La compétition fait rage entre les fous de Bassan à l'affût des maquereaux. Photographiés ici près des côtes écossaises, ces oiseaux des mers commencent leur plongée plus de 15 mètres au-dessus du niveau de la mer. Au moment où ils pénètrent dans l'eau, ils peuvent atteindre une vitesse de 96 kilomètres par heure. PHOTOGRAPHIE DE GREG LECOEUR,
Merci à Emanuelle Saporta Sur le rapport qu’entretient le chat avec l’eau, on entend presque autant de versions qu’il y a d’animaux. Difficile de tirer des généralités… En revanche, on peut en déduire que les chats n’ont pas une peur irraisonnée de l’eau. La baignade. Certains chats, dont ceux à poils longs, réclament un entretien régulier de leur pelage et se laissent baigner, puis sécher et brosser sans rechigner. Pour d’autres, la baignade peut même devenir un plaisir ; ils prennent l’habitude – tout petits – de sauter dans la baignoire pour participer au bain des enfants. Encore une fois, pas de généralités, mais des attitudes qui varient selon les individus. Quelques chats se baignent volontairement dans les piscines ou viennent s’y désaltérer en été. Les risques de chute existent. « La plupart du temps,ils effectuent un mouvement violent de torsion du corps, ils ”rebondissent” pour en sortir aussitôt comme s’ils prenaient appui sur l’eau. Certains nagent pour regagner l’escalier, d’autres n’arrivent pas à imaginer qu’ils peuvent se déplacer pour sortir et restent agrippés au rebord, parfois longtemps, avant d’être repêchés. » Heureusement, les noyades sont rares. Mais pour éviter ce genre de situation, utilisez une alarme de piscine. La pluie. Craint-il la pluie ? « Le chat va réduire la fréquence de ses sorties par temps pluvieux, mais pas d’inquiétude : quand le poil est mouillé en surface, la peau ne l’est pas, car l’eau perle sur la fourrure », rassure Nicolas Massal. La pluie n’est donc pas un obstacle majeur à ses déplacements. Et les flaques d’eau ?. « Les chats prennent toujours le même chemin pour aller d’un point à l’autre, au jardin par exemple. Si des flaques se trouvent sur leur passage, certains ne changeront pas leur trajet pour autant, sauf si elles sont vraiment profondes. »
A Genève, Janus, la tortue à deux têtes, célèbre ses 20 ans.
Janus, la tortue grecque à deux têtes, est la mascotte battante du Muséum d'histoire naturelle de Genève.
Janus, la tortue grecque à deux têtes, est la vedette (ou sont les vedettes) du Muséum d’histoire naturelle de Genève, en Suisse. L’animal bat des records mondiaux de longévité, grâce à la captivité, des UV et aucune activité sexuelle. Il existe très peu de tortues bicéphales en captivité. Les plus âgées sont mortes au bout de quelques années. Janus en est l’exception: toujours dans son terrarium spécial au Muséum d’histoire naturelle dans la Ville de Genève, la curiosité mondiale s’apprête à souffler ses 20 bougies. Le 3 septembre 1997, l’animal est éclos d’un oeuf qui avait été placé dans une couveuse de l’animalerie du musée genevois. La tortue est baptisée Janus, en référence au Dieu romain à deux têtes qui est la divinité du commencement et de la fin. La propriétaire de Janus a décidé d’en faire don au Muséum suisse.
