Étoile de mer fromia monilis au large de Sipadan, Bornéo.
Avec ses motifs rouge et blanc, cette étoile de mer de la famille “fromia monilis” ressemble étrangement aux sucettes en forme de cannes que l’on rencontre traditionnellement à Noël. Toutefois, cette astéride a en faitune apparence très variable. Elle peut avoir des nuances de violet ou de bleu, ce qui fait qu’on la confond facilement avec sa cousine fromia nodosa. Si notre amie vit au large de l’île de Sipadan à Bornéo, l’espèce se rencontre dans les eaux tropicales de l’océan Indien et Pacifique, et même en mer Rouge. On la trouve jusqu’à 50 m de profondeur. Elle se nourrit de petits crustacés, d’éponges et de détritus.
Pauline a 6 ans et passe ses vacances dans la ferme de son oncle et de sa tante. Pauline découvre les animaux de la ferme et leurs petits ! Ce programme, plein de soleil, est à la fois distrayant et éducatif : à travers les yeux d'un enfant de la ville, nous découvrons la vie étonnante, mais authentique d'une ferme avec des animaux et leurs bébés. Pour Pauline chaque tâche quotidienne est une nouvelle aventure. Elle donne à manger aux poules, aide à ramasser les oeufs, apprend à traire les vaches et amène l'ânon et l'anesse au pré... Elle surveille le premier bain des canetons, apprend à faire le fromage de chèvre et observe la tonte des moutons en protègeant un agneau dans ses bras.
Entretien avec Karine Lou Matignon, auteure de « Révolutions animales » (Ed. Arte) et Gilles Boeuf, Professeur au Collège de France, biologiste. Plus notre connaissance du monde augmente, plus la question de notre relation à l’animal se pose. Aujourd’hui, il ne se trouvera plus grand monde sur terre pour prétendre que la « bête » est plus cruelle que l’humain et pour séparer les destins de l’humanité et du règne animal. La question est même en passe de devenir un enjeu politique et économique. « Révolutions animales, comment les animaux sont devenus intelligents »en fait brillamment le tour.
La communication animale est de plus en plus pratiquée ouvertement en France, mais reste un tabou pour le monde vétérinaire. Au-delà d’une simple « connexion » entre l’homme et l’animal, le phénomène révèle surtout une unité primordiale du vivant dont nous avons largement perdu le sens. Ce jour-là, Muriel, dentiste équine, donne une conférence dans un haras sur sa pratique non-violente de la dentisterie. Après l’exposé, Muriel est sollicitée par une jeune fille pour venir voir son poney, tout près de là. Celle-ci est inquiète à cause de taches colorées sur la gencive de l’animal, mais glisse : « S’il dit quelque chose, je suis preneuse ». Muriel accepte et est habituée à ce genre de prétexte. Pour elle, la communication est un bonus, un « cadeau » que lui font les animaux et qu’elle restitue de la même façon, comme un cadeau. Hors de question de facturer la « prestation », donc. Et pourtant, quelle prestation ! « Ce sont eux les vrais médiums » « Je lui dis que les taches sont normales parce qu’il est pie au niveau des muqueuse, raconte Muriel par la suite. Et là le poney me dit : « Dis-lui qu’elle est ma troisième gardienne/propriétaire. Ma gardienne précédente est très malade, elle a un cancer là (la tête) ». La jeune fille me confirme ce fait, qui fait partie de l’histoire du poney et qui est la raison pour laquelle il a été confié à cette jeune fille. Puis il me parle pêle-mêle de son grand copain bai, qui est à côté, et du petit chien roux qui aime courir dans ses jambes (qui n’est pas là). La jeune fille me confirme : « Oui, c’est mon petit chien, ils sont très amis, j’ai un peu peur quand il court entre ses pattes ». Tout cela est très simple, très fluide, comme un vrai dialogue. » La jeune fille est souriante mais s’assombrit quand Muriel ajoute : « Il me dit : « Attention au trajet du nerf sciatique ; ça ne va pas du tout ». Est-ce que tu as mal ? » « Non ». « Est-ce que tu as eu mal ? » « Non ». Cette jeune fille fait du spectacle équestre avec son poney et son cheval bai. Muriel sait que l’information est juste, mais elle peut concerner une personne de l’entourage, qui participe au spectacle, etc. Le soir même, la jeune