Divers sujets.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 7 mois
13/01/2015 - 16:36
Manger des myrtilles fait baisser la tension.

Consommer des myrtilles tous les jours permettrait de faire baisser
l’hypertension artérielle en huit semaines chez les femmes ménopausées,
selon une étude américaine





Et si on pouvait éviter la progression d’une hypertension artérielle grâce
aux myrtilles ? C’est en tout cas ce que suggère une étude menée par
les chercheurs de l’Université de Floride (Etats-Unis). Le fruit
pourrait ralentir la progression du passage de pré-hypertension à
hypertension et prévenir des maladies cardiovasculaires. "A notre
connaissance, c’est la première étude qui évalue les effets des
myrtilles sur les fonctions artérielles (…) et sur la population
étudiée", explique le Dr Bahram H. Arjmandi, auteur de l’étude.

Une baisse de pression artérielle de 5 à 6% Pendant huit semaines, les chercheurs ont étudié les réactions aux myrtilles de
48 femmes. Toutes ménopausées, elles souffraient toutes de
pré-hypertension ou d’hypertension de stade 1. Cette cible n’a pas été
choisi au hasard, les femmes ménopausées affichent une incidence de
tension artérielle plus forte que les hommes. Séparées en deux groupes,
les premières ont consommé 22g de poudre de myrtilles congelées une fois
par jour (l’équivalent d’une tasse de myrtilles fraîches). Les secondes
ont remplacé la poudre de myrtille par 22g de poudre placebo.

Résultat : La pression artérielle des femmes du premier groupe a baissé de 5,1%
et leur pression diastolique de 6,3%. En revanche, aucune baisse n’a été
constatée chez les femmes qui n’ont pas consommé de myrtilles.

L’étude a été publiée dans la revue scientifique Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics


13/01/2015 - 15:09
   Fleurs arrangées et photographiées par Sarah Illenberger 










11/01/2015 - 07:01
 
 ALORS ALLONS Y , enfin avec modération quand même!..

 

On ne nous dit pas tout ! 
INFORMATION IMPORTANTE SUR LE  CHAMPAGNE
Étrange ..... les médecins n'en parlent pas ?


De quoi les faire bondir avec tous ces effets bénéfiques, ce devrait être
remboursé par la Sécurité sociale ! On limiterait peut être le gouffre !

Ce vin est exceptionnellement riche en sels minéraux : sodium, calcium,
magnésium, et surtout en bi-tartrate de potassium (30 à 100mg/l).

Ce composé minéral a la propriété de favoriser la tonicité et la contraction des fibres musculaires lisses et striées.
Il renforce la systole cardiaque.
Riche en phosphore, aliment du système nerveux, il est un euphorisant naturel.
Bactéricide, surtout intestinal. Il a une action tonique sur l'estomac.
Par son acidité naturelle, il combat le colibacille qui se développe en milieu alcalin.
Par son action désintoxiquant, il nettoie les vaisseaux les dépôts
calcaires et les parois vasculaires, et fait obstacle à la sénescence et
aux rhumatismes.

Il agit contre l'aérophagie et l'estomac paresseux.
On dit de lui qu'il est le « lait du vieillard »
On l'utilise contre les affections coronariennes et aide ceux qui relèvent  d'un infarctus.
Également contre l'arthrose et la goutte.
Je ne savais pas tout ça, mais je savais bien que j'avais raison d'en boire ... !

11/01/2015 - 06:48
Une oeuvre D'art en bois De Plus De 50,000 morceaux De Chêne..
 


The International Business Times a récemment rapporté qu’un homme de 71 ans qui vie en Bosnie  et
amateur de voiture, a transformé sa Volkswagen Beetle en une œuvre d’art
sur ??une période de deux ans.


Le grand amateur VW Beetle a créé la voiture en bois de plus de 50 000
morceaux de chêne, y compris des milliers de tuiles de chêne qui
couvrent la voiture comme des écailles. Le propriétaire Momir Bojic dit qu’il a fait tous les accessoires en bois sur mesure dans son atelier personnel.


 
 

 
Photographies Dado Ruvic / REUTERS

 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
10/01/2015 - 09:31
Comme un oiseau,L'espoir porte un costume de plumes.....



Ne laisse jamais une mauvaise période faire croire que tu as une mauvaise vie..





Que l'année soit douce pour tous..




 
10/01/2015 - 08:11

Ne cultive pas de haine

au jardin de ton coeur.

C'est à toi le premier

que tu ferais mal.

Ne garde pas de rancune

à la moelle de tes os.

C'est toi le premier

que tu briserais.

N'entretiens pas de vengeance

au creux de ta mémoire.

