Des bébés pangolins très très mignons, même avec des écailles. Le pangolin n’est pas très connu et pourtant il vit sur terre depuis des millions d’années! C’est un mammifère insectivore dont le corps est recouvert d’écailles. Il viten Afrique et en Asie et il est en danger à cause des humains qui le chassent pour ses écailles et sa chair. Les huit espèces de cet animal sont menacées d’extinction et si rien n’est fait, cet adorable fourmilier écailleux (autre nom du pangolin) ne sera plus là dans un futur très proche! Découvrez ce beau membre de la famille des manidés avec ces images qui risquent de vous laisser émerveillés, car en plus ce sont là des bébés! C’est très mignon! Ces bébés sont adorables. Ils sont certes différents des autres animaux, mais ils restent tout de même des êtres trop craquants, dommage qu’ils sont victimes de braconnages et qu’ils sont en voie de disparition. Si vous avez aimé ces bébés, découvrez-les une fois grands avec ces séquences qui vous en diront plus. C’est toujours intéressant de compléter une information, alors à vous ces détails!
Jolie leçon en anglais et belle musique aussi. Les pangolins adorent s’enrouler autour d’eux-même pour se protéger des prédateurs, mais ils ne peuvent hélas pas fuir devant les braconniers, d’où l’urgence de les protéger!
Les chats, les plus grands joueurs du monde, trop mignon! Les scènes filmées par les amoureux des chats nous font découvrir quelques matous qui jouent et qui s’amusent avec n’importe quoi! Il suffit de les regarder et vous vous sentirez heureux. Les chats ont la magie de transformer l’atmosphère, comme s’ils sont des magiciens et lorsqu’ils s’amusent c’est que du bonheur. Certaines séquences par contre montrent la brutalité des maîtres!(Scène de l’escalier).
Votre chat n'est pas seulement une jolie boule de poils - il est également incroyablement bon pour votre santé Ils maintiennent votre cœur en bonne santé. Selon une étude de 2008 du Stroke Institute de l'université du Minnesota, les détenteurs de chats sont moins susceptibles de mourir d'une crise cardiaque. En observant 4500 personnes (trois sur cinq ayant un chat) pendant 10 ans, les chercheurs ont pu déterminer que les propriétaires de chat avaient 30% de risques en moins de mourir d'une crise cardiaque que les autres. Par la suite, une étude de 2009 a établi un lien entre le fait de posséder un chat et un risque plus faible de mourir d'une maladie cardiovasculaire, y compris d'un AVC. Ils ont quasiment inventé la sieste. Ces gros dormeurs connaissent l'importance du sommeil mais en plus ils ont l'air adorables quand ils dorment. De nombreuses études ont montré qu'une petite sieste peut améliorer la vigilance, la mémoire, la créativité, la productivité et l'humeur. Donc si vous n'êtes pas adepte des siestes en solitaire, peut-être que l'opportunité de vous lover contre votre boule de poils vous convaincra de dormir une petite vingtaine de minutes aujourd'hui. Ils ne laissent aucune place à l'échec Peu importe combien de fois ils tombent, les chats trouvent toujours un moyen de se relever et d'essayer à nouveau. Ils ont un esprit de battant et savent probablement mieux que nous que les petites erreurs que nous faisons ne signifient pas que nous sommes incapables de réussir ce que nous voulons sur le long terme. Ce n'est pas pour rien qu'ils ont neuf vies. Leurs ronronnements vous calment les nerfs Des études montrent que les ronronnements peuvent réduire le stress et la pression sanguine. En plus, les ronronnements des chats peuvent faire des vibrations allant de 20 à 140 Hertz, une fréquence qui, médicalement, serait bonne pour diverses maladies, selon le Scientific American. Comme si on avait besoin d'une autre raison de caresser le cou d'un chaton! Pour eux, il n'y a que l'instant présent qui compte. C'est sûr, ils ont des vies bien moins stressantes que leurs compagnons humains. Mais cela ne discrédite pas leur capacité innée à être assis, parfaitement immobile, parfois pendant des heures, à tout simplement apprécier l'instant présent Ils vous font plus rire que vous ne le croyiez possible Tous les propriétaires de chats vous diront que ces créatures sont aussi hilarantes que mignonnes. Des petits incidents rigolos aux échecs incontestés, c'est impossible de ne pas rire (un peu à leurs dépens) et donc de récolter les bénéfices de tels fous rires. Contrairement à leurs ennemis canins qui bondissent dès qu'ils ont la chance de prendre l'air, courir après une balle de tennis ou engloutir tout le sac de confiseries qui traîne dans la cuisine, les chats ont tendance à choisir leurs batailles avec un peu plus de prudence. Ils prennent un instant pour regarder, réfléchir, peser le pour et le contre, avant de décider si cette chose qui les attire mérite vraiment leur attention. Ils arrivent à grimper dans des endroits qui paraissent inaccessibles et pourtant trouvent le moyen de descendre en toute sécurité. Ils sont réfléchis, stratégiques et délibérés - toutes ces caractéristiques que leur propriétaire met en avant et aimerait d'ailleurs s'attribuer lui-même. Ils anéantissent les sentiments de solitude avec leur amour inconditionnel.
POURQUOI LES ANIMAUX ONT-ILS UNE QUEUE ? Brahma, dieu de toute Création, avait peu de distraction. Pour se changer les idées, il aimait avant tout venir sur terre admirer son œuvre. La tranquillité de la forêt, le ruissellement reposant de la rivière, il était enchanté.
Mais tout cela manquait de vie, de mouvement!
Il inventa donc les animaux et leur donna différentes couleurs et formes variées pour plus de vie.
IL était ravi: éléphant, tigre, cerf, oiseau et renard, tout le monde vivait en harmonie!
Chaque animal était unique et heureux, le tableau était parfait. Un petit détail tout de même, aucun d'entre eux n'avait de queue.
Certes, l'idée lui en était bien venue mais après avoir mûrement réfléchi, il ne voyait de quelle utilité cela pouvait être.
Brahma était tellement content de lui qu'il ne s'arrêta pas là.
- Très bien, puisque les gros animaux donnent de la vie sur la terre, essayons maintenant de créer des êtres si petits qu'on les voit à peine.
