Portrait Mignon Du Raton Laveur Avec Quelques Vidéos...
Le raton laveur, ou plus exactement le raton laveur commun (Procyon lotor Linnaeus, 1758), est une espèce de mammifèresomnivores de l'ordre des carnivores. Originaire d’Amérique, cette espèce a été introduite pour la dernière fois en Europe dans les années 1930 (après la disparition un siècle plus tôt de la dernière population introduite). Il doit son nom à son habitude, plus ou moins réelle, de tremper ses aliments dans l’eau avant de les manger. L’animal, de la famille des procyonidae, est essentiellement nocturne et grimpe facilement aux arbres grâce à ses doigts agiles et à ses griffes acérées. Il a le pelage poivre et sel avec de légères teintes de roux. On le reconnaît facilement à son masque noir bordé de blanc autour des yeux et à sa queue rayée de blanc et de noir. Le raton laveur s’adapte à de nombreux milieux naturels. Opportuniste et facile à apprivoiser, il s’aventure également dans les villes nord-américaines (Canada, États-Unis d'Amérique). Son comportement varie selon le sexe et la région où il vit. Il est toujours chassé pour sa fourrure mais ne constitue pas une espèce en danger, ni même menacée. Aussi ne fait-il l'objet d'aucune mesure de protection, ni en Amérique, ni en Eurasie.
Sous-Espèces Quatre sous-espèces de raton laveur endémiques à l'Amérique centrale et aux Caraïbes ont souvent été considérées comme des espèces distinctes après leur découverte. Ce sont le raton laveur des Bahamas et celui de la Guadeloupe qui sont très semblables l'un à l'autre, le raton laveur de Tres Marias, qui est plus grand que la moyenne et a un crâne anguleux, et celui de la Barbade aujourd'hui éteint. Les études de leurs caractères morphologiques et génétiques en 1999, 2003 et 2005 ont conduit à répertorier tous ces ratons laveurs comme des sous-espèce du raton laveur commun dans la troisième édition de Mammal Species of the World (2005). Un cinquième raton laveur insulaire, le raton laveur de Cozumel (Procyon pygmaeus), qui ne pèse que 3 à 4 kg et a notamment de petites dents, est toujours considéré comme une espèce distincte. Les quatre plus petites sous-espèces de raton laveur, d'un poids moyen de 1,8 à 2,7 kg, se trouvent le long de la côte sud de la Floride et les îles adjacentes ; un exemple en est le Procyon lotor marinus. La plupart des 15 autres sous-espèces ne diffèrent que légèrement les unes des autres par la couleur de leur robe, leur taille et quelques autres caractéristiques physiques. Les deux sous-espèces les plus répandues sont le raton laveur de l'Est (Procyon lotor lotor) et le raton laveur de la haute vallée du Mississippi (Procyon lotor hirtus). Les deux partagent un pelage relativement sombre avec de longs poils, mais le second est plus grand que le premier. Le raton laveur de l'Est se rencontre dans tous les États américains et provinces canadiennes au nord de la Caroline du Sud et du Tennessee. Le raton laveur de la haute vallée du Mississippi vit dans tous les États américains et provinces canadiennes au nord de la Louisiane, du Texas et du Nouveau-Mexique. Répartition & habitats Originaire d'Amérique du Nord, l’espèce occupe le sud du Canada et la majeure partie des États-Unis, du Mexique et de l’Amérique centrale, dans la zone intertropicale8. Il est plus rare dans les Antilles. Il est absent de certains secteurs des Montagnes Rocheuses à cause de l’altitude, des déserts et du Grand Nord canadien. En Europe, il est naturalisé en Suisse, en France, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, au Danemark, en Autriche, en République tchèque, en Slovaquie, en Biélorussie ainsi que dans les pays du Caucase. Il n'a jamais vécu naturellement au Japon. Le raton laveur fréquente la forêt mixte, la forêt de feuillus et les régions agricoles. On le retrouve en bordure des forêts, le long des cours d’eau et dans les marécages sous presque toutes les latitudes de l’Amérique du Nord. Il peut aussi vivre dans les parcs urbains et les banlieues. Le territoire du raton laveur varie entre 1 et 50 km2 en fonction des densités humaines. La femelle ne défend pas de territoire. La densité moyenne est de 4 à 20 individus par km2 sur les terres cultivées et jusqu’à 100 par km2 en ville. Le domaine vital d’un mâle compte entre 2 à 12 femelles en période de reproduction. Dans les années 1930, le raton laveur est introduit une nouvelle fois en URSS et en Allemagne pour sa fourrure, dans des fermes d’élevage. Parfaitement acclimaté et en l’absence de prédateurs, il a proliféré depuis. Aujourd’hui, on compte environ 100 000 ratons