Mystère autour d'un lama retrouvé mort près d'un fleuve. Un lama mort a été découvert au bord de l'Aude dimanche dernier. Les gendarmes s'interrogent sur sa provenance et recherchent son propriétaire. Photo d'illustration domaine public Macabre découverte pour une famille dimanche dernier. Alors qu'ils se garaient pour aller pêcher sur les rives de l'Aude, à Fleury-d'Aude, les membres de cette famille ont eu la mauvaise surprise de tomber sur...un lama mort, rapporte Midi Libre. Un décès probablement récent.La mère de famille a aussitôt prévenu la gendarmerie. La carcasse de l'animal, qui commençait à se décomposer, a été retirée de la route mercredi par un équarrisseur. Le décès remonterait à il y a peu de temps. Le lama ne présentait pas de blessures visibles, ni de traces de maltraitances, assurent des témoins. Le propriétaire du lama introuvableUne enquête a cependant été ouverte. Car nul ne sait d'où vient l'animal. Il pourrait s'être échappé d'un enclos ou d'un cirque, bien qu'aucun chapiteau ne se soit installé récemment à Fleury-d'Aude. Les gendarmes recherchent donc le propriétaire du lama.
Le criquet, la sauterelle et le grillon sont tous trois des insectes comestibles de l'ordre des orthoptères, munis d'ailes qu'ils portent le long de leur dos et de pattes arrière particulièrement musclées qui leur permettent de sauter. Quelques différences permettent de les distinguer. Pour distinguer un criquet d'une sauterelle ou d'un grillon, impossible de se fier à sa couleur. Il existe aussi bien des criquets verts que des sauterelles grises et vice versa. La taille n'est pas forcément significative non plus. Il existe, en effet, plusieurs milliers d'espèces de sauterelles, de criquets et de grillons, dont les caractéristiques peuvent varier. Sachez également que grillons, sauterelles et même criquets sont des insectes chanteurs. Chez les deux premiers, ce sont les mâles qui émettent des sons en frottant leurs ailes les unes contre les autres. Chez le criquet, la femelle chante aussi. Et les sons sont produits par le frottement des pattes contre les ailes. Le criquet est exclusivement herbivore. La sauterelle, quant à elle, est omnivore ou carnivore et le grillon est omnivore ou détritivore.
Différences entre grillon et sauterelle : pattes, cerques, ailes… Reste maintenant à différencier grillon et sauterelle. D'abord par la couleur, éventuellement, car il n'existe pas de grillon au corps vert. Les pattes arrière de ce dernier sont par ailleurs très écartées du corps. En outre, les grillons présentent, au bout de leur abdomen, deux cerques — deux pointes bien visibles — tout à fait caractéristiques.
Attention à la confusion : en anglais, grillon se dit« cricket ». Quant aux ailes des grillons, elles sont placées à plat sur leur dos alors que celles des sauterelles se situent sur le côté du corps. Enfin, les grillons ont tendance à fuir le soleil ; certains sont même nocturnes. S'ils peuvent sauter, ils préfèrent toutefois se cacher dans des terriers.
Cigogne blanche, Parc naturel Alentejano et Costa Vicentina Portugal. Les cigognes blanches pondent généralement quatre œufs qui éclosent une trentaine de jours après. Les parents se relaient pour l’incubation maisaussi pour nourrir leurs petits une fois qu’ils ont vu le jour. Cette espèce est carnivore : elle consomme aussi bien des insectes, des mollusques et des poissons que des petits reptiles, des oiseaux ou des invertébrés. Grande migratrice, la cigogne passe l’hiver en Afrique mais pond ses œufs en Europe au cours de l’été.
Il Faut que Je Partage, Ils Sont Trop Choux... S'entendre Comme Chien & Chat S'entendrecomme chienet chat est une expression populaire déjà employée au XVIIè siècle pour désigne deuxindividus qui se disputent sans arrêt et ne peuvent cohabiter. Et bien voici quelques images qui prouvent le contraire.
Avoir Un Bon Copain Voilà c'qu'il y a de meilleur au monde ..... Sous ton aile, non pardon sur ton dos...on se sens bien .... Une bonne sieste entre amis il n'y a rien de mieux ! Quand il me prend dans ses bras ... Je vois la vie en rose .... Ah s'qu'on s'aimait, s'qu'on s'aimait tous les deux ....
Deux hippopotames sauvent un gnou de la mâchoire d’un crocodile.
