Trop matinal pour ces vacanciers, le coq Maurice est sommé de se taire et sa maîtresse est menacée de poursuites judiciaires ! Il faut sauver Maurice, le coq de l'île d'Oléron ! C'est le titre d'une pétition qui a déjà recueilli plusieurs dizaines de milliers de signatures. En effet, les voisins de Maurice veulent sa peau. Motif : l'animal les réveille beaucoup trop tôt, eux qui ont récemment fait construire une résidence de vacances à côté de son poulailler. « J'habite et je suis née à l'île d'Oléron. Depuis toujours, nous avons eu un poulailler, bien avant qu'une résidence se construise derrière notre mur, a expliqué Corinne Fesseau, la propriétaire de Maurice. Depuis une dizaine d'années, deux maisons se sont également accolées derrière notre mur. Sur les deux voisins, un seul (qui ne vient que trois fois par an) ne supporte pas d'entendre le chant de notre coq. » Corinne Fesseau
Tous les matins, à Saint-Pierre d'Oléron, Maurice se campe fièrement sur ses pattes et chante à pleins poumons le lever du jour nouveau. Ce joli coqde Marans de deux ans vit en compagnie de sa maîtresse, Corinne Fesseau, elle aussi chanteuse de métier, qu'on surnomme d'ailleurs là-bas la «Piaf d'Oléron ». Un coq qui chante dans une petite commune de campagne, au fond, rien de bien anormal de prime abord. Oui, mais voilà : depuis quelque temps, des vacanciers récemment installés dans la région veulent clouer le bec à l'auguste gallinacé, ne supportant pas d'être réveillés au point du jour par les vocalises de l'animal ! Les voisins en question, propriétaires d'une résidence secondaire récemment construite sur le terrain situé derrière le mur de la maison de Corinne Fesseau, ne viennent à Oléron que trois fois par an, selon cette dernière. Qu'importe : le chant du coq les gêne, et ils sont prêts à monter eux aussi sur leurs ergots pour le faire savoir ! Après avoir envoyé une première plainte en mai, après être revenus plusieurs fois à la charge en juillet, ils la menacent désormais de poursuites en justice si elle ne trouve pas « une solution » dans les quinze jours, par le biais d'une lettre recommandée envoyée par un conciliateur juridique. La missive cite plusieurs articles de loi, références à l'appui... et fait valoir qu'en les empêchant de dormir, le coq « met endanger leur santé » ! Pourtant, Corinne Fesseau avait bien tenté d'apaiser les esprits et consenti à faire des efforts pour arranger ces voisins ! La chanteuse a ainsi calfeutré le poulailler pour empêcher la lumière du jour de passer, n'ouvrant la porte qu'à 8h30 pour habituer Maurice à décaler un peu l'heure du réveil. Mais l'horloge biologique de l'animal, qui le tire du lit dès 6h30 du matin, est tenace. Pour diminuer le bruit, s'inspirant de la technique utilisée pour insonoriser les studios de chant, elle a même créé une isolation phonique de la maison de Maurice, en garnissant les parois du poulailler de boîte d'œufs en carton (un comble !). Las, malgré toute la bonne volonté du monde et en dépit des tentatives de la maîtresse de Maurice, les voisins semblent déterminés à lui voler dans les plumes. Alors, en désespoir de cause, Corinne Fesseau a lancé une pétition pour sauver son coq, recueillant à ce jour plus de 30 000 signatures. Elle a même organisé une marche avec Maurice à travers le village ! Depuis, les voisins n'ont plus donné signe de vie, pour l'instant tout au moins. « Il y a trop de gens qui viennent en vacances et se plaignent du bruit des vaches, des chiens, des grenouilles, des cloches, ce n'est pas normal, ces bruits étaient là avant eux, ils doivent les accepter, » s'indigne la chanteuse. Elle est rejointe par Christophe Sueur, le maire de Saint-Pierre d'Oléron, qui se dit prêt à poser au besoin un arrêté municipal pour sauver la tête de Maurice, « Ce serait certainement une première, s'amuse-t-il, mais ici je considère qu'on est dans un tissu rural, le chant du coq fait partiede ces éléments, je protégerai le coq pour défendre notre façon de vivre, tout simplement » L'histoire n'est pas sans rappeler un événement similaire survenu il y a quelques mois, lorsqu'un éleveur de vaches du Cantal s'était vu contraint de déménagersa ferme au motif que ses voisins, un couple de retraités récemment installés, n'arrivaient pas à se faire à l'odeur de ces animaux.