Ils vivront sous la terre ou dans les buissons et seront indispensable à l'équilibre que je viens de créer.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Ainsi insectes, souris et serpents virent le jour.
Une de ses créatures était tellement ravie qu'elle demanda à Brahma ce qu'elle pouvait faire pour la remercier.
- Gentille araignée, puisqu'ainsi je t'ai baptisée, j'ai une idée. Puisque tu as le don de tisser une toile et de produire du fil à volonté, tu seras mon lien avec la Terre.
A chaque fois que les animaux souhaiteront me parler, tu viendras me voir et nous en parlerons.
Tu seras notre messager.
L'araignée était très heureuse et aussi très flattée de cette nouvelle charge.
Ainsi, tous les animaux vécurent en totale harmonie.
Mais Brahma, qui se trouvait décidément génial, fut bientôt emporté par sa créativité. Il inventa donc un autre animal volant, qui faisait de la musique en volant.
Il lui donna le nom de moustique.
Il était sûr que celui-ci serait bien accueilli par les autres animaux.
Mais cela ne fut pas le cas. Certes, au début, ils furent tous contents: - Tiens, c'est agréable cette petite musique!
Mais en très peu de temps, cela tourna au cauchemar:
- Allez, dit le boeuf au moustique, va faire du bruit ailleurs que dans mes oreilles!
- Ça suffit, grogna le singe, va jouer ailleurs qu'autour de mes yeux!
Furieux d'être ainsi rejeté, le moustique piqua le singe.
Il aspira... et trouva le sang de ses voisins très bon! La guerre venait d'être déclarée.
Les moustiques devinrent bientôt insupportables et se mirent à piquer tout le monde.
Et comme ils se reproduisaient à une vitesse impressionnante, personne n'était épargné.
Les animaux tinrent conseil et décidèrent d'envoyer l'araignée pour chercher Brahma.
Il écouta les plaintes de ses créatures et promit de trouver une solution.
Elle lui veint tout naturellement:
- Voilà à quoi pourrait servir une queue! En bougeant leur queue, les animaux pourraient chasser les moustiques!
Il rappela l'araignée et lui dit:
- J'ai trouvé la solution à vos problèmes. Dis aux autres de venir demain soir, jour de pleine lune, dans la grotte où l'on trouve refuge les jours de pluie.
Il y aura une grande distribution de queues et tout le monde pourra choisir celle qu'il veut.
Rendez-vous fut donc pris. Le lendemain soir, tous les animaux se retrouvèrent dansla grotte et si cela n'alla pas sans quelques chamailleries, tout le monde trouva son bonheur.
Tout le monde? Pas vraiment.
En effet, le lapin, malgré les insistances de ses amis, préférait rester à paresser et disait tout le temps:
- J'ai le temps, j'ai le temps! J'irai plus tard!
Puis la nuit vint, et le lapin s'inquiéta tout de même un peu. Par chance, il aperçut le renard:
- Eh renard? Où tu vas?
- Je cours vers la grotte pour aller chercher une queue!
- Tu veux bien en prendre une pour moi? S'il te plaît!!
- Je ne comprends pas pourquoi tu n'y vas pas toi-même, mais d'accord, je veux bien te rendre service!
- Merci!
Et le renard reprit sa route vers la grotte tandis que le lapin reprenait sa sieste. Mais le renard traîna en route et il arriva si tard à la grotte qu'il ne trouva plus qu'une queue qui, par chance, lui allait parfaitement.
- Bon, c'est bien... Mais le lapin? Qu'est-ce que je vais lui ramener?
Cherchant alors désespérément dans tous les coins, il aperçut une boule de poils et s'en saisit.
Il retourna vers la forêt et retrouva le lapin.
- Tiens, lui dit-il. C'est tout ce qui restait!
- Quoi? Mais qu'est-ce que tu veux que je fasses de ça? Ça ne changera rien pour les moustiques, ça!
Le renard, vexé, lui répondit:
- Voilà bien une leçon pour toi.
Tu apprendras désormais qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même et surtout apprends à aimer ce que tu as!
La mésange bleue est un oiseau commun qui vit dans les parcs et les jardins. Souvent vu aux mangeoires, ce petit oiseau est très actif. Le mâle adulte a le dos et le croupion d'une douce couleur vert-jaune. Les ailes et la queue sont bleues. Le dessus des ailes porte une barre alaire blanche, et les rémiges sont bordées de blanc.
Les parties inférieures sont jaune pâle, avec une ligne noire étroite au milieu de la poitrine Les flancs sont d'un jaune plus vif alors que le milieu de l'abdomen est plutôt blanchâtre. Sur la tête, la calotte est bleue, entourée d'une bande blanche qui part du front, passe au-dessus des yeux et finit sur le haut de la nuque. Une ligne noire sur les yeux devient bleu foncé en rejoignant la nuque où on peut voir un triangle blanchâtre. Les joues et la zone auriculaire sont blanches. Le menton est bleu-noir, et la couleur s'étend autour du cou comme un fin collier. Le petit bec conique est noir. Les yeux sont noirs. Les pattes et les doigts sont gris-bleu. Son chant, un trille, est clair et fluide « tsi-tsi-sirrrrrrr-r-r-r ».
La mésange bleue fréquente les forêts mixtes, les bosquets, les haies, les zones arbustives avec quelques arbres, les lisières des cultures, les vergers, les parcs et les jardins. Elle est souvent vue dans les villes La mésange bleue vit en Europe, au Moyen-Orient et à l'ouest de l'Asie, ainsi qu'en Afrique du Nord La mésange bleue Facétieuse et agile, une boule de plumes Semble tomber du ciel sur l'herbe du jardin. Reflets jaunes et bleus illuminant la brume, Elle part et revient, toujours pleine d'entrain. Ses petits yeux de jais pétillent de malice, Visant avidement un tas de tournesol. Elle attend patiemment l'instant le plus propice Pour saisir une graine en effleurant le sol.
Et s'installant alors sur une branche basse, Elle cherche à briser l'objet de son désir En tapant vivement la coquille tenace Qui cédant à l'assaut, consent à s'entrouvrir. A la belle saison, se regroupant par couples, Ils construisent en chœur un joli nid d'amour. Et là pour leurs petits, à en perdre le souffle, Sans trêve ils chasseront jusqu'à la fin du jour.
