Cette Lys de mer, crinoïde de son nom officiel, est un animal de la même famille que les étoiles de mer ou les oursins dont le squelette comporte de longs bras flexiblesqui lui permettent de se déplacer et de filtrer le plancton dont elle se nourrie. On en trouve d’une grande variété de formes et de couleurs, celle là ressemblant étonnamment à un amas de plumes d’oiseaux en mouvement.
Même tout petit, un jardin peut accueillir la vie sauvage. Oiseaux en tête, évidemment, que vous nourrissez durant l’hiver. Mais d’autres, parfois moins attirants a priori, peuvent aussi venir animer votre jardin de leur petite vie discrète : ils effectueront des miracles contre les ravageurs !
A cause du braconnage, de plus en plus d’éléphants naissent sans défenses en Afrique.
Un nouveau rapport révèle l’existence d’une véritable augmentation de femelles dénuées de défenses parmi les nouvelles générations d’éléphantsd’Afrique. Selon les experts, ce phénomène est directement imputable à la pression du braconnage. Il va sans dire que le braconnage a de lourdes conséquences sur les populations d’éléphants d’Afrique. Chaque année, de nombreux spécimens sont abattus illégalement par les chasseurs. Ces derniers convoitent leurs précieuses défenses en ivoire qui se vendent à prix d’or sur le marché noir. Cette activité frauduleuse menée depuis des décennies et actuellement en hausse représente une pression énorme pour l’espèce dont la diminution rapide des effectifs laisse envisager le pire. Mais ce n’est pas tout, il semblerait en effet que le braconnage en influence également les mécanismes évolutifs. C’est du moins ce que rapporte Joyce Poole, experte animalière et présidente de l’association Elephant Voices. La spécialiste a en effet mis en évidence une augmentation des pachydermes dénués de défenses parmi les nouvelles générations. Les éléphants à défenses dans le viseur des braconniers. Selon elle, ce phénomène serait directement lié à l’intensité du braconnage il s’expliquerait par la tendance des chasseurs à ne cibler que les animaux avec le plus d’ivoire. En conséquence, les spécimens aux défenses les plus imposantes sont tués avant d’avoir eu le temps de se reproduire. Cette sélection aurait ainsi des répercussions importantes sur le patrimoine génétique de l’espèce, particulièrement parmi les femelles. Contrairement aux mâles, celles-ci peuvent en effet être dépourvues de défense. Dans le passé, ce caractère était plutôt rare avec un taux variant entre 2 à 6% selon les régions. Mais aujourd’hui, cette proportion a considérablement augmenté, avoisinant par exemple 33% dans le Parc national de Gorongosa au Mozambique et 98% dans celui des éléphants d’Addo en Afrique du Sud. Deux parcs où de nombreux éléphants ont été tués par le passé. Entre 1977 et 1992, au Mozambique en pleine guerre civile, 90% des pachydermes du Gorongosa ont disparu. Dans le parc d’Addo, ce sont les chasseurs qui ont tué tous les éléphants excepté 11 spécimens. Quatre des survivants étaient des femelles sans défense. Si le braconnage et la chasse sont maintenant sous contrôle dans les deux endroits, les femelles auraient transmis le gène incriminé à leur descendance, d’après Joyce Poole. L’absence de défense, un avantage mitigé. « Les populations se retrouvent avec une proportion plus élevée d’animaux sans défense qui se reproduisent et tendent à engendrer une progéniture sans défenses », explique au Nautilus Joyce Pool. « De nos jours, avec la pression du braconnage, les éléphants sans défense présentent un véritable avantage parce qu’ils ne sont pas ciblés pour leur ivoire ». Si l’absence de défenses est un avantage contre le braconnage, ça n’en estpas un pour les éléphants eux-mêmes. Ces longues dents incurvées n’ont en effet pas toujours été un inconvénient, elles sont même normalement un précieux atout car elle leur permettent de déchirer l’écorce des arbres, creuser la terre à la recherche d’eau ou de nourriture et de se défendre. Malheureusement, ces facilités semblent désormais futiles dans un monde où avoir des défenses représente un risque énorme de se faire abattre. Selon les dernières estimations de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), près de 100.000 individus auraient été tués depuis 2006. Selon les chercheurs, le braconnage serait une nouvelle forme de sélection artificielle. Sa pression est devenue tellement énorme qu’elle peut aller jusqu’à engendrer des changements complexes au sein même des populations. Néanmoins, le braconnage ne serait pas le seul facteur favorisant l’apparition des éléphants sans défense. L’isolement de certaines populations dû à la fragmentation de leur habitat jouerait également un rôle. (Source : Maxi Sciences) Clic ici............http://dai.ly/x54kgsz
L’Apogonidé (poisson) : il crache du feu Lorsqu’il est avalé par son ennemi juré, l’apogonidé, un zooplancton appelé Ostracode sécrète une soudaine explosion d’éléments chimiques bioluminescents. Ce phénomène provoque l’illumination du poisson, le révélant à la vue de ses autres prédateurs. Il n’a alors d’autre choix que de recracher l’Ostracode, donnant l’impression qu’il crache une boule de feu.