laveurs en Europe. L’espèce est présente au Luxembourg, en Allemagne, aux Pays-Bas, en France (Aisne où il aurait été introduit par des soldats américains), en Suisse, en Pologne et en Belgique. Aujourd’hui, il est considéré comme une menace pour labiodiversité et a été classé par le Conseil de l’Europe comme espèce invasive dont l’éradication est conseillée en raison de son impact sur la faune locale18. En France, il est sur la liste des animaux susceptibles d'être classés nuisibles en France par arrêté préfectoral. GîteLe raton laveur s’abrite dans les arbres creux, les souches, les cavernes, les terriers de marmottes abandonnés, les granges ou les hangars. Il change souvent d’abri. Vers mi-novembre, l’animal se réfugie dans son gîte et y passe l’hiver en état de torpeur, ne se réveillant que de temps à autre. Comme l’ours noir et le blaireau, il cesse de manger et survit grâce à ses réserves de graisse accumulées pendant l’été. Contrairement à ce qu’on a longtemps cru, la température de son corps et son métabolisme demeurent élevés. Les mâles sortent de leur gîte fin janvier, les femelles vers mi-mars. En ville, on peut trouver l’animal dans les greniers, les égouts et les cheminées auxquels il accède grâce à ses griffes qui lui permettent de grimper facilement à plusieurs mètres du sol. Chaque gîte abrite entre un et cinq individus (jusqu’à 23 dans le Minnesota). Il fréquente plusieurs abris en dehors de l’hiver. Clic ici.........Monsieur Raton Laveur (Pyjama Party) from La Montagne Secrète on Vimeo. Le raton laveur est un animal magnifique, très intelligent avec une grande dextérité manuelle. Il est toutefois un bien mauvais animal domestique en plus d'être souvent porteur d'un parasite transmissible à l'humain qui cause des séquelles neurologiques irréversibles; le ver rond. Découvrez pourquoi vous ne devriez jamais décider de le garder chez-vous si vous en trouvez un.
SOS MIss Dolittle Centre d'aide pour animaux sauvages www.sosmissdolittle.c Clic sur les liens ci-dessous:
Samedi il a fait très chaud à Rambouillet. Il faisait même trop chaud, et tout le monde recherchait une place à l'ombre dans le magnifique Parc du Château.
Si nous, nous avions chaud, les oies du Parc aussi ...
Profitez du paysage de rêve des Turks-et-Caïcos pour visiter « l'Île aux chiots », et pourquoi pas en adopter un ?
Comment imaginez-vous le paradis ? Des chiots, des cocktails, et de l’eau turquoise ? Si c’est le cas, sachez que votre petit coin de paradis existe sur Terre, il se situe sur le territoire sauvage des Turks-et-Caïcos. En effet, l’île de Providenciales abrite l’association Potcake Place et son refuge. Depuis 12 ans, l’organisme se bat pour accueillir, soigner et faire adopter de jeunes chiens à la recherche d’un foyer ayant de l’amour à donner.
Sur place, il est possible de passer du temps avec les pensionnaires, de se balader sur la plage en leur compagnie ou encore jouer avec eux pendantdes heures si on le souhaite. Évidemment, si tant de choses sont faitespour que les rencontres entre le public et les chiots se passent bien, c’est dans le but de favoriser les attaches, et donc les adoptions. Et force est de constater que la technique paye. Chaque année, grâce au travail de Potcake Place, quelque 500 individus sont adoptés dans ce refuge pas comme les autres.
Si autant de chiens passent par l’association, c’est car il s’agit de la plus ancienne de la sorte aux Turks-et-Caïcos. Parmi eux, une grande partie souffre d’importante malnutrition, tandis que certains ont également d’autres problèmes de santé. Pour celles et ceux qui l’ignorent, la race Potcake est une sorte de mélange entre Labrador retriever, Fox Terriers et Berger allemand. Ils peuvent peser jusqu’à plus de 20 kilos. Il s’agit de la race la plus représentée dans cette zone des Caraïbes. Environ 70 chiens y sont recueillis et sauvés chaque année. Crédit photo : miauhau
Envie d’adopter ? Pour adopter un petit Potcake venant du refuge, quelques conditions sont absolument nécessaires. D’abord, il faut avoir au minimum 25 ans. Ensuite, bien comprendre qu’adopter un animal n’est pas une décision impulsive, mais doit au contraire être très réfléchie. De plus, il est primordial que la famille dans laquelle va arriver le chiot soit prête à tisser une très longue relation avec lui (environ 10 à 15 ans, ndlr).
Si vous rassemblez tous ces critères, et que votre choix est mûrement pensé, alors vous pouvez commencer à remplir ce formulaire d’adoption. Un membre de l’association Potcake Place reviendra vers vous ultérieurement pour des détails complémentaires.