fille donne son spectacle au centre équestre, puis revient voir Muriel un peu plus tard : « Je viens de monter l’escalier pour aller manger, et j’ai mal sur le trajet du nerf sciatique ! C’est incroyable, comment vous faites ? » « Je ne fais rien du tout », répond Muriel. Le poney avait anticipé cette douleur parce que, pour eux, « nous sommes transparents, explique-t-elle. Au plan corporel, surtout, mais aussi psychique. Ce sont eux les vrais médiums, parce qu’ils n’ont pas – c’est ma façon de le comprendre – tout un fatras d’idées, d’interdits, d’obligations, etc., contrairement à nous. » Nouvelle relation à l’animal En grande majorité des femmes, elles sont « sorties du bois » ces dernières années suite à la médiatisation du phénomène de la communication animale. L’engouement est venu des Etats-Unis, mais rares sont les communicatrices animalières à exercer ici leur art comme un métier à part entière. Désormais « être vivant doué de sensibilité », selon le Code Civil, l’animal change de statut mais aussi de mode de relation à l’humain. L’anthropologue Jérémy Narby note que « le point de vue occidental de ces derniers siècles sur les autres espèces a été de les considérer comme des objets, en niant qu’elles pouvaient être proches de nous et intelligentes ». Le mot « intelligence » lui-même se définit quasi exclusivement en référence à l’Homme, ajoute-t-il. Les choses changent. L’animal de compagnie n’est plus perçu comme un simple agrément mais comme un véritable compagnon, sensible, intelligent et souvent membre à part entière de la famille. Quant aux animaux que nous consommons, que nous exploitons pour leurs sous-produits, ou que nous enfermons dans des zoos ou des cirques, etc.,la prise de conscience est rapide que cette relation doit changer. La pratique de la communication télépathique avec les animaux n’est pas étrangère à cette prise de conscience, mais celle-ci se développe, ou en tout cas se révèle aujourd’hui plus facilement, tout en restant dans une certaine marginalité. Contrairement à ce qu’on a pu croire ou espérer, le milieu vétérinaire reste majoritairement fermé à cette réalité, au motif plutôt surréaliste qu’il n’existe pas de preuves scientifiques d’une telle communication. Or, c’est précisément le désintérêt scientifique initial qui est à l’origine de cette absence de démonstration. Bref, un serpent qui se mord la queue et doit certainement dire « aïe ! » à qui veut bien l’entendre… Des recherches sont cependant en cours et deux thèses de doctorat vétérinaire ont déjà été consacrées au sujet. Savoir accueillir l’autre En outre, l’existence de cette faculté est connue dans le milieu vétérinaire. Ils sont nombreux à avoir été témoin de preuves irréfutables, d’animaux ingérables qui se calment instantanément, d’informations précises obtenues on ne sait comment. « Au cours de mes études vétérinaires, j’avais un rêve, raconte Florence-Emmeline, ostéopathe vétérinaire en Ariège. J’imaginais que dans les dix années à venir, au moins les prémices de la communication intuitive seraient enseignées en première année ; le minimum, savoir accueillir l’autre… » Elle a mis en sommeil sa capacité innée à communiquer avec « le vivant » et « l’invisible » au cours de ses deux années préparatoires au concours, mais pensait qu’elle serait mieux acceptée à l’école elle-même. Il y a clairement plus d’ouverture chez les ostéopathes, naturopathes, acupuncteurs, etc. Résultat, elle comme ses consœurs sont débordées, submergées de demandesde la France entière et même de l’étranger. « Les vétérinaires restent fermés », confirme Sandie, éleveuse de chats de race dans le Gers et qui pratique elle aussi la communication animale depuis l’enfance. « Ils sont sur des connaissances très théoriques, même quand ils font de l’éthologie, du comportementalisme. Quand on leur annonce à l’avance unepathologie, cela les met mal à l’aise. En revanche, certains ostéopathes équins m’envoient des consultants car le travail est complémentaire. » Oui, quand l’ostéopathie est de type « holistique », complète Florence-Emmeline, car l’ostéopathie dans sa vision uniquement mécaniste reste « à mille