Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
PLACIDE DUPONT
14/12/2017 - 18:25
EN BAS  DE  CHEZ  MOI   IL Y A  UN  COUPLE  DE  RENARD     (presque    apprivoise
 c est   un   petit  bois      fermez   car   la  route  passe a  coté
14/12/2017 - 14:57
Le renard est loin d’être un nuisible : il nous protège contre la maladie de Lyme



Animal très présent dans nos campagnes, le renard a une mauvaise image qui lui colle à la peau. Considéré par les contes comme un nuisible voleur fourbe, il est dans la réalité bien plus utile qu’on ne le pense. Pourtant s’il n’était pas là, une maladie particulièrement dangereuse ferait des ravages chez l’Homme : la maladiede Lyme.

COMMENT LE RENARD COMBAT-IL LA MALADIE DE LYME ?

Le renard roux est souvent vu comme un chasseur aimant traquer les poules. Mais son alimentation se compose plus généralement de mulots et de campagnols. Les petits rongeurs suffisent en effet à rassasier le renard, et c’est justement cet appétit qui permet au renard de nous protéger de la maladie de Lyme.
Les bactéries à l’origine de cette maladie se nichent sur les tiques qui vivent dans la fourrure des rongeurs. Par la suite, la bactérie se propage notamment quand les larves de tiques et d’acariens infectés éclosent ou que d’autres animaux
les mangent.
Or, le renard a la capacité de réduire le nombre de tiques infectées en se nourrissant des rongeurs qui les portent, réduisant de facto les risques de transmission pour l’Homme. Aux Pays-Bas, un test a été mené sur 20 hectares de forêt où les densités de renards étaient différentes.
Il en ressort que plus les prédateurs étaient nombreux, moins il y avait de tiques infestées (comme il y avait beaucoup de renards, les rongeurs ne sortaient pas et n’étaient donc pas attaqués par les tiques.). En prime, le renard protège les récoltes des nuisibles qui dévorent les céréales cultivées par l’Homme.



UN ANIMAL ENCORE TROP SOUVENT CHASSÉ ?

Il a beau être à la fois gardien des récoltes et chasseur de rongeurs, le renard souffre toujours d’une mauvaise image. Dans tous les départements français, il reste considéré comme un nuisible et est donc chassé car il est néfaste à l’Homme. Les raisons invoquées sont l’atteinte à la santé et à la sécurité publiques, les dommages importants causés aux activités agricoles et forestières et les dégâts sur la faune et la flore.
Il serait aussi accusé de transmettre l’échinococcose, une maladie qui engendre des kystes au foie et qui est à l’origine d’une quinzaine de cas chaque année. Pour toutes ces raisons, le renard peut être abattu toute l’année et sans limite. Une situation qui désespère Marc Giraud, porte-parole de l’Aspas (Association pour la protection des animaux sauvages), expliquant que « plutôt que de protéger leurs prédateurs, on préfère éradiquer ces rongeurs avec un poison violent, la bromadiolone, qui intoxique toute la chaîne alimentaire ! ».



UNE TRAQUE INJUSTIFIÉE

Au-delà de son statut de nuisible et de sa réputation, la chasse au renard reste injustifiée car la population reste stable en France. Les renards régulent en effet la population d’individus d’eux-mêmes. Une femelle peut donner entre 2 et 6 renardeaux par portée.
Or, quand la population est supérieure à 4 renards au kilomètre carré, les jeunes s’éloignent pour mieux se répartir et trouver de nouveaux territoires. Le renard n’a donc pas de raisons d’être toujours la cible des chasseurs et, alors qu’il est très difficile d’en apercevoir un, il continue de nous protéger contre la maladie de Lyme et empêche les champs d’être envahis par les rongeurs.

14/12/2017 - 01:48

PASSEREAUX





Les oiseaux passereaux sont les volatiles les plus répandus sur le globe    .L'oiseau passereau a des pattes qui ont quatre doigts, dont un est opposé aux trois autres, pour leur permettre de se percher facilement.
Les petits oisillons sont nourris au nid par les adultes. :

Le petit ouvre son bec et cris pour recevoir
de la nourriture.