Vous l’avez compris, celles et ceux qui veulent adopter sont donc les bienvenus sur l’île de Providenciales, mais pas seulement. L’organisme encourage tout le monde à se rendre sur place, même les personnes qui nesouhaitent pas ou ne peuvent pas repartir avec un chiot. L’argument estsimple, donner du temps pour divertir les chiens et leur offrir de bons moments, c’est déjà beaucoup ! De plus, il ne faut surtout pas oublier les groupes du type Potcake Place vivent et tiennent en grande partie grâce aux dons. Crédit photo : rollingharbour Crédit photo : boredpanda Crédit photo : boredpanda Crédit photo : barkpost Crédit photo : wdy Crédit photo : nlreedphotographyblog Crédit photo : i1 Crédit photo : hypeness Crédit photo : wdy Crédit photo : ruffwear Crédit photo : sunshinescout Crédit photo : Potcake Place Crédit photo : netdna Crédit photo : Potcake Place Crédit photo : backtotheturks Crédit photo : satoriatgracebay Crédit photo : Potcake Place
Je ne sais comment vous remercier pour tout ce que vous nous offrez Toujours des photos particulièrement belles d' animaux sauvages et domestiques , la plupart du temps attendrissantes et craquantes mais aussi parfois cruellement réalistes , accompagnées de commentaires toujours très enrichissants , MERCI À VOUS TOUS POUR VOTRE TRAVAIL
Par Nathalie Szapiro-Manoukian Les croyances sur les chats ont la vie dure. Entre les pouvoirs qui leurs sont prêtés et l'interprétation de leurs manies, il y a parfois unfossé avec la réalité. 1) Ils retombent sur leurs pattes? Oui mais dans quel état?Un chat est souple, mais il y a des limites! La chute d’un balcon reste une cause fréquente de fracture et de décès. Même s’il a le réflexe de relever bien haut la tête lorsqu’il est en chute libre (de sorte que son corps suive le mouvement et que ses pattes se placent en position de réception), ce n’est pas toujours efficace: cela dépend de la hauteur de sa chute et de la dureté du sol. Voilà pourquoi un balcon accueillant un chat devrait être équipé de filets de sécurité indéchirables (vendus en animalerie). 2) Il vous rapporte une proie. Il vous juge… incompétent.Aux dires de certains, l’offrande signifierait qu’il vous considère comme sa mère. S’il est vrai que le chat n’a ce comportement qu’avec un individu proche et qu’il affectionne, il agit de la sorte quand il considère que vous n’êtes pas capable de chasser et, donc, qu’il faut tout vous apprendre! Autrement dit, il ne vous considère pas comme sa mère, mais plutôt comme un chaton incompétent qu’il faut éduquer! 3) Les chats noirs portent malheur à eux-mêmesLa peur des chats noirs vient du Moyen Âge. Ils étaient alors assimilés au diable, accusés de déchaîner les éléments naturels et, donc, pourchassés comme les sorcières. Aucune étude n’a montré qu’ils portent malheur (et pour cause, il n’y a pas de raison), hélas cette superstition amenuise leurs chances d’adoption lorsqu’ils se trouvent en refuge et, cela, c’est prouvé. En outre, un chat noir encourt davantage le risque d’être percuté par une voiture la nuit, faute de visibilité. 4) Les chats blancs sont sourds… seulement s’ils ont les yeux bleus.Tous les chats blancs ne sont pas sourds. Seuls 50% des chats blancs de la tête à la queue avec les deux yeux bleus sont concernés. Cette particularité vient du fait qu’ils ont hérité d’une mutation de leur gène responsable de la couleur blanche. Or, ce gène muté peut induire la mort des cellules de l’oreille et une surdité précoce. Le principal risque pour un chat sourd étant de se faire écraser, il est préférable de le garder chez soi. 5) Il ronronne, donc il nage dans le bonheur…Le ronronnement est une vibration du larynx correspondant à un mouvement volontaire. C’est le chat qui décide de ronronner. Le chaton le fait pour exprimer sa dépendance vis-à-vis de sa mère, puis, plus tard, vis-à-vis d’un proche avec lequel il se sent bien: il ronronne donc, en effet, lorsqu’il est heureux. Mais pas seulement. Ce faisant, il synthétise des molécules proches de la morphine, euphorisantes et antalgiques: il ronronne donc aussi lorsqu’il est malade, blessé ou lors de la mise à bas.
Cet adorable chien a été recueilli par des moines et porte lui aussi la soutane.
En Bolivie, un groupe de moines franciscains ont recueilli un jeune chien qui semblait abandonné et méritait un foyer. Sauf que contrairement à d'autres animaux, Carmelo a finalement été intégré à l'ordre du monastère !
Quand on sait que Saint François d'Assise était réputé pour beaucoup aimer les animaux, alors ce n'est pas étonnant de voir ce que cet amour se retrouve chez les moines qui suivent ses préceptes. La confrérie a quand même été plus loin en ordonnant Carmelo... Qui a donc eu droit à une soutane confectionnée sur mesure, s'il vous plait !
