Divers sujets.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 5 mois
28/12/2014 - 15:51
Les verreries de Murano


Les origines de la verrerie à Venise ne sont pas encore tout à fait clair:
des fouilles archéologiques effectuées à Murano et Torcello ont mis au
jour des fragments du VIIe siècle avant J.-C., mais la première preuve
certaine de la présence de l’industrie du verre à Venise remonte au 982 :
il s’agit d’un document faisant référence à une verrerie active à
Venise. La verrerie à Venise est donc une activité millénaire, qui au
cours des siècles a eu quelques moments exaltants et d’autres plus
sombres, mais tout de même elle a réussi à survivre jusqu’à aujourd’hui
et à faire de la cité lagunaire l’une des capitales mondiales de la
fabrication du verre.

La verrerie s’est développée à Venise comme une activité manufacturière
organisée au cours du XIIe siècle, et en 1291 un édit promulgué par le
Doge Tiepolo établie que tous les fours sont transférés à Murano, loin
du centre historique de Venise, pour écarter le danger de incendies.
Murano devient une ville économiquement importante pour la République de
Venise, et même aujourd’hui la petite ville est connue dans le monde
pour les ateliers artisanaux où les verriers créent chaque jour des
objets en verre soufflé de différents types.

L’une des raisons pour lesquelles la région de Venise s’est imposée dans
l’industrie du verre de plus que dans d’autres villes doit être
recherchée dans les contacts que Venise a eu avec l’Orient, en
particulier avec la Syrie et l’Égypte, des pays très avancés dans le
domaine de la transformation du verre. Initialement, la production
vénitienne comprend essentiellement des articles de tous les jours,
comme des verres, des vases et des bouteilles, qui entre le XIIIe et
XIVe siècles sont très demandées par les différentes maisons nobles de
l’Europe. C’est à partir du XVe siècle, quand on commence à utiliser le
verre blanc transparent, que les verriers vénitiens commencent à créer
des objets plus précieux, et c’est entre le quinzième et le seizième
siècle que l’industrie du verre vénitien atteint son apogée. Pour
comprendre la mesure dans laquelle le travail des maîtres verriers est
important pour la République de l’époque, souvenez-vous que ces artistes
étaient contraints à vivre à Murano, et qu’ils pouvaient quitter la
ville seulement après avoir obtenu une permission spéciale.

Après il y a une période de crise, qui coïncide avec l’émigration de nombreux
verriers et avec l’émergence de nouveaux types de verre, en particulier
du cristal de Bohème. À la fin de la République de Venise l’activité
presque s’arrête, seulement quelques ateliers restent actifs, mais dans
la seconde moitié du XIXe siècle il y a une renaissance de la verrerie.
Aujourd’hui le verre de Murano est encore synonyme de produits raffinés,
uniques et incomparables, et les objets créés par les maîtres verriers
sont souvent considérés comme des œuvres d’art.

http://blog.duodopalace.it/ 
  

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 

 









 
Des lustres un peu kitchs mais j'aime bien car il y a des fleurs
28/12/2014 - 09:49
FESTIVAL DES LANTERNES EN THAILANDE
 

Cette traditionnelle fête des lumières est l'une des plus belles et des plus
populaires de Thaïlande, célébrée au soir de la pleine lune du 12e mois
lunaire dans tout le pays, en particulier près des cours d'eau et en
bord de mer. Ces festivités célèbrent la fin de la saison des pluies et
honorent les esprits de l'eau, qui jouent un rôle significatif dans la
vie du pays.



Les gens fabriquent des krathong, de minuscules bateaux de feuilles de bananier, dont la forme évoque la
fleur de lotus et qui contiennent une bougie allumée, de l’encens et des
fleurs. Ils déposent ces petites bougies sur les rivières, ainsi que
des khong pour exorciser leurs fautes. Ils chassent aussi les soucis du quotidien en lâchant dans le ciel des lanternes dites
célestes. Un spectacle de toute beauté dans la nuit.

