Des chats errants pour se débarrasser des rats géants
La magnifique cité romane de Chester en Angleterre rencontre malheureusement un gros problème de prolifération de rats géants, ce quiest d’autant plus gênant vu que c’est une importante ville touristique avec un histoire riche en batailles et la présence de fortifications datant de 70 ans après Jésus Christ. Le souci est si important que les rats circuleraient au regard de tous, à toute heure du jour ou de la nuit, longeant les rues et s’introduisant dans les demeures. Afin de traquer au mieux cette vermine, les habitants et les services municipaux songent fortement à libérer dans les rues, des dizaines de félidés. Selon M. Nield, un citoyen de la petite ville, « la seule façon dont nous allons combattre le problème est en introduisant des chats errants et affamés dans les rues de Chester. Nous avons souvent des réunions de citoyens, ce qui semble être nettement plus efficace que les actions de la municipalité ! ».
La British Pest Control Association mentionne que si aucune mesure n’est prise, le nombre de rats risque encore d’augmenter puisque ceux-ci sont de plus résistants aux produits d’extermination, sachant qu’en plus, la gestion des déchets domestiques est aussi problématique en raison des rues très étroites qui rendent bien souvent impossible l’utilisation de conteneurs ou de bacs à poubelles sur roues.
Chèvre des montagnes Rocheuses, parc national de Glacier, Montana Etats-Unis.....BIS
Notre ami est le symbole du parc national de Glacier. En effet, la chèvre des montagnes Rocheuses est aux « Rockies » ce que le chamois est aux Alpes. D’ailleurs, tous deux sont cousins dans la famille Caprinae et ont plus en commun que la chèvre, qui a pourtant donné son nom (improprement) à notre ami. La chèvre des montagnes Rocheuses vit dans les pelouses d’altitude et peut se trouver jusqu’à 4 000 mètres d’altitude. Habile grimpeuse malgré son apparence trapue, elle est équipée d’une toison qui lui permet de résister à des températures glaciales qui peuvent aller jusqu’à -50 degrés celsius. C’est le minimumnécessaire lorsque l’on vit dans les montagnes du nord-ouest de l’Amérique
10 animaux qui sont venus dire bonjour et qui ont fait fondre les cœurs de tout le monde.
Certains animaux vivent en meutes, d’autres sont plutôt solitaires, mais ils ont tous besoin d’amour. Ainsi, les animaux décident parfois simplement de visiter les humains pour leur dire « allo ». Ipnoze a dressé une liste de photos d’animaux qui ont décidé de visiter des humains et qui prouvent que l’amitié est universelle et n’est aucunement liée au nombre de pattes qu’un être possède.
1. Un cerf visite ce chat chaque matin
2. Mes parents ont commencé à nourrir un chaton errant il y a quelques semaines – voici leur perron aujourd’hui
3. Ce petit garçon aime bien profiter de la cour de mon ami
4. Ce petit gars est monté à bord de notre bateau et s’est installé sur le canapé
5. Je viens de déménager et des voisins sont venus me dire allo
6. Un nouveau membre s’est joint à notre famille
7. Je crois que cet ours avait détecté l’odeur des brownies que nous faisions cuire, alors il a tenté d’entrer dans notre maison
8. J’ai aperçu ce petit gars qui regardait par ma fenêtre
9. Voici ce que j’ai aperçu quand j’ai allumé la lumière sur mon balcon hier soir
10. Ce petit lapin vient nous visiter chaque matin à mon travail
Montana ( U.S.A ) Chèvres des Montagnes rocheuses.
Chèvre des montagnes Rocheuses, parc national de Glacier, Montana Etats-Unis ... La chèvre des montagnes Rocheuses est aux « Rockies » ce que le chamois est aux Alpes.
La chèvre des montagnes Rocheuses vit dans les pelouses d'altitude et peut se trouver jusqu'à 4 000 mètres d'altitude. Habile grimpeuse malgré son apparence trapue, elle est équipée d'une toison quilui permet de résister à des températures glaciales qui peuvent aller jusqu'à -50 degrés celsius.
C'est le minimum nécessaire lorsque l'on vit dans les montagnes du nord-ouest de l'Amérique.
Un crocodile s'approche dangereusement de Fabrice Dudenhofer, de la communauté Your Shot, dans les Jardines de la Reina (ou "Jardins de la Reine") à Cuba. Ce groupe d'îles, qui doit son nom à Christophe Colomb, est l'une des plus grandes zones naturelles protégées de Cuba.