Voici Carmelo, un chien abandonné qui a finalement été recueilli par une confrérie de moines boliviens.
Mais désormais, Carmelo fait autant partie du monastère que ceux qui y habitent puisque les moines ont décidé de l'intégrer à leur ordre.
Pour cela, Carmelo a reçu une soutane confectionnée sur mesure.
Ça n'a pas l'air de le déranger.
Pour aller plus loin, Carmelo a également reçu un nouveau nom, pour aller avec son intégration au monastère.
Désormais, il faut l'appeler frère Bigotón.
... Qui signifie en français "frère Moustache" Malin !
Il se trouve également que Carmelo a un rôle beaucoup plus important au sein du monastère : il fait partie du projet Proyecto Narices Frias (le projet nez froid) qui tente d'associer des chiens et chiots dans lebesoin avec des monastères. Frère Jorge Fernandez explique justement : "Si tous les monastères du pays adoptait rien qu'un chien et s'en occupait comme nous le faisons avec frère Bigoton, nous sommes sûrs que les paroissiens suivront cet exemple".
"Sa vie ne consiste qu'à jouer et courir partout. Ici, tous les frères l'adorent. Il est une créature de Dieu"
Les perroquets dans des vidéos toutes belles et des histoires bien drôles!
Ils peuvent reproduire les sons qu’ils entendent et peuvent surprendre plus d’un. Cet article parle de ces oiseaux et les vidéos peuvent plaire à tout le monde! Pas de scènes choquantes, juste belles et insolites! A commencer par ces séquences de perroquets avec des chats! Ils sont amis ou juste colocataires, alors il y ‘a forcément quelques détails à régler entre eux!
C’est trop chou, mais attention, un chat ne ferait qu’une bouchée de ces oiseaux. Ils sont très fragiles, alors évitez de les laisser en compagnie d’autres animaux! Deuxième vidéo incroyablement charmante avec des inséparables et leur maman humaine!
C’est fou comme c’est adorable! La troisième vidéo montre aussi des animaux dont un perroquet et des chiens. Sans compter leur humain qui rentrait après des mois d’absence!
C’est adorable et mignon et on voudrait tous avoir notre maison pleine d’amis de ce genre! A plumes et à poils! Les animaux sont intelligents, mais ils sont aussi très sensibles et fragiles, à nous de les protéger!
90% des baleines tuées en Norvège sont des femelles enceintes selon un documentaire... Une révélation horrible qui fait polémique ! Sur la télé norvégienne NRK, une chaîne publique, un documentaire a déchaîné les passions puisqu’il dénonce notamment que la grande majoritédes baleines tuées étaient des femelles enceintes.
Il y a quelque temps, quand on vous parlait de la Norvège, c’était pour mettre en lumière l’interdiction de toute déforestation sur leur sol. Une première mondiale saluée de toutes parts, montrant l’exemple sur le plan environnemental et écologique. Aujourd’hui, c’est bien différent puisqu’il s’agit de massacre animal. En effet, malgré les interdictions internationales concernant la chasse commerciale, la Norvège, non-signataire du moratoire internationale de 1986, reste maîtresse dans l’art de tuer illégalement les baleines. L’andernier, il y a eu près de 591 baleines de Minke qui ont été tuées.
Malheureusement, ce chiffre n’a cessé d’augmenter cette année, surtout après l’augmentation du quota décidée par le département de pêche de la Norvège au début du mois de février. Désormais, le gouvernement norvégien autorise le harponnage de 999 cétacés par an… Un chiffre plus important que le Japon et l’Islande réunis, les deux autres pays chasseurs de baleines.
Seulement voilà, le documentaire diffusé sur NRK a fait des révélations que personne ne soupçonnait : 90% des baleines assassinées seraient des femelles en gestation !
Forcément, cette information n’a laissé personne indifférent en Norvège, et surtout pas les organisations écologistes qui s’évertuent à protéger la planète et les animaux. Notamment, Greenpeace a publié un communiqué fustigeant avec vigueur cette pratique : « La chasse à la baleine n’en est que plus inacceptable. À la fois parce que c’est contraire à une interdiction internationale mais aussi parce que c’est indéfendable du point de vue du bien-être animal de chasser des animaux à un stade avancé de leur grossesse. »
Tandis qu’un pêcheur norvégien souligne que baleine gravide (en état de grossesse) est un « signe de bonne santé », d’autres experts, comme EgilOle Oen, vétérinaire spécialiste de la chasse à baleine, justifient cette pratique sans n’y voir aucun problème : « Des nombreux animaux d’abattage sont envoyés alors qu’ils sont en gestation ».
De son côté, l’ONG suisse OceanCare s’est lui aussi révolté à la vue de ce documentaire : « C’est horrible d’apprendre qu’un taux aussi élevé de baleines tuées en Norvège sont des femelles gravides. Les chasseurs de baleines ne tuent pas seulement des baleines existantes mais aussi la génération suivante. »
Au risque de voir la population de baleines complètement s’éteindre dans les eaux nordiques, il serait vraiment temps que les instances internationales fassent quelque chose contre la Norvège.