C'est toi le premier

qui en souffrirais

Pardonne.

Tu seras plus heureux.

Et tu feras plus d'heureux.

 

Jules Beaulac


 


08/01/2015 - 17:53
Une fusillade éclate porte de Châtillon à Paris

Selon plusieurs médias, une fusillade a éclaté ce matin en plein Paris. Un policier municipal serait grièvement blessés.
 
Un homme a ouvert le feu ce jeudi 8 janvier à Porte de Châtillon, dans le
XIVe arrondissement de la capitale. Un homme "armé d’un fusil
mitrailleur" aurait pris la fuite en métro. Il aurait tiré sur un
policier municipal qui serait actuellement à terre "gravement blessé".

Les informations sont confuses. Aucun lien pour le moment ne peut être
établi entre cet acte et l’attentat sanglant qui a frappé hier la
rédaction de Charlie Hebdo. Selon l’AFP, deux policiers sont blessés.

10h47 : Selon RTL, la policière grièvement blessée est décédée.








08/01/2015 - 08:17
Attentat au «Charlie Hebdo»   
> Victimes et suspects: qui sont-ils ?   

Les deux suspects sont Saïd Kouachi et Chérif Kouachi, deux frères de
nationalité française âgés dans la trentaine. Le troisième suspect s'est
rendu à la police mercredi soir.

Photo La Presse

Dossiers > InternationalAttentat au «Charlie Hebdo»  
Le siège parisien du journal satirique français «Charlie Hebdo» a été la
cible d'un attentat terroriste sanglant ayant coûté la vie à au moins 12
personnes dont son directeur de rédaction et dessinateur emblématique
Charb et ses trois autres caricaturistes vedettes: Cabu, Wolinski et
Tignous. Le pire attentat en sol français depuis au moins 40 ans. »

 
Chérif Kouachi, 32 ans, recherché avec son frère Said, 34 ans, dans l'enquête
sur l'attentat à Charlie Hebdo, est un djihadiste bien connu des
services antiterroristes français, condamné une première fois en 2008
pour avoir participé à une filière d'envoi de combattants en Irak.

Né en novembre 1982 dans le Xe arrondissement de Paris, de nationalité
française, surnommé Abou Issen, Chérif Kouachi a fait partie de ce qui a
été appelé «la filière des Buttes-Chaumont», qui visait, sous
l'autorité de «l'émir» Farid Benyettou, à envoyer des djihadistes
rejoindre en Irak les rangs de la branche irakienne d'Al-Qaïda, dirigée à
l'époque par Abou Moussab al Zarkaoui. Interpellé juste avant de
s'envoler à destination de la Syrie, puis de l'Irak, il a été jugé en
2008 et condamné à trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis.

Deux ans plus tard, son nom a été cité dans le projet de tentative de
faire évader de prison l'islamiste Smaïn Aït Ali Belkacem, ancien membre
du Groupe islamique armé algérien (GIA), condamné en 2002 à la
réclusion criminelle à perpétuité pour avoir commis l'attentat à la
station RER Musée d'Orsay en octobre 1995 à Paris (30 blessés).

Chérif Kouachi était notamment soupçonné d'être proche de Djamel
Beghal, une autre figure de l'islam radical français, qui a purgé dix
ans de prison pour la préparation d'attentats, avec lequel il était
soupçonné d'avoir participé à des entraînements.

Après avoir été mis en examen dans cette affaire, il a toutefois bénéficié d'un non-lieu.

Crâne rasé et ovale, bouc clairsemé sur la photographie diffusée par la
police, Chérif Kouachi est susceptible d'être «armé et dangereux», tout
comme son frère Said, né en septembre 1980 également dans le Xe
arrondissement parisien.

Ce dernier, lui aussi de nationalité française, apparaît sur l'appel à
témoins les yeux marrons, de courts cheveux bruns et un collier de barbe
peu fourni.

Les deux frères sont soupçonnés d'être les auteurs de la tuerie à
Charlie Hebdo, qui a fait douze morts mercredi en fin de matinée. La
carte d'identité d'un des deux hommes avait été retrouvée dans la
voiture abandonnée porte de Pantin.

Dans un premier avis de recherche diffusé en début de soirée auprès des
forces de l'ordre figurait le nom d'un troisième suspect, Mourad Hamyd,
18 ans. Ce dernier est le beau-frère de Chérif Kouachi. Il était
soupçonné d'avoir aidé les tireurs. Un témoin avait fait état de la
présence d'un troisième complice dans la voiture au moment de la fuite.