Gros plans sur des colibris aux couleurs superbesLorsqu’il est question d’oiseaux, les termes « fort » ou « beau » pourraient inspirer des images d’aigles féroces ou celles de perroquets tropicaux décadents. Mais ces deux oiseaux trouveront certainement un sérieux candidat en la « personne » des colibris, qui possèdent une beauté sensible unique et une maîtrise des manœuvres aériennes comme aucun autre oiseau. Pour justifier nos propos, rien de tel qu’une série de photos de colibris en gros plan. Et vous allez voir que les couleurs de leur plumage sont exceptionnelles. Quand on sait que les colibris de certaines espèces sont capables de battre leurs ailes à 52 battements par seconde, on imagine la difficulté de prendre des photos aussi nettes ! Brillant fer-de-lance Colibri d’Elliot Colibri roux Colibri de Costa Colibri roux Loddigésie admirable Colibri insigne Colibri roux Dryade couronnée Colibri roux Campyloptère violet Colibri d’Anna Colibri insigne Colibri d’Elliot Colibri insigne Colibri d’Anna Colibri roux Non spécifié Non spécifié
Des ours apprennent la vie à leurs petitsLes ours sont tellement mignons… Les mamans ourses sont très dévouées et aiment passer de longs et précieux moments au printemps pour éduquer leurs jeunes oursons. C’est pourquoi nous avons recueilli cette liste de 21 photos d’ours et leurs petits prises à des moments adorables. Les ours hivernent (contrairement à l’hibernation), ce qui n’entraîne pas une interruption de toutes leurs activités physiologiques. La température de leur corps descend relativement bas, mais ils peuvent se réveiller facilement. Les organes vitaux restent à une température normale pour réagir en cas de danger et l’ourse donne naissance aux petits pendant l’hiver. Au cours de l’hivernation, les ourses de diverses espèces perdent jusqu’à la moitié de leur masse corporelle. Une fois que les ours finissent leur hivernation, il est temps pour les petits d’apprendre avec des exemples. Leurs mères leur montre comment survivre et les petits font de leur mieux pour garder le rythme. Après tout, dans 2 ou 3 ans, leur mère va les chasser afin qu’ils commencent leur propre vie indépendante.
Une vie de chat ! Nos amis les félins ne manquent vraiment pas d’humour quand ils se prennent pour des humains ! Mais par dessus tout, ils sont aussi terriblement malins, rusés, mignons et toujours craquants !
Il découvre une taupe vivante dans la bouche du poisson qu’il vient de pêcher. Habituellement, il est bien plus courant de retrouver des déchets ou autres sacs plastiques dans les estomacs des animaux marins tant les océans et rivières sont pollués, l’Américain Monroe Mackinney a, lui, fait une découverte un peu spéciale après une partie de pêche dans le Missouri. Alors qu’il commençait à s’impatienter après trois heures sans avoir réussi à attraper un poisson, ses efforts ont enfin payé en effectuant une prisevraiment pas comme les autres avec 2 bêtes en même temps : en regardantdans la bouche du poisson, le jeune homme de 22 ans a en effet remarquéla présence… d’une taupe ! “Je voulais enlever mon hameçon de sa bouche quand j’ai vu quelque chose bouger”, a-t-il expliqué aux médias US. “Je ne savais pas ce que c’était, mais j’étais sur le point de le remettre à l’eau quand j’ai remarqué qu’il s’agissait d’une taupe”. Immédiatement partagé sur les réseaux sociaux, son histoire à très vite fait le tour du monde.
Quand les hiboux jouent à cache-cache…Lorsque les hiboux chassent, ils utilisent leurs ailes silencieuses et le voile obscur de la nuit pour capturer leurs proies. Durant la journée, cependant, ils utilisent leur plumage extrêmement réussi pour se camoufler et rester cachés des prédateurs diurnes. Arriverez-vous à trouver les hiboux dans toutes ces images ? C’est incroyable à quel point les plumes de ces hiboux leur permettent de se fondre dans leur environnement ! Mais ce n’est pas tout. Les hiboux peuvent se gonfler ou se mincir si nécessaire pour s’adapter aux différents éléments de leur environnement et éviter d’être repérés. Quand il n’ulule pas, cet oiseau discret dort paisiblement, bien caché dans un tronc d’arbre.