Le raton laveur, ou plus exactement le raton laveur commun (Procyon lotor Linnaeus, 1758), est une espèce de mammifères omnivores de l'ordre des carnivores. Originaire d’Amérique, cette espèce a été introduite pour la dernière fois en Europe dans les années 1930 (après la disparition un siècle plus tôt de la dernière population introduite).
Il doit son nom à son habitude, plus ou moins réelle, de tremper ses aliments dans l’eau avant de les manger. L’animal, de la famille des procyonidae, est essentiellement nocturne et grimpe facilement aux arbres grâce à ses doigts agiles et à ses griffes acérées. Il a le pelage poivre et sel avec de légères teintes de roux. On le reconnaît facilement à son masque noir bordé de blanc autour des yeux et à sa queue rayée de blanc et de noir.
Le raton laveur s’adapte à de nombreux milieux naturels. Opportuniste et facile à apprivoiser, il s’aventure également dans les villes nord-américaines (Canada, États-Unis d'Amérique). Son comportement varie selon le sexe et la région où il vit. Il est toujours chassé pour sa fourrure mais ne constitue pas une espèce en danger, ni même menacée.
Aussi ne fait-il l'objet d'aucune mesure de protection, ni en Amérique, ni en Eurasie.
Sous-Espèces
Quatre sous-espèces de raton laveur endémiques à l'Amérique centrale et aux Caraïbes ont souvent été considérées comme des espèces distinctes après leur découverte. Ce sont le raton laveur des Bahamas et celui de la Guadeloupe qui sont très semblables l'un à l'autre, le raton laveur de Tres Marias, qui est plus grand que la moyenne et a un crâne anguleux, et celui de la Barbade aujourd'hui éteint.
Les études de leurs caractères morphologiques et génétiques en 1999, 2003 et 2005 ont conduit à répertorier tous ces ratons laveurs comme des sous-espèce du raton laveur commun dans la troisième édition de Mammal Species of the World (2005). Un cinquième raton laveur insulaire, le raton laveur de Cozumel (Procyon pygmaeus), qui ne pèse que 3 à 4 kg et a notamment de petites dents, est toujours considéré comme une espèce distincte.
Les quatre plus petites sous-espèces de raton laveur, d'un poids moyen de 1,8 à 2,7 kg, se trouvent le long de la côte sud de la Floride et les îles adjacentes ; un exemple en est le Procyon lotor marinus. La plupart des 15 autres sous-espèces ne diffèrent que légèrement les unes des autres par la couleur de leur robe, leur taille et quelques autres caractéristiques physiques.
Les deux sous-espèces les plus répandues sont le raton laveur de l'Est (Procyon lotor lotor) et le raton laveur de la haute vallée du Mississippi (Procyon lotor hirtus). Les deux partagent un pelage relativement sombre avec de longs poils, mais le second est plus grand que le premier.
Le raton laveur de l'Est se rencontre dans tous les États américains et provinces canadiennes au nord de la Caroline du Sud et du Tennessee. Le raton laveur de la haute vallée du Mississippi vit dans tous les États américains et provinces canadiennes au nord de la Louisiane, du Texas et du Nouveau-Mexique.
Répartition & habitats
Originaire d'Amérique du Nord, l’espèce occupe le sud du Canada et la majeure partie des États-Unis, du Mexique et de l’Amérique centrale, dans la zone intertropicale8. Il est plus rare dans les Antilles. Il est absent de certains secteurs des Montagnes Rocheuses à cause de l’altitude, des déserts et du Grand Nord canadien.
En Europe, il est naturalisé en Suisse, en France, en Allemagne, en Belgique, aux Pays-Bas, au Danemark, en Autriche, en République tchèque, en Slovaquie, en Biélorussie ainsi que dans les pays du Caucase. Il n'a jamais vécu naturellement au Japon.
Le raton laveur fréquente la forêt mixte, la forêt de feuillus et les régions agricoles. On le retrouve en bordure des forêts, le long des cours d’eau et dans les marécages sous presque toutes les latitudes de l’Amérique du Nord. Il peut aussi vivre dans les parcs urbains et les banlieues.
Le territoire du raton laveur varie entre 1 et 50 km2 en fonction des densités humaines. La femelle ne défend pas de territoire. La densité moyenne est de 4 à 20 individus par km2 sur les terres cultivées et jusqu’à 100 par km2 en ville. Le domaine vital d’un mâle compte entre 2 à 12 femelles en période de reproduction.
Dans les années 1930, le raton laveur est introduit une nouvelle fois en URSS et en Allemagne pour sa fourrure, dans des fermes d’élevage. Parfaitement acclimaté et en l’absence de prédateurs, il a proliféré depuis.
