Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
21/09/2015 - 08:16
Voici la vache aux plus grandes cornes du monde,
avec une longueur de corne de 297.8 cm de long.
 

 
Ce beau bestiau est un boeuf Texas Longhorn du nom de Lazy J’s Bluegrass.
Il a été officiellement intronisé comme la vache aux plus grandes cornes
du monde par le Guiness Book des records lors d’un concours d’éleveurs.
Son éleveur, Joe Sedlacek de Greenleaf dans le Kansas, a déclaré que
Bluegrass était issu d’une lignée de boeufs à très grandes cornes depuis
5 ou 6 générations.
Le champion a loupé le record de peu l’année dernière et une année de
croissance supplémentaire lui a permis de gagner enfin le titre.

20/09/2015 - 09:04

Ces scientifiques français ont prouvé que la pollution sonore réduisait l’espérance de vie des moineaux  

C’est désormais déclaré scientifiquement, le bruit des villes peut raccourcir
la durée de vie des petits moineaux. En effet, une récente étude
française démontre qu’un moineau qui se développe dans le vacarme urbain
présente des chamboulements jusque dans son ADN. SooCurious vous en dit
plus…


Les chercheurs du Centre national de la France pour la recherche scientifique (CNRS) ont remarqué que les poussins conçus et élevés dans le vacarme de la circulation des villes ont des télomères plus courts sur leurs chromosomes que ceux élevés dans un endroit plus calme. Souvent assimilées à des lacets, ces extrémités protectrices peuvent en effet prédire comment les cellules vieillissent. De nombreuses études ont démontré que des télomères plus longs équivalent à une vie plus longue.

« Nos résultats fournissent la première preuve expérimentale que le bruit
seul peut affecter la longueur des télomères d’un jeune animal
sauvage », a dit l’étude publiée dans la revue Biology Letters de la Royal Society.
Pour appuyer ces théories, une expérience a été réalisée chez des moineaux
et leurs bébés. 21 petits ont été « bercés » 6h/jour et 7j/7 par un
bruit de circulation pré-enregistré, 16 autres bébés sont nés et ont
grandi dans le calme de la campagne française. Les résultats sont clairs
: les poussins élevés dans le bruit « avaient des télomères plus
courts » de manière significative. L’effet sur ??les télomères d’oiseaux peut donc se rajouter à la liste des
impacts négatifs de la pollution sonore sur les créatures sauvages.

« Les bruits interfèrent avec la communication acoustique, ce qui est très
important, surtout pour les oiseaux », a déclaré la co-auteure de
l’expérience Alizee Meillere. « Dans un endroit bruyant, ils sont incapables de trouver un bon partenaire,
ils ne peuvent pas entendre leurs poussins et les nourrir en cas de besoin », a-t-elle ajouté.

C’est d’une tristesse ! A la rédaction, nous avons été très touchés par ce
constat scientifique. Les oiseaux ne méritent pas un tel sort à cause
des humains. Pensez-vous que les hommes se développent au détriment de
la nature ou que les animaux pourront s’adapter un jour à l’évolution humaine ?

20/09/2015 - 08:02
6 animaux si menacés par la convoitise humaine qu’ils doivent être protégés par des forces armées .
Chaque année, plusieurs espèces animales disparaissent de la surface du globe.
Un constat inquiétant qui implique que l’Homme sauvegarde la faune
terrestre. Pour ce faire, il est contraint de protéger certains animaux
en voie d’extinction et victimes de la chasse avec l’appui de forces
armées.


 
La tortue olivâtre


La tortue olivâtre doit son nom à la couleur de sa carapace, qui rappelle
celle d’une olive. Menacée par les activités humaines (pêche, déchets
maritimes), comme la plupart des tortues, elle est surtout recherchée en
Amérique du Sud, où les populations raffolent de ses oeufs. Elle est
donc régulièrement protégée par l’armée, comme au Nicaragua, où des
militaires s’assurent que sa future progéniture survive à l’Homme durant
la période de ponte, de juillet à janvier.
 
Le rhinocéros blanc du Nord


Le rhinocéros blanc du Nord est l’une des deux espèces de rhinocéros
blancs, elle-même faisant partie des 4 sous-espèces de cet animal
imposant. Vivant dans la partie Nord de l’Afrique, ce vertébré dont la
peau est plus claire que ses congénères – d’où son nom – est extrêmement
menacé. Il reste ainsi cinq individus de cette espèce, vivant tous en captivité et protégés des braconniers par des clôtures ou des gardes armés.
 
L’éléphant du Tchad


Au Tchad, la préservation des pachydermes est devenue un problème majeur.
On estime ainsi que le parc national de Zakouma, immense réserve de 3000
km carrés, aurait perdu 90 % de sa population d’éléphants ces dernières
années. Pour lutter contre ce braconnage intensif, pratiqué
essentiellement pour le commerce d’ivoire, des gardes veillent
constamment sur ces animaux devenus trop vulnérables.
 
Le léopard des neiges


 
La répartition du léopard des neiges à travers l’Asie : 

Aussi magnifique que rare, le léopard des neiges est un félin de la famille
des panthères vivant en Asie. Il a longtemps été convoité pour sa
fourrure et est désormais chassé par les bergers dont il chasse les
troupeaux. Il n’en resterait aujourd’hui que 4000 à 6000 individus, ce
qui a notamment poussé à la création d’une brigade pour leur survie,
dans les montagnes de l’Altaï.
 
