Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
07/07/2015 - 08:48
Shabani, le gorille au regard de braise qui enflamme le Japon .

A 18 ans, il déchaîne les passions. Shabani, un gorille de 180 kilos qui réside
au zoo de Nagoya, est aujourd’hui une superstar.

Depuis que les premières photos de lui ont circulé sur Twitter, son enclos
est, chaque jour, pris d’assaut par des centaines d’admirateurs qui
tentent d’apercevoir ce beau mâle au regard intense.
Sur les réseaux sociaux, la simple vue d’un portrait de lui posant le
menton sur la main suffit à certains pour se lancer dans de grandes
déclarations d’amour.
Beau gosse mystérieux, Shabani serait de surcroit un excellent père pour ses
deux enfants, qu’il élève avec ses deux femmes. Pour ses fans, il n’y a
pas de doute, il est le gorille parfait
.
05/07/2015 - 11:09
doublon,j'ai cliqué 2 fois sur "mettre à jour".


  Il a raison "ça va pas la tête!
05/07/2015 - 11:09
AUX GRAPPES DES GLYCINES EN FLEURS
ET DES TUILES TIEDES AU SOLEIL
JE SUIS CHAT AU PRINTEMPS DU BONHEUR
LISSANT MA PARESSE DE SOMMEIL.


05/07/2015 - 07:46
C’est scientifiquement prouvé : le chien met son intérêt personnel de côté pour rester loyal envers son maître

Une sérieuse étude, menée par les chercheurs de l’université de Kyoto, a
démontré que les chiens étaient sensibles aux disputes que
pouvaient avoir leurs maîtres avec une autre personne. Publiée dans la
revue « Animal Behaviour », cette étude renforce ainsi les liens entre
l’homme et le chien. SooCurious vous en dit plus.

Pour bien comprendre cette étude, prenons tout d’abord un exemple. Imaginez
un repas avec votre voisin : vous vous disputez assez fortement et le
chien de votre voisin, calmement assis dans son panier, assiste à la
scène. Il se peut qu’après vous avoir vu vous disputer avec son maître,
le chien de votre voisin refuse tout contact affectueux avec vous. Du
moins jusqu’à ce que vous fassiez « la paix » avec votre voisin.

Un chien lèche son maître.
Les scientifiques japonais ont en effet montré que les chiens se montraient
moins réceptifs aux propositions alimentaires des personnes s’étant
disputées avec leur maître ; c’est-à-dire qu’ils « boudaient » en
quelque sorte lesdites personnes. A contrario, les chiens étaient plus
susceptibles d’accepter la nourriture proposée par un observateur
neutre. « Nous avons découvert pour la première fois qu’un chien pouvait
évaluer la sociabilité d’un individu indépendamment de son intérêt
direct », a ainsi détaillé Kazuo Fujita, qui a dirigé l’étude.
L’expérience était divisée en trois groupes de 18 chiens. Le premier groupe a reçu
un repas par une personne qui, sous les yeux des chiens, refusait
d’aider leur maître à ouvrir une boîte de nourriture. Ensuite, les
chiens avaient le choix entre une assiette servie par une personne
inconnue des animaux et une assiette servie par la personne s’étant
disputée avec leur maître. Les animaux du deuxième groupe avaient le
choix entre une assiette servie par un individu qui aidait leur maître à
ouvrir la boîte de nourriture et, encore, un acteur neutre. Enfin, les
chiens du dernier groupe étaient servis par deux personnes sans
interaction avec leur maître.

Un homme et son chien.
Répétés quatre fois pour chaque groupe, les tests ont révélé une préférence
assez inhabituelle pour les chiens dans le choix du repas. Dans le
groupe 1, un seul chien sur les 18 a goûté à la gamelle proposée par la
personne non coopérative alors que dans les deux autres groupes, les
chiens n’ont montré aucune préférence selon les gamelles. Pour rappel,
dans les deux derniers groupes, aucun individu non coopératif n’était à
signaler. Ce comportement de « préférence » est vraiment inhabituel pour
un canidé qui, habituellement, ne rejette aucune nourriture appréciable
qui lui est proposée.
Kazuo Fujita a ainsi démontré que, tout comme les êtres humains, les chiens possèdent
la capacité d’agir indépendamment de leur intérêt personnel. « Une étude
similaire a montré que les capucins à houppe noire (une espèce de
singes d’Amérique du Sud, ndlr) avaient cette capacité, mais il n’y a
aucune preuve que les chimpanzés montrent une préférence à moins qu’il y
ait un avantage pour eux » a conclu le chercheur japonais.