Aujourd’hui, on compte environ 100 000 ratons laveurs en Europe. L’espèce est présente au Luxembourg, en Allemagne, aux Pays-Bas, en France (Aisne où il aurait été introduit par des soldats américains), en Suisse, en Pologne et en Belgique.
Aujourd’hui, il est considéré comme une menace pour la biodiversité et a été classé par le Conseil de l’Europe comme espèce invasive dont l’éradication est conseillée en raison de son impact sur la faune locale18. En France, il est sur la liste des animaux susceptibles d'être classés nuisibles en France par arrêté préfectoral.
Gîte Le raton laveur s’abrite dans les arbres creux, les souches, les cavernes, les terriers de marmottes abandonnés, les granges ou les hangars. Il change souvent d’abri. Vers mi-novembre, l’animal se réfugie dans son gîte et y passe l’hiver en
état de torpeur, ne se réveillant que de temps à autre. Comme l’ours noir et le blaireau, il cesse de manger et survit grâce à ses réserves de graisse accumulées pendant l’été. Contrairement à ce qu’on a longtemps cru, la température de son corps et son métabolisme demeurent élevés. Les mâles sortent de leur gîte fin janvier, les femelles vers mi-mars.
En ville, on peut trouver l’animal dans les greniers, les égouts et les cheminées auxquels il accède grâce à ses griffes qui lui permettent de grimper facilement à plusieurs mètres du sol. Chaque gîte abrite entre un et cinq individus (jusqu’à 23 dans le Minnesota). Il fréquente plusieurs abris en dehors de l’hiver.
Clic ici.........Monsieur Raton Laveur (Pyjama Party) from La Montagne Secrète on Vimeo.
Le raton laveur est un animal magnifique, très intelligent avec une grande dextérité manuelle.
Il est toutefois un bien mauvais animal domestique en plus d'être souvent porteur d'un parasite transmissible à l'humain qui cause des séquelles neurologiques irréversibles; le ver rond.
Découvrez pourquoi vous ne devriez jamais décider de le garder chez-vous si vous en trouvez un.
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Peeking Raccoons from David Webster on Vimeo.
Les ratons laveurs s'installent dans nos forêts... par rbnoville
Un raton laveur frappe à la porte pour avoir à... par VideosMDR
Un raton laveur vol la nourriture de 3 chats par Neveer
Samedi il a fait très chaud à Rambouillet. Il faisait même trop chaud, et tout le monde recherchait une place à l'ombre dans le magnifique Parc du Château.
Si nous, nous avions chaud, les oies du Parc aussi ...
Comment imaginez-vous le paradis ? Des chiots, des cocktails, et de l’eau turquoise ? Si c’est le cas, sachez que votre petit coin de paradis existe sur Terre, il se situe sur le territoire sauvage des Turks-et-Caïcos. En effet, l’île de Providenciales abrite l’association Potcake Place et son refuge. Depuis 12 ans, l’organisme se bat pour accueillir, soigner et faire adopter de jeunes chiens à la recherche d’un foyer ayant de l’amour à donner.
Sur place, il est possible de passer du temps avec les pensionnaires, de se balader sur la plage en leur compagnie ou encore jouer avec eux pendantdes heures si on le souhaite. Évidemment, si tant de choses sont faitespour que les rencontres entre le public et les chiots se passent bien, c’est dans le but de favoriser les attaches, et donc les adoptions. Et force est de constater que la technique paye. Chaque année, grâce au travail de Potcake Place, quelque 500 individus sont adoptés dans ce refuge pas comme les autres.
Si autant de chiens passent par l’association, c’est car il s’agit de la plus ancienne de la sorte aux Turks-et-Caïcos. Parmi eux, une grande partie souffre d’importante malnutrition, tandis que certains ont également d’autres problèmes de santé. Pour celles et ceux qui l’ignorent, la race Potcake est une sorte de mélange entre Labrador retriever, Fox Terriers et Berger allemand. Ils peuvent peser jusqu’à plus de 20 kilos. Il s’agit de la race la plus représentée dans cette zone des Caraïbes. Environ 70 chiens y sont recueillis et sauvés chaque année.
Crédit photo : miauhau
Envie d’adopter ?
Pour adopter un petit Potcake venant du refuge, quelques conditions sont absolument nécessaires. D’abord, il faut avoir au minimum 25 ans. Ensuite, bien comprendre qu’adopter un animal n’est pas une décision impulsive, mais doit au contraire être très réfléchie. De plus, il est primordial que la famille dans laquelle va arriver le chiot soit prête à tisser une très longue relation avec lui (environ 10 à 15 ans, ndlr).
Si vous rassemblez tous ces critères, et que votre choix est mûrement pensé, alors vous pouvez commencer à remplir ce formulaire d’adoption. Un membre de l’association Potcake Place reviendra vers vous ultérieurement pour des détails complémentaires.