Manchots royaux sur la baie de St Andrews, Géorgie du Sud On dirait presque que ce groupe de pingouins n’attendaient qu’une chose : être photographié. La Baie de St Andrew est le lieu d’habitation de nombreuses espèces de mammifères. Parmi elles, il y a bien sûr les manchots royaux. Nos amis noirs et blancs sont d’ailleurs habitués aux photographes et au matériel de ces derniers : ils les observent glisser autour de la plage dans l’espoir de capturer LA bonne photo.Comme notre image du jour, qui célèbre la journée mondiale de la photographie !
Renne Ou Caribou... On le nomme « renne » en Europe et « caribou » en Amérique du Nord. Il s’agit en fait du même animal (Rangifer tarandus) qui parcourt inlassablement les régions froides de notre planète. Ce mammifère qui porte des bois imposants parcourait déjà durant la préhistoire les steppes arides et froides. En effet, le renne, tel que nous le connaissons aujourd’hui, n’a subi pratiquement aucune mutation depuis le paléolithique supérieur. Selon le continent sur lequel il s’est fixé, le renne a connu un destin différent : vie sauvage pour certains ou domestication pour d’autres.
Durant tout l’été, les troupeaux sont harcelés par les mouches, les moustiques ou les varrons. Le bourdonnement incessant affole les animaux qui se mettent à courir pendant des kilomètres et cela jusqu’au bord de l’épuisement. La Constitution Du Harem. A la fin du mois de septembre, la saison des amours commence pour les caribous. Seuls les mâles les plus vigoureux pourront s’accoupler. L’objectif d’un mâle est de constituer un harem dont il sera l’unique reproducteur. Pendant 2 à 3 semaines, les mâles s’affrontent en combats singuliers. Ce sont en quelque que sorte des tournois éliminatoires qui deviennent de plus en plus violents au fur et à mesure que les prétendants sont éliminés. Cependant, les combats ne sont jamais mortels et les blessures sont plutôt rares. Un Renne portant sur son dos...une fillette...
Même à la fin du printemps, il fait très froid dans le Grand Nord. Le faon est léché dès sa naissance par sa mère pour éviter que son poil gèle. Au bout de trois jours, le jeune doit être capable de suivre le troupeau. Le lait des femelles est quatre fois plus riche que celui d’une vache. Le faon tête toutes les 18 minutes pour grandir rapidement. A sa naissance,le bébé ne pèse que 6 ou 7 kilos mais un mois plus tard, il en pèsera déjà 26. Si la femelle conserve ses bois durant l’hiver c’est parce que cela lui donne des avantages pour élever son petit. Elle peut creuser la neige pour trouver la nourriture, se défendre contre les prédateurs. De plus, les bois représentent une réserve de calcium. Le fœtus puise dans cette réserve si l’alimentation de sa mère n’en contient pas assez. Le faon reste près de sa mère pendant près d’un an. Pour le retrouver au milieu du troupeau, elle dispose du larmier. C’est une glande, située sous l’orbite de l’œil, qui lui permet d’imprimer son odeur en frottant sa tête contre le corps du faon. Environ ¼ des faons meurent avant d’atteindre un mois. 50 à 80% des jeunes mourront avant leur première année. Heureusement, les femelles sont très fertiles et 90% d’entre elles ont un petit chaque année. Classification: Animalia. Vertebrata. Mammalia. Artiodactyla . Cervidae. Rangifer
Il faut sauver Maurice, le coq de l'île d'Oléron !
C'est le titre d'une pétition qui a déjà recueilli plusieurs dizaines de milliers de signatures. En effet, les voisins de Maurice veulent sa
peau. Motif : l'animal les réveille beaucoup trop tôt, eux qui ont récemment fait construire une résidence de vacances à côté de son
poulailler.
« J'habite et je suis née à l'île d'Oléron. Depuis toujours, nous avons eu un poulailler, bien avant qu'une résidence se construise derrière notre mur, a expliqué Corinne Fesseau, la propriétaire de Maurice. Depuis une dizaine d'années, deux maisons se sont également accolées derrière notre mur. Sur les deux voisins, un seul (qui ne vient que trois fois par an) ne supporte pas d'entendre le chant de notre coq. »
Corinne Fesseau
Tous les matins, à Saint-Pierre d'Oléron, Maurice se campe fièrement sur ses pattes et chante à pleins poumons le lever du jour nouveau. Ce joli coqde Marans de deux ans vit en compagnie de sa maîtresse, Corinne Fesseau, elle aussi chanteuse de métier, qu'on surnomme d'ailleurs là-bas la «Piaf d'Oléron ».