Promis à une mort certaine, un gnou a pu compter sur l’arrivée providentielle de deux hippopotames. C’est ce qui s’appelle arriver au bon moment. En visite au Parc national Kruger, la plus grande réserve animalière d’Afrique du Sud, un couple depensionnés a été témoin d’une scène pour le moins étonnante. Mervyn et Tokkie Van Wyk observaient les zèbres, gnous et autres impalas se prélasser de l’autre côté de la rive lorsque l’un des gnous, qui s’étaitapproché un peu trop près de l’eau, s’est fait happer par un crocodile qui n’en demandait pas tant. Au bon endroit au bon moment. Luttant durant de longues minutes pour sa survie, le mammifère, blessé et probablement éreinté, était sur le point d’être emmené sous l’eau lorsque deux hippopotames sont arrivés. Après quelques secondes d’observation, les deux mastodontes se sont précipités vers le crocodile, l’obligeant à lâcher sa proie. Altruistes les hippos? Pas vraiment. Les deux touristes ont-ils pour autant assisté à un acte héroïque des deux hippopotames? Probablement pas, estime Douglas McCauley, professeurà la University of California Santa Barbara. Comme il l’explique à National Geographic, les deux hippos, pas vraiment altruistes de nature, ont simplement défendu leur territoire. A la fois contre le crocodile qui s’est manifestement trop approché, mais aussi le gnou. En effet, les hippoptames n’apprécient que très moyennement qu’un autre animal s’invite dans l’eau, rappelle le scientifique. L’histoire ne dit pas ce qu’il est advenu du gnou miraculé. Malheureusement, le pauvre animal n’a que peu de chances de survivre avec une patte broyée.
La compétition fait rage entre les fous de Bassan à l'affût des maquereaux.
Photographiés ici près des côtes écossaises, ces oiseaux des mers commencent leur plongée plus de 15 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Au moment où ils pénètrent dans l'eau, ils peuvent atteindre une vitesse de 96 kilomètres par heure.
PHOTOGRAPHIE DE GREG LECOEUR,
Merci à Emanuelle Saporta
Sur le rapport qu’entretient le chat avec l’eau, on entend presque autant de versions qu’il y a d’animaux. Difficile de tirer des généralités… En revanche, on peut en déduire que les chats n’ont pas une peur irraisonnée de l’eau.
La baignade.
Certains chats, dont ceux à poils longs, réclament un entretien régulier de leur pelage et se laissent baigner, puis sécher et brosser sans rechigner.
Pour d’autres, la baignade peut même devenir un plaisir ; ils prennent l’habitude – tout petits – de sauter dans la baignoire pour participer au bain des enfants. Encore une fois, pas de généralités, mais des attitudes qui varient selon les individus.
Quelques chats se baignent volontairement dans les piscines ou viennent s’y désaltérer en été. Les risques de chute existent. « La plupart du temps,ils effectuent un mouvement violent de torsion du corps, ils ”rebondissent” pour en sortir aussitôt comme s’ils prenaient appui sur l’eau. Certains nagent pour regagner l’escalier, d’autres n’arrivent pas à imaginer qu’ils peuvent se déplacer pour sortir et restent agrippés au rebord, parfois longtemps, avant d’être repêchés. »
Heureusement, les noyades sont rares. Mais pour éviter ce genre de situation, utilisez une alarme de piscine.
La pluie.
Craint-il la pluie ? « Le chat va réduire la fréquence de ses sorties par temps pluvieux, mais pas d’inquiétude : quand le poil est mouillé en surface, la peau ne l’est pas, car l’eau perle sur la fourrure », rassure Nicolas Massal. La pluie n’est donc pas un obstacle majeur à ses déplacements.
Et les flaques d’eau ?.