Dans un village en Inde, les habitants tricotent des pulls géants en laine, pour protéger les éléphants du froid En effet, cette localité est située près de la ville de Mathura,dans l'État de l'Uttar Pradesh, au nord du pays. Actuellement, suite à une vague de froid intense, les températures avoisinent les 0°C.
Comme on pourrait s'en douter, certains animaux de la région, notamment les éléphants, ne sont pas du tout habitués à ce genre de froid ! La peau au cuir épais de ces pachydermes, si elle est parfaite pour faire barrage contre les rayons d'un soleil cuisant, n'est en revanche pas d'un grand secours lorsque les températures chutent et que le froid s'installe. Heureusement, des militantes du Centre de Conservation et de Protection des Éléphants se sont mises à tricoter des plaids, pulls et autres liquettes colorées à taille géante, pour les éléphants !
Grâce à ces femmes, les éléphants sortent bien couverts et n'ont pas froid aux pattes ni au cou. Même si la nature ne les a pas dotés d'un pelage capable de résister au froid, ils pourront ainsi lutter contre la vague de froid extrême qui touche la région !
Avant d'arriver dans le centre de protection, ces éléphants étaient détenus en captivité illégalement. Ils étaient exploités par un réseau de trafic alimenté par la mafia locale, pour être vendus à des cirques ou être utilisés pour mendier auprès des touristes.
Tous ces animaux qui ont été saisis et secourus avaient été victimes de coups et de traitements extrêmement cruels. C'est pour cela qu'ils doivent spécialement être bichonnés .
"Il est important de garder nos éléphants au chaud, car l'hiver est vraiment très rude. Ces animaux ont beaucoup souffert, ils ont été victimes de bien des actes barbares, et cela les a rendu faibles et vulnérables. Ils pourraient facilement développer des maladies comme la pneumonie", a expliqué Kartick Satyanarayan, le fondateur du centre, à Times of India.
Le froid aggrave également les problèmes d'arthrite, qui est un problème de santé que l'on retrouve souvent sur nos éléphants et que nous devons traiter", ajoute-t-il .
Les perroquets dans des vidéos toutes belles et des histoires bien drôles! Ils peuvent reproduire les sons qu’ils entendent et peuvent surprendre plus d’un. Cet article parle de ces oiseaux et les vidéos peuvent plaire à tout le monde! Pas de scènes choquantes, juste belles et insolites! A commencer par ces séquences de perroquets avec des chats! Ils sont amis ou juste colocataires, alors il y ‘a forcément quelques détails à régler entre eux!
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C’est trop chou, mais attention, un chat ne ferait qu’une bouchée de ces oiseaux. Ils sont très fragiles, alors évitez de les laisser en compagnie d’autres animaux! Deuxième vidéo incroyablement charmante avec des inséparables et leur maman humaine!
C’est fou comme c’est adorable! La troisième vidéo montre aussi des animaux dont un perroquet et des chiens. Sans compter leur humain qui rentrait après des mois d’absence!
C’est adorable et mignon et on voudrait tous avoir notre maison pleine d’amis de ce genre! A plumes et à poils! Les animaux sont intelligents, mais ils sont aussi très sensibles et fragiles, à nous de les protéger!
Canard carolin femelle et ses petits, comté d’Arapahoe, Colorado. Cette sympathique famille de canard appartient à l’espèce “carolin”, baptiséeainsi en référence à l’État américain où elle a été pour la première fois observée. Nos amis sont donc bien originaires d’Amérique du Nord, même si parfois on peut les trouver dans quelques parcs animaliers d’Europe. Le mâle est particulièrement reconnaissable à son magnifique plumage coloré qu’il revêt lors de la période des amours. L’autre particularité de cette espèce est que, contrairement aux autres canards,ils nichent dans les arbres. C’est grâce à leurs pieds munis de griffesqu’ils peuvent accomplir cette prouesse. Les petits naissent ainsi en hauteur et doivent, alors qu’ils ne sont âgés que de deux jours, sauter du nid pour gagner la mare. Cela peut paraître effrayant mais heureusement peu de poussins se blessent pendant cet exercice. Ouf !
La magnifique cité romane de Chester en Angleterre rencontre malheureusement un gros problème de prolifération de rats géants, ce quiest d’autant plus gênant vu que c’est une importante ville touristique avec un histoire riche en batailles et la présence de fortifications datant de 70 ans après Jésus Christ.