Un coq qui chante dans une petite commune de campagne, au fond, rien de bien anormal de prime abord. Oui, mais voilà : depuis quelque temps, des vacanciers récemment installés dans la région veulent clouer le bec à l'auguste gallinacé, ne supportant pas d'être réveillés au point du jour par les vocalises de l'animal !
Les voisins en question, propriétaires d'une résidence secondaire récemment construite sur le terrain situé derrière le mur de la maison de Corinne Fesseau, ne viennent à Oléron que trois fois par an, selon cette dernière. Qu'importe : le chant du coq les gêne, et ils sont prêts à monter eux aussi sur leurs ergots pour le faire savoir !
Après avoir envoyé une première plainte en mai, après être revenus plusieurs fois à la charge en juillet, ils la menacent désormais de poursuites en justice si elle ne trouve pas « une solution » dans les quinze jours, par le biais d'une lettre recommandée envoyée par un conciliateur juridique. La missive cite plusieurs articles de loi, références à l'appui... et fait valoir qu'en les empêchant de dormir, le coq « met endanger leur santé » !
Pourtant, Corinne Fesseau avait bien tenté d'apaiser les esprits et consenti à faire des efforts pour arranger ces voisins ! La chanteuse a ainsi calfeutré le poulailler pour empêcher la lumière du jour de passer, n'ouvrant la porte qu'à 8h30 pour habituer
Maurice à décaler un peu l'heure du réveil. Mais l'horloge biologique de l'animal, qui le tire du lit dès 6h30 du matin, est tenace. Pour
diminuer le bruit, s'inspirant de la technique utilisée pour insonoriser les studios de chant, elle a même créé une isolation phonique de la maison de Maurice, en garnissant les parois du poulailler de boîte d'œufs en carton (un comble !).
Las, malgré toute la bonne volonté du monde et en dépit des tentatives de la maîtresse de Maurice, les voisins semblent déterminés à lui voler dans les plumes. Alors, en désespoir de cause, Corinne Fesseau a lancé une
pétition pour sauver son coq, recueillant à ce jour plus de 30 000 signatures. Elle a même organisé une marche avec Maurice à travers le village ! Depuis, les voisins n'ont plus donné signe de vie, pour l'instant tout au moins.
« Il y a trop de gens qui viennent en vacances et se plaignent du bruit des vaches, des chiens, des grenouilles, des cloches, ce n'est pas normal, ces bruits étaient là avant eux, ils doivent les accepter, » s'indigne la chanteuse. Elle est rejointe par Christophe Sueur, le maire de Saint-Pierre d'Oléron, qui se dit prêt à poser au besoin un arrêté municipal pour sauver la tête de Maurice, « Ce serait certainement une première, s'amuse-t-il, mais ici je considère qu'on est dans un tissu rural, le chant du coq fait partiede ces éléments, je protégerai le coq pour défendre notre façon de vivre, tout simplement »
L'histoire n'est pas sans rappeler un événement similaire survenu il y a quelques mois, lorsqu'un éleveur de vaches du Cantal s'était vu contraint de déménagersa ferme au motif que ses voisins, un couple de retraités récemment installés, n'arrivaient pas à se faire à l'odeur de ces animaux.
Gros plans sur des colibris aux couleurs superbesLorsqu’il est question d’oiseaux, les termes « fort » ou « beau » pourraient inspirer des images d’aigles féroces ou celles de perroquets
tropicaux décadents. Mais ces deux oiseaux trouveront certainement un
sérieux candidat en la « personne » des colibris, qui possèdent une beauté sensible unique et une maîtrise des manœuvres aériennes comme aucun autre oiseau. Pour justifier nos propos, rien de tel qu’une série de photos de colibris en gros plan.
Et vous allez voir que les couleurs de leur plumage sont exceptionnelles. Quand on sait que les colibris de certaines espèces
sont capables de battre leurs ailes à 52 battements par seconde, on imagine la difficulté de prendre des photos aussi nettes !
Brillant fer-de-lance
Colibri d’Elliot
Colibri roux
Colibri de Costa
Colibri roux
Loddigésie admirable
Colibri insigne
Colibri roux
Dryade couronnée
Colibri roux
Campyloptère violet
Colibri d’Anna
Colibri insigne
Colibri d’Elliot
Colibri insigne
Colibri d’Anna
Colibri roux
Non spécifié
Non spécifié
Des ours apprennent la vie à leurs petitsLes ours sont tellement mignons… Les mamans ourses sont très dévouées et aiment passer de longs et précieux moments au printemps pour éduquer leurs jeunes oursons. C’est pourquoi nous avons recueilli cette liste de 21 photos d’ours et leurs petits prises à des moments adorables.