Il s'est rendu mercredi en fin de soirée à la police à
Charleville-Mézières, dans les Ardennes, «après avoir vu que son nom
circulait sur les réseaux sociaux», a expliqué à l'AFP une source proche
du dossier.

Des internautes se présentant comme ses camarades de classe avaient
auparavant affirmé sur Twitter que Mourad Hamyd était en cours avec eux
au lycée au moment de l'attaque, utilisant le mot-clé MouradHamydInnocent.

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Les Victimes
 

- Charb, de son vrai nom Stéphane Charbonnier, 47 ans, dessinateur, directeur de la publication.

 
- Cabu, de son vrai nom Jean Cabut, 76 ans, dessinateur, pilier de Charlie Hebdo et du Canard enchaîné,
ancien du journal Hara-Kiri, l'ancêtre de Charlie Hebdo.

 
- Georges Wolinski, 80 ans, dessinateur , membre de la bande d'Hara-Kiri dans les années 1960 puis
pilier de Charlie Hebdo.

 
- Tignous, de son vrai nom Bernard Verlhac, 57 ans, dessinateur, pilier de Charlie Hebdo et de Fluide glacial.
 
- Bernard Maris, alias «Oncle Bernard», 68 ans, économiste, chroniqueur à Charlie Hebdo et sur France Inter.
 
- Honoré, 73 ans, dessinateur à Charlie Hebdo.
 
- Michel Renaud, fondateur du Rendez-vous du carnet de voyage de Clermont-Ferrand,
ex-directeur de cabinet du maire de la capitale auvergnate.

 
- Franck Brinsolaro, 49 ans, policier du service de la protection (SDLP), affecté à la protection de Charb.
 
- Ahmed Merabet, 42 ans, policier, membre de la brigade VTT du commissariat du XIe arrondissement.
 
- Mustapha Ourrad, correcteur.
 
- Frédéric Boisseau, agent d'entretien.
 
- Elsa Cayat, psychanalyste et chroniqueuse.
 
- Selon des informations du Figaro.


08/01/2015 - 07:51
08/01/2015 - 07:45
Charb, «le visage pâle et perdu d'un enfant triste»

Luc LE VAILLANT
7 janvier 2015 à 15:15 (Mis à jour :
7 janvier 2015 à 16:13)
 

Charb à Paris, le 1er avril 2011. (Photo Jerome BONNET) PORTRAIT Le dessinateur dirigeait «Charlie Hebdo» depuis six ans. Il a été assassiné le 7 janvier.

Le dernier dessin de Charb montre un barbu en tenue de moujik avec mitraillette en bandoulière.
Légende: «Toujours pas d’attentat en France?» Réponse de l’enfouraillé:
«Attendez, on a jusqu’à fin janvier pour présenter nos vœux.»


Ce dessinateur dirigeait Charlie Hebdo depuis six ans. Il avait pris la
suite de Philippe Val. Selon une source policière, il était directement
visé dans l’attaque du 7 janvier. Les assaillants ont crié «Où est
Charb? Où est Charb?» en entrant dans la salle de rédaction. Et l'ont assassiné.

Nous avions publié un portrait de lui le 20 mai 2009, sous le titre «Charlie en jeune».
En voici les principaux extraits: 
Charb a le visage pâle et perdu d’un enfant triste.
Sa séduction, qui pourrait être celle du petit frère maigrelet de Bruno Gaccio,
se masque derrière un refus de jouer les matamores. Un phrasé sans trémolos ni
effets de manche, une voix sans guignolades ni esbroufe, témoignent
qu’on peut devenir directeur de publication d’un journal satirique sans
habiletés radiotélévisées.

  Un genre de pull marin, une sorte de pantalon kaki et des chaussettes
appariées bien remontées sur les mollets prouvent que Charlie Hebdo n’a
pas besoin de faire appel à Frankenstein et à Bukowski réunis pour créer
un truculent hybride à crâne Choron, frange Cabu et bacchantes Cavanna.

  Charb naît à Conflans, grandit à Pontoise. Le père est technicien aux PTT,
la mère secrétaire chez un huissier de justice, puis à l’Education
nationale. Le grand-père est le personnage à qui s’affronter, à qui
s’opposer, ce qui structure pensées et réparties. Ce petit commerçant
fut l’un des soutiens de Gérard Nicoud, au CID-Unati avant d’adhérer au
FN. Grande gueule «même pas raciste», provocateur «adorant faire chier»,
le grand-père frontiste transformait les repas en pugilats où les
fonctionnaires, syndiqués à la CFDT et votant PS comme le père de Charb,
étaient cloués au pilori. Hormis ces sketchs dominicaux, Charb décrit
une enfance «sans intérêt». Il précise : «Je me suis un peu marré, pas
trop. Je me suis un peu fait chier, pas trop. Je n’ai souffert de rien,
je ne me suis réjoui de rien.» Son père lit des BD, Tintin, Picsou.