« Les chats prennent toujours le même chemin pour aller d’un point à l’autre, au jardin par exemple. Si des flaques se trouvent sur leur passage, certains ne changeront pas leur trajet pour autant, sauf si elles sont vraiment profondes. »
Janus, la tortue grecque à deux têtes, est la mascotte battante du Muséum d'histoire naturelle de Genève.
Janus, la tortue grecque à deux têtes, est la vedette (ou sont les vedettes) du Muséum d’histoire naturelle de Genève, en Suisse. L’animal bat des records mondiaux de longévité, grâce à la captivité, des UV et aucune activité sexuelle.
Il existe très peu de tortues bicéphales en captivité. Les plus âgées sont mortes au bout de quelques années. Janus en est l’exception: toujours dans son terrarium spécial au Muséum d’histoire naturelle dans la Ville de Genève, la curiosité mondiale s’apprête à souffler ses 20 bougies.
Le 3 septembre 1997, l’animal est éclos d’un oeuf qui avait été placé dans une couveuse de l’animalerie du musée genevois. La tortue est baptisée Janus, en référence au Dieu romain à deux têtes qui est la divinité du commencement et de la fin. La propriétaire de Janus a décidé d’en faire don au Muséum suisse.
Un lama mort a été découvert au bord de l'Aude dimanche dernier. Les gendarmes s'interrogent sur sa provenance et recherchent son propriétaire.
Photo d'illustration domaine public
Macabre découverte pour une famille dimanche dernier. Alors qu'ils se garaient pour aller pêcher sur les rives de l'Aude, à Fleury-d'Aude, les membres de cette famille ont eu la mauvaise surprise de tomber sur...un lama mort, rapporte Midi Libre.
Un décès probablement récent. La mère de famille a aussitôt prévenu la gendarmerie. La carcasse de
l'animal, qui commençait à se décomposer, a été retirée de la route mercredi par un équarrisseur. Le décès remonterait à il y a peu de temps.
Le lama ne présentait pas de blessures visibles, ni de traces de maltraitances, assurent des témoins.
Le propriétaire du lama introuvable Une enquête a cependant été ouverte. Car nul ne sait d'où vient l'animal.
Il pourrait s'être échappé d'un enclos ou d'un cirque, bien qu'aucun chapiteau ne se soit installé récemment à Fleury-d'Aude. Les gendarmes recherchent donc le propriétaire du lama.
Nathalie Mayer Journaliste
Le criquet, la sauterelle et le grillon sont tous trois des insectes comestibles de l'ordre des orthoptères, munis d'ailes qu'ils portent le long de leur dos et de pattes arrière particulièrement musclées qui leur permettent de sauter. Quelques différences permettent de les distinguer.
Pour distinguer un criquet d'une sauterelle ou d'un grillon, impossible de se fier à sa couleur.
Il existe aussi bien des criquets verts que des sauterelles grises et vice versa. La taille n'est pas forcément significative non plus. Il existe, en effet, plusieurs milliers d'espèces de sauterelles, de criquets et de grillons, dont les caractéristiques peuvent varier.
Sachez également que grillons, sauterelles et même criquets sont des insectes chanteurs.
Chez les deux premiers, ce sont les mâles qui émettent des sons en frottant leurs ailes les unes contre les autres. Chez le criquet, la femelle chante aussi. Et les sons sont produits par le frottement des pattes contre les ailes.
Le criquet est exclusivement herbivore. La sauterelle, quant à elle, est omnivore ou carnivore et le grillon est omnivore ou détritivore.
© Monika Betley, Wikipédia, CC by-sa 3.0
Les ailes des sauterelles se situent sur le côté du corps.
Le criquet a des antennes courtes.
Le premier élément visuel qui distingue criquet d'un côté et grillon et sauterelle de l'autre, ce sont les antennes. Le premier fait partie, dans l'ordre des orthoptères — qui signifie « ailes droites » —, au sous-ordre des caelifères, dont les membres présentent des antennes courtes et épaisses. Grillons et sauterelles sont des ensifères : ils possèdent des antennes longues et fines.