Les ours hivernent (contrairement à l’hibernation), ce qui n’entraîne pas une interruption de toutes leurs activités physiologiques. La
température de leur corps descend relativement bas, mais ils peuvent se
réveiller facilement. Les organes vitaux restent à une température
normale pour réagir en cas de danger et l’ourse donne naissance aux
petits pendant l’hiver. Au cours de l’hivernation, les ourses de
diverses espèces perdent jusqu’à la moitié de leur masse corporelle.
Une fois que les ours finissent leur hivernation, il est temps pour les petits d’apprendre avec des exemples. Leurs mères leur montre
comment survivre et les petits font de leur mieux pour garder le rythme.
Après tout, dans 2 ou 3 ans, leur mère va les chasser afin qu’ils
commencent leur propre vie indépendante.
Nos amis les félins ne manquent vraiment pas d’humour quand ils se prennent pour des humains ! Mais par dessus tout, ils sont aussi terriblement malins, rusés, mignons et toujours craquants !
Habituellement, il est bien plus courant de retrouver des déchets ou autres sacs plastiques dans les estomacs des animaux marins tant les océans et rivières sont pollués, l’Américain Monroe Mackinney a, lui, fait une découverte un peu spéciale après une partie de pêche dans le Missouri.
Alors qu’il commençait à s’impatienter après trois heures sans avoir réussi à attraper un poisson, ses efforts ont enfin payé en effectuant une prisevraiment pas comme les autres avec 2 bêtes en même temps : en regardantdans la bouche du poisson, le jeune homme de 22 ans a en effet remarquéla présence… d’une taupe !
“Je voulais enlever mon hameçon de sa bouche quand j’ai vu quelque chose bouger”, a-t-il expliqué aux médias US. “Je ne savais pas ce que c’était, mais j’étais sur le point de le remettre à l’eau quand j’ai remarqué qu’il s’agissait d’une taupe”.
Immédiatement partagé sur les réseaux sociaux, son histoire à très vite fait le tour du monde.
En Amazonie une famille de loutres doit protéger leurs jeunes contre un caïman.
journée, cependant, ils utilisent leur plumage extrêmement réussi pour
se camoufler et rester cachés des prédateurs diurnes. Arriverez-vous à trouver les hiboux dans toutes ces images ?
C’est incroyable à quel point les plumes de ces hiboux leur permettent de se fondre dans leur environnement ! Mais ce n’est pas
tout. Les hiboux peuvent se gonfler ou se mincir si nécessaire pour
s’adapter aux différents éléments de leur environnement et éviter d’être
repérés. Quand il n’ulule pas, cet oiseau discret dort paisiblement,
bien caché dans un tronc d’arbre.
On dirait presque que ce groupe de pingouins n’attendaient qu’une chose : être photographié. La Baie de St Andrew est le lieu d’habitation de nombreuses espèces de mammifères. Parmi elles, il y a bien sûr les manchots royaux. Nos amis noirs et blancs sont d’ailleurs habitués aux photographes et au matériel de ces derniers : ils les observent glisser autour de la plage dans l’espoir de capturer LA bonne photo.Comme notre image du jour, qui célèbre la journée mondiale de la photographie !
On le nomme « renne » en Europe et « caribou » en Amérique du Nord. Il s’agit en fait du même animal (Rangifer tarandus) qui parcourt inlassablement les régions froides de notre planète.
Ce mammifère qui porte des bois imposants parcourait déjà durant la préhistoire les steppes arides et froides.
En effet, le renne, tel que nous le connaissons aujourd’hui, n’a subi pratiquement aucune mutation depuis le paléolithique supérieur.
Selon le continent sur lequel il s’est fixé, le renne a connu un destin différent : vie sauvage pour certains ou domestication pour d’autres.
Le Renne...Un Survivant de l’ère Glaciaire Le renne est apparu sous sa forme actuelle il y a plus d’un million d’années dans la zone du détroit de Béring, alors en partie asséché.
De là, les rennes se sont dispersés vers l’est et vers l’ouest pour peupler l’ensemble des zones arctiques du pôle Nord.
Renouvellement Des Bois. © dinosoria.com
Le renne a côtoyé le mammouth et le rhinocéros laineux. Contrairement à eux, le renne a survécu aux changements climatiques successifs de l’ère quaternaire.
