BONSOIR MAYYAN........ et merci à vous tous pour tout ce que je viens ..DE LIRE; D'ECOUTER (CES BELLES MUSIQUES) TOUTES CES BELLES EMOTIONS VOUS ETES SUPERS ET JE VOUS REMERCIE DE TOUT MON .BONNE SOIRÉE A VOUS .
Peut-être que oui, peut-être que non! Il était une fois un modeste paysan.
Il était veuf et n’avait qu’un fils. Un jour , son cheval disparu. Tous ses voisins le plaignirent, en disant qu’une bien triste chose était arrivée.
« Peut-être que oui , peut-être que non » répondit-il.
Trois jours plus tard, son cheval revint accompagné de trois chevaux sauvages. Les voisins l’envièrent et lui affirmèrent : « Quelle chance tu as ! »
À quoi il répondit : « Peut-être que oui , peut-être que non »
Son fils tenta de monter l’un des chevaux sauvages, tomba et se cassa une jambe. Les voisins dirent : « Quelle malchance ! » « Peut-être que oui , peut-être que non » répondit une nouvelle fois le paysan.
Trois jours plus tard, les soldats vinrent chercher tous les jeunes hommes valides pour les enrôler dans l’armée, et le fils du paysan ne fut pas enrôlé.
La morale de cette histoire. Nous ne savons pas ce que la vie nous réserve. Nous ne voyons qu’un tout petit bout de notre réalité.
"Rien de plus beau dans l'existence
que de pouvoir allumer dans une âme
le rayon de la joie!"
Georges Sengeris
Peut-être que oui, peut-être que non!
Il était une fois un modeste paysan.
Il était veuf et n’avait qu’un fils.
Un jour , son cheval disparu.
Tous ses voisins le plaignirent, en disant qu’une bien triste chose était arrivée.
« Peut-être que oui , peut-être que non » répondit-il.
Trois jours plus tard,
son cheval revint accompagné de trois chevaux sauvages.
Les voisins l’envièrent et lui affirmèrent : « Quelle chance tu as ! »
À quoi il répondit :
« Peut-être que oui , peut-être que non »
Son fils tenta de monter l’un des chevaux sauvages,
tomba et se cassa une jambe.
Les voisins dirent : « Quelle malchance ! »
« Peut-être que oui , peut-être que non »
répondit une nouvelle fois le paysan.
Trois jours plus tard, les soldats vinrent chercher
tous les jeunes hommes valides pour les enrôler dans l’armée,
et le fils du paysan ne fut pas enrôlé.
La morale de cette histoire.
Nous ne savons pas ce que la vie nous réserve.
Nous ne voyons qu’un tout petit bout de notre réalité.
Sagesse de LAO-TSEU