Quelle horreur, ces chinois qui èlèvent des chiens pour les mangerje croyais que c'était fini, qu'ils étaient devenus civilisés!!!c'est une honte!!!! et pareil pour les japonais qui eux, tuent et mangent les dauphins !!!!! honte à tous ces gens , je n'ai jamais mis les pieds dans un resto chinois ou japonais et ça n'arrivera jamais, ah!non alors...... Par contre merci Marie-Jeanne pour cette belle histoire de cet homme,au grand coeur, merci pour ce petit chien et ce petit garçon, pas gâtés par la vie!!!je leur souhaite de longues années heureuses ensemble
UN AGRICULTEUR AVAIT DES CHIOTS A VENDRE Un agriculteur avait des chiots qu'il voulait vendre ...
Il peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour. Comme il plantait le dernier clou dans le poteau il sentit qu'on tirait sur sa salopette. Il regarda vers le bas et rencontra les yeux d'un petit garçon. "Monsieur , dit-il, je veux acheter un de vos chiots. " «Eh bien, » dit le fermier, en essuyant la sueur à l'arrière de son cou : "Ces chiots viennent de parents très racés et coûtent beaucoup d'argent".
Le garçon baissa la tête un moment.
Ensuite, fouillant profondément dans sa poche il sortit un peu de monnaie et la tendit à l'agriculteur.
«J'ai trente-neuf centimes. Est-ce suffisant pour en acheter un ? "
«Bien sûr» dit le fermier ..... Et il siffla .. " Ici, Dolly! " appela t-il ...
Quittant la niche et descendant la rampe,
Dolly courut suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture le petit garçon remarqua quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche.
Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite.
En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un peu maladroite le petit chiot clopina vers les autres faisant de son mieux pour les rattraper ...
"Je veux celui-là", dit le petit garçon pointant l'avorton. L'agriculteur s'agenouilla à côté du petit garçon et lui dit : “Mon fils, tu ne veux pas ce chiot ... Il ne sera jamais capable de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens”.
Le petit garçon recula de la clôture se baissa et commença à rouler une jambe de son pantalon.
Ce faisant il révéla une attelle en acier des deux côtés de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue ... En regardant l'agriculteur, il dit : «Vous voyez, monsieur, je ne cours pas très bien moi-même non plus et il aura besoin de quelqu'un qui le comprend. " Des larmes dans les yeux, l'agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot ... Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon. " Combien ? " demanda le petit garçon ...
" Rien" , répondit le paysan , "il n'y a pas de prix pour l'amour" !
Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu'un qui les comprenne ...
Sur une plage, une mouette n'arrêtait pas de faire un cercle dans le ciel et ce cercle, c'était un rond parfait; elle poussait son cri déchirant de mouette, comme une longue plainte ; C'était une mouette en deuil.
Elle avait aimé si fort qu'elle en était devenue folle.
Là au centre de ce cercle sous un monticule de sable était enterré son oisillon et la mouette ne pouvait l' abandonner... elle hurlait et ses spirales ascendantes étaient comme un appel à la vie
... un petit garçon qui la regardait avait tout compris : il avait vu le chagrin, il avait vu l'amour et surtout il voyait les mouvements de cet oiseau qui engendraient la vie.
Alors tout seul sur le sable, il a fermé les yeux et il a fait la même chose;il a tournoyé, il a ratissé, il a creusé et il a fait circulé...
Et quand il a rouvert les yeux, il ne voyait plus la même chose ; il y avait partout des cristaux de joie; c'était un peu comme une pluie de neige et de lumière ; alors il se mit à parler à la mouette et celle-ci a entendu sa voix, elle a suspendu son vol; elle a tourné la tête, elle a vu l'enfant ! elle est descendu se poser sur son épaule et son cri plaintif s'est transformé en cri de joie.
L'enfant l'a tendrement caressée et ils sont restés un long moment ensemble, comme ça; puis l'oiseau s'est envolé pour rejoindre les autres oiseaux ;et l'enfant est resté seul avec tous ces cristaux de joie qui dansaient dans la lumière autour de lui...
La mouette avait rompu le fil qui lui tenait la patte et un grand vent de liberté s'était levé ce jour là sur la plage.
Plus tard, devenu pêcheur, le garçon n'oublia jamais ces minutes et sur son bateau qu'il avait baptisé "la joie", il connaissait toujours le moment de larguer les amarres.
Le Bec en Sabot du Nil. Endémique du continent africain, le bec en sabot est un échassier assez atypique aux allures préhistoriques. Proche du marabout ou de la cigogne, il faitpourtant partie d'une famille créé rien que pour lui, les balaenicipitidés. Oiseau solitaire, le bec en sabot règne en maître sur un territoire d'environ 5 km². Se nourrissant principalement de poissons, serpents etpetits oiseaux, le bec en sabot, dont le bec est parfaitement adapté à la capture de ses proies, est un oiseau plutôt vorace, dont la cruauté maternelle fait froid dans le dos. Sélectionnant l'une de ses progénitures, quand ils naissent à deux, la femelle bec ensabot, choisit le plus fort en abandonnant le deuxième. Préférant les zones humides, ou les eaux sont peu profondes, le bec en sabot, utilise la forme de son bec pour écoper l'eau et les poissons qui s'y trouvent et se sert de la partie crochu de celui-ci pour faire sa toilette.
NOM : Bec en sabot (Balaeniceps rex) CLASSE : Oiseaux ORDRE : Pelicaniformes FAMILLE : Balaenicipitidés TAILLE : 1 m à 1,20 m , envergure de 2 m à 2,30 m POIDS : 4 à 7 kg DUREE DE VIE : 25 ans REPARTITION : Afrique (Soudan, Zambie, Tanzanie..) HABITAT : Zones humides, marais, roselière... ALIMENTATION : Carnivore : Poissons, serpents, petits oiseaux. REPRODUCTION : La maturité sexuelle du bec en sabot est atteinte vers l'âge de 3 à 4 ans, la durée d'incubation est de 1 mois, et la femelle pond 1 à 2 oeufs.