Un homme joue avec son chien.
Cette étude menée par Kazuo Fujita est absolument édifiante. Dire que le chien est le meilleur ami de l’homme
paraît ainsi très loin d’être insensé. Sensibles aux sentiments de leurs
maîtres, les canidés montrent qu’ils savent mettre de côté leurs
intérêts personnels pour prouver leur loyauté envers lesdits maîtres. À
la rédaction de SooCurious, nous ne sommes pas convaincus que tous les
hommes pourraient avoir cette faculté de mettre de côté leurs intérêts
personnels. Pensez-vous que, comme le chien, l’Homme est capable
d’oublier son intérêt personnel pour montrer sa loyauté ou croyez-vous
que les êtres humains sont incapables d’oublier leurs propres intérêts ?

30/06/2015 - 16:27
Ces ponts ingénieux sauvent la vie de milliers d’animaux en leur permettant de traverser les routes sans danger
Il est parfois compliqué de concilier la circulation en voiture et la vie
sauvage qui nous entoure. Pour preuve, chaque année en France, on
dénombre environ 24 000 animaux percutés sur les routes, sans compter
les oiseaux et les insectes. Ce constat inquiétant a incité le Canada à
construire un pont pour animaux, aussi appelé écoduc, pour permettre à
nos amies les bêtes de contourner les obstacles créés par l’Homme.
SooCurious vous en dit plus sur cette invention qui a déjà fait ses
preuves.

C’est en constatant l’impact négatif d’une autoroute sur la faune et la flore
que le Canada a entrepris la construction de ce « passage pour
animaux ». Et le plus étonnant, c’est que cela fonctionne. En effet, une
étude récente vient de démontrer que ces écoducs fonctionnaient
réellement et qu’ils permettaient aux animaux de traverser les grandes
artères sans se faire tuer. Le résultat est si positif que l’Etat de
Washington, aux Etats-Unis, a également pris l’initiative de construire
son propre pont naturel. Ce premier écoduc, long de 45 mètres, sera
entouré d’arbres et de végétation pour permettre aux animaux de se
sentir dans leur habitat naturel.
« C’est vraiment un effort remarquable », explique Patricia Garvey-Darda, biologiste à la forêt nationale de Wenatchee. « L’objectif est de
relier toutes les espèces et tous les habitats. » De nombreux Etats
comme la Floride ou le Montana entament la construction de ces ponts
pour animaux. Au Canada, on en compte désormais 44. La construction
d’écoducs permet de limiter la fragmentation des paysages engagée par
les nombreuses routes et autoroutes.
Voici une vidéo explicative du projet de la forêt nationale de Wenatchee (contenu en anglais):
 
Si la construction de telles structures se développe de plus en plus,
l’idée, quant à elle, n’est pas nouvelle. Aux Pays-Bas par exemple, on
trouve déjà ces « passages fauniques » depuis 20 ans. Le pays en compte
plus de 600 sur son territoire. De quoi inspirer les nombreux défenseurs
de la nature.
Ces ponts pour animaux sont absolument remarquables ! Conscients que
l’Homme et ses activités dégradent la faune et la flore, les pouvoirs
publics entreprennent de plus en plus la construction d’écoducs à
travers le monde. Une excellente nouvelle pour la préservation de
l’environnement ! Et vous, quels moyens mettriez-vous en place pour
protéger nos amies les bêtes ?




Le paysage dans le centre des Cascades de Washington, couvrant Snoqualmie Pass est traversée par l'autoroute 90,
elle forme un couloir de circulationimportant pour les personnes, les biens et la faune. Depuis 2000, grâce à la
conservation du partenariat"Cascades et l'I-90 de la faune Bridges Coalition", nous avons mené des efforts pour reconnecter le nord de Washington et Cascades au sud par la protection et la restauration de l'habitat et de
l'établissement de passages fauniques sûrs sous et sur la I-90.