Les passereaux se retrouvent partout dans le monde et dans la majorité des
environnements.                          Le moineau est un bon exemple,
d'autant plus qu'il reste où il vit l'hiver,
donc il est adapté au froid.
Les oiseaux passereaux ont une morphologie
similaire, comme les pattes à 4 doigts, ils
ont un cou de longueur normale, un bec pointu
de forme conique plus ou moins allongé. Un
moineau ressemble à un étourneau sauf pour les
couleurs et la grosseur.
La grosseur, la couleur, le plumage et la
forme des plumes servent à les différencier.
L'alimentation de l'oiseau passereau dépend de
l'espèce, mais en général, ils mangent des
graines et des insectes, selon la
disponibilité.

13/12/2017 - 14:43
Munchkin : le chat qui reste bébé toute sa vie.



  Le Munchkin est un chat originaire des Etats-Unis.                                                                         
    
Avec leur toute petite taille, leur adorable bouille ronde et leurs grands yeux, les félins de race Munchkin ont tout
pour ne laisser personne indifférent. En même temps, ils sont très mignons…

Encore peu démocratisée en France car originaire des Etats-Unis, cette race de chat séduit par son originalité : le MUNCHKIN  est un tigre de salon miniature et espiègle à souhait.
Même adulte, il a l’air d’un chaton à cause d’une mutation génétique… et se comporte de la même façon.

 
Ces quelques photos d’eux devraient d’ailleurs faire fondre même les plus insensibles d’entre vous… mais gare au coup de cœur, ces chats ne sont pas des jouets aussi petits soient-ils :



Ce chat est le résultat d’une mutation génétique



 Cette race de chat a été importée en France dans le début des années 90
 


Il a pour particularité de rester petit toute sa vie



Et pour cause : le Munchkin est un chat aux pattes très courtes



Il existe deux variétés de Munchkin : ceux à poils longs… et ceux à poils courts !



 Les standards de la race autorisent d’ailleurs ce chat à avoir toutes les couleurs de robes



Aussi petit soit-il, le Munchkin adore courir et sautiller partout
 


A l’âge adulte, le Munchkin est un chat qui conserve son caractère de chaton

                                                     
12/12/2017 - 19:00
Bonsoir ,
très intéressantes les informations des mégots de cigarettes.....
Très beaux  ces oiseaux " russes ",
et , tout à fait d'accord , avec Marie Jeanne  :  un animal n'est pas objet  , n'est pas un jouet !
12/12/2017 - 17:47
                                           
NON !!! Un animal n'est pas un objet.
Adopter ou offrir un chien, un chat, un rongeur est devenu presque aussi anodin qu'offrir un jouet.
Ce geste peut rapidement se transformer en cauchemar pour l'animal.
En effet, recevoir Un Cd ou une cafetière, si cela ne vous plait pas,
vous pouvez l'ignorer. Un animal, sûrement pas ! Passée l'euphorie du
moment, 90 % se retrouvent abandonnés ou euthanasiés dans les 6 mois qui
suivent leur adoption. C'est le sort tragique que connaissent chaque
année des milliers de chiens et de chats et l'année et trop souvent
dans des conditions horribles : pour de nombreuses personnes, l'animal
n'est qu'un jouet dont on se débarrasse quand on n'en veut plus. Le
résultat est que les refuges ou associations d'animaux sont surchargés à
cause de toutes ces personnes totalement irresponsables. Pour ne pas
être retrouvés, certains propriétaires mutilent leurs bêtes en coupant
une oreille ou en brûlant le tatouage, entraînant chez l'animal une peur
de l'homme


Il faut se poser les bonnes questions sachant qu'un animal c'est 10, 15
ans voire plus à partager avec lui car c'est un engagement sérieux et
responsable sur le plan affectif, matériel et financier qui doit être
mûrement réfléchi AVANT pour son bien-être et le vôtre.
voila c'est le message de BINGO
  
11/12/2017 - 13:40


 Russie : Geai de Sibérie, plateau de Putorana, en Sibérie ...                                                                             
                                       











Il fait peut-être froid dehors, mais ce geai sibérien a l'air confortable dans ses plumes.  Il a été photographié en Sibérie sur
le plateau de Putorana , un écosystème arctique reculé, qui abrite également le plus grand troupeau de rennes du monde. Putorana se traduit par «le pays des lacs aux berges escarpées» dans la langue des Evenks, peuple autochtone du
Grand Nord russe, et cette région compte plus de 25 000 lacs à son nom.
Cette période de l'année, ils sont plus comme des patinoires.
11/12/2017 - 11:16
Pour lutter contre les tiques, cet incroyable oiseau se sert de… mégots de cigarettes !