Le bec-en-sabot du Nil est une espècemonotypique, il est le seul membre de la famille des balaenicipitidés, endémiquedu continent africain. Découvert et décrit par les occidentaux à la fin du XIXème siècle le bec-en-sabot peut sembler, de par son esthétique, sortir directement de la préhistoire. De nombreux mythes et légendes entourent cet échassier qui présente des similitudes (physiques, anatomiques, biologiques ou comportementales) à la fois avec les pélicans, les marabouts, les cigognes, les ombrettes, ou les ardéidés (autres que ciconiiformes). Des études sur l'ADN, menées par Sibley et Ahlquist, ont permis de le classer dans l'ordre des pélécaniformes. Le plumage du bec-en-sabot reste identique toute l'année, il varie du gris au gris bleuté. Les couvertures sus-alaires ont une tendance gris-anthracite.
La forme singulière de son bec, de couleur jaunâtre et rosée avec des taches gris foncé, lui a valut, au Soudan, le nom d'Abu-marqub, soit : "le Père de la babouche". En effet celui-ci, bulbeux et crochu, a une taille imposante (23 cm de longet 10 cm de large) et une forme très caractéristique. Le crochet de la mandibule supérieure lui permet de se toiletter, rouler ses œufs ou encore retenir les proies glissantes. La morphologie du bec est par ailleurs expliquée comme une adaptation remarquable à une méthode de capture hautement spécialisée. Les mandibules ont des bords tranchants qui facilitent la capture et l'ingestion de ses proies. Pour se nourrir en fin de saison sèche, le bec en sabot exhume des protoptères* de la vase. (*poissons osseux pulmonés qui s'enterrent dans la boue quand l'eau vient à manquer).
Relativement silencieux, le bec-en-sabot, comme la cigogne, claque du bec notamment durant la saisons des amours. Il est alors assez bruyant, le son produit est un puissant et creux "dokk". Les observations in natura de Geneviève Renson ("Sur les traces du Roi des marais", Kubik Editions) mettent en évidence l'existence d'une variété de vocalisations complexes (sortes de "gémissements ou miaulements"). Les jeunes sollicitent la nourriture auprès des adultes avec une sorte de "bruit de hoquet".
Le bec-en-sabot du Nil occupe généralement un territoire d'environ 3 km² (un couple peut couvrir jusqu'à 5 km²). Il est généralement solitaire, ainsi, même au sein d'un couple reproducteur, le mâle et la femelle auront tendance à se nourrir sur les côtés opposés de leur territoire. Des petits groupesdesserrés peuvent toutefois se produire de temps à autre dans les lieuxoù la ressource halieutique est abondante et concentrée (saison sèche). Dans sa quête de nourriture, souvent nocturne, il arpente les zones humides peu profondes d'un pas fait de lentes et grandes enjambées, tête penchée pour optimiser sa vision binoculaire. Il s'arrête régulièrement pour tenter de repérer une proie. Souvent à l'affût, que ce soit ou non à découvert,il se fige à la vue de celle-ci, allonge son cou, et d'une détente fulgurante plonge la tête dans l'eau (les ailes déployées pour assurer son équilibre). La capture est impressionnante par sa rapidité et sa puissance.
Le vol : Comme les hérons il vole le cou rentré. Il décolle presque à la verticale en battant lourdement des ailes. À l'instar des cigognes, il peut planer et remonter les courants thermiques jusqu'à une grande hauteur. Tête penchée, il semble alors surveiller son territoire. Il n'est pas migrateur, mais des oiseaux isolés ont été observés très loin de leur habitat originel.
De l’abattoir en Chine à la vie de famille en Angleterre : l’incroyable destinée du chien Clover
Jusqu’à l’été 2016, l’existence de Clover était un véritable cauchemar. Lui qui était destiné à être abattu pour sa viande mène désormais la vie dont rêve tout chien.
La vie de Clover allait être écourtée de la manière la plus brutale qui soit. Ce chien de race Golden Retreiver avait, en effet, vu le jour en Chine, plus précisément à Changchun dans le nord-est du pays. Il était détenu dans un élevage destiné à produire de la viande canine. Comme de nombreux autres de ses congénères, il était gardé dans une cage étroite avec très peu à manger et à boire, juste assez pour le maintenir en vie jusqu’à passer à l’abattoir.
À l’âge d’un an, Clover était affamé et malade, attendant son triste sort. Mais tout a changé en juillet 2016, lorsqu’un groupe de moines bouddhistes, qui négocient régulièrement avec des commerçants de viande chiens pour sauver quelques animaux, ont sorti Clover et d’autres quadrupèdes de cet enfer. Quelque temps plus tard, un bénévole chinois, qui travaille en collaboration avec l’association britannique Rushton Dog Rescue, s’est arrangé pour que Clover reçoive les soins vétérinaires dont il avait grandement besoin.
En quelque mois, il a recouvré la santé et a repris du poids. Mieux encore, il a été le premier bénéficiaire d’une initiative baptisée Darkness to Light, consistant à sauver des chiens devant être abattus pour leur viande. Entretemps, Skye Wardle, une habitante de Gloucester en Angleterre, a pris connaissance de l’histoire de Clover et a aussitôt décidé de faire les démarches pour l'adopter. Elle et sa mère avaient déjà eu plusieurs Golden Retrievers par le passé et sont, en plus, engagées dans la lutte contre les abattages de chiens comme lors du tristement célèbreFestival de Yulin.
Clover est ainsi arrivé en Angleterre juste à temps pour fêter Noël 2017 auprès de sa nouvelle famille, dans laquelle il s’est rapidement intégré. Loin des cages exiguës de Changchun et des visions d’horreur, ce brave toutou vit désormais dans la campagne, au milieu des poules, dans la chaleur, le confort et la sécurité d’un foyer.
À travers les réseaux sociaux, les Wardle sont régulièrement en contact avec d’autres familles anglaises ayant adopté des chiens sauvés du commerce de viande canine chinois. L’un d’eux, une femelleBerger Belge Malinois qui vit non loin de là à Oxford, retrouve souvent Clover pour courir et jouer ensemble.
Clover, lui, apporte aussi sa contribution à la cause en portant un foulard sur lequel est inscrit « Dog meat trade survivor » (survivant du commerce de viande de chien)…
Le pangolin n’est pas très connu et pourtant il vit sur terre depuis des millions d’années!