 



Les célébrations sont particulièrement vives :
- à Bangkok : spectacles, parades et feux d'artifice sur les rives du Chao Phraya, sous le pont Rama VIII ;
- à Sukhothai : l'un des événements les plus réputés pour Loy Kratong
avec son spectacle de sons et lumières et danses au parc historique ;

 


- à Chiang Mai : le Yee Peng Festival promet concours de lanternes,
spectacles de feux d’artifice et radeaux sur la rivière et à la Thapae
Gate notamment ;
- à Ayutthaya, au Wat Tha Ka Rong :
- à Suphanburi, sur les bords de la Tha Chin River ;
- à Samut Songkhram, avec le Annual Leaf Sheaf Loy Krathong Festival au
King Rama II Memorial Park et au Wat Phumrinkudeethong ;
- à Tak, au Rattanakosin 200 Years Bridge ;
- sur les plages du sud vers Phuket et Koh Samui.

 

 

 



28/12/2014 - 08:50
10 personnages par 10 dessinateurs différents
 
L’illustrateur finlandais Jaakko Seppälä a réalisé un tableau des dessins de 10 personnages par 10 dessinateurs différents.
C’est vraiment impressionant de constater que pour un même dessin, les
résultats vont être totalement différents en fonction de la griffe du
dessinateur.

Voici donc Tintin, Batman, Astérix, Garfiels et autre Corto Maltese comme
s’ils étaient dessinés par Hergé, Hugo Pratt et consorts.

10 personnages par 10 dessinateurs différents:





28/12/2014 - 08:22
La Vénus de l'ETRAT.
Cette histoire vraie m'a été rapportée par une vieille dame agée de 85 ans...
Un jour, lors d'une conversation elle me demanda où j'habitais. Je lui dit
et aussitôt elle s'exclama : "Ah mais alors vous connaissez l'histoire
de la Venus d'Etrat!". Je lui rétorquais "vous voulez dire de la Vénus
de Millau!". "Mais non, me dit-elle, celle d'Etrat!"
Ben non, je ne connaissais pas et la voilà qui se met à me narrer l'histoire que je vous conte à mon tour...
Il était dans un petit village nommé Etrat, sur la commune de St Just-St
Rambert(Loire), un paysan qui en labourant son champ découvrit une statue, une
Vénus semblable à celle de Millau avec son bras manquant. Les faits se
déroulaient dans les années 1936-1937. Bien sûr cette découverte ne
resta pas longtemps secrète et l'on venait de tous horizons pour admirer
cette nouvelle Vénus et qui de plus aurait peut être quelques
pouvoirs...
Le paysan racontait son histoire à qui voulait bien l'entendre et comme
les curieux venaient de plus en plus nombreux, il eut l'idée de faire
payer "un droit de voir et de toucher" et ainsi il commenca à accumuler
un petit pécule... Il disait qu'il se doutait bien qu'il y avait quelque
chose de particulier dans son champ à cet endroit car sa charrue butait
sur quelque chose mais qu'il n'avait jamais pu découvrir de quoi il
s'agissait jusqu'à ce jour. Il avait aussi remarqué que le blé ne
poussait pas de la même couleur à cet endroit....
Cela attisa non seulement la curiosité mais aussi la jalousie et les
questions suivantes se posèrent : à qui appartenait cette statue? A
celui qui l'avait découvert? Au propriétaire du champ? D'où venait elle
vraiment?
L'affaire fut porté devant un tribunal et un expert constata que cette statue
était de fabrication récente, qu'elle n'avait séjourné dans cette terre
que depuis peu et donc qu'il y avait tricherie quant à son
authenticité.....
Les gens se désintéressèrent de l'affaire rapidement....
Et quelques temps plus tard, un marginal (un ouvrier agricole polonais
paraît il!) se présenta au tribunal afin de reconnaître la paternité de
cette Vénus. Il dit que c'était lui qui l'avait fabriqué et caché là
afin de se faire connaître (il espérait en fait se faire embaucher par
ce paysan et trouver sa Vénus!) et éventuellement de gagner un peu
d'argent.. Il apporta les preuves que c'était bien lui qui l'avait
fabriqué (il avait gardé la facture du bois ainsi que le bras manquant).
Donc le tribunal de nouveau se réunit : il reconnu l'ouvrier agricole comme
étant l'auteur de cette oeuvre mais n'en désigna pas moins le paysan
comme en étant le propriétaire....
Bien sûr cette Vénus ne rapporta plus rien à personne et elle dort toujours
dans le grenier d'une maison à Etrat qui appartient toujours à la
famille du propriétaire du champ.
Cette histoire fut même traitée, il y a seulement une dizaine d'années , dans une émission télévisée sur des enigmes....