Les scientifiques attribuent cette survie aux faibles exigences alimentaires du renne.
Rangifer Tarandus. © dinosoria.com
On connaît moins bien les ancêtres plus lointains du renne.Morenelaphus, qui vivait en Amérique du Sud, il y a cinq millions d’années, est peut-être l’un de ses lointains ancêtres.
Le renne était particulièrement répandu en Europe au paléolithique supérieur. Les nombreuses peintures rupestres le représentant témoignentde l’importance qu’il avait dans la vie de nos ancêtres.
Le renne a connu deux évolutions différentes. En Eurasie, le renne a été plus ou moins domestiqué. Il reste cependant quelques populations parfaitement sauvages.
© dinosoria.com Le renne était répandu en Europe au paléolithique supérieur.
En Amérique du Nord, il a pris le nom de « caribou » qui est d’origine algonquienne.Ce surnom vient du mot indien «xalibu» qui signifie « pelleteur ». En effet, le caribou se sert de ses sabots comme d’une pelle en creusant la neige pour trouver à manger.
En Amérique du Nord, il n’a jamais été domestiqué.
Les Différentes Espèces De Rennes.
On rencontre le renne dans toutes les régions qui bordent le pôle Nord : Groenland, Canada, Alaska, Sibérie, Scandinavie …
Selon la zone géographique, son mode de vie peut varier. Certains rennes sont capables de parcourir des milliers de kilomètres, tandis que d’autres sont grégaires.
Ces différences ont un impact sur les caractéristiques physiques de l’animal. C’est pourquoi, on distingue plusieurs sous-espèces dont une éteinte.
Le Caribou des bois (Rangifer tarandus caribou) : Sa grande taille et son pelage plus foncé distinguent ce caribou de ses congénères.
Un mâle pèse en moyenne 180 Kg.
Le caribou des bois ne se déplace pas en grands troupeaux. Ils vivent en petits groupes et sont extrêmement sauvages. Ils affectionnent les zonesde plaine plantée de sapins et parsemée de marais. Certains habitent des zones montagneuses, à plus de 2 000 m d’altitude.
Le Renne de la toundra (Rangifer tarandus groenlandicus) : C’est le plus répandu puisqu’on estime sa population à environ 1,2 million d’individus.
Un Mâle Pèse En Moyenne 145 kg.
Certains restent toute l’année dans la toundra, immense plaine où le sol reste toujours gelé en profondeur.
La plupart se rassemblent en immenses hardes pour migrer l’hiver dans la taïga. Ces troupeaux, très mobiles, peuvent ainsi parcourir des milliers de kilomètres chaque année.
La forme de l’Alaska, appelée « caribou de Grant » est légèrement plus grande que la forme canadienne.
De tous les cervidés, c’est le caribou de la toundra qui possède la plus grande ramure.
Caribou De La Toundra. By Giant Ginkgo
Le Caribou de Peary (Rangifer tarandus pearyi) : On ne le rencontre que dans les parties les plus septentrionales du
Canada, sur les îles de l’archipel arctique, où le climat est très rigoureux.
Il y vit pendant plus de 6 mois dans l’obscurité. Sa taille est plus modeste. Un mâle pèse au maximum 70 Kg. Le pelage est
clair, presque blanc.
Contrairement aux autres espèces, les bois sont presque verticaux.
Cette espèce dont la population n’excède pas 3 000 individus est considérée comme étant en voie d’extinction.
Le caribou de Grant (Rangifer tarandus granti).
Caribou des îles Reine-Charlotte (Rangifer tarandus dawsoni) : cette espèce est éteinte.
On trouve le renne d’Europe essentiellement en Scandinavie, en Sibérie et en Islande. Il est morphologiquement très proche du caribou de la toundra. Un mâle pèse en moyenne 100 kg.
Il subsiste environ 1 500 rennes sauvages à l’est de la Finlande. Afin d’éviter toute reproduction avec les rennes domestiques pour préserver le patrimoine génétique, une clôture de 100 km a été construite dans la forêt.
Le renne d’Europe effectue des migrations mais il est encadré par les hommes qui vivent de son élevage.
Caractéristiques Du Renne.
Le renne est capable de survivre à des températures de – 40°C. Pour cela, il bénéficie d’un manteau de fourrure constitué de deux couches :De longs poils creux, appelés « jarres » qui retiennent l’air chaud et Un épais duvet de laine.
A La Fin De L’hiver, Le Renne Mue & Perd Ses Poils.