C’est un mammifère insectivore dont le corps est recouvert d’écailles. Il viten Afrique et en Asie et il est en danger à cause des humains qui le chassent pour ses écailles et sa chair.
Les huit espèces de cet animal sont menacées d’extinction et si rien n’est fait, cet adorable fourmilier écailleux (autre nom du pangolin) ne sera plus là dans un futur très proche!
Découvrez ce beau membre de la famille des manidés avec ces images qui risquent de vous laisser émerveillés, car en plus ce sont là des bébés!
C’est très mignon! Ces bébés sont adorables. Ils sont certes différents des autres animaux, mais ils restent tout de même des êtres trop craquants, dommage qu’ils sont victimes de braconnages et qu’ils sont en voie de disparition.
Si vous avez aimé ces bébés, découvrez-les une fois grands avec ces séquences qui vous en diront plus.
C’est toujours intéressant de compléter une information, alors à vous ces détails!
Jolie leçon en anglais et belle musique aussi.
Les pangolins adorent s’enrouler autour d’eux-même pour se protéger des
prédateurs, mais ils ne peuvent hélas pas fuir devant les braconniers,
d’où l’urgence de les protéger!
Les scènes filmées par les amoureux des chats nous font découvrir quelques matous qui jouent et qui s’amusent avec n’importe quoi!
Il suffit de les regarder et vous vous sentirez heureux.
Les chats ont la magie de transformer l’atmosphère, comme s’ils sont des magiciens et lorsqu’ils s’amusent c’est que du bonheur.
Certaines séquences par contre montrent la brutalité des maîtres!(Scène de l’escalier).
AVOIR UN CHAT EST BON POUR LA SANTÉ
Votre chat n'est pas seulement une jolie
boule de poils - il est également incroyablement bon pour votre santé
Ils maintiennent votre cœur en bonne santé.
Selon une étude de 2008 du Stroke Institute de l'université du Minnesota, les
détenteurs de chats sont moins susceptibles de mourir d'une crise
cardiaque. En observant 4500 personnes (trois sur cinq ayant un chat)
pendant 10 ans, les chercheurs ont pu déterminer que les propriétaires
de chat avaient 30% de risques en moins de mourir d'une crise cardiaque
que les autres. Par la suite, une étude de 2009 a établi un lien entre
le fait de posséder un chat et un risque plus faible de mourir d'une
maladie cardiovasculaire, y compris d'un AVC.
Ils ont quasiment inventé la sieste.
Ces gros dormeurs connaissent l'importance du sommeil mais en plus ils ont
l'air adorables quand ils dorment. De nombreuses études ont montré
qu'une petite sieste peut améliorer la vigilance, la mémoire, la
créativité, la productivité et l'humeur. Donc si vous n'êtes pas adepte
des siestes en solitaire, peut-être que l'opportunité de vous lover
contre votre boule de poils vous convaincra de dormir une petite
vingtaine de minutes aujourd'hui.
Ils ne laissent aucune place à l'échec
Peu importe combien de fois ils tombent, les chats trouvent toujours un
moyen de se relever et d'essayer à nouveau. Ils ont un esprit de battant
et savent probablement mieux que nous que les petites erreurs que nous
faisons ne signifient pas que nous sommes incapables de réussir ce que
nous voulons sur le long terme. Ce n'est pas pour rien qu'ils ont neuf
vies.
Leurs ronronnements vous calment les nerfs
Des études montrent que les ronronnements peuvent réduire le stress et la
pression sanguine. En plus, les ronronnements des chats peuvent faire
des vibrations allant de 20 à 140 Hertz, une fréquence qui,
médicalement, serait bonne pour diverses maladies, selon le Scientific
American. Comme si on avait besoin d'une autre raison de caresser le cou
d'un chaton!
Pour eux, il n'y a que l'instant présent qui compte.
C'est sûr, ils ont des vies bien moins stressantes que leurs compagnons
humains. Mais cela ne discrédite pas leur capacité innée à être assis,
parfaitement immobile, parfois pendant des heures, à tout simplement
apprécier l'instant présent
Ils vous font plus rire que vous ne le croyiez possible
Tous les propriétaires de chats vous diront que ces créatures sont aussi
hilarantes que mignonnes. Des petits incidents rigolos aux échecs
incontestés, c'est impossible de ne pas rire (un peu à leurs dépens) et
donc de récolter les bénéfices de tels fous rires.
Contrairement à leurs ennemis canins qui bondissent dès qu'ils ont la chance de prendre
l'air, courir après une balle de tennis ou engloutir tout le sac de
confiseries qui traîne dans la cuisine, les chats ont tendance à choisir
leurs batailles avec un peu plus de prudence. Ils prennent un instant
pour regarder, réfléchir, peser le pour et le contre, avant de décider
si cette chose qui les attire mérite vraiment leur attention. Ils
arrivent à grimper dans des endroits qui paraissent inaccessibles et
pourtant trouvent le moyen de descendre en toute sécurité. Ils sont
réfléchis, stratégiques et délibérés - toutes ces caractéristiques que
leur propriétaire met en avant et aimerait d'ailleurs s'attribuer
lui-même.
Ils anéantissent les sentiments de solitude avec leur amour inconditionnel.
Brahma, dieu de toute Création, avait peu de distraction. Pour se changer les idées, il aimait avant tout venir sur terre admirer son œuvre.
La tranquillité de la forêt, le ruissellement reposant de la rivière, il était enchanté.
Mais tout cela manquait de vie, de mouvement!
Il inventa donc les animaux et leur donna différentes couleurs et formes variées pour plus de vie.
IL était ravi: éléphant, tigre, cerf, oiseau et renard, tout le monde vivait en harmonie!
Chaque animal était unique et heureux, le tableau était parfait. Un petit
détail tout de même, aucun d'entre eux n'avait de queue.
Certes, l'idée lui en était bien venue mais après avoir mûrement réfléchi, il ne voyait de quelle utilité cela pouvait être.
Brahma était tellement content de lui qu'il ne s'arrêta pas là.
- Très bien, puisque les gros animaux donnent de la vie sur la terre,
essayons maintenant de créer des êtres si petits qu'on les voit à peine.
Ils vivront sous la terre ou dans les buissons et seront indispensable à l'équilibre que je viens de créer.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Ainsi insectes, souris et serpents virent le jour.