La crevette pistolet...Elle crée une détonation supersonique... Ne vous laissez pas tromper par sa minuscule taille : cette crevette possède un sacré coup de poing. En dépit de mesurer 2,5 cm de long, cette créature peut émettre un son incroyable de 218 décibels (plus fortqu’un coup de feu), juste en claquant ses pinces ensemble. Ceci provoque un bref point chaud à 5000 k, un flash lumineux et une onde de choc que la crevette utilise pour stupéfier, tuer sa proie ou briser sa coquille.
Le colibri...La Lévitation Les ailes étroites et effilées de ce petit oiseau, ainsi que ses articulations étonnantes en font le seul oiseau sur Terre capable de garder un vol stationnaire sur une longue durée. Ils peuvent également voler vers l’arrière et changer de direction presque instantanément. Le colibri peut également effectuer 52 battements d’ailes par seconde.
Le rat-kangourou...Il vit sans eau Les êtres humains peuvent à peine survivre trois jours sans eau. Cependant,ce petit rat du désert peut survivre sans elle pendant trois ans. Comment ? Car il passe son temps à grignoter des graines et d’autres plantes qui contiennent de l’humidité. Ils conservent également de l’eau en errant sous terre durant le jour, émergent seulement dans la fraîcheur de la nuit pour chercher de la nourriture.
Le grand cachalot...Il retient son souffle pendant 90 minutes... La plupart des mammifères marins doivent faire surface régulièrement pour respirer l’oxygène qui nous maintient tous en vie. Mais pas le cachalot. Grâce à des protéines chargées électriquement dans le sang, le système circulatoire du cachalot transporte et stocke l’oxygène plus efficacement. Armé de cette protéine particulière, les cachalots peuvent plonger sans manquer de souffle.
Le lézard Jésus-Christ...Il court sur l’eau Ce lézard d’Amérique centrale adore traîner dans les arbustes et les arbres près de l’eau, prêt à bondir sur les insectes délicieux qui pourraient passer par là. S’il se sent menacé, cependant, le petit reptile va déguerpir à toute allure, sur toute la surface d’une rivière ou d’un étang. Ce super pouvoir vraiment étonnant provient du mouvement complexe de ses pattes arrières et du dépliement de palmes. Sa faible masse (2 grammes pour un nouveau-né, 200 grammes pour un adulte) et sa vitesse lui permet donc de courir sur l’eau, ce qui a valu au basilic à plumes le surnom de « lézard Jésus-Christ ». Un homme qui voudrait imiter l’exploit du reptile devrait atteindre une vitesse de 110 km/h et avoir des muscles 15 fois plus puissants que ceux d’un homme normal.
Turritopsis dohrnii...La Méduse Immortelle La Turritopsis dohrnii est une minuscule méduse qui vit dans la mer Méditerranée et dans les eaux au large des côtes du Japon. Au lieu de mourir lorsque son cycle de vie arrive à son terme, cette méduse immortelle rajeunit jusqu’à redevenir un polype, à n’importe quel stade de son développement, pour recommencer son cycle de vie naturellement. Après avoir passé du temps sur le sol de l’océan, cette méduse que l’on surnomme « Benjamin Button » (en référence au film) fait repousser ses tentacules et commence sa vie de nouveau.
La pieuvre mimétique...Elle se métamorphose Les pieuvres ne sont pas des prédateurs féroces, de sorte que leur première ligne de défense contre leurs propres prédateurs ne doit pas être repérée. Munie de cellules de peau spéciales qui peuvent changer la couleur apparente,l’opacité et la réflectivité de son épiderme, la pieuvre peut se fondre presque n’importe où. Elle imite surtout l’apparence et les mouvements de plus de quinze espèces différentes, dont les serpents de mer, la rascasse volante, les poissons plats, les poissons-grenouilles, les ophiures, les crabes géants, les coquillages, les raies, les anémones de mer, les méduses et les crevettes mantes.