© brenkee, Pixabay, DP
Le criquet possède les antennes les plus courtes
Différences entre grillon et sauterelle : pattes, cerques, ailes…
Reste maintenant à différencier grillon et sauterelle. D'abord par la couleur, éventuellement, car il n'existe pas de grillon au corps vert. Les pattes arrière de ce dernier sont par ailleurs très écartées du corps. En outre, les grillons présentent, au bout de leur abdomen, deux cerques — deux pointes bien visibles — tout à fait caractéristiques.
© thithawat, Pixabay, DP
Ici, on distingue bien les longues antennes et les deux cerques du grillon.
Attention à la confusion : en anglais, grillon se dit« cricket ».
Quant aux ailes des grillons, elles sont placées à plat sur leur dos alors que celles des sauterelles se situent sur le côté du corps. Enfin, les grillons ont tendance à fuir le soleil ; certains sont même nocturnes. S'ils peuvent sauter, ils préfèrent toutefois se cacher dans des terriers.
Les cigognes blanches pondent généralement quatre œufs qui éclosent une trentaine de jours après. Les parents se relaient pour l’incubation maisaussi pour nourrir leurs petits une fois qu’ils ont vu le jour. Cette espèce est carnivore : elle consomme aussi bien des insectes, des mollusques et des poissons que des petits reptiles, des oiseaux ou des invertébrés. Grande migratrice, la cigogne passe l’hiver en Afrique mais pond ses œufs en Europe au cours de l’été.
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S'entendre Comme Chien & Chat
S'entendre comme chien et chat est une expression populaire déjà employée au XVIIè siècle pour désigne deux individus qui se disputent sans arrêt et ne peuvent cohabiter.
Et bien voici quelques images qui prouvent le contraire.
Avoir Un Bon Copain
Voilà c'qu'il y a de meilleur au monde .....
Sous ton aile, non pardon sur ton dos...on se sens bien ....
Une bonne sieste entre amis il n'y a rien de mieux !
Quand il me prend dans ses bras ...
Je vois la vie en rose ....
Ah s'qu'on s'aimait, s'qu'on s'aimait tous les deux ....
Voici deux grands amis...
Promis à une mort certaine, un gnou a pu compter sur l’arrivée providentielle de deux hippopotames.
C’est ce qui s’appelle arriver au bon moment. En visite au Parc national Kruger, la plus grande réserve animalière d’Afrique du Sud, un couple depensionnés a été témoin d’une scène pour le moins étonnante.
Mervyn et Tokkie Van Wyk observaient les zèbres, gnous et autres impalas se prélasser de l’autre côté de la rive lorsque l’un des gnous, qui s’étaitapproché un peu trop près de l’eau, s’est fait happer par un crocodile qui n’en demandait pas tant.
Au bon endroit au bon moment.
Luttant durant de longues minutes pour sa survie, le mammifère, blessé et probablement éreinté, était sur le point d’être emmené sous l’eau lorsque deux hippopotames sont arrivés. Après quelques secondes d’observation, les deux mastodontes se sont précipités vers le crocodile, l’obligeant à lâcher sa proie.
Altruistes les hippos? Pas vraiment.
Les deux touristes ont-ils pour autant assisté à un acte héroïque des deux hippopotames? Probablement pas, estime Douglas McCauley, professeurà la University of California Santa Barbara. Comme il l’explique à National Geographic, les deux hippos, pas vraiment altruistes de nature, ont simplement défendu leur territoire. A la fois contre le crocodile qui s’est manifestement trop approché, mais aussi le gnou. En effet, les hippoptames n’apprécient que très moyennement qu’un autre animal s’invite dans l’eau, rappelle le scientifique.
L’histoire ne dit pas ce qu’il est advenu du gnou miraculé. Malheureusement, le pauvre animal n’a que peu de chances de survivre avec une patte broyée.