Le souci est si important que les rats circuleraient au regard de tous, à toute heure du jour ou de la nuit, longeant les rues et s’introduisant dans les demeures.
Afin de traquer au mieux cette vermine, les habitants et les services municipaux songent fortement à libérer dans les rues, des dizaines de félidés. Selon M. Nield, un citoyen de la petite ville, « la seule façon dont nous allons combattre le problème est en introduisant des chats errants et affamés dans les rues de Chester. Nous avons souvent des réunions de citoyens, ce qui semble être nettement plus efficace que les actions de la municipalité ! ».
La British Pest Control Association mentionne que si aucune mesure n’est prise, le nombre de rats risque encore d’augmenter puisque ceux-ci sont de plus résistants aux produits d’extermination, sachant qu’en plus, la gestion des déchets domestiques est aussi problématique en raison des rues très étroites qui rendent bien souvent impossible l’utilisation de conteneurs ou de bacs à poubelles sur roues.
Par Grégoire Macqueron,
La Journée mondiale des espèces menacées se célèbre tous les ans le 11 mai. L'occasion cette année, de faire un petit point de la situation.
Dans la fameuse Liste rouge de l'UICN, sortie en septembre 2016, quatre grands singes - sur six ! - étaient classés dans la catégorie « En danger critique d'extinction ». Chimpanzés et bonobos sont mieux lotis :
ils ne sont « qu'en danger »... Dix espèces emblématiques ont ainsi changé de statut, venant s'ajouter à celles que l'UICN avait présentées lors du sommet de Copenhague, en 2009, comme victimes du réchauffement climatique.
Photos : De fascinants portraits de gorilles
Sur les 82.954 espèces, animales et végétales, suivies par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), 23.928 sont, en septembre 2016, « menacées d'extinction », selon la terminologie de la fameuse Liste rouge, un suivi réalisé depuis 1964. Soit 29 %. C'est le constat de la dernière édition, parue le 4 septembre 2016.
Comme le montrait une étude de 2015, les grands herbivores terrestres sont en mauvaise posture. Alors que l'UICN tient à Hawaï soncongrès mondial 2016, c'est la situation des grands singes qui est désignée comme préoccupante, avec quatre espèces dont les effectifs se sont considérablement réduits.
Le Gorille de l’estGorilla beringei, jusque-là « En danger », est désormais inscrit dans la catégorie « En danger critique d'extinction ». En 20 ans, affirme l'UICN, la population a diminué de plus de 70 %, pour se réduire aujourd'hui à moins de 5.000 individus. Une sous-espèce, le Gorille de Grauer, ou Gorille des plaines orientales (G. b. graueri), ne serait plus représentée que par 3.800 individus (en 2015), contre 16.900 recensés en 1994. C'est la réduction de leurs territoires qui affecte ces grands singes, mais aussi le braconnage. Mieux protégée, le Gorille de montagne, une autre sous-espèce (G. b. beringei), a, elle, vu ses effectifs augmenter mais la population connue n'est que de 880 individus.
© Gorilla Foundation
Koko, femelle gorille en captivité qui a participé durant de longues années àdes expériences sur le langage et le comportement. On la voit ici avec Smoky, un chat qui était son compagnon. C'est le cadeau qu'elle avait demandé pour son quarante-quatrième anniversaire, après la mort de son précédent chat, qu'elle avait elle-même surnommé All ball. Alors que l'on connaît si mal le comportement de cette espèce, les congénères sauvages de Koko sont apparemment voués à disparaître.
Le Gorille de l’ouest et les orangs-outansInstallées à l'ouest de l'Afrique centrale, les populations de Gorille de l'ouest (Gorilla gorilla) sont en décroissance. L'espèce est désormais « au bord de l'extinction », selon l'UICN, et pour les mêmes raisons que le Gorille de l'est. L'Orang-outan de Bornéo et l'Orang-outan de Sumatra le sont également. Dans l'éditiondu 4 septembre 2016 de la Liste rouge de l'UICN, ces deux grands primates asiatiques sont classés « En danger critique d'extinction ». À Bornéo et à Sumatra, la réduction drastique des surfaces de forêts où ils vivent est la première cause de la raréfaction des orangs-outans.