Le gecko...Il marche aux murs La capacité du gecko à escalader les murs, se tenir la tête en bas, et se « coller » à toutes les surfaces est due aux lamelles adhésives présentes sous les doigts du reptile. On les appellent les setæ, et leurs forces d’adhérence sont si grandes qu’un seul doigt peut soutenir le poids complet de l’animal.
Le tarsier...Il possède la vision nocturne Avec d’énormes yeux, les plus grands de tous les mammifères, relativement à la taille du corps, il n’est pas surprenant d’apprendre que le tarsier possède une vue très perçante et une superbe vision de nuit. En plus de sa vision développée, le tarsier peut pivoter sa tête jusqu’à 180 degrés !
La grenouille velue d’Afrique...Elle a les griffes de Wolverine Le dernier animal de cette liste va vraiment vous impressionner (et vous faire peur). Les grenouilles velues d’Afrique, que l’on trouve couramment au Cameroun, ont la capacité de briser leurs os d’orteils et de les transformer en griffes lorsqu’elles se sentent menacées. Lorsqu’un prédateur attaque, des griffes percent les ventouses de cette grenouille velue, prête à se défendre. Ces griffes ne sont pas en Adamantium (alliage de métal imaginaire)... Mais elles ont peut-être inspiré la société Marvel pour créer le personnage de Wolverine, vous ne pensez pas ? Ces bêtes vous fascinent-elles... Ou bien vous effraient-t-elles ?Source photos : Distractify
LE MONDE MACRO MAGIQUES DE CREATURES MINUSCULES...
par TRI SETYO WIDODO photographe basé en Indonésie.
Le monde des insectes dans une manière qui puisse impressionner une personne moyenne qui a prêté aucune attention au monde à ses pieds ou même détesté ces "bugs".
Le paon normalement est bleu, vert et violet et tourne sa queue, en faisant une « roue » afin de se montrer en toute sa beauté ! Cependant, ce n’est pas le seul existant : eh bien, oui les AMIS , il existe aussi des paons tous blancs,ce sont des paons blancs !
Avec son plumage immaculé, le paon blanc est tout simplement majestueux.
Et en plus mâle et femelle sont identiques. Contrairement à l’idée très répandue, il n’est pas albinos, mais leucistique. Le paon blanc est en réalité issu d’une mutation récessive du paon bleu.
Bonne nouvelle! Le panda géant n’est plus une espèce menacée!
Voila une super bonne nouvelle pour les amoureux des animaux. Des pandas en particulier! Les pandas géants étaient toujours considérés comme une espèce en voie de disparition, mais les dernières nouvelles disent que le danger est passé puisque ces animaux qui vivent en Chine sont en nette augmentation. Cela est possible grâce aux efforts des autorités pour leur donner un milieu adapté à leurs besoins et grâce aussi à leur protection. Une protection qui a enfin apporté des fruits puisque désormais ces pandas géants ne sont plus considérés “menacés”, mais juste “vulnérables”. Ainsi la science et la volonté de tous les fans des animaux triomphent d’une Première! Il est donc désormais possible de sauver tous les animaux en danger, de même que toute notre planète! Découvrez ces adorables pandas géants avec ces magnifiques photos! Voila le panda géant de Chine. Il est magnifique! Les animaux en voie de disparition sont encore très nombreux à attendre une solution à leur problème. Peut-être qu’un jour on entendra une autre bonne nouvelle. Celle qui nous annoncerait que désormais plus aucun animal ne souffre et plus aucune espèce n’est en danger. Ce serait enfin un vrai bonheur! En attendant voici en bonus ces séquences qui montrent un panda heureux!