Une de ses créatures était tellement ravie qu'elle demanda à Brahma ce qu'elle pouvait faire pour la remercier.
- Gentille araignée, puisqu'ainsi je t'ai baptisée, j'ai une idée.
Puisque tu as le don de tisser une toile et de produire du fil à volonté, tu seras mon lien avec la Terre.
A chaque fois que les animaux souhaiteront me parler, tu viendras me voir et nous en parlerons.
Tu seras notre messager.
L'araignée était très heureuse et aussi très flattée de cette nouvelle charge.
Ainsi, tous les animaux vécurent en totale harmonie.
Mais Brahma, qui se trouvait décidément génial, fut bientôt emporté par sa
créativité. Il inventa donc un autre animal volant, qui faisait de la musique en volant.
Il lui donna le nom de moustique.
Il était sûr que celui-ci serait bien accueilli par les autres animaux.
Mais cela ne fut pas le cas. Certes, au début, ils furent tous contents:
- Tiens, c'est agréable cette petite musique!
Mais en très peu de temps, cela tourna au cauchemar:
- Allez, dit le boeuf au moustique, va faire du bruit ailleurs que dans mes oreilles!
- Ça suffit, grogna le singe, va jouer ailleurs qu'autour de mes yeux!
Furieux d'être ainsi rejeté, le moustique piqua le singe.
Il aspira... et trouva le sang de ses voisins très bon! La guerre venait d'être déclarée.
Les moustiques devinrent bientôt insupportables et se mirent à piquer tout le monde.
Et comme ils se reproduisaient à une vitesse impressionnante, personne n'était épargné.
Les animaux tinrent conseil et décidèrent d'envoyer l'araignée pour chercher Brahma.
Il écouta les plaintes de ses créatures et promit de trouver une solution.
Elle lui veint tout naturellement:
- Voilà à quoi pourrait servir une queue! En bougeant leur queue, les animaux pourraient chasser les moustiques!
Il rappela l'araignée et lui dit:
- J'ai trouvé la solution à vos problèmes. Dis aux autres de venir demain soir, jour de pleine lune, dans la grotte où l'on trouve refuge les jours de pluie.
Il y aura une grande distribution de queues et tout le monde pourra choisir celle qu'il veut.
Rendez-vous fut donc pris. Le lendemain soir, tous les animaux se retrouvèrent dansla grotte et si cela n'alla pas sans quelques chamailleries, tout le monde trouva son bonheur.
Tout le monde? Pas vraiment.
En effet, le lapin, malgré les insistances de ses amis, préférait rester à paresser et disait tout le temps:
- J'ai le temps, j'ai le temps! J'irai plus tard!
Puis la nuit vint, et le lapin s'inquiéta tout de même un peu. Par chance, il aperçut le renard:
- Eh renard? Où tu vas?
- Je cours vers la grotte pour aller chercher une queue!
- Tu veux bien en prendre une pour moi? S'il te plaît!!
- Je ne comprends pas pourquoi tu n'y vas pas toi-même, mais d'accord, je veux bien te rendre service!
- Merci!
Et le renard reprit sa route vers la grotte tandis que le lapin reprenait sa sieste. Mais le renard traîna en route et il arriva si tard à la grotte qu'il ne trouva plus qu'une queue qui, par chance, lui allait parfaitement.
- Bon, c'est bien... Mais le lapin? Qu'est-ce que je vais lui ramener?
Cherchant alors désespérément dans tous les coins, il aperçut une boule de poils et s'en saisit.
Il retourna vers la forêt et retrouva le lapin.
- Tiens, lui dit-il. C'est tout ce qui restait!
- Quoi? Mais qu'est-ce que tu veux que je fasses de ça? Ça ne changera rien pour les moustiques, ça!
Le renard, vexé, lui répondit:
- Voilà bien une leçon pour toi.
Tu apprendras désormais qu'on n'est jamais si bien servi que par soi-même et surtout apprends à aimer ce que tu as!
La mésange bleue est un oiseau commun
qui vit dans les parcs et les jardins. Souvent vu aux mangeoires, ce
petit oiseau est très actif.
Le mâle adulte a le dos et le croupion d'une douce couleur vert-jaune. Les
ailes et la queue sont bleues. Le dessus des ailes porte une barre
alaire blanche, et les rémiges sont bordées de blanc.
Les parties inférieures sont jaune pâle, avec une ligne noire étroite au milieu de la poitrine
Les flancs sont d'un jaune plus vif alors que le milieu de l'abdomen est plutôt blanchâtre.
Sur la tête, la calotte est bleue, entourée d'une bande blanche qui part du
front, passe au-dessus des yeux et finit sur le haut de la nuque. Une
ligne noire sur les yeux devient bleu foncé en rejoignant la nuque où on
peut voir un triangle blanchâtre. Les joues et la zone auriculaire sont
blanches. Le menton est bleu-noir, et la couleur s'étend autour du cou
comme un fin collier.
Le petit bec conique est noir. Les yeux sont noirs. Les pattes et les doigts sont gris-bleu.
Son chant, un trille, est clair et fluide « tsi-tsi-sirrrrrrr-r-r-r ».
La mésange bleue fréquente les forêts mixtes, les bosquets, les haies, les
zones arbustives avec quelques arbres, les lisières des cultures, les
vergers, les parcs et les jardins. Elle est souvent vue dans les villes
La mésange bleue vit en Europe, au Moyen-Orient et à l'ouest de l'Asie, ainsi qu'en Afrique du Nord
La mésange bleue
Facétieuse et agile, une boule de plumes
Semble tomber du ciel sur l'herbe du jardin.
Reflets jaunes et bleus illuminant la brume,
Elle part et revient, toujours pleine d'entrain.
Ses petits yeux de jais pétillent de malice,
Visant avidement un tas de tournesol.
Elle attend patiemment l'instant le plus propice
Pour saisir une graine en effleurant le sol.
Et s'installant alors sur une branche basse,
Elle cherche à briser l'objet de son désir
En tapant vivement la coquille tenace
Qui cédant à l'assaut, consent à s'entrouvrir.
A la belle saison, se regroupant par couples,
Ils construisent en chœur un joli nid d'amour.
