reconquête Du Milieu ».
Parmi les gros projets actuels en France de cette entreprise qui emploie 12 personnes, figurent notamment le volet biodiversité de l’extension duport de Calais...
Ou encore un projet de «reconquête du milieu» qui démarre en partenariat avec Veolia au large de Toulon (Var) pour limiter les dégâtsd’une station d’épuration.
Présente dans une quinzaine de ports en France, Ecocean vise également l’international, où elle est déjà active à Baltimore (côte est des Etats-Unis), aux Pays-bas, au Danemark, en Corée du Sud ou encore en Jordanie.
«L’Europe du Nord est une zone cible qui semble prometteuse», commente M. Lecaillon.
Les clients d’Ecocean, qui est bénéficiaire et a réalisé un chiffre d’affaires de 1,1 million d’euros en 2016, sont des gestionnaires de ports collectivités locales, aménageurs côtiers ou industriels «désireuxde compenser l’impact qu’ils ont sur le milieu naturel», explique-t-il,notamment dans les secteurs pétrolier et de l’éolien en mer.

15/02/2018 - 15:49
La mer est sur Terre le Nausicaa.

Nausicaá - Centre national de la mer est un centre de découverte de l'environnement marin, situé à Boulogne-sur-Mer dans le nord de la France.
Avec plus de 600 000 visiteurs par an, il s'agit de l'un des plus importants sites touristiques du nord de la France (premier de la région, second au nord de Paris, qui espère devenir le « plus grand aquarium d’Europe »avec son agrandissement prévu pour 2018.



15/02/2018 - 14:34
Adorables petits perroquets.

Ces minuscules perroquets emballent la personnalité de leurs cousins ​​amazoniens dans leurs petits corps.
 
L'amour partagé par les couples est aussi grand que leurs attitudes. 
 
Ils font des câlins, se ressourcent et s'entraident tous les jours. 
 

 



 

 

 

 
15/02/2018 - 13:07
En Afrique,

une espèce de fourmis

livre une guerre sans pitié à leurs proies
préférées
:

- les termites ouvrières.

Lorsqu’une éclaireuse découvre la cachette de ces Termites, elle alerte ses petites camarades, qui lancent ensuite l’assaut avec des centaines de soldats prêts à en découdre.

Les termites, quant à elles, ne sont pas sans défenses et se servent de leurs puissantes mandibules pour se libérer de l’envahisseur.

Qui dit guerre dit violence, brutalité, sang, et parfois décès.

Mais les fourmis Matabele ne sont pas comme toutes les autres espèces animales

– elles défient la mort comme personne.

Et pour ce faire, elles adoptent un comportement typiquement humain.

Tandis que les plus petites fourmis tuent les termites, les plus grosses recueillent les blessées qui jonchent le sol.

Dans l’espoir, et même le but, de les soigner et de les sauver d’une mort certaine.
 

Il a ainsi découvert en 2017 que les fourmis Matabele récupéraient leurs congénères blessés et leur administraient des soins
leur permettant de survivre.

S’il n’est pas rare d’observer des animaux se soigner eux-mêmes, seuls quelques comportements comme celui des
fourmis Matabele
 ont pu être constatés.

C’est le cas par exemple de ce Capucin qui a confectionné outils et matériaux médicaux pour soigner la tête de son enfant.
Cette méthode de soins demeure toutefois la première jamais observée chez un invertébré.

Pour prouver ce fait, l’équipe d’Eric T. Frank a mené quelques expérimentations.

En créant un abri artificiel pour fourmis, lui et son équipe se sont rendus compte que non soignées,
80 % des fourmis blessées mouraient dans les 24 heures.

Mais si leurs congénères s’occupaient d’elles, seuls 10 % des spécimens succombaient à leurs blessures.

Autre découverte datant de 2017 :

- si les fourmis blessées étaient placées dans un environnement stérile, alors 80 % d’entre elles persistaient.