28/12/2014 - 08:13
Le Musée du Cacao et du Chocolat 

 Je ne sais pas pour vous, mais le chocolat fait partie de mon quotidien.
J’en mange souvent, il est vrai, à faible dose, heureusement. Un petit
carré en fin de repas, un autre avec mon thé…Noir ou au lait, je ne m’en
lasse pas ! Il va donc sans dire que lors de mon séjour à Bruxelles, un
arrêt au Musée du Cacao et du Chocolat était obligatoire.



À deux pas de la célèbre Grand Place, c’est impossible de le rater et
très facile d’y faire un saut. Intriguée, j’avais très envie de visiter
ce musée unique et en grande amatrice de chocolat que je suis, je n’ai
pas été déçue.

Créé en 1998 à l’initiative de Gabrielle Draps, épouse du chocolatier belge
Joseph Draps (fondateur de la marque Godiva), ce musée embaume le
chocolat dès qu’on y pénètre. C’est tellement frappant que je n’ai pas
pu m’empêcher de le faire remarquer au jeune homme à l’accueil qui m’a
répondu « C’est tout le temps comme ça ! », avec un large sourire.



Après une petite dégustation à l’entrée, la visite commence en grand avec la
démonstration du maître chocolatier qui nous dévoile quelques secrets et
astuces sur la fabrication artisanale du chocolat. C’est tout un art
qu’il maîtrise bien et c’est d’autant plus agréable de le voir
confectionner tous ces bons délices sous nos yeux.







Puis, la visite se poursuit aux étages dans cette vieille maison bruxelloise
du dix-septième siècle où plusieurs scènes et vitrines nous expliquent
l’histoire du chocolat. On apprend par exemple que ce sont les Mayas qui
cultivèrent en premier les cacaoyers, se servant des fèves de cacao
comme breuvage et monnaie d’échange.



Chocolatières, vieilles affiches, tasses anciennes, robes et sculptures en chocolat
sont un plaisir à admirer avec même une version chocolatée du
Manneken-Pis !







Bref, un beau voyage dans le monde du chocolat qui ouvre l’appétit. Ça tombe
bien; à Bruxelles, il ne manque pas de chocolatiers pour en goûter de
toutes les sortes !


Le Musée du Cacao et du Chocolat

Rue de la Tête d’or 9, 1000 Bruxelles

 





27/12/2014 - 19:05
 
Le temple de la Montagne Dorée à Bangkok  

Le 10 novembre dernier a commencé, le plus long festival d’un temple à
Bangkok, celui du Wat Saket, temple plus connu par les touristes sous le
nom de Golden Mount ou Mountain (montagne dorée). L’occasion de voir
son immense chedi doré recouvert d’un grand drap rouge et d’y trouver
des lignes de petits fanions de la même couleur. Au pied de la montagne,
quelques stands, une grande roue et des animations en fin d’après-midi.

Je ne vous en avais pas parlé de ce festival du Wat Saket qui dure jusqu’au 19 novembre prochain car il est a proximité du site ou se
concentre les manifestations anti-gouvernementales  et je n’étais pas sûr qu’il serait maintenu ni si la zone était
déconseillée ou pas. En fait, pas de souci, c’est parce que au Democraty
Monument ou j’étais allé photographier les manifestants hier, c’était
très calme en début d’après-midi que je suis allé gravir les marches du
temple et l’immortaliser en images avec son habit de Golden Mount Fair.
On ne le voit comme ça que 10 jours par an, fallait pas manquer ça !
D’autant plus que je l’aime bien son look pourpre même si ceux qui sont
venus pour voir l’or du chedi seront peut-être un peu déçus. Je vous
laisse juge. Moi, j’aime !
    