  Lui dessine pour oublier la grisaille des jours, écoute les Dead Kennedy et
autres punks hard core pour contrebalancer cette envie de participer
des ramasseurs de copie, des apporteurs de cahier de texte. Bonne
volonté qui engendre les ouvriers de la cause commune, attentifs à faire
advenir cette création collective qu’est un journal.

  En 2009, parti à Radio France, Val passe le témoin aux dessinateurs
quadras, grandis dans le giron de Charlie 2,l’hebdomadaire qu’il a
joliment relancé au début des années 90. Val est un éditorialiste. Charb
se revendique du clan des crayonneurs, même s’il tient allègrement
chronique à l’enseigne «Charb n’aime pas les gens». Revanche des
bohémiens sur les phraseurs ?

  Pas certain. Pour Charb, «les dessinateurs ont toujours été la colonne
vertébrale de Charlie, et ils le restent». Alors, retour en grâce des
regardeurs de société face aux vus à la télé? Charb admet: «Philippe est
un homme de scène, moi, pas.»

  Un «Charlie boy» nuance: «Lors des conférences de rédaction, Philippe
organisait, théorisait tandis que Charb testait ses saillies.» Et Riss
ajoute: «Charb et Val se retrouvent sur beaucoup de choses.» Ne pas
oublier enfin que c’est Val qui a mis le pied à l’étrier à Charb et
Riss.

 Val-Charb, leurs relations ont fait le yo-yo. 1992, viré de la Grosse Bertha pour
«gauchisme», Val entraîne Charb au Charlie nouveau. Guerre du Kosovo:
ils ne se parlent plus que par articles interposés. Charb:

  «Un journal pacifiste ne peut encourager le bombardement des populations
civiles.» Affaire Siné, friture sur la ligne. Charb affirme qu’au
contraire de Val, il n’aurait pas craint d’aller au tribunal pour
répondre de l’antisémitisme supposé de Siné.

  Mais, au final, il reste à Charlie et laisse s’éloigner Siné à qui il
donnait du «mon oncle». De ce parent désormais éloigné, Charb dit: «Ça a
été une grosse amitié. On se bourrait la gueule et on rentrait à quatre
pattes, après avoir parlé de tout.»

  Charb n’a jamais caché son envie de se coltiner la responsabilité de Charlie.
Il aime le pouvoir, la ponctualité et le respect de l’autre. Charb est
autant un bosseur qu’un farceur. Ce n’est pas un rebelle individualiste,
une star à l’ego flamboyant. D’ailleurs, peut-on l’être quand on est né
dans les années 68, en tête de pont de la désolation CDD ? Riss conclut
la chose d’une double ponctuation :
1) «Avec Charb, on est du même milieu social, de la même génération.
On a les mêmes codes, on se comprend.»
2)«Charb est déconneur et rigoureux. Marrant et lucide. Il est très structuré,
il ne part pas danstous les sens.»

En d’autres termes, Charb serait à la fois Maurice et Patapon, le chien et
le chat de ses stripsphilosophicos-scatos, prénommés ainsi en tout
inconscient à l’heure du procès Papon. Le chien se déploie : il est
obsédé, omnisexuel, gauchiste, pacifiste, extraverti, balourd, et
honnête. Le chat, par contre, se rétracte : il est coincé, hygiéniste,
asexuel, conservateur, violent, introverti, raffiné et pervers.
Conclusion de Charb : «Le chien est comme on rêverait d’être.
Le chat est comme on doit être.» Le ça et le surmoi social.
Question idées, Charb est un libertaire à esprit de contradiction. Ce pacifiste
n’est surtout pas un non-violent. Ce défenseur de la liberté
d’expression veut la peau des négationnistes et autres révisionnistes :
«Je suis pour leur couper les couilles. Inutile de perdre son temps à
discuter, autant les interdire tout de suite.» Ce buveur d’occasion
embastillerait bien les fumeurs. Cet hétéro non-cohabitant déteste «le
couple comme norme et le bruit de l’aspirateur et des casseroles». Il ne
veut pas d’enfant, ne comprend pas «pourquoi les hommes et les femmes
tiennent autant à avoir des gosses à tout prix», mais laisse faire la
parentalité homo, la procréation assistée, la gestation pour autrui, et
autres défis faustiens à l’humaine nature.

 

Charb faisait la une du dernier numéro de «l’Amateur de cigares». Photo DR


Luc LE VAILLANT