Depuis leur rencontre, Lulu et Blizzard sont inséparables. La petite Lulu a pris l’habitude de rester sur le dos du grand Blizzard, qui ne semble pas voir cette relation d’un mauvais œil, bien au contraire. Leurs liens ne font que se renforcer de jour en jour. Lulu, une petite femelle de la race Epagneul Japonais, et Blizzard, qui, d’après les photos, semble être un Saint-Bernard croisé, se sont rencontrés alors que la première n’était encore qu’un minuscule chiot. Très vite, les 2 chiens se sont attachés l’un à l’autre et Blizzard est devenu un véritable grand frère pour la jeune chienne. Patient et très protecteur, il apportait énormément de sérénité à cette dernière et lui conférait un sentiment de sécurité. Si bien, d’ailleurs, que Lulu a vite pris l’habitude de se hisser sur le dos de Blizzard pour y dormir, comme l’explique leur propriétaire David Mazzarella au site The Dodo. D’après celui-ci, la petite chienne s’endort sur le dos de son grand frère d’adoption « pour la chaleur et le confort » que cette position lui apporte. De son côté, Blizzard ne semble pas du tout gêné par cette présence, loin de là. Il se prête volontiers au jeu et laisse sa petite sœur monter à sa guise. Il est même devenu une sorte de moyen de transport pour Lulu, l’emmenant ainsi partout où il va. Absolument partout, comme le montrent les superbes photos ci-dessous extraites du compte Instagram intitulé blizzardandlulu et créé par leur heureux papa. On peut également y trouver quelques courtes séquences vidéo amusantes et pleines de tendresse. Voilà une bien belle histoire d’amitié et de totale osmose entre 2 chiens aux statures très éloignées…
Cette Lys de mer, crinoïde de son nom officiel, est un animal de la même famille que les étoiles de mer ou les oursins dont le squelette comporte de longs bras flexiblesqui lui permettent de se déplacer et de filtrer le plancton dont elle se nourrie.
On en trouve d’une grande variété de formes et de couleurs, celle là ressemblant étonnamment à un amas de plumes d’oiseaux en mouvement.
© Dominique Klecka
Même tout petit, un jardin peut accueillir la vie sauvage. Oiseaux en tête, évidemment, que vous nourrissez durant l’hiver. Mais d’autres, parfois moins attirants a priori, peuvent aussi venir animer votre jardin de leur petite vie discrète : ils effectueront des miracles contre les ravageurs !
Le rouge-gorge
© J. Valentin
Le rouge-gorge qui vous rend visite au jardin peut être sédentaire ou migrateur. Si vous le voyez toute l'année, pas de doute ! Si vous ne le voyez qu'en hiver, c'est peut-être un visiteur du nord, descendu plus au sud pour trouver un peu de chaleur. Quoi qu'il en soit, pour espérer le voir nicher dans votre jardin, il est impératif de lui donner de bonnes conditions de vie. Comme il construit souvent son nid au sol, laissez des feuilles mortes, des herbes ou un tas de branchages, en bordure d’un talus, d’une souche, du mur de la cabane de jardin ou là où la terre est couverte d’une végétation dense ou de débris végétaux.
Il s’installe aussi volontiers dans un pot de fleur, une boîte posée à terre et camouflée de mille “bazars”… L’important est qu’il soit à l’abri d’un prédateur. Vous pouvez aussi installer un nichoir semi-ouvert, acheté en jardinerie ou auprès de la LPO (Ligue de protection des oiseaux).
La mésange bleue
© Joël Valentin
Rarement présente dans les rues qui portent son nom, la mésange est une fidèle du jardin bio. Dotée d'un appétit insatiable, surtout au moment des nichées, elle n'a pas son pareil pour déloger les pucerons, les chenilles ou les larves
hivernantes du ver de la pomme (carpocapses) jusqu'au bout des rameaux des rosiers ou des arbres fruitiers. A ce jeu-là, la mésange bleue se montre souvent plus douée que sa cousine charbonnière. Comme elle, c'est un oiseau cavernicole, nichant dans un trou formé dans un tronc d'arbre ou un rocher. Opportuniste, elle s'est habituée aux cavités des murs des vieux bâtiments, préservés lors du ravalement, et aux nichoirs artificiels. Pour les attirer et profiter de leur activité incessante et bénéfique, accrochez un nichoir à quelques mètres de hauteur, à l'opposé des pluies dominantes. Et laissez de la mousse sur votre pelouse pour la construction de son nid douillet.
Les fauvettes, verdiers et autres oiseaux du jardin
© Joël Valentin
Les fauvettes (dessin), verdiers et autres oiseaux sont de grands dévoreurs d'insectes, et donc d'excellents amis du jardinier. Ils ont besoin d'une haie variée et fournie à tous les étages pour s'installer chez vous. Ils y trouveront : un abri contre le froid et le vent en hiver, dans les arbustes persistants ; un refuge pour échapper aux prédateurs ; des sites de nidification à tous les étages (en bas pour l'accenteur mouchet, au milieu pour le rouge-gorge, tout en haut pour la mésange à longue queue), et bien sûr, un garde-manger bien fourni à l'automne grâce aux baies. Leurs arbustes préférés ? Aubépine, cognassier du Japon, houx, noisetier, viorne, berbéris, chèvrefeuille, sureau, troène, cornouiller, sans oublier les rosiers botaniques.