Après, question animation, outre la grande cérémonie qui a lieu dimanche
dernier au cours de laquelle, le linceul rouge a été transporté par la
foule avant de l’enrouler autour du chedi, il y a une grande roue pas si
grande donc une moyenne roue en fait, des stands qui vendent de quoi se
sustenter mais c’est à peu près tout. Je ne suis pas sûr que les
spectacles culturels, la musique folklorique ou les numéro de cirque
prévus auront lieu cette année mais si c’est le cas, ce sera plutôt à
partir de 17h. Il faut dire qu’avec sa proximité avec le site de
manifestation, l’événement n’a probablement pas son aura des années
précédentes.

Le temple de la Montagne Dorée perché sur une colline, du haut de ses près
de 64 mètres offre une jolie vue sur Bangkok. Une v
isite qu’on vous
conseille si vous êtes de passage dans la capitale 
27/12/2014 - 10:43
Incroyable Corps Humain

Documentaire scientifique (0h44) diffusé sur France 5, qui permet de découvrir par
des expériences en tout genre le rôle joué par les différents organes du
corps humain, avec l'exemple d'une endoscopie des cordes vocales,
l'examen des poumons, qui filtrent l'air, des os, qui constituent la
charpente du corps, ou du coeur, qui répartit les flux sanguins dans
l'organisme, chaque organe étant essentiel dans son fonctionnement, le
tout illustré d'animations en 3D.

26/12/2014 - 18:41

UN DOLLAR ET ONZE CENTS...
 


 Je vais vous raconter une histoire vraie qui m'a été écrite par Emmanuel
que je remercie de ce grand et agréable moment de lecture. C'est une
histoire à la fois triste au début mais qui finit bien et c'est surtout
une histoire émouvante et magnifique, où l'on ressent l'amour et la
générosité. Bonne lecture !


Monsieur le pharmacien, je viens acheter un miracle... C'est l'histoire vraie
d'une fillette de huit ans, qui aime et qui croit que l'amour peut
toujours faire des merveilles... Son petit frère, qu'elle aimait tant,
se mourait d'une tumeur au cerveau. Et ses parents, qui n'étaient pas
riches et sans assurance, avaient tout fait pour le sauver. Toutes leurs
petites économies y étaient passées, et ils avaient dû changer de
maison pour payer les factures d'hôpitaux...

Rentrant un jour épuisé de ces tournées qui se terminaient toujours par un
échec, le papa s'affala sur une chaise et dit à sa femme : "Tu sais
chérie, je crois que c'est fini. Nous avons tout fait, et nous sommes
ruinés... Il y aurait peut-être une opération très chère qui pourrait le
sauver. Mais c'est hors de prix et personne n'est prêt à nous avancer
de l'argent..." Et se rapprochant de sa femme, il ajouta, d'une voix
marquée par le chagrin et le désespoir : "Oui, c'est fini, tu sais. Seul
un MIRACLE pourrait le sauver..."

La petite fille dans un coin de la pièce suivait avec intensité cette
conversation entre papa et maman... Elle ne saisissait pas tout car ils
parlaient parfois à voix basse, mais elle savait qu'il s'agissait de la
vie de son petit frère. Elle avait retenu que SEUL UN MIRACLE POURRAIT
LE SAUVER..." Elle grava ce mot qu'elle ne comprenait pas dans sa petite
tête et s'esquiva de la pièce sans faire de bruit. Elle alla dans sa
petite chambre, vida les pièces sur son lit et les compta soigneusement :
un dollar et onze cents (à peine 1 euros). Elle referma la petite
boîte, la mit dans sa poche, et quitta la maison sans faire de bruit.
Elle se dirigea vers la pharmacie la plu proche...Lorsque vint son tour,
elle s'approcha du comptoir, se hissa sur la pointe des pieds et devant
le pharmacien étonné, elle aligna ses petites pièces sur le comptoir...