Vous l’avez compris, celles et ceux qui veulent adopter sont donc les bienvenus sur l’île de Providenciales, mais pas seulement. L’organisme encourage tout le monde à se rendre sur place, même les personnes qui nesouhaitent pas ou ne peuvent pas repartir avec un chiot. L’argument estsimple, donner du temps pour divertir les chiens et leur offrir de bons moments, c’est déjà beaucoup ! De plus, il ne faut surtout pas oublier les groupes du type Potcake Place vivent et tiennent en grande partie grâce aux dons.
Crédit photo : rollingharbour
Crédit photo : boredpanda
Crédit photo : boredpanda
Crédit photo : barkpost
Crédit photo : wdy
Crédit photo : nlreedphotographyblog
Crédit photo : i1
Crédit photo : hypeness
Crédit photo : wdy
Crédit photo : ruffwear
Crédit photo : sunshinescout
Crédit photo : Potcake Place
Crédit photo : netdna
Crédit photo : Potcake Place
Crédit photo : backtotheturks
Crédit photo : satoriatgracebay
Crédit photo : Potcake Place
Par Nathalie Szapiro-Manoukian
Les croyances sur les chats ont la vie dure. Entre les pouvoirs qui leurs sont prêtés et l'interprétation de leurs manies, il y a parfois unfossé avec la réalité.
1) Ils retombent sur leurs pattes? Oui mais dans quel état?Un chat est souple, mais il y a des limites! La chute d’un balcon reste une cause fréquente de fracture et de décès. Même s’il a le réflexe de relever bien haut la tête lorsqu’il est en
chute libre (de sorte que son corps suive le mouvement et que ses pattes se placent en position de réception), ce n’est pas toujours efficace: cela dépend de la hauteur de sa chute et de la dureté du sol. Voilà pourquoi un balcon accueillant un chat devrait être équipé de filets de sécurité indéchirables (vendus en animalerie).
2) Il vous rapporte une proie. Il vous juge… incompétent.Aux dires de certains, l’offrande signifierait qu’il vous considère comme sa mère. S’il est vrai que le chat n’a ce comportement qu’avec un individu proche et qu’il affectionne, il agit de la sorte quand il considère que vous n’êtes pas capable de chasser et, donc, qu’il faut tout vous apprendre! Autrement dit, il ne vous considère pas comme sa mère, mais plutôt comme un chaton incompétent qu’il faut éduquer!
3) Les chats noirs portent malheur à eux-mêmesLa peur des chats noirs vient du Moyen Âge. Ils étaient alors assimilés au diable, accusés de déchaîner les éléments naturels et, donc, pourchassés comme les sorcières. Aucune étude n’a montré qu’ils portent malheur (et pour cause, il n’y a pas de raison), hélas cette superstition amenuise leurs chances d’adoption lorsqu’ils se trouvent en refuge et, cela, c’est prouvé. En outre, un chat noir encourt davantage le risque d’être percuté par une voiture la nuit, faute de visibilité.
4) Les chats blancs sont sourds… seulement s’ils ont les yeux bleus.Tous les chats blancs ne sont pas sourds. Seuls 50% des chats blancs de la tête à la queue avec les deux yeux bleus sont concernés. Cette particularité vient du fait qu’ils ont hérité d’une mutation de leur gène responsable de la couleur blanche. Or, ce gène muté peut induire la mort des cellules de l’oreille et une surdité précoce. Le principal risque pour un chat sourd étant de se faire écraser, il est préférable de le garder chez soi.
5) Il ronronne, donc il nage dans le bonheur…Le ronronnement est une vibration du larynx correspondant à un mouvement volontaire. C’est le chat qui décide de ronronner. Le chaton le fait pour exprimer sa dépendance vis-à-vis de sa mère, puis,
plus tard, vis-à-vis d’un proche avec lequel il se sent bien: il ronronne donc, en effet, lorsqu’il est heureux. Mais pas seulement. Ce faisant, il synthétise des molécules proches de la morphine, euphorisantes et antalgiques: il ronronne donc aussi lorsqu’il est malade, blessé ou lors de la mise à bas.
En Bolivie, un groupe de moines franciscains ont recueilli un jeune chien qui semblait abandonné et méritait un foyer. Sauf que contrairement à d'autres animaux, Carmelo a finalement été intégré à l'ordre du monastère !
Quand on sait que Saint François d'Assise était réputé pour beaucoup aimer les animaux, alors ce n'est pas étonnant de voir ce que cet amour se retrouve chez les moines qui suivent ses préceptes. La confrérie a quand même été plus loin en ordonnant Carmelo... Qui a donc eu droit à une soutane confectionnée sur mesure, s'il vous plait !
Voici Carmelo, un chien abandonné qui a finalement été recueilli par une confrérie de moines boliviens.