À l’université autonome nationale de Mexico, une équipe de chercheurs a mis en lumière un comportement nouveau chez le
Carpodacus mexicanus, un petit oiseau urbain : pour lutter contre les tiques qui sont dangereuses pour lui, il garnit son nid de mégots de cigarettes. Une adaptation incroyable de l’animal à son environnement.


Une expérience menée sur 32 nids

Constantino Macias Garcia
et son équipe de chercheurs, après avoir observé le comportement des oiseaux dans leur
milieu naturel, a voulu prouver ses hypothèses en menant une véritable expérience. Ils retirèrent la garniture originelle de 32 nids de Carpodacus mexicanus, qu’ils remplacèrent par du feutre afin de s’assurer que tous les nids de l’expérience étaient exempts de parasites au départ.

Dans les 10 premiers nids, ils ajoutèrent des tiques vivantes. Dans les 10 suivants, des tiques mortes. Et rien dans les 12 derniers.



Les oiseaux utilisent plus de mégots lorsqu’ils sont envahis de tiques

Les tiques mangent les plumes des oiseaux et pompent leur sang. Elles sont donc un véritable problème pour ces oiseaux, et l’utilisation de mégots de cigarettes contre ces parasites fut rapidement prouvée. En effet, les oiseaux vivant dans les nids infestés de tiques vivantes intégraient dans leur nid 40 % de mégots en plus que ceux envahis de tiques mortes. Steve Portugal, de l’université de Londres, s’exclame : « C’est un exemple fascinant et très enthousiasmant d’un animal qui fait preuve de créativité et utilise les moyens du bord ».



Le revers de la médaille

Cette pratique n’est cependant pas sans risque pour les oiseaux. En effet, Macias Garcia explique que les mégots causent des dommages génétiques au moment de ladivision des cellules, comme lui et son équipe ont pu l’observer avec les globules rouges. Cependant, Steve Portugal estime que le jeu en vaut la chandelle pour cette espèce : « Je pense que les propriétés anti-parasites des mégots de cigarettes sont plus importants que leurs effets négatifs, car les conséquences génétiques prennent du temps avant de se manifester, et les oiseaux adultes ne sont pas conscients du problème [contrairement aux tiques] ».

10/12/2017 - 17:50
8 anecdotes insoupçonnées sur les chouettes et les hiboux

Chaque espèce animale présente des caractéristiques bien spécifiques. Mais une catégorie d’oiseaux, en plus d’être
étonnante physiquement, est l’objet de mythes et traditions depuis des millénaires : il s’agit des chouettes et des hiboux. Nous vous présentons quelques faits étonnants sur ces majestueux volatiles. 

 
IL EXISTE UNE DIFFÉRENCE PHYSIQUE ENTRE CHOUETTES ET HIBOUX

Un Petit -duc d'Orient, en Thaïlande

Pour les anglophones, un seul terme suffit à nommer les deux espèces : owl. Ainsi, le hibou grand-duc devient Eurasian eagle-owl et la chouette effraie devient Barn owl. Mais en réalité, les hiboux sont connus pour disposer d’oreilles sur le dessus de leur crâne – les aigrettes – quand les chouettes en sont dépourvues à cet endroit du corps. En revanche, les deux types d’oiseaux (sauf quelques exceptions) font partie de la famille des strigidés, une catégorie de rapaces.

ILS SONT ENCORE SOURCES DE SUPERSTITIONS ET DE TRADITIONS 



Les chouettes et hiboux alimentent différents mythes depuis des millénaires. C’était déjà le cas sous la Grèce antique, où ces animaux symbolisaient la sagesse, mais aussi la ville d’Athènes, ce qui leur valut d’orner les premières pièces de monnaie connues. Plus tard, les Romains attribueraient au hululement des volatiles l’annonce d’une mort prochaine et les associeraient à la sorcellerie et à la magienoire.
Chez les Indiens d’Amérique du Nord, en revanche, on leur attribue le pouvoir d’octroyer aide et protection et leurs plumes sont employées dans les cérémonies rituelles.
 
CES OISEAUX PEUVENT ÊTRE ENTRAÎNÉS POUR CHASSER



La fauconnerie implique généralement l’utilisation de faucons. Mais certains autres oiseaux, comme les chouettes hulottes, les hiboux grand-duc ou les chouettes effraies, peuvent également être formés pour chasser. Alors que les faucons et d’autres oiseaux de proie sont actifs durant la journée et prisés pour leur excellente vue, les chouettes et hiboux sont appréciés pour leur ouïe développée. Ils sont notamment utilisés pour chasser les rongeurs, les petits oiseaux ou le très petit gibier. Cependant, étant des
volatiles nocturnes, ils sont plus difficiles à former.