Le Zèbre des plainesLongtemps, les grands troupeaux de zèbres (Equus quagga) ont abondé en Afrique mais les populations ont régressé de 24 % en 14 ans, de 660.000 à 500.000 individus. L'UICN, qui classait ce grand mammifère dans la catégorie
« Préoccupation mineure », le considère désormais comme « Quasi menacé », constatant la diminution dans 10 des 17 pays de
son aire de répartition. « Le Zèbre des plaines est menacé par la chasse, pour la viande de brousse et les peaux, en particulier quand les animaux sortent des airesprotégées » explique l'UICN.
© Paul Maritz,cc by 2.5
Symboles des savanes africaines, les troupeaux de zèbres se font de moins en moins nombreux car leur viande est appréciée des humains.
Les antilopes céphalophesComme les zèbres des plaines, trois espèces d'antilopes africaines, le Céphalophe à bande dorsale (Cephalophus dorsalis), le Céphalophe à ventre blanc (Cephalophus leucogaster) et le Céphalophe à dos jaune (Cephalophus silvicultor) en restaient jusque-là au statut « Préoccupation mineure ». Mais, en dehors des régions protégées, la chasse illégale et la réduction de leurs territoires en font des espèces « Quasi menacées ».
© Raul654, CC BY NC-SA 3.0
Antilopes africaines, les céphalophes sont de petites tailles et vivent surtout dans les forêts, comme cette Cephalophus silvicultor. Leurs populations ont beaucoup diminué ces dernières décennies.
Les dix espèces menacées par le réchauffement climatiqueLes dix espèces suivantes sont, elles, directement affectées par le
changement climatique - lequel est d'origine anthropique -, comme le démontrait le rapport de l’UICN présenté à l'occasion du sommet sur le climat de Copenhague, en 2009. Sans surprise, ce sont les écosystèmes polaires qui soufrent le plus, mais les milieux tropicaux sont eux aussi touchés.
Sans action décisive face au changement climatique, ces espèces qui font partie du patrimoine de notre société à travers les paysages, l'iconographie, les statues, les films, les logos d'entreprise ou encoreles contes, risquent de disparaître.
Le renard polaireHabitué des régions arctiques, le renard polaire (Vulpes lagopus) est adapté au froid. Le réchauffement de ce milieu, plus important et plus rapide qu'aux basses latitudes, affecte la survie de la faune.
© Domaine public
Un renard polaire, avec son pelage différent de celui du renard roux, qui lui permet de résister à des températures très basses.
Le koala cendréSymbole de l'Australie avec le kangourou, le koala cendré (Phascolarctos cinereus) est menacé par l'évolution du climat et la réduction de son biotope.
Comme le renard polaire, le manchot empereur (Aptenodytes forsteri) voit son milieu, sur la côte de l'Antarctique, changé au fil des années.
© Sandwichgirl, Flickr, cc by-nc-nd 2.0
Des manchots empereurs en Antarctique, excellemment adaptés au froid, par leur physiologie mais aussi par leur comportement.
L'amphiprion, ou poisson-clown (alias Nemo), vit sur les récifs coralliens. Tout ce qui affecte les coraux a donc une influence directe sur la vie des populations de cette espèce. Les activités humaines et le réchauffement des eaux superficielles de l'océan constituent pour lui une menace.
Le béluga,ces grands cétacés blancs, qui affectionnent l'océan Arctique et ne descendent jamais à moins de 50° de latitude, préfèrent les eaux froides et sont donc sensibles au réchauffement des eaux superficielles. Ils souffrent, directement, des activités humaines, comme la pollution sur la côte atlantique du Canada.
© Steve Snodgrass, Flickr:Beluga, CC BY 2.0
Le béluga fréquente les régions littorales mais aussi la haute mer des régions arctiques et subarctiques. Les effectifs sont peu nombreux.
Le saumon,la huitaine d'espèces que les humains appellent saumons sont presque toutes en régression, avec des causes diverses et mal estimées. La surpêche, le réchauffement des eaux et la pollution des rivières par les pesticides sont des facteurs fortement soupçonnés.
Bien connu en baie de Somme, le phoque marbré (ou annelé) est malmené par les modifications du climat dans les régions arctiques.
Avec des effectifs en baisse, la tortue luth (Dermochelys coriacea) est considérée par l'UICN comme une espèce « vulnérable ». Ces reptiles sont piégés (et meurent noyés) dans les grands filets de pêche et voient se raréfier les endroits de la côte où elles peuvent pondre sereinement. L'espèce, cependant, est protégée.