"Qu'est ce que tout ça ? Qu'est ce que tu veux ma petite ?

- C'est pour mon petit frère, monsieur le pharmacien. Il est très, très malade et je viens acheter un miracle...

-Que racontes tu ? dit le pharmacien

- Il s'appelle André, et il a un gors bouton qui pousse dans la tête, et
papa a dit à maman que c'était fini et qu'il fallait un miracle pour le
sauver. Vous savez, je l'aime beaucoup ; c'est pour ça que je suis venue
: pour acheter un miracle.

Le pharmacien répondit avec un petit sourire attristé :

- Tu sais, ma petite, nous ne vendons pas de miracles ici...

- Mais vous savez, si ce n'est pas assez, je vais essayer de ramasser un peu plus d'argent, ça coûte combien un miralce ?...

Il y avait dans la pharmacie, un monsieur grand et bien habillé, qui
écoutait cette étrange conversation. Il se rapprocha de la petite, qui
était en train de ramasser ses petites pièces, les larmes aux yeux.

- Pourquoi pleures-tu ma petite ? Qu'est ce qui se passe ?

- Monsieur le pharmacien ne veut pas me vendre un miralce et me dire
combien ça coûte... C'est pour mon petit frère André, qui est très
malade. Maman a dit qu'il faudrait une opération, mais papa a dit qu'on
ne pouvait pas payer ça, ça coute trop cher, et qu'il faudrait un
miracle pour le sauver. C'est pour ça que j'ai porté tout ce que
j'avais.

- Combien as-tu ?

- Un dollar et onze cents, mais vous savez, elle murmura d'une voix à peine audible, je peux trouver un peu plus...

Le monsieur sourit :

- Bon, tu sais, je ne crois pas que ce soit nécessaire... un dollar et
onze cents, c'est exactement le prix du miracle pour ton petit frère !"

Il prit la petite somme dans une main, et dans une autre main, prit doucement la petite main de la fillette :

- Amène-moi chez toi, petite. Je voudrais voir ton petit frère et aussi
papa et maman et voir avec eux si je puis trouver le petit miracle dont
vous avez besoin...

Et la petite fille et le grand monsieur partirent doucement, main dans la main...

Le monsieur bien habillé n'était autre que le Dr Carlton Armstrong, le
grand chirurgien de la neuro chirurgie Il opéra André qui rentra à la
maison quelques semaines plus tard complètement guéri !

"Cette opération, murmura la maman, est un vrai miracle. Je me demande combien cela aurait pu coûter..."

La petite fille sourit sans rien dire. Elle savait, elle, combien le
miracle avait coûté : UN DOLLAR ET ONZE CENTS... Plus, bien sûr la bonté
du chirurgien qui a opéré le miracle...

Et l'amour et la foi d'une enfant...

(récit pris dans L'ETOILE NOTRE DAME)
22/12/2014 - 08:11
Voici 10 des photographes de portrait les plus célèbres.
Des experts de la photo de personnes, capables de transmettre des émotions fortes dans un cliché.

* Steve McCurry



Ce photographe a été connu du monde entier pour son portrait de la fille
afghane et ses images font désormais le tour de la planète.

* Lee Jeffries



 
 
Sa série de portraits de sans abris en noir et blanc a ému de nombreuses personnes.
 
* Jimmy Nelsson



Spécialisé dans les portraits de tribus et d’indigènes, il tente de conserver la mémoire de peuples avant qu’ils disparaissent.
* Rehahn

 

Ses portraits sont très focalisés sur les gens du Vietnam, du Rajasthan et de Cuba.
* Eric Lafforgue



Célèbre pour ses photos de Corée du Nord, ce photographe a une histoire pour chacun de ses modèles.
* Manny Librodo



Ses photos sont de l’art pur
* Lisa Kristine



Célèbre pour son engagement humanitaire et son combat contre l’esclavage moderne.
* David Lazar



De magnifiques portraits qui viennent du Brésil.
* Joel Santos



Phil Borges



 



22/12/2014 - 07:43