Le saïga


Le saïga est une antilope d’Asie à l’étrange allure. Surtout, cet
herbivore est menacé d’extinction, la faute à une bactérie qui semble
les atteindre et au braconnage de l’espèce. Recherchée pour sa chair
comme pour ses cornes, cette espèce est désormais protégée par des
brigades anti-braconnage. Mais la mesure pourrait ne pas suffire à
sauver cette antilope, dont la population a chuté de 95 % entre 2002 et
2012.
 
Le tigre de Sibérie


Plus grande espèce de tigre au monde, ce superbe félin est un des animaux
les plus menacés du monde. On estime ainsi qu’il resterait tout au plus
quelques centaines de tigres de Sibérie, protégés par des milices qui
luttent contre la chasse dont ils font l’objet. Ils sont notamment
recherchés pour leurs vertus médicinales supposées et pour leur peau.
L’Homme a bien compris que son action à long terme sur la planète avait des
implications très néfastes sur son environnement et donc sur la faune
terrestre. Pire que cela, c’est sa vénalité qui le pousse aujourd’hui à
devoir agir pour protéger les animaux. Mais au regard du nombre
d’espèces menacées, ce genre d’intervention apparaît encore bien faible
et doit être intensifié. Voyez-vous dans la protection armée de ces
espèces un signe encourageant ou pensez-vous qu’au contraire elle
illustre la manière dont l’Homme dégrade sa planèt
20/09/2015 - 07:38
A METZ... UN COUPLE DE CYGNES INSTALLE SON NID SUR UN TERRAIN DE GOLF !!
 
 Un peu de douceur dans ce monde de brute

 
 
> > > > EN FRANCE... Metz accueille un couple de cygnes qui installe son nid à la                       
bonne saison pour y pondre ses œufs et y élever ses petits.
                                Cette année, l’'emplacement choisi pour leur nidification a obligé la
direction du golf à interdire le passage entre les trous n°10 et n°11
tout  le temps qu'a duré la couvaison ainsi que l'abandon du nid.

 
                             Quelqu’un a eu la bonne idée de faire un diaporama-photos.
   
                             Un grand merci pour ces très belles photos


Voir le Fichier : 2013_naissance_cygneaux.pps
19/09/2015 - 09:29
Adorable bébé singe.
18/09/2015 - 11:53
Canada : un ours à la tête bleue filmé par un automobiliste

Alors qu’il rentrait chez lui en voiture, un homme a récemment eu la surprise
de découvrir cet animal dont la tête a une couleur inhabituelle.

Non, ce n’est pas une blague : un ours à la tête bleue a récemment été
observé dans un parc de Colombie-Britannique (Canada). Un automobiliste a
pu filmer l’étrange animal alors qu’il rentrait chez lui. "C'était
tellement étrange : il était vraiment bleu", a témoigné l’homme à CBS News.
Alerté par l'automobiliste, Paul Mc Fadden du service de défense des animaux a
tenté d’expliquer pourquoi l’animal avait la tête de cette couleur :
"l'ours a l'air d'être en bonne santé. Il a peut-être mis la tête dans
un pot de peinture, en pensant qu'il s'agissait de nourriture, ou dans
un bac de teinture... C'est un truc d'ours".
La Colombie-Britannique est une région privilégiée pour observer les ours
L’animal sera surveillé durant les prochaines semaines afin de vérifier que la couleur disparait bien.
Par ailleurs, le site Sciences et Avenir indique que la Colombie-Britannique est une région privilégiée pour
observer les ours. Des grizzlys et des ours noirs peuvent y être
observés. Le kermode, également surnommé "l’ours esprit" en raison de sa
fourrure blanc crème, est également présent dans cette région du monde.
Mais c'est bien la première fois qu'un ours à la tête bleue est découvert
.
17/09/2015 - 08:38

Vous reprendrez bien un peu d'amour dans votre tasse de thé?

Pourquoi mettre un animal dans votre tasse ? Aucune idée. Peut-être est-ce tout
simplement mignon. Bon, du coup, votre thé, avec ou sans sucre ?

 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


15/09/2015 - 15:07
Amitiés insolites









11/09/2015 - 09:02
 
FOURMIS POTS DE MIEL.
 

 
Les fourmis pot de miel sont des fourmis qui utilisent leurs semblables comme garde-manger.
Elles servent en effet de cuves de stockage vivantes de miel pour nourrir la colonie en périodes maigres.
Les abeilles ne sont pas les seules à stocker du miel, du miellat plus précisément.
C’est un liquide nutritif composé de nectar, de liquides corporels et de
graisses récupérées sur des proies comme les chenilles et les termites.

Le seul travail de ces fourmis est de stocker, rien de plus, elles sont
d’ailleurs souvent trop grosse pour pouvoir sortir du nid.

Il peut y avoir des milliers de fourmis pot de miel dans une seule colonie, bien entendu tout dépend de la taille de celle-ci.
Ce sont les ouvrières qui apportent les « matières premières » aux fourmis
pot de miel, celles-ci l’ingurgite puis le stockent dans leur gaster
(partie arrière), elles ont en réalité deux estomacs, un pour
elles-mêmes et un pour stocker.

Savoureuses, elles sont traquée par de nombreux prédateurs, les humains en font même
partie, des tribus amérindiennes et aborigènes sont connus pour n’en
faire qu’une bouchée quand ils ont l’occasion d’en trouver.

 







11/09/2015 - 08:59