© Brian J. Hutchinson
La protection de l'espèce depuis de nombreuses années porte ses fruits. Mais les effectifs sont toujours en diminution, d'après les données de l'UICN.
Le corail acropore Acropora est le corail le plus abondant dans les récifs de la planète. Son état de santé global est donc celui des récifs : déclinant. Les causes (activités humaines sur le littoral et réchauffement des eaux superficielles) sont
bien documentées.
Le kokerboom,cet aloès de Namibie, encore appelé arbre carquois (Aloe dichotoma de son nom scientifique), supporte mal l'élévation des températures de sa région. Depuis plusieurs années, il opère une migration vers le nord,à la lente vitesse dont sont capables les populations de végétaux.
© Wendy Foden
Le kokerboom (soit arbre carquois en français) est endémique de l'Afrique du Sud et de la Namibie. Il peut vivre jusqu'à 350 ans.
Que faire pour protéger le futur de ces espèces ?
Voici les conseils de l'UICN :Au niveau personnel : réduire sa consommation d'énergie ;Au niveau politique : s'assurer que les dirigeants politiques adhèrent à un engagement fort de réduction des gaz à effet de serre dès maintenant ;Au niveau social : faire circuler l'information sur les effets du changement climatique sur les espèces ;Au niveau social, toujours : trouver un moyen de soutenir la conservation des espèces près de chez soi et soutenir les organisations qui travaillent à la sauvegarde des espèces menacées par le changement climatique.
Dans les montagnes de Retezat, un renard roux nous regarde, à-demi caché par la neige.
Ces montagnes sont le premier parc national de Roumanie, ses 60 sommets abritant une multitudes de plantes et d'animaux.
PHOTOGRAPHIE DE ADRIAN PETRISOR,
Notre ami est le symbole du parc national de Glacier. En effet, la chèvre des montagnes Rocheuses est aux « Rockies » ce que le chamois est aux Alpes. D’ailleurs, tous deux sont cousins dans la famille Caprinae et ont plus en commun que la chèvre, qui a pourtant donné son nom (improprement) à notre ami. La chèvre des montagnes Rocheuses vit dans
les pelouses d’altitude et peut se trouver jusqu’à 4 000 mètres d’altitude. Habile grimpeuse malgré son apparence trapue, elle est équipée d’une toison qui lui permet de résister à des températures glaciales qui peuvent aller jusqu’à -50 degrés celsius. C’est le minimumnécessaire lorsque l’on vit dans les montagnes du nord-ouest de l’Amérique
Certains animaux vivent en meutes, d’autres sont plutôt solitaires, mais ils ont tous besoin d’amour. Ainsi, les animaux décident parfois simplement de visiter les humains pour leur dire « allo ».
Ipnoze a dressé une liste de photos d’animaux qui ont décidé de visiter des humains et qui prouvent que l’amitié est universelle et n’est aucunement liée au nombre de pattes qu’un être possède.
1. Un cerf visite ce chat chaque matin
2. Mes parents ont commencé à nourrir un chaton errant il y a quelques semaines – voici leur perron aujourd’hui
3. Ce petit garçon aime bien profiter de la cour de mon ami
4. Ce petit gars est monté à bord de notre bateau et s’est installé sur le canapé
5. Je viens de déménager et des voisins sont venus me dire allo
6. Un nouveau membre s’est joint à notre famille
7. Je crois que cet ours avait détecté l’odeur des brownies que nous faisions cuire, alors il a tenté d’entrer dans notre maison
8. J’ai aperçu ce petit gars qui regardait par ma fenêtre
9. Voici ce que j’ai aperçu quand j’ai allumé la lumière sur mon balcon hier soir
10. Ce petit lapin vient nous visiter chaque matin à mon travail
Chèvre des montagnes Rocheuses, parc national de Glacier, Montana Etats-Unis ...
La chèvre des montagnes Rocheuses est aux « Rockies » ce que le chamois est aux Alpes.
La chèvre des montagnes Rocheuses vit dans les pelouses d'altitude et peut se trouver jusqu'à 4 000 mètres d'altitude. Habile
grimpeuse malgré son apparence trapue, elle est équipée d'une toison quilui permet de résister à des températures glaciales qui peuvent aller jusqu'à -50 degrés celsius.
C'est le minimum nécessaire lorsque l'on vit dans les montagnes du nord-ouest de l'Amérique.
Un crocodile s'approche dangereusement de Fabrice Dudenhofer, de la communauté Your Shot, dans les Jardines de la Reina (ou "Jardins de la Reine") à Cuba.
Ce groupe d'îles, qui doit son nom à Christophe Colomb, est l'une des plus grandes zones naturelles protégées de Cuba.
PHOTOGRAPHIE DE FABRICE DUDENHOFER
Dans un village en Inde, les habitants tricotent des pulls géants en laine, pour protéger les éléphants du froid
En effet, cette localité est située près de la ville de Mathura,dans l'État de l'Uttar Pradesh, au nord du pays. Actuellement, suite à une
vague de froid intense, les températures avoisinent les 0°C.
Comme on pourrait s'en douter, certains animaux de la région, notamment les éléphants, ne sont pas du tout habitués à ce genre de froid !
La peau au cuir épais de ces pachydermes, si elle est parfaite pour faire barrage contre les rayons d'un soleil cuisant, n'est en revanche pas d'un grand secours lorsque les températures chutent et que le froid s'installe.
Heureusement, des militantes du Centre de Conservation et de Protection des Éléphants se sont mises à tricoter des plaids, pulls
et autres liquettes colorées à taille géante, pour les éléphants !
Grâce à ces femmes, les éléphants sortent bien couverts et n'ont pas froid aux pattes ni au cou. Même si la nature ne les a pas dotés d'un pelage capable de résister au froid, ils pourront ainsi lutter contre la vague de froid extrême qui touche la région !
Avant d'arriver dans le centre de protection, ces éléphants étaient détenus en captivité illégalement. Ils étaient exploités par un réseau de trafic alimenté par la mafia locale, pour être vendus à des cirques ou être utilisés pour mendier auprès des touristes.
Tous ces animaux qui ont été saisis et secourus avaient été victimes de coups et de traitements extrêmement cruels. C'est pour cela qu'ils doivent spécialement être bichonnés .
"Il est important de garder nos éléphants au chaud, car l'hiver est vraiment très rude. Ces animaux ont beaucoup souffert, ils ont été victimes de bien des actes barbares, et cela les a rendu faibles et vulnérables. Ils pourraient facilement développer des maladies comme la pneumonie", a expliqué Kartick Satyanarayan, le fondateur du centre, à Times of India.
Le froid aggrave également les problèmes d'arthrite, qui est un problème de santé que l'on retrouve souvent sur nos éléphants et que nous devons traiter", ajoute-t-il .
Ils peuvent reproduire les sons qu’ils entendent et peuvent surprendre plus d’un.
Cet article parle de ces oiseaux et les vidéos peuvent plaire à tout le monde!
Pas de scènes choquantes, juste belles et insolites!
A commencer par ces séquences de perroquets avec des chats!
Ils sont amis ou juste colocataires, alors il y ‘a forcément quelques détails à régler entre eux!
.
C’est trop chou, mais attention, un chat ne ferait qu’une bouchée de ces oiseaux.
Ils sont très fragiles, alors évitez de les laisser en compagnie d’autres animaux!
Deuxième vidéo incroyablement charmante avec des inséparables et leur maman humaine!
C’est fou comme c’est adorable!
La troisième vidéo montre aussi des animaux dont un perroquet et des chiens.
Sans compter leur humain qui rentrait après des mois d’absence!
C’est adorable et mignon et on voudrait tous avoir notre maison pleine d’amis de ce genre!
A plumes et à poils!
Les animaux sont intelligents, mais ils sont aussi très sensibles et fragiles, à nous de les protéger!
Cette sympathique famille de canard appartient à l’espèce “carolin”, baptiséeainsi en référence à l’État américain où elle a été pour la première fois observée. Nos amis sont donc bien originaires d’Amérique du Nord, même si parfois on peut les trouver dans quelques parcs animaliers d’Europe. Le mâle est particulièrement reconnaissable à son magnifique plumage coloré qu’il revêt lors de la période des amours. L’autre particularité de cette espèce est que, contrairement aux autres canards,ils nichent dans les arbres. C’est grâce à leurs pieds munis de griffesqu’ils peuvent accomplir cette prouesse. Les petits naissent ainsi en hauteur et doivent, alors qu’ils ne sont âgés que de deux jours, sauter du nid pour gagner la mare. Cela peut paraître effrayant mais heureusement peu de poussins se blessent pendant cet exercice. Ouf !