Le vieux sage et le marchand Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d’une ville.
Un jeune homme s’approche de lui : « Je ne suis pas d’ici, je viens de loin ; dis-moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »
Au lieu de lui répondre, le vieillard lui renvoie la question : « Et dans la ville d’où tu viens, comment les gens étaient-ils donc ? »
Le jeune homme aussitôt, plein de hargne : « Égoïstes et méchants, au point qu’il m’était impossible de les supporter plus longtemps ! C’est pourquoi j’ai préféré partir ! »
Le vieillard : « Mon pauvre ami, je te conseille de passer ton chemin: les gens d’ici sont tout aussi méchants et tout aussi égoïstes ! »
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approche du même vieillard : « Salut, ô toi qui es couronné d’ans ! Je débarque en ces lieux ; dis-moi, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »
Et le vieil homme de le questionner à son tour : « Dis-moi d’abord, là d’où tu viens, comment les gens étaient-ils ? »
Le jeune homme, dans un grand élan : « Honnêtes, bons et accueillants ! Je n’avais que des amis; oh que j’ai eu de peine à les quitter ! »
Le vieillard : « Eh bien, ici également, tu ne trouveras que des gens honnêtes, accueillants et pleins de bonté. »
Un marchand faisait boire ses chameaux non loin de là, et il avait tout entendu : « Comment est-il possible, ô vieil homme que je prenais pour un sage, de donner, à la même question, deux réponses aussi diamétralement opposées ? Serait-ce une plaisanterie de mauvais goût ? »
« Mon fils. », déclara le vieil homme, « Chacun porte en son cœur son propre univers et le retrouvera en tous lieux. Ouvre ton cœur, et ton regard sur les autres et le monde sera changé. » « La paix vient du dedans. Ne la cherchez pas au dehors. » « Le bonheur n’est pas une récompense mais une conséquence. La souffrance n’est pas une punition mais un résultat. »
Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d’une ville.
Un jeune homme s’approche de lui :
« Je ne suis pas d’ici, je viens de loin ; dis-moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »
Au lieu de lui répondre, le vieillard lui renvoie la question :
« Et dans la ville d’où tu viens, comment les gens étaient-ils donc ? »
Le jeune homme aussitôt, plein de hargne :
« Égoïstes et méchants, au point qu’il m’était impossible de les supporter plus longtemps ! C’est pourquoi j’ai préféré partir ! »
Le vieillard :
« Mon pauvre ami, je te conseille de passer ton chemin: les gens d’ici sont tout aussi méchants et tout aussi égoïstes ! »
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approche du même vieillard :
« Salut, ô toi qui es couronné d’ans ! Je débarque en ces lieux ; dis-moi, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? »
Et le vieil homme de le questionner à son tour :
« Dis-moi d’abord, là d’où tu viens, comment les gens étaient-ils ? »
Le jeune homme, dans un grand élan :
« Honnêtes, bons et accueillants ! Je n’avais que des amis; oh que j’ai eu de peine à les quitter ! »
Le vieillard :
« Eh bien, ici également, tu ne trouveras que des gens honnêtes, accueillants et pleins de bonté. »
Un marchand faisait boire ses chameaux non loin de là, et il avait tout entendu :
« Comment est-il possible, ô vieil homme que je prenais pour un sage, de donner, à
la même question, deux réponses aussi diamétralement opposées ? Serait-ce une plaisanterie de mauvais goût ? »
« Mon fils. », déclara le vieil homme,
« Chacun porte en son cœur son propre univers et le retrouvera en tous lieux.
Ouvre ton cœur, et ton regard sur les autres et le monde sera changé. »
« La paix vient du dedans. Ne la cherchez pas au dehors. »
« Le bonheur n’est pas une récompense mais une conséquence. La souffrance n’est pas une punition mais un résultat. »
Je courais toujours pour aller partout,
mais je ne pensais pas pour autant
que ça allait me mener quelque part.
film Forrest Gump