Musiques

Par Dyane il y a 10 années 2 mois
23/07/2017 - 08:25




22/07/2017 - 18:56

"L'Automne" - Vivaldi

 

"L'Automne" fait partie des concertos pour violon"Les Quatre Saisons" de Antonio Vivaldi
(1678 Venise-1741 Vienne).
Le thème lui-même des Quatre Saisons est à la fois simple, populaire puisqu'il concerne notre Terre et tous ses
habitants,
mais en même temps,
il relève d'une symbolique riche et complexe, puisqu'elle vient se rattacher à celle du nombre 4, aux chimères, aux éléments...

 
22/07/2017 - 08:30


22/07/2017 - 08:28
22/07/2017 - 08:23
21/07/2017 - 07:22


La chanteuse française Barbara Weldens, 35 ans, est morte mercredi soir sur scène, victime a priori d’une électrocution pendant son concert dans l’église des Cordeliers à Gourdon(Lot), a fait savoir le parquet de Cahors jeudi 20 juillet.
L’accident s’est produit vers minuit, en pleine période orageuse dans la région. La chanteuse, qui participait au Festival Léo Ferré, s’est effondrée. Arrivés sur place, les secours ne sont pas parvenus à la sauver, ont fait savoir les pompiers.
Jeune talent 2016.
Une enquête a été ouverte pour « recherche des causes de la mort ». « On verra dans les prochaines semaines si une requalification est nécessaire », a précisé le parquet, ajoutant qu’« aucune piste ne peut être écartée ».
Cette enquête doit permettre d’établir les raisons du dysfonctionnement électrique. Elle a été confiée à la brigade de recherches de gendarmerie de Gourdon avec le concours d’un technicien en identification criminelle du groupement de la gendarmerie du Lot.
En 2016, Barbara Weldens avait remporté le premier prix du concours jeunes talents du Festival Jacques Brel ainsi que le prix révélation scène de l’Académie Charles Cros. Elle avait sorti le 3 février dernier son premier album studio, intitulé Le Grand H de l’homme.





20/07/2017 - 08:28
19/07/2017 - 09:46
19/07/2017 - 08:31
19/07/2017 - 07:47
Un orchestre depuis les balcons d’un immeuble parisien. 
 


L’Orchestre de Chambre de Paris était sur une vingtaine de balcons d’un immeuble de la place d’Aligre, à Paris, pour jouer une oeuvre nouvelle dans l’écrinde cet amphithéâtre improvisé. Une manière de faire dialoguer les instruments avec les bruits de l’édifice.
C’est un concert d’un genre inédit sur la place d’Aligre, dans la capitale : l’Orchestre de chambre de Paris joue avec ses musiciens installés sur une vingtaine de balcons d’un immeuble. Pour l’occasion, une œuvre nouvelle a été composée. Après ce concert symphonique, intitulé « Grand Ensemble », un autre rendez-vous de ce genre aura lieu à Marseille cet automne.
Le soir de la répétition générale, au beau milieu de la place, le compositeur Pierre Sauvageot demande aux quarante instrumentistes
répartis sur les balcons de cet immeuble en forme d’amphithéâtre de s’installer. C’est lui qui a eu l’idée de cette œuvre insolite pour
orchestre et bruits du quotidien.
« C’est un dialogue entre un orchestre symphonique et un immeuble, explique le maître. Qui dit immeuble, dit aussi habitants, et tous les bruits qui en sortent : bébés qui pleurent, portes qui claquent… Tout ce qui fait le décor sonore de l’immeuble vient faire partie de la musique de ce concert. »
« Ils n’entendent pas du tout ce que font les autres »
Juste à côté du compositeur, le chef d’orchestre, lui, a troqué sa baguette contre un casque. Il contrôle le bon déroulement de la répétition, aprèsplusieurs semaines à préparer les musiciens à cette expérience inédite. « Ils n’entendent pas du tout ce que font les autres. Ils ont un retour dans le casque de certains éléments de la bande, comme ici le bébé qui pleure. Et ils ont un clic qui leur donne les temps, pour qu’ils puissent se repérer dans la partition. »
Deux étages plus haut, Anna Diaz n’en perd pas une miette. C’est la gardienne. Sur son balcon, un contrebassiste et un tubiste. Elle a accueilli avec enthousiasme le projet de l’orchestre, comme d’ailleurs une bonne partie des habitants de l’immeuble. « Il y en a qui ont dit oui, explique Anna.D’autres n’ont pas voulu participer au projet mais sont certainement en train d’écouter, en bas. On est fiers d’habiter là et qu’un tel évènement s’y passe ! »
Pas de chapelle musicale.
Sur la place, à côté de riverains ébahis par le spectacle, le compositeur Pierre Sauvageot sourit. « Moi c’est l’espace public qui m’intéresse, assure le compositeur. À la fois par les nouveaux publics que cela crée, mais aussi parce qu’il n’y a pas de chapelle musicale : ils ne savent pas si ils écoutent de la variété, du classique ou de la musique contemporaine… La question ne se pose pas ! » Après cinquante minutes de musique, le public est enthousiaste : certains, semble-t-il, resteraient bien encore un peu
dans les transats rouges installés pour l’occasion.