Le hérisson
© Joël Valentin
Le sieur hérisson est un vorace : chenilles, limaces et escargots, hannetons et bousiers, mille-pattes et carabes, lombrics ou divers déchets... Certes, il ne mange donc pas que des ravageurs, puisque hannetons, bousiers, carabes et lombrics sont fort utiles au jardin. C'est un opportuniste, qui s'intéressera aussi bien à votre tas de compost qu'à vos fraises... Mais bon, sa mignonne petite tête lui assure néanmoins notre sympathie ! Dès la fin de l'été, il se met en quête d'un refuge pour passer l'hiver, à l'abri de la pluie, du gel et du vent. Vous pouvez l'aider en installant des tas de bois, que vous pouvez disposer artistiquement sous forme de tour. Laissez un peu d'espace sous les rondins du bas, il y fera peut-être son nid ! Au fur et à mesure des années, vous rajouterez des rondins sur le dessus pour compenser le bois pourri en dessous. Mais sachez que rien n'est plus imprévisible qu'un hérisson, et qu'il n'est pas facile de le garder pourvous tout seul.
La musaraigne
© Joël Valentin
Ce petit mammifère, souvent confondu avec un campagnol ou un mulot, est rangé dans la triste catégorie des rongeurs ravageurs des cultures. Eh bien, non, la musaraigne est un insectivore. Ses dents ne poussent pas en permanence comme celles d'un rongeur et son nez est effilé et très sensible, ce qui la rapproche de la taupe, autre prédateur auxiliaire. Au menu - quasiment 24 heures sur 24 car elle doit manger chaque jour l'équivalent de son poids -, des larves d'insectes, chenilles, pucerons,vers, araignées, escargots... Pour l'accueillir et la protéger, préservez dans certaines parties du jardin des herbes hautes, des vivaces denses, des feuilles mortes. Tondez haut pour qu'elle puisse se faufiler dans la pelouse en échappant à ses nombreux ennemis, comme la chouette et surtout le chat. Pour ce dernier, il s'agit surtout de jouer car, dégoûté par les sécrétions glandulaires à odeur musquée de lamusaraigne, il ne la consomme pas.
Le crapaud commun
© Joël Valentin
Quand monsieur et madame crapaud vont à la mare, ce n'est pas pour y boire, mais pour s'y rencontrer et faire des bébés. La distance ne leur fait pas peur, ils peuvent parcourir jusqu'à cinq kilomètres. Fidèles à leur lieu de naissance, ils retournent toujours au même endroit, quitte à traverser des routes et bien d'autres obstacles. Courageux, ils pondent dès le mois de février, pataugent un peu puis quittent la mare pour retourner dans leur jardin préféré. Pour qu'ils aient envie d'y séjourner, il leur faut des abris sous des feuilles mortes, une souche, un tas de bois, de branchages ou de pierres, afin de passer l'été à l'abri de la chaleur et du dessèchement et de résister au froid de l'hiver. Un simple regard d'eau pluviale ou de compteur d'eau peut suffire. Discrets, ils sortent la nuit gober une mouche, croquer une chenille ou grignoter une limace. A peu près tout ce qui peut leur tomber sous la langue, ravageurs du jardin mais aussi parfois lombrics.
Textes Denis Pépin, Brigitte Lapouge-Déjean et Marie Arnould
naissent sans défenses en Afrique.
Un nouveau rapport révèle l’existence d’une véritable augmentation de femelles dénuées de défenses parmi les nouvelles générations d’éléphantsd’Afrique. Selon les experts, ce phénomène est directement imputable à la pression du braconnage.
Il va sans dire que le braconnage a de lourdes conséquences sur les populations d’éléphants d’Afrique. Chaque année, de nombreux spécimens sont abattus illégalement par les chasseurs. Ces derniers convoitent leurs précieuses défenses en ivoire qui se vendent à prix d’or sur le marché noir.
Cette activité frauduleuse menée depuis des décennies et actuellement en hausse représente une pression énorme pour l’espèce dont la diminution rapide des effectifs laisse envisager le pire. Mais ce n’est pas tout, il semblerait en effet que le braconnage