Le sabot du renne a la particularité de s’adapter à la saison. En été, la bordure de corne se rétracte et laisse place à des coussinets de chair qui facilitent la marche dans les marécages. L’hiver, le sabot prend uneforme concave. Le bord devient coupant pour adhérer aux sols glissants.
Enfin, les coussinets de chair se rétrécissent et sont recouverts par des poils.
Sabot d'un renne. © dinosoria.com
Les lichens dont le renne se nourrit participent à la protection contre le froid. Ils sont très riches en sucres qui, en fermentant dans le rumen (une poche de l’estomac), produisent de la chaleur.
La température interne est maintenue à 37°C.
Par ailleurs, le renne emmagasine beaucoup d’eau dans ses tissus ce qui lui sert d’isolant thermique.
Cri du Renne (Son MP3)
Les sabots du renne font office de raquettes. Presque aussi larges que longs, ils servent à creuser pour trouver le précieux lichen mais également à propulser l’animal dans l’eau quand il traverse une rivière.
Le renne est capable de survivre à des températures de – 40°C. By Ianqui
Pour toutes les espèces, la femelle est plus petite que le mâle. Un renne peut vivre jusqu’à 15 ans et 20 ans en captivité.
Un renne peut courir à 80 km/h en vitesse de pointe.
La Ramure Du Renne Les bois peuvent atteindre 1,50 m d’envergure et peser jusqu’à 7 kg chez un mâle adulte. Ils sont constitués de:
Une Tige Centrale, Appelée « Merrain »
Plusieurs ramifications, « les andouillers »
Aucun Individu Ne Possède La Même Ramure.
Cette couronne est une véritable signature personnelle.
Les bois d'un renne peuvent atteindre 1,50 m d’envergure. © dinosoria.com
Les bois sont des excroissances osseuses du crâne qui se renouvellent tous les ans. Au début de la repousse, ils sont recouverts de « velours », une sorte de peau irriguée par de petits vaisseaux sanguins.
Ce sont eux qui acheminent les substances nutritives nécessaires à la croissance de la ramure.
Une fois la croissance terminée, le sang cesse de circuler, le tissu se dessèche et se détache par lambeaux, dévoilant la nouvelle ramure.
Chez le mâle, la ramure commence à pousser au mois de mars et atteint son apogée à la saison des amours.
Il la perd dès l’automne après la période de rut. La femelle conserve ses bois, d’une taille plus modeste, une grande partie de l’hiver.
La grande migration des caribous.
En Amérique du Nord, les rennes peuvent parcourir jusqu’à 6 000 km par an.
C’est la plus longue migration terrestre du monde animal.
Caribous en pleine migration. © dinosoria.com
À partir d’avril, quand le froid s’intensifie en Arctique, les caribous entament leur migration vers le nord. Ils profitent alors du bref été polaire.
Dès juillet, ils refont le parcours en sens inverse.
Les caribous, tous sexes confondus, peuvent alors former de gigantesques troupeaux de 120 000 têtes qui s’étirent sur une file de 300 km de long.
Une fois arrivés, ils se dispersent en petits groupes.
Quand il se déplace, le caribou fait entendre un cliquetis, audible à plus de100 m de distance. Ce bruit est dû au glissement des tendons sur les osde ses pattes.
Ce bruit de castagnettes assure la cohésion du troupeau pendant la longue migration.
En Amérique du Nord, les rennes peuvent parcourir jusqu’à 6 000 km par an. © dinosoria.com
Des chercheurs ont montré que les routes traditionnelles de migration sont enseignées par les femelles âgées qui voyagent en tête du troupeau.
Elles connaissent les bons pâturages et les aires d’hivernage. Quand ces femelles sont abattues par des chasseurs, le troupeau se désorganise et peut ne pas survivre.
Donc, outre l’instinct, la transmission d’une génération à l’autre est primordiale.
Pour mieux connaître les itinéraires des caribous et donc les protéger, un important programme de suivi par satellite a été initié par le gouvernement du Québec. Pour cela, des animaux ont été munis de colliersradio-émetteurs.
Les prédateurs du caribou et les dangers de la migration Les loups sont les principaux prédateurs des caribous. Dans certaines régions, le loup a été remplacé par le grizzli ou le lynx.
Les meutes de loups suivent toujours les caribous pendant leur migration.
Les loups chassent en meute. Ils repèrent une femelle et son petit, les encerclent, puis isolent le petit de la mère.