En 2015, grâce à notre "I-90 corridor faunique de la campagne" et de la "I-90Ponts Wildlife Coalition"
(dont Conservation Northwest est l'organisation de l'administration) et en travaillant avec WSDOT,
les élus et nos alliés de la communauté, nous nous concentrons pour faire une proposition
"15-mile tronçon de l'autoroute" plus sûre pour les gens et la faune. Trois passages pour la faune sont déjà
réalisés et en cours d'utilisation par les animaux, petits et grands, et deux overcrossings de la faune
sont sur le point de démarer la construction cette année.

....
29/06/2015 - 16:00
La vie compliquée et fascinant des fourmis coupeuses de feuilles.
Voici un regard intéressant sur la vie des fourmis coupeuses de feuilles, les plus petits agriculteurs du monde entier. 
Ils coupent les feuilles des arbres et essentiellement ils l’utilisent pourcultiver des champignon ils ont besoin pour leur petite colonie de fourmis.

Ils sont une entreprise impressionnante, portant les feuilles comme ils le font est l’équivalent de l’homme transportant plus de 272 kg avec nos dents.
Peut-être plus impressionnant, ces fourmis peuvent dépouiller un arbre entier de toutes ses bonnes feuilles en quelques heures.
Bien que les fourmis coupeuses de feuilles puissent la sève dans les feuilles de l’énergie, ils ne les mangent pas.
Au lieu de cela, ils les utilisent pour cultiver autre chose.Leafcutters utilisent morceaux de feuilles pour nourrir un champignonqui pousse en touffes sur les blanches dans leurs nids. Les fourmis mangent le champignon et se
nourrissent à leur couvée.

27/06/2015 - 12:58
27/06/2015 - 07:37
Portraits D’animaux Exotiques  

  Le photographe Brad Wilson a saisi le regard profond d’animaux exotiques.
Ces derniers regardent en direction de l’objectif, nous obligeant à notre tour à les
regarder droit dans les yeux. On y découvre des bêtes au regard doux, sauvage,
interrogateur, observateur dans lesquels on aime se plonger.

(Source : Fubiz)




27/06/2015 - 07:13
Tom le matou accompagnant
 


Il s'appelle Tom, il est âgé de 8 ans et il vit dans un hôpital à Salem, en Virginie.
C'est un chat, un gros matou roux 
qui apporte aux patients en fin de vie apaisement et réconfort.
Tom a été adopté par les infirmières de l'hospice du Salem VA Medical Center 
dans le cadre d'une expérimentation de thérapie animale.
Et sa présence ne fait pas seulement du bien aux patients, 
les familles des malades profitent elles aussi des bienfaits de cet adorable thérapeute à 4 pattes.



Tom se balade, vit sa vie de chat, monte sur le lit de ses amis 
en soins palliatifs et se laisse papouiller en ronronnant. 
C'est son job, et il le fait merveilleusement bien.
Une présence réconfortante pour les patients et leurs familles

"Les familles se sentent souvent impuissantes.
Elles regardent un être cher mourir et savent qu'elles ne peuvent pas le sauver" 
"Parfois, on ne peut même pas parler avec eux, ni les réveiller.
Tout ce qu'on peut faire est de les regarder et attendre.
Mais Tom offre un certain réconfort, quelque chose sur quoi se concentrer.
Parce que quand un chat marche nonchalamment dans la salle, 
il envoie un message disant que tout va bien, que tout est comme cela doit être".


Certains patients ont noué une relation très forte avec ce chat.
Ce fut le cas d'Edwin Gehlert, un vétéran de la seconde guerre mondiale.
Le jour de sa mort, Tom semblait savoir ce qui allait se passer.
Le chat est monté sur le lit de son ami puis s'est allongé près de lui, 
une patte posée au creux de sa main. 
"Ce chat l'a conduit tout droit au paradis" affirme la femme d'Edwin Gehlert, 
Elizabeth, qui dit avoir ressenti à ce moment une véritable paix.


Cette douce présence a fait aussi un bien immense à la fille d'Edwin et Elizabeth, Pam.
"Quand Tom a mis sa patte dans la main de papa, 
c'était comme si Dieu me disait qu'il s'occupait de mon père et que tout allait bien.
Je n'ai pas quitté l'hôpital dans la douleur et les larmes.
J'avais tant de joie dans mon coeur, je me suis presque sentie coupable.
Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom" confie-t-elle.