Eric T. Frank en a donc conclu que les infections constituaient la principale cause de décès chez les fourmis mutilées.

Également, l’année dernière, les chercheurs ont constaté que les fourmis infirmes émettaient un signal chimique pour avertir leurs
compères d’un besoin imminent d’aide.

En suivant ce signal, les blessées pouvaient donc être rapatriées.
 
Une stratégie bien rodée chez les Matabele

La récente étude du scientifique, officiant désormais à l’Université de Laussanne en
Suisse, démontre que le procédé est encore plus complexe que prévu.

Pour attirer l’aide de leurs comparses proches, les fourmis blessées n’hésitent pas à mettre en exergue leurs blessures…
quitte à exagérer un
petit peu !

Elles tombent, se figent, et paraissent encore plus infirmes qu’elles ne le sont réellement.

Pour autant, cette technique n’est pas adoptée par celles qui savent leurs jours condamnés.

À vrai dire, celles dont les blessures conduisaient à une mort certaine (qui avaient par exemple 5 pattes arrachées) n’étaient pas aidées par les autres Matabele

Non pas par égoïsme ou par cruauté, et non plus pour préserver leurs ressources, mais tout simplement parce que les mutilées n’acceptaient pas l’aide qu’on leur proposait !

Même en appliquant aux fourmis blessées le fameux signal chimique, aucun congénère ne parvenait à les aider.

La faute à des gesticulations intenables qui empêchaient les « médecins » de leur prodiguer des soins.

« Chez les humains, la décision ou non de sauver une personne provient du médecin.

C’est un système hiérarchique.

Chez les fourmis, c’est l’exact contraire », déclare Eric T. Frank.
« Ainsi, les cas désespérés s’assurent qu’aucune énergie n’est investie dans leur sauvetage ».

Cette découverte pose de nombreuses autres questions :
** y a-t-il
d’autres espèces de fourmis capables de tels comportements ?

Le scientifique assure : « Il est très probable que d’autres espèces de fourmis, et d’autres insectes sociaux, soignent leurs blessés ».

Des recherches passionnantes qui vont sans aucun doute lui prendre de longs mois…
15/02/2018 - 07:41
PORTRAIT DU POISSON ACANTHURUS COERULEUS AVEC VIDEOS.

Description : Les juvéniles ont une robe jaune et des pigments bleus autour de la
pupille. Ils s’assombrissent avec l’âge pour arborer une robe couleur
bleue.

 

 
La répartition de bleu et de jaune dépend de l’âge et de la provenance.
Certains adultes présentent une robe uniformément bleue tandis que d’autres conservent des nageoires ou un éperon caudal jaune.

 
La taille maximale approche des 40 cm pour les plus grands spécimens. La moyenne se situe entre 12 et 25 cm. Pas de différence visible entre les deux sexes.
 
Acanthurus coeruleus peut modifier l’intensité de sa couleur selon l’humeur.
 

 

Acanthurus coeruleus. By Species-snob
 
Bac : 400 l minimum. Fish Only ou Récifal. Un seul spécimen est conseillé.
Cependant, dans un très grand aquarium 3 à 5 individus peuvent cohabiter ce qui leur permet de reproduire un peu leur mode de vie à l’état sauvage.

 
Comportement : Très territorial vis-à-vis des nouveaux pensionnaires. Les juvéniles sont plus agressifs que les adultes. Il cohabite assez bien avec d’autres espèces à condition que l’aquarium soit très grand.
 
Il peut éventuellement cohabiter avec un membre du genre Zebrasoma à condition qu’ils ne soient pas de même taille. Votre Acanthurus coeruleus devra donc être beaucoup plus grand ou beaucoup plus petit pour limiter les problèmes.
 
Taux de difficulté : Assez facile. C’est un poisson robuste.
 
Alimentation : Algues lyophilisées en grande quantité avec des artémias , des mysis et des crustacés hachés. Cette espèce est vorace et doit être bien nourrieen végétaux car sinon elle mange des polypes.