On estime qu’un seul loup tue entre 10 et 15 caribous par an.
Durant la longue transhumance, le caribou affronte le froid, la faim, les avalanches et les noyades.
By Mary Harrsch
L’été, le caribou doit faire face à un autre prédateur : l’oestre. C’est une mouche qui ressemble à un gros bourdon. Certaines espèces pondent sous la peau et d’autres déposent les œufs dans les cavités nasales.
Quand les larves se métamorphosent en insectes adultes, elles perforent la peau, occasionnant de grandes souffrances à l’animal.
Rennes qui migrent. © dinosoria.com
Durant tout l’été, les troupeaux sont harcelés par les mouches, les moustiques ou les varrons.
Le bourdonnement incessant affole les animaux qui se mettent à courir pendant des kilomètres et cela jusqu’au bord de l’épuisement.
La Constitution Du Harem. A la fin du mois de septembre, la saison des amours commence pour les caribous.
Seuls les mâles les plus vigoureux pourront s’accoupler.
L’objectif d’un mâle est de constituer un harem dont il sera l’unique reproducteur.
Pendant 2 à 3 semaines, les mâles s’affrontent en combats singuliers. Ce sont en quelque que sorte des tournois éliminatoires qui deviennent de plus en plus violents au fur et à mesure que les prétendants sont éliminés.
Cependant, les combats ne sont jamais mortels et les blessures sont plutôt rares.
Diriger et surveiller un harem n’est pas de tout repos. Le mâle doit avoir assez d’énergie pour les multiples accouplements mais aussi pour défendre ses femelles.
Dès qu’il s’accouple avec l’une d’entre elles, les autres mâles tentent leur chance avec les belles esseulées.
Faon. © NHPA
A la fin de la période des amours, le chef du harem est sur les « genoux ». D’ailleurs, ce travail est si épuisant qu’un mâle ne dirige un harem qu’une fois dans sa vie.
Cette caractéristique permet aux caribous d’éviter toute consanguinité et de plus, les faons possèdent les attributs des plus forts.
La résistance de l’espèce est ainsi assurée.
Pour séduire les femelles, le mâle possède une botte secrète : sa glande tarsienne.
Située sur chaque patte arrière à l’intérieur du jarret, cette glande produit une sécrétion odorante irrésistible.
Le Cycle De La Vie.
7 ½ mois après le rut, les femelles donnent naissance à leur petit.
Elles mettent bas chaque année au même endroit même si la harde a changé d’aire d’hivernage.
Toutes les naissances ont lieu dans un laps de temps très court : une dizaine de jours échelonnés entre fin mai et début juin.
Les changements climatiques rendent les naissances des caribous de plus en plus difficiles. Autrefois, les femelles mettaient bas qu’une fois arrivées au terme de la migration de printemps.
Aujourd’hui, la progression des troupeaux est ralentie par l’alternance de gel et de dégel. La nourriture devient donc plus difficile à trouver.
De ce fait, beaucoup de bébés naissent en route et meurent noyés dans les rivières en crue.
Caribou. © dinosoria.com
Même à la fin du printemps, il fait très froid dans le Grand Nord. Le faon est léché dès sa naissance par sa mère pour éviter que son poil gèle.
Au bout de trois jours, le jeune doit être capable de suivre le troupeau.
Le lait des femelles est quatre fois plus riche que celui d’une vache. Le faon tête toutes les 18 minutes pour grandir rapidement. A sa naissance,le bébé ne pèse que 6 ou 7 kilos mais un mois plus tard, il en pèsera déjà 26.
Si la femelle conserve ses bois durant l’hiver c’est parce que cela lui donne des avantages pour élever son petit.
Elle peut creuser la neige pour trouver la nourriture, se défendre contre les prédateurs. De plus, les bois représentent une réserve de calcium.
Le fœtus puise dans cette réserve si l’alimentation de sa mère n’en contient pas assez.
Le faon reste près de sa mère pendant près d’un an. Pour le retrouver au milieu du troupeau, elle dispose du larmier.
C’est une glande, située sous l’orbite de l’œil, qui lui permet d’imprimer son odeur en frottant sa tête contre le corps du faon.
Environ ¼ des faons meurent avant d’atteindre un mois. 50 à 80% des jeunes mourront avant leur première année.
Heureusement, les femelles sont très fertiles et 90% d’entre elles ont un petit chaque année.
Classification: Animalia. Vertebrata. Mammalia. Artiodactyla . Cervidae. Rangifer
V.Battaglia (14.12.2005)