Et là pour leurs petits, à en perdre le souffle,
Sans trêve ils chasseront jusqu'à la fin du jour.
Par contre merci Marie-Jeanne pour cette belle histoire de cet homme,au grand coeur, merci pour ce petit chien et ce petit garçon, pas gâtés par la vie!!!je leur souhaite de longues années heureuses ensemble
Un agriculteur avait des chiots qu'il voulait vendre ...
Il peint un panneau annonçant les 4 chiots et le cloua à un poteau sur le côté de sa cour.
Comme il plantait le dernier clou dans le poteau il sentit qu'on tirait sur sa salopette.
Il regarda vers le bas et rencontra les yeux d'un petit garçon.
"Monsieur , dit-il, je veux acheter un de vos chiots. "
«Eh bien, » dit le fermier, en essuyant la sueur à l'arrière de son cou :
"Ces chiots viennent de parents très racés et coûtent beaucoup d'argent".
Le garçon baissa la tête un moment.
Ensuite, fouillant profondément dans sa poche il sortit un peu de monnaie et la tendit à l'agriculteur.
«J'ai trente-neuf centimes. Est-ce suffisant pour en acheter un ? "
«Bien sûr» dit le fermier ..... Et il siffla .. " Ici, Dolly! " appela t-il ...
Quittant la niche et descendant la rampe,
Dolly courut suivie par quatre petites boules de fourrure.
Le petit garçon pressa son visage contre le grillage. Ses yeux dansaient
de joie. Comme les chiens arrivaient à la clôture le petit garçon
remarqua quelque chose d'autre qui remuait à l'intérieur de la niche.
Lentement, une autre petite boule apparut, nettement plus petite.
En bas de la rampe, elle glissa . Ensuite, de manière un peu maladroite le
petit chiot clopina vers les autres faisant de son mieux pour les
rattraper ...
"Je veux celui-là", dit le petit garçon pointant l'avorton.
L'agriculteur s'agenouilla à côté du petit garçon et lui dit :
“Mon fils, tu ne veux pas ce chiot ... Il ne sera jamais capable
de courir et de jouer avec toi comme ces autres chiens”.
Le petit garçon recula de la clôture se baissa et commença à rouler une jambe de son pantalon.
Ce faisant il révéla une attelle en acier des deux côtés
de la jambe, fixée sur une chaussure spécialement conçue ...
En regardant l'agriculteur, il dit : «Vous voyez, monsieur,
je ne cours pas très bien moi-même non plus et il aura besoin
de quelqu'un qui le comprend. "
Des larmes dans les yeux, l'agriculteur se baissa et ramassa le petit chiot ...
Le tenant délicatement, il le tendit au petit garçon.
" Combien ? " demanda le petit garçon ...
" Rien" , répondit le paysan , "il n'y a pas de prix pour l'amour" !
Le monde est plein de gens qui ont besoin de quelqu'un qui
les comprenne ...
Sur une plage, une mouette n'arrêtait pas de faire un cercle dans le ciel et ce cercle, c'était un rond parfait; elle poussait son cri déchirant de mouette, comme une longue plainte ; C'était une mouette en deuil.
Elle avait aimé si fort qu'elle en était devenue folle.
Là au centre de ce cercle sous un monticule de sable était enterré son oisillon et la mouette ne pouvait l' abandonner... elle hurlait et ses spirales ascendantes étaient comme un appel à la vie
... un petit garçon qui la regardait avait tout compris : il avait vu le chagrin, il avait vu l'amour et surtout il voyait les mouvements de cet
oiseau qui engendraient la vie.
Alors tout seul sur le sable, il a fermé les yeux et il a fait la même chose;il a tournoyé, il a ratissé, il a creusé et il a fait circulé...
Et quand il a rouvert les yeux, il ne voyait plus la même chose ; il y avait partout des cristaux de joie; c'était un peu comme une pluie de neige et de lumière ; alors il se mit à parler à la mouette et celle-ci a entendu sa voix, elle a suspendu son vol; elle a tourné la tête, elle a vu l'enfant ! elle est descendu se poser sur son épaule et son cri plaintif s'est transformé en cri de joie.
L'enfant l'a tendrement caressée et ils sont restés un long moment ensemble, comme ça; puis l'oiseau s'est envolé pour rejoindre les autres oiseaux ;et l'enfant est resté seul avec tous ces cristaux de joie qui dansaient dans la lumière autour de lui...
La mouette avait rompu le fil qui lui tenait la patte et un grand vent de liberté s'était levé ce jour là sur la plage.
Plus tard, devenu pêcheur, le garçon n'oublia jamais ces minutes et sur son bateau qu'il avait baptisé "la joie", il connaissait toujours le moment de larguer les amarres.
Endémique du continent africain, le bec en sabot est un échassier assez atypique aux allures préhistoriques. Proche du marabout ou de la cigogne, il faitpourtant partie d'une famille créé rien que pour lui, les balaenicipitidés. Oiseau solitaire, le bec en sabot règne en maître sur un territoire d'environ 5 km². Se nourrissant principalement de poissons, serpents etpetits oiseaux, le bec en sabot, dont le bec est parfaitement adapté à la capture de ses proies, est un oiseau plutôt vorace, dont la cruauté maternelle fait froid dans le dos. Sélectionnant l'une de ses progénitures, quand ils naissent à deux, la femelle bec ensabot, choisit le plus fort en abandonnant le deuxième. Préférant les zones humides, ou les eaux sont peu profondes, le bec en sabot, utilise la forme de son bec pour écoper l'eau et les poissons qui s'y trouvent et se sert de la partie crochu de celui-ci pour faire sa toilette.
NOM : Bec en sabot (Balaeniceps rex)
CLASSE : Oiseaux
ORDRE : Pelicaniformes
FAMILLE : Balaenicipitidés
TAILLE : 1 m à 1,20 m , envergure de 2 m à 2,30 m
POIDS : 4 à 7 kg
DUREE DE VIE : 25 ans
REPARTITION : Afrique (Soudan, Zambie, Tanzanie..)
HABITAT : Zones humides, marais, roselière...
ALIMENTATION : Carnivore : Poissons, serpents, petits oiseaux.
REPRODUCTION : La maturité sexuelle du bec en sabot est atteinte vers l'âge de 3 à 4 ans, la durée d'incubation est de 1 mois, et la femelle pond 1 à 2 oeufs.