Mais désormais, Carmelo fait autant partie du monastère que ceux qui y habitent puisque les moines ont décidé de
l'intégrer à leur ordre.
Pour cela, Carmelo a reçu une soutane confectionnée sur mesure.
Ça n'a pas l'air de le déranger.
Pour aller plus loin, Carmelo a également reçu un nouveau nom, pour aller avec son intégration au monastère.
Désormais, il faut l'appeler frère Bigotón.
... Qui signifie en français "frère Moustache" Malin !
Il se trouve également que Carmelo a un rôle beaucoup plus important au sein du monastère : il fait partie du projet Proyecto Narices Frias (le projet nez froid) qui tente d'associer des chiens et chiots dans lebesoin avec des monastères. Frère Jorge Fernandez explique justement : "Si tous les monastères du pays adoptait rien qu'un chien et s'en occupait comme nous le faisons avec frère Bigoton, nous sommes sûrs que les paroissiens suivront cet exemple".
"Sa vie ne consiste qu'à jouer et courir partout. Ici, tous les frères l'adorent. Il est une créature de Dieu"
Ils peuvent reproduire les sons qu’ils entendent et peuvent surprendre plus d’un.
Cet article parle de ces oiseaux et les vidéos peuvent plaire à tout le monde!
Pas de scènes choquantes, juste belles et insolites!
A commencer par ces séquences de perroquets avec des chats!
Ils sont amis ou juste colocataires, alors il y ‘a forcément quelques détails à régler entre eux!
C’est trop chou, mais attention, un chat ne ferait qu’une bouchée de ces oiseaux.
Ils sont très fragiles, alors évitez de les laisser en compagnie d’autres animaux!
Deuxième vidéo incroyablement charmante avec des inséparables et leur maman humaine!
C’est fou comme c’est adorable!
La troisième vidéo montre aussi des animaux dont un perroquet et des chiens.
Sans compter leur humain qui rentrait après des mois d’absence!
C’est adorable et mignon et on voudrait tous avoir notre maison pleine d’amis de ce genre!
A plumes et à poils!
Les animaux sont intelligents, mais ils sont aussi très sensibles et fragiles, à nous de les protéger!
Une révélation horrible qui fait polémique !
Sur la télé norvégienne NRK, une chaîne publique, un documentaire a déchaîné les passions puisqu’il dénonce notamment que la grande majoritédes baleines tuées étaient des femelles enceintes.
Il y a quelque temps, quand on vous parlait de la Norvège, c’était pour mettre en lumière l’interdiction de toute déforestation sur leur sol. Une première mondiale saluée de toutes parts, montrant l’exemple sur le plan environnemental et écologique.
Aujourd’hui, c’est bien différent puisqu’il s’agit de massacre animal. En effet, malgré les interdictions internationales concernant la chasse commerciale, la Norvège, non-signataire du moratoire internationale de 1986, reste maîtresse dans l’art de tuer illégalement les baleines. L’andernier, il y a eu près de 591 baleines de Minke qui ont été tuées.
Malheureusement, ce chiffre n’a cessé d’augmenter cette année, surtout après l’augmentation du quota décidée par le département de pêche de la Norvège au début du mois de février. Désormais, le gouvernement norvégien autorise le harponnage de 999 cétacés par an… Un chiffre plus important que le Japon et l’Islande réunis, les deux autres pays
chasseurs de baleines.
Seulement voilà, le documentaire diffusé sur NRK a fait des révélations que personne ne soupçonnait : 90% des baleines assassinées seraient des femelles en gestation !
Forcément, cette information n’a laissé personne indifférent en Norvège, et surtout pas les organisations écologistes qui s’évertuent à protéger la planète et les animaux. Notamment, Greenpeace a publié un communiqué fustigeant avec vigueur cette pratique : « La chasse à la baleine n’en est que plus inacceptable. À la fois parce que c’est contraire à une interdiction internationale mais aussi parce que c’est indéfendable du point de vue du bien-être animal de chasser des animaux à un stade avancé de leur grossesse. »
Tandis qu’un pêcheur norvégien souligne que baleine gravide (en état de grossesse) est un « signe de bonne santé », d’autres experts, comme EgilOle Oen, vétérinaire spécialiste de la chasse à baleine, justifient cette pratique sans n’y voir aucun problème : « Des nombreux animaux d’abattage sont envoyés alors qu’ils sont en gestation ».
De son côté, l’ONG suisse OceanCare s’est lui aussi révolté à la vue de ce documentaire : « C’est horrible d’apprendre qu’un taux aussi élevé de baleines tuées en Norvège sont des femelles gravides. Les chasseurs de baleines ne tuent pas seulement des baleines existantes mais aussi la génération suivante. »
Au risque de voir la population de baleines complètement s’éteindre dans les eaux nordiques, il serait vraiment temps que les instances internationales fassent quelque chose contre la Norvège.