 
Les animaux sont des anges qui veillent sur nous! ?




24/06/2015 - 16:44
Apprenez à mieux communiquer avec les chats en décodant tous leurs comportements.


Parler à un chat vous semble totalement impensable ? Pourtant, certaines
études tendent à nous faire penser qu’établir une communication entre
l’Homme et le chat serait tout à fait possible. Du moins, l’analyse des
comportements du chat permettrait de mieux le comprendre. La rédaction
de SooCurious vous en dit plus sur cette recherche incroyable.

Contrairement au chien qui est continuellement en quête de reconnaissance, le chat
vit sa vie à sa manière. Par exemple, un chien considère ses maîtres
comme des dieux puisqu’ils lui donnent à manger et à boire alors qu’un
chat, qui reçoit également à manger et à boire de la part de ses
maîtres, considère qu’il est lui-même le dieu vénéré. C’est notamment
pour cette raison que nous considérons ces félins comme solitaires. Une
caractéristique qui nous pousse à développer un sentiment de méfiance à
l’égard des chats : sont-ils uniquement là pour avoir de bons soins ?

Un chat et sa maîtresse via Shutterstock

Spécialiste du comportement animal et vétérinaire en Californie, le docteurGary Weitzman ne pense pas que les chats montrent leur affection uniquement par intérêt. Dans l’une de ses recherches, Gary Weitzmanestime que les chats ont un besoin extrême du bon soin de leur propriétaire.
Il dit même que les propriétaires de chats pourraient augmenter leurs
relations avec leurs chats en apprenant davantage leur langage corporel.
Un langage corporel comprenant le ronronnement, le miaulement, les
« léchouilles » ou les mouvements de queue.
Mais il faut se méfier des préjugés. « Le ronronnement ne signifie pas toujours le bonheur, dit Gary. Il peut également être le résultat du stress ou de l’anxiété. » Ainsi,
par exemple, les chats peuvent ronronner quand ils se sentent inquiets
chez le vétérinaire. « Mais, 90 % du temps, le ronronnement est positif.
Les chattes ronronnent d’ailleurs pour rassurer leurs chatons. »
L’étude a donc prouvé que le chat avait deux types de ronronnement : un
bruit positif et un autre négatif, agressif. Cela est également valable
pour le miaulement, qui sert aux chats à se faire remarquer auprès des
humains et non des autres chats.

Un chat qui miaule via Shutterstock

Ce dernier point réfute ainsi la thèse selon laquelle les chats sont des
animaux uniquement solitaires et égoïstes. En effet, pourquoi les chats
miauleraient-ils pour se faire remarquer s’ils étaient uniquement
solitaires ? C’est un outil social. Les propriétaires qui veulent
comprendre leurs matous doivent les surveiller attentivement. Les chats
utilisent leurs moustaches pour sentir le monde autour d’eux, juger les
espaces et détecter tout type de présence. « Si les moustaches d’un chat
sont tirées en arrière, c’est qu’ils sont inquiets, selon Gary. Si les moustaches sont pointées sur le côté, le chat est détendu. Si
elles pointent vers l’avant, le chat est excité et en recherche de
proies. »
Une queue en dit encore plus. Des secousses actives de celle-ci veulent dire
que le chat en a marre ou est inquiet. Une queue toute droite vers le
bas signifie qu’ils sont furieux et une queue verticale vers le haut,
qu’ils sont heureux et viennent en paix. Si un chat vient à enrouler sa
queue autour de votre jambe, c’est qu’il est heureux. L’image ci-dessous
vous explique l’ensemble des sentiments exprimés par la queue du chat.

Dans cette continuité, quand le chat se frotte à la jambe de son
propriétaire après une absence plus ou moins longue, cela signifie qu’il
est en train de le saluer. En outre, un chat qui cligne lentement des
yeux est un chat qui se sent en sécurité. Enfin, le chat possède un
autre moyen de communication : le marquage de son territoire. Alors que
le chien urine pour marquer son territoire, le chat va frotter sa tête
sur un endroit précis. S’il frotte sa tête sur un humain, c’est qu’il
apprécie sa présence.

Cette étude est vraiment surprenante. En analysant le langage corporel des chats, les hommes peuvent entrer en communication avec ces félins.