Le bec-en-sabot du Nil est une espècemonotypique, il est le seul membre de la famille des balaenicipitidés, endémiquedu continent africain.
Découvert et décrit par les occidentaux à la fin du XIXème siècle le bec-en-sabot peut sembler, de par son esthétique, sortir directement de la préhistoire. De nombreux mythes et légendes entourent cet échassier qui présente des similitudes (physiques, anatomiques, biologiques ou comportementales) à la fois avec les pélicans, les marabouts, les cigognes, les ombrettes, ou les ardéidés (autres que ciconiiformes). Des études sur l'ADN, menées par Sibley et Ahlquist, ont permis de le classer dans l'ordre des pélécaniformes.
Le plumage du bec-en-sabot reste identique toute l'année, il varie du gris au gris bleuté. Les couvertures sus-alaires ont une tendance gris-anthracite.
La forme singulière de son bec, de couleur jaunâtre et rosée avec des taches gris foncé, lui a valut, au Soudan, le nom d'Abu-marqub, soit : "le Père de la babouche". En effet celui-ci, bulbeux et crochu, a une taille imposante (23 cm de longet 10 cm de large) et une forme très caractéristique.
Le crochet de la mandibule supérieure lui permet de se toiletter, rouler ses œufs ou encore retenir les proies glissantes. La morphologie du bec est par ailleurs expliquée comme une adaptation remarquable à une méthode de capture hautement spécialisée. Les mandibules ont des bords tranchants qui facilitent la capture et l'ingestion de ses proies. Pour se nourrir en fin de saison sèche, le bec en sabot exhume des protoptères* de la vase. (*poissons osseux pulmonés qui s'enterrent dans la boue quand l'eau vient à manquer).
Relativement silencieux, le bec-en-sabot, comme la cigogne, claque du bec notamment durant la saisons des amours. Il est alors assez bruyant, le son produit est un puissant et creux "dokk".
Les observations in natura de Geneviève Renson ("Sur les traces du Roi des marais", Kubik Editions) mettent en évidence l'existence d'une variété de vocalisations complexes (sortes de "gémissements ou miaulements"). Les jeunes sollicitent la nourriture auprès des adultes avec une sorte de "bruit de hoquet".
Le bec-en-sabot du Nil occupe généralement un territoire d'environ 3 km² (un couple peut couvrir jusqu'à 5 km²). Il est généralement solitaire, ainsi, même au sein d'un couple reproducteur, le mâle et la femelle auront tendance à se nourrir sur les côtés opposés de leur territoire. Des petits groupesdesserrés peuvent toutefois se produire de temps à autre dans les lieuxoù la ressource halieutique est abondante et concentrée (saison sèche).
Dans sa quête de nourriture, souvent nocturne, il arpente les zones humides peu profondes d'un pas fait de lentes et grandes enjambées, tête penchée pour optimiser sa vision binoculaire. Il s'arrête régulièrement pour tenter de repérer une proie. Souvent à l'affût, que ce soit ou non à découvert,il se fige à la vue de celle-ci, allonge son cou, et d'une détente fulgurante plonge la tête dans l'eau (les ailes déployées pour assurer son équilibre). La capture est impressionnante par sa rapidité et sa puissance.
Le vol : Comme les hérons il vole le cou rentré. Il décolle presque à la verticale en battant lourdement des ailes. À l'instar des cigognes, il peut planer et remonter les courants thermiques jusqu'à une grande hauteur. Tête penchée, il semble alors surveiller son territoire. Il n'est pas migrateur, mais des oiseaux isolés ont été observés très loin de leur habitat originel.
Jusqu’à l’été 2016, l’existence de Clover était un véritable cauchemar. Lui qui était destiné à être abattu pour sa viande mène désormais la vie dont rêve tout chien.
La vie de Clover allait être écourtée de la manière la plus brutale qui soit. Ce chien de race Golden Retreiver avait, en effet, vu le jour en Chine, plus précisément à Changchun dans le nord-est du pays. Il était détenu dans un élevage destiné à produire de la viande canine. Comme de nombreux autres de ses congénères, il était gardé dans une cage étroite avec très peu à manger et à boire, juste assez pour le maintenir en vie jusqu’à passer à l’abattoir.
À l’âge d’un an, Clover était affamé et malade, attendant son triste sort. Mais tout a changé en juillet 2016, lorsqu’un groupe de moines bouddhistes, qui négocient régulièrement avec des commerçants de viande chiens pour sauver quelques animaux, ont sorti Clover et d’autres quadrupèdes de cet enfer.
Quelque temps plus tard, un bénévole chinois, qui travaille en collaboration avec l’association britannique Rushton Dog Rescue, s’est arrangé pour que Clover reçoive les soins vétérinaires dont il avait grandement besoin.
En quelque mois, il a recouvré la santé et a repris du poids. Mieux encore, il a été le premier bénéficiaire d’une initiative baptisée Darkness to Light, consistant à sauver des chiens devant être abattus pour leur viande.
Entretemps, Skye Wardle, une habitante de Gloucester en Angleterre, a pris connaissance de l’histoire de Clover et a aussitôt décidé de faire les démarches pour l'adopter. Elle et sa mère avaient déjà eu plusieurs Golden Retrievers par le passé et sont, en plus, engagées dans la lutte contre les abattages de chiens comme lors du tristement célèbreFestival de Yulin.
Clover est ainsi arrivé en Angleterre juste à temps pour fêter Noël 2017 auprès de sa nouvelle famille, dans laquelle il s’est rapidement intégré. Loin des cages exiguës de Changchun et des visions d’horreur, ce brave toutou vit désormais dans la campagne, au milieu des poules, dans la chaleur, le confort et la sécurité d’un foyer.
À travers les réseaux sociaux, les Wardle sont régulièrement en contact avec d’autres familles anglaises ayant adopté des chiens
sauvés du commerce de viande canine chinois. L’un d’eux, une femelleBerger Belge Malinois qui vit non loin de là à Oxford, retrouve souvent Clover pour courir et jouer ensemble.
Clover, lui, apporte aussi sa contribution à la cause en portant un foulard sur lequel est inscrit « Dog meat trade survivor » (survivant du commerce de viande de chien)…