À NEW YORK, DE FAUX HIBOUX FURENT UTILISÉS POUR EFFRAYER LES PIGEONS



Les oiseaux de proie, comme les hiboux, sont particulièrement effrayants pour d’autres volatiles. Par conséquent, des leurres faits de
faux hiboux sont fréquemment utilisés pour éloigner les pigeons des zones où ils sont indésirables. Par exemple, en 1986, White Plains, à New York, comptait plus de 30 faux hiboux éparpillés à cet effet et la stratégie était également populaire à Manhattan.

Malheureusement les pigeons réalisèrent finalement la supercherie, puisque les faux hiboux étaient trop immobiles. Désormais, une société appelée Robop tente de résoudre ce problème avec des faucons robotisés qui bougent la tête et produisent des bruits d’oiseaux simulés.
 
LES CHOUETTES EFFRAIES UTILISENT UN DISPOSITIF PROCHE DE L’ÉCHOLOCATION



Les chauves-souris utilisent l’écholocation pour détecter et chasser leurs proies. Cette technique leur permet de « voir » dans l’obscurité et s’apparente à un sonar biologique. Mais les chouettes effraies sont capables de faire quelque chose de similaire en utilisant leurs oreilles asymétriques – l’une est plus haute que l’autre – pour localiser leur proie acoustiquement. Les oreilles uniques de la chouette effraie lui permettent ainsi de localiser précisément l’origine d’un son avec une exactitude d’un degré puisque les sons arrivent à chaque oreille avec un très léger décalage.
Le volatile peut alors localiser précisément sa proie. Egalement, sa collerette faciale lui permet aussi de filtrer les sons.
 
ON APPREND BEAUCOUP DES RÉGURGITATIONS DES HIBOUX



Les chouettes et hiboux régurgitent ce qu’ils ne peuvent digérer et ces rejets contiennent souvent des os d’animaux, les rendant
intéressants à étudier pour en savoir plus sur le régime alimentaire des volatiles. Les chouettes effraies, elles, se nourrissent surtout de souris et de campagnols mais leurs régurgitations contiennent d’autres éléments surprenants, comme des écrevisses.

Ces rejets sont même devenus un business florissant. Depuis 1983, Bret Gaussoin de Pellets Inc. a collecté et vendu des régurgitations de hiboux pour qu’elles soient disséquées dans les écoles. « Quand j’étais à l’université, un de mes professeurs a créé un laboratoire de dissection de rejets de chouettes effraies dans la classe », dit-il. D’après lui, « on trouve ces pelotes
dans presque tous les Etats à l’ouest du Mississippi ». Les chouettes effraies aiment se nicher aux mêmes endroits chaque jour
et les granulés s’accumulent donc au niveau d’une pile en dessous.

PESER UNE CHOUETTE OU UN HIBOU EST UN VRAI CASSE-TÊTE



Ces volatiles sont très légers et leur progéniture l’est encore plus. Par exemple, la Petite Nyctale, une espèce de chouette, ne pèse que 65 à 100 grammes. A l’inverse, le hibou le plus lourd d’Amérique du Nord est le harfang des neiges, dont le poids peut aller jusqu’à 3 kilos. Et pour peser ces animaux, qui sont difficiles à maitriser et cherchent à s’envoler à la première occasion, la meilleure méthode est de les emballer dans un linge.
 
TEDDY ROOSEVELT EN AVAIT UNE COMME ANIMAL DE COMPAGNIE



Nombreux sont les grands hommes de l’Histoire à avoir associé leur nom et leur image à de redoutables animaux. Theodore Roosevelt, en revanche, fut pris d’affection pour un harfang des neiges qui avait croisé son chemin et dont la dépouille orne encore l’American Museum of Natural History. Mais le 26e président américain possédait également une chouette effraie, un coq à une patte, un cochon ou encore un poney, qu’il apporta jusqu’à la Maison-Blanche dans une ménagerie.
Ces faits concernant les chouettes et hiboux sont réellement surprenants. Au-delà de leurs impressionnantes caractéristiques
physiques et de leurs différences, ces animaux font partie intégrante des mythes et traditions humaines.
08/12/2017 - 10:51
pour les chats