lieues d’une médecine de l’esprit, et il est possible de faire plus efficace quasiment sans toucher », confie-t-elle. Un art comme l’orfèvrerie Comment l’information passe-t-elle ? Les communicatrices ne cherchent pas à rationaliser. « Les informations me traversent ; les choses m’arrivent très clairement, instantanément, explique Muriel. Je ne peux pas dire que ce sont des images, encore que c’est parfois lecas. Récemment un cheval m’a envoyé une odeur effrayante d’incendie, et effectivement il avait vécu un début d’incendie dans son ancienne écurie. Mais le plus souvent ce sont des idées qui m’arrivent, qui me traversent le corps et que je ressors en phrases humaines. » Pour Sandie, la faculté est naturelle : « Je pars du principe que c’est une capacité télépathique que nous avons tous mais que l’on enfouit, à cause de l’éducation, de l’acquisition du langage, etc. Il suffit d’observer un petit enfant, non verbal, avec un animal : il y a des regards, l’enfant regarde le chien et éclate de rire, le chien montre de l’empathie ; une complicité se crée entre les deux alors qu’il n’y a pas de langage parlé. » Il est connu qu’un des pièges de la communication est de prêter aux animaux des idées ou des concepts humains. « Ils ne fonctionnent pas comme nous et il faut les voir dans le respect de leur espèce, souligne Sandie. Il est dangereux de prêter à l’animal des intentions humaines. Ils sont en mesure d’avoir des émotions, de constater des choses, par contre ils ne sont jamais dans le jugement. Ils sont dans l’instant présent, l’amour inconditionnel, et ne font que constater des états de fait. » Cette faculté reste délicate et subtile, selon Florence-Emmeline : « Pour moi c’est un art comme l’orfèvrerie, et en stage je fais surtout travailler la notion de cœur et d’éthique car j’entends trop de monstruosités dans ce domaine. Des gens parlent au nom d’un être qui ne peut pas s’exprimer verbalement, en ne s’étant pas assez affranchis de leurs propres prismes émotionnels, croyances, etc. Alors ils projettent complètement et parlent pour eux-mêmes. C’est le problème du thérapeute qui ne se construit pas lui-même avant de soigner. Cela peut faire énormément de mal, à la personne à qui on retranscrit la communication, le gardien de l’animal, et aussi à l’animal. » Plus évolués : eux ou nous ? Pour éviter l’écueil de l’anthropomorphisme, « je fais travailler énormément par le corps,poursuit-elle. On va avoir d’abord des sensations, des ressentis, et cela va remettre en vie le corps, avec toutes les mémoires que l’on porte, nos peurs et toutes nos réactions et nos croyances. Progressivement, quand on rentre en communication c’est comme si on commençait à vider ses « poubelles ». C’est une première phase qui peut durer des années et qui est hyper importante selon moi. » Et d’ajouter : « Je dis souvent aux stagiaires : quand ça parle fort dans la tête, ce n’est pas l’animal, c’est nous. L’animal peut parler beaucoup, énormément, mais on est dans une espèce de tendresse, de murmure… » Des questions surviennent : sommes-nous vraiment plus « évolués » ? Qui est le guide, le compagnon spirituel, de l’autre… ? « Les animaux nous ramènent chaque jour à la réalité en nous disant : « Regardez, il y a plein d’amour autour », observe Muriel. Ils ne nous jugent pas ; ils posent les choses, ils expliquent. Je reçois en permanence des informations qui me tiraient des larmes autrefois, mais aujourd’hui ils m’ont apaisée. Ils m’ont aidée à comprendre l’incompréhensible, c’est-à-dire la maltraitance animale. » Et comprendre n’est pas accepter ni excuser. « L’animal a un rôle extraordinaire auprès de l’humain, mais il ne faut pas le voir comme plus ou moins évolué que nous, conclut pour sa part Florence-Emmeline. Il y a une notion de multidimensionnalité en chaque être et d’origine commune avec des teintes semblables et des teintes différentes en chacun. Les Hopis disent que les animaux sont venus des étoiles pour aider l’homme à grandir. La création prend bien soin de nous et franchement ils sont très patients ; c’est donc que l’on doit avoir une vraie beauté à l’intérieur quand même ! » (Source : INREES)
Les singes remplissent toutes les conditions physiques afin de pouvoir s’exprimer, ressort-il d’une étude anatomique portant sur les canaux de communication de ces mammifères et à laquelle des chercheurs de la Vrije Universiteit Brussel "VUB"ont participé. La raison pour laquelle les singes ne parlent toujours pas aujourd’hui est probablement due au fait, selon les chercheurs, que leurs cerveaux ne sont pas appropriés au langage parlé. Depuis des décennies, on estime que les singes ne sont pas capables de parler àcause de limitations au niveau du larynx, de la langue et des lèvres. Or, une équipe de chercheurs internationaux, dont fait partie le professeur Bart De Boer de l’Artificial Intelligence Lab de la VUB, a récemment découvert, grâce à une étude au rayons X des organes de la parole des singes, que ceux-ci étaient plus flexibles que ce qu’il a pu être démontré jusqu’ici. Les chercheurs ont procédé à des enregistrements des organes des singes pendant que les animaux faisaient du bruit, mangeaient ou faisaient des grimaces. A l’aide des données récoltées, un modèle informatique de la portée vocale du singe a pu être réalisé. Ce modèle a montré que les primates pourraient émettre facilement de nombreux sons, « assez que pour pouvoir produire des milliers de mots différents ». Les chercheurs ne prétendent toutefois pas que ce langage parlé ressemblerait à celui de l’être humain. Les singes ont donc bien la capacité physique nécessaire au langage parlé, mais leur cerveau ne leur permet pas d’émettre des sons vocaux, soulignent les auteurs de l’étude. Il a été démontré à plusieurs reprises par le passé que les singes ne sont en effet pas capables d’apprendre des sons. Les résultats de l’article « Monkey Vocal Tracts are Speech-Ready » ont été publiés vendredi dans la revue Sciences Advances. (Source : Belga)
Randonnée à cheval sur la neige ou sur la plage en norvège
Chevauchez les Fjords, cette race de cheval que l’on trouve uniquement dans le nord de l’Europe, et partez galoper dans les plaines enneigées ou sur les plages de Norvège, les cheveux au vent à travers les grandes étendues sauvages et admirez ces panoramas spectaculaires, à perte de vue… Un incontournable pour les amoureux des randonnées équestres !
Les 16 plus belles méduses au monde ! Par : Joris Marchand -
On les connait, à la plage où dans les aquariums, les méduses ont toujours été des animaux marins fascinants et étranges. Mais les méduses ne se résument pas simplement à celles qu’on connait à la plage et qui brûlent les jambes de vos enfants…Il existe d’autres espèces bien plus curieuses, dangereuses et belles à la fois. N’étant pas un expert en vie animale sous-marine, je me suis permis de leur donner des noms en accord avec leurs ressemblances et le peu d’informations que j’avais sur ces créatures des fonds-marins ! Voici donc ma sélection des 15 méduses les plus belles au monde...
1. La méduse bonnet de bain
2. La méduse « Guerre des mondes »
3. La méduse mexicaine rayée
4. La méduse « oeuf sur le plat »
5. La méduse fantôme
6. La méduse araignée bleue
7. La méduse de l’arctique
8. La méduse bouton
9. La méduse « nouvel an chinois »
10. La méduse champignon d’Antarctique
11. La méduse rouge géante carnivore
12. La méduse pacifique à points blancs
13. La méduse de rivière « champignons de Paris »
14. La méduse fleurs de saison
15. La méduse torpille
Après avoir vu ce qui se cache sous l’eau, difficile d’aller plonger sereinement…non ? Photos tirées de www.environmentalgraffiti.com
Avec ses motifs rouge et blanc, cette étoile de mer de la famille “fromia monilis” ressemble étrangement aux sucettes en forme de cannes que l’on rencontre traditionnellement à Noël. Toutefois, cette astéride a en faitune apparence très variable. Elle peut avoir des nuances de violet ou de bleu, ce qui fait qu’on la confond facilement avec sa cousine fromia
nodosa. Si notre amie vit au large de l’île de Sipadan à Bornéo, l’espèce se rencontre dans les eaux tropicales de l’océan Indien et Pacifique, et même en mer Rouge. On la trouve jusqu’à 50 m de profondeur. Elle se nourrit de petits crustacés, d’éponges et de détritus.
Ce programme, plein de soleil, est à la fois distrayant et éducatif : à travers les yeux d'un enfant de la ville, nous découvrons la vie
étonnante, mais authentique d'une ferme avec des animaux et leurs bébés.
Pour Pauline chaque tâche quotidienne est une nouvelle aventure. Elle donne à manger aux poules, aide à ramasser les oeufs, apprend à traire les vaches et amène l'ânon et l'anesse au pré... Elle surveille le premier bain des canetons, apprend à faire le fromage de chèvre et observe la tonte des moutons en protègeant un agneau dans ses bras.
Entretien avec Karine Lou Matignon, auteure de « Révolutions animales » (Ed. Arte) et Gilles Boeuf, Professeur au Collège de France, biologiste.
Plus notre connaissance du monde augmente, plus la question de notre relation à l’animal se pose. Aujourd’hui, il ne se trouvera plus grand monde sur terre pour prétendre que la « bête » est plus cruelle que l’humain et pour séparer les destins de l’humanité et du règne animal.
La question est même en passe de devenir un enjeu politique et économique.
« Révolutions animales, comment les animaux sont devenus intelligents »en fait brillamment le tour.
La communication animale est de plus en plus pratiquée ouvertement en France, mais reste un tabou pour le monde vétérinaire. Au-delà d’une simple « connexion » entre l’homme et l’animal, le phénomène révèle surtout une unité primordiale du vivant dont nous avons largement perdu le sens.
Ce jour-là, Muriel, dentiste équine, donne une conférence dans un haras sur sa pratique non-violente de la dentisterie. Après l’exposé, Muriel est sollicitée par une jeune fille pour venir voir son poney, tout près de là. Celle-ci est inquiète à cause de taches colorées sur la gencive de l’animal, mais glisse : « S’il dit quelque chose, je suis preneuse ». Muriel accepte et est habituée à ce genre de prétexte. Pour elle, la communication est un bonus, un « cadeau » que lui font les animaux et qu’elle restitue de la même façon, comme un cadeau. Hors de question de facturer la « prestation », donc. Et pourtant, quelle prestation !
« Ce sont eux les vrais médiums »
« Je lui dis que les taches sont normales parce qu’il est pie au niveau des muqueuse, raconte Muriel par la suite. Et là le poney me dit : « Dis-lui qu’elle est ma troisième gardienne/propriétaire. Ma gardienne précédente est très malade, elle a un cancer là (la tête) ». La jeune fille me confirme ce fait, qui fait partie de l’histoire du poney et qui est la raison pour laquelle il a été confié à cette jeune fille. Puis il me parle pêle-mêle de son grand copain bai, qui est à côté, et du petit chien roux qui aime courir dans ses jambes (qui n’est pas là).
La jeune fille me confirme : « Oui, c’est mon petit chien, ils sont très amis, j’ai un peu peur quand il court entre ses pattes ». Tout cela est très simple, très fluide, comme un vrai dialogue. » La jeune fille est souriante mais s’assombrit quand Muriel ajoute : « Il me dit : « Attention au trajet du nerf sciatique ; ça ne va pas du tout ». Est-ce que tu as mal ? » « Non ». « Est-ce que tu as eu mal ? » «
Non ». Cette jeune fille fait du spectacle équestre avec son poney et son cheval bai. Muriel sait que l’information est juste, mais elle
peut concerner une personne de l’entourage, qui participe au spectacle, etc.
Le soir même, la jeune fille donne son spectacle au centre équestre, puis revient voir Muriel un peu plus tard : « Je viens de monter l’escalier pour aller manger, et j’ai mal sur le trajet du nerf sciatique ! C’est incroyable, comment vous faites ? » « Je ne fais rien du tout », répond Muriel. Le poney avait anticipé cette douleur parce que, pour eux, « nous sommes transparents, explique-t-elle. Au plan corporel, surtout, mais aussi psychique. Ce sont eux les vrais médiums, parce qu’ils n’ont pas – c’est ma façon de le comprendre – tout un fatras d’idées, d’interdits, d’obligations, etc., contrairement à nous. »
Nouvelle relation à l’animal
En grande majorité des femmes, elles sont « sorties du bois » ces dernières années suite à la médiatisation du phénomène de la
communication animale. L’engouement est venu des Etats-Unis, mais rares sont les communicatrices animalières à exercer ici leur art comme un métier à part entière. Désormais « être vivant doué de sensibilité », selon le Code Civil, l’animal change de statut mais aussi de mode de relation à l’humain.
L’anthropologue Jérémy Narby note que « le point de vue occidental de ces derniers siècles sur les autres espèces a été de les considérer comme des objets, en niant qu’elles pouvaient être proches de nous et intelligentes ». Le mot « intelligence » lui-même se définit quasi exclusivement en référence à l’Homme, ajoute-t-il. Les choses changent. L’animal de compagnie n’est plus perçu comme un simple agrément mais comme un véritable compagnon, sensible, intelligent et souvent membre à part entière de la famille.
Quant aux animaux que nous consommons, que nous exploitons pour leurs sous-produits, ou que nous enfermons dans des zoos ou des cirques, etc.,la prise de conscience est rapide que cette relation doit changer. La pratique de la communication télépathique avec les animaux n’est pas étrangère à cette prise de conscience, mais celle-ci se développe, ou en tout cas se révèle aujourd’hui plus facilement, tout en restant dans une certaine marginalité. Contrairement à ce qu’on a pu croire ou espérer, le milieu vétérinaire reste majoritairement fermé à cette réalité, au motif plutôt surréaliste qu’il n’existe pas de preuves scientifiques d’une telle communication.
Or, c’est précisément le désintérêt scientifique initial qui est à l’origine de cette absence de démonstration. Bref, un serpent qui se
mord la queue et doit certainement dire « aïe ! » à qui veut bien l’entendre… Des recherches sont cependant en cours et deux thèses de doctorat vétérinaire ont déjà été consacrées au sujet.
Savoir accueillir l’autre
En outre, l’existence de cette faculté est connue dans le milieu vétérinaire. Ils sont nombreux à avoir été témoin de preuves
irréfutables, d’animaux ingérables qui se calment instantanément, d’informations précises obtenues on ne sait comment. « Au cours de mes études vétérinaires, j’avais un rêve, raconte Florence-Emmeline, ostéopathe vétérinaire en Ariège. J’imaginais que dans les dix années à venir, au moins les prémices de la communication intuitive seraient enseignées en première année ; le minimum, savoir accueillir l’autre… » Elle a mis en sommeil sa capacité innée à communiquer avec « le vivant » et « l’invisible » au cours de ses deux années préparatoires au concours, mais pensait qu’elle serait mieux acceptée à l’école elle-même. Il y a clairement plus
d’ouverture chez les ostéopathes, naturopathes, acupuncteurs, etc.
Résultat, elle comme ses consœurs sont débordées, submergées de demandesde la France entière et même de l’étranger.
« Les vétérinaires restent fermés », confirme Sandie, éleveuse de chats de race dans le Gers et qui pratique elle aussi la communication animale depuis l’enfance. « Ils sont sur des connaissances très théoriques, même quand ils font de l’éthologie, du comportementalisme. Quand on leur annonce à l’avance unepathologie, cela les met mal à l’aise. En revanche, certains
ostéopathes équins m’envoient des consultants car le travail est complémentaire. » Oui, quand l’ostéopathie est de type « holistique », complète Florence-Emmeline, car l’ostéopathie dans sa vision uniquement mécaniste reste « à mille lieues d’une médecine de l’esprit, et il est possible de faire plus efficace quasiment sans toucher », confie-t-elle.
Un art comme l’orfèvrerie
Comment l’information passe-t-elle ? Les communicatrices ne cherchent pas à rationaliser. « Les informations me traversent ; les choses m’arrivent très clairement, instantanément, explique Muriel. Je ne peux pas dire que ce sont des images, encore que c’est parfois lecas. Récemment un cheval m’a envoyé une odeur effrayante d’incendie, et effectivement il avait vécu un début d’incendie dans son ancienne écurie. Mais le plus souvent ce sont des idées qui m’arrivent, qui me traversent le corps et que je ressors en phrases humaines. » Pour Sandie, la faculté est naturelle : « Je pars du principe que c’est une capacité télépathique que nous avons tous mais que l’on enfouit, à cause de l’éducation, de l’acquisition du langage, etc. Il suffit d’observer un petit enfant, non verbal, avec un animal : il y a des regards, l’enfant regarde le chien et éclate de rire, le chien montre de l’empathie ; une complicité se crée entre les deux alors qu’il n’y a pas de langage parlé. » Il est connu qu’un des pièges de la communication est de prêter aux animaux des idées ou des concepts humains. « Ils ne fonctionnent pas comme nous et il faut les voir dans le respect de leur espèce, souligne Sandie.
Il est dangereux de prêter à l’animal des intentions humaines. Ils sont en mesure d’avoir des émotions, de constater des choses, par contre ils ne sont jamais dans le jugement. Ils sont dans l’instant présent, l’amour inconditionnel, et ne font que constater des états de fait. » Cette faculté reste délicate et subtile, selon Florence-Emmeline : « Pour moi c’est un art comme l’orfèvrerie, et en stage je fais surtout travailler la notion de cœur et d’éthique car j’entends trop de monstruosités dans ce domaine. Des gens parlent au nom d’un être qui ne peut pas s’exprimer verbalement, en ne s’étant pas assez affranchis de leurs propres prismes émotionnels, croyances, etc. Alors ils projettent complètement et parlent pour eux-mêmes. C’est le problème du thérapeute qui ne se construit pas lui-même avant de soigner. Cela peut faire énormément de mal, à la personne à qui on retranscrit la communication,
le gardien de l’animal, et aussi à l’animal. »
Plus évolués : eux ou nous ?
Pour éviter l’écueil de l’anthropomorphisme, « je fais travailler énormément par le corps,poursuit-elle. On va avoir d’abord des sensations, des ressentis, et cela va remettre en vie le corps, avec toutes les mémoires que l’on porte, nos peurs et toutes nos réactions et nos croyances. Progressivement, quand on rentre en communication c’est comme si on commençait à vider ses « poubelles ».
C’est une première phase qui peut durer des années et qui est hyper importante selon moi. » Et d’ajouter : « Je dis souvent aux stagiaires : quand ça parle fort dans la tête, ce n’est pas l’animal, c’est nous. L’animal peut parler beaucoup, énormément, mais on est dans une espèce de tendresse, de murmure… »
Des questions surviennent : sommes-nous vraiment plus « évolués » ? Qui est le guide, le compagnon spirituel, de l’autre… ? « Les animaux nous ramènent chaque jour à la réalité en nous disant : « Regardez, il y a plein d’amour autour », observe Muriel. Ils ne nous jugent pas ; ils posent les choses, ils expliquent. Je reçois en permanence des informations qui me tiraient des larmes autrefois, mais aujourd’hui ils m’ont apaisée. Ils m’ont aidée à comprendre l’incompréhensible, c’est-à-dire la maltraitance animale. » Et comprendre n’est pas accepter ni excuser.
« L’animal a un rôle extraordinaire auprès de l’humain, mais il ne faut pas le voir comme plus ou moins évolué que nous, conclut pour sa part Florence-Emmeline. Il y a une notion de multidimensionnalité en chaque être et d’origine commune avec des teintes semblables et des teintes différentes en chacun. Les Hopis disent que les animaux sont venus des étoiles pour aider l’homme à grandir. La création prend bien soin de nous et franchement ils sont très patients ; c’est donc que l’on doit avoir une vraie beauté à l’intérieur quand même ! »
(Source : INREES)
Les singes remplissent toutes les conditions physiques afin de pouvoir s’exprimer, ressort-il d’une étude anatomique portant sur les canaux de communication de ces mammifères et à laquelle des chercheurs de la Vrije Universiteit Brussel "VUB"ont participé.
La raison pour laquelle les singes ne parlent toujours pas aujourd’hui est probablement due au fait, selon les chercheurs, que leurs cerveaux ne sont pas appropriés au langage parlé.
Depuis des décennies, on estime que les singes ne sont pas capables de parler àcause de limitations au niveau du larynx, de la langue et des lèvres.
Or, une équipe de chercheurs internationaux, dont fait partie le professeur Bart De Boer de l’Artificial Intelligence Lab de la VUB, a récemment découvert, grâce à une étude au rayons X des organes de la parole des singes, que ceux-ci étaient plus flexibles que ce qu’il a pu être démontré jusqu’ici.
Les chercheurs ont procédé à des enregistrements des organes des singes pendant que les animaux faisaient du bruit, mangeaient ou faisaient des grimaces. A l’aide des données récoltées, un modèle informatique de la portée vocale du singe a pu être réalisé. Ce modèle a montré que les primates pourraient émettre facilement de nombreux sons, « assez que pour pouvoir produire des milliers de mots différents ». Les chercheurs ne prétendent toutefois pas que ce langage parlé ressemblerait à celui de l’être humain.
Les singes ont donc bien la capacité physique nécessaire au langage parlé, mais leur cerveau ne leur permet pas d’émettre des sons vocaux, soulignent les auteurs de l’étude. Il a été démontré à plusieurs reprises par le passé que les singes ne sont en effet pas capables d’apprendre des sons.
Les résultats de l’article « Monkey Vocal Tracts are Speech-Ready » ont été publiés vendredi dans la revue Sciences Advances.
(Source : Belga)
Un Coyote trouve un chien en peluche et joue avec comme un gosse!
" Est-ce que mon nouveau copain peut entrer?"
"Ah ces gamins, ils m'épuisent!"
"T'as vu quelque chose? Non, mais on reste en planque!"
"AH, je suis content,je suis content, je suis content!"
BON DIMANCHE !
Chevauchez les Fjords, cette race de cheval que l’on trouve uniquement dans le nord de l’Europe, et partez galoper dans les plaines enneigées ou sur les plages de Norvège, les cheveux au vent à travers les grandes étendues sauvages et admirez ces panoramas spectaculaires, à perte de vue…
Un incontournable pour les amoureux des randonnées équestres !
Par : Joris Marchand -
On les connait, à la plage où dans les aquariums, les méduses ont toujours été des animaux marins fascinants et étranges.
Mais les méduses ne se résument pas simplement à celles qu’on connait à la plage et qui brûlent les jambes de vos enfants…Il existe d’autres espèces bien plus curieuses, dangereuses et belles à la fois.
N’étant pas un expert en vie animale sous-marine, je me suis permis de leur donner des noms en accord avec leurs ressemblances et le peu d’informations que j’avais sur ces créatures des fonds-marins !
Voici donc ma sélection des 15 méduses les plus belles au monde...
1. La méduse bonnet de bain
2. La méduse « Guerre des mondes »
3. La méduse mexicaine rayée
4. La méduse « oeuf sur le plat »
5. La méduse fantôme
6. La méduse araignée bleue
7. La méduse de l’arctique
8. La méduse bouton
9. La méduse « nouvel an chinois »
10. La méduse champignon d’Antarctique
11. La méduse rouge géante carnivore
12. La méduse pacifique à points blancs
13. La méduse de rivière « champignons de Paris »
14. La méduse fleurs de saison
15. La méduse torpille
Après avoir vu ce qui se cache sous l’eau, difficile d’aller plonger sereinement…non ?
Photos tirées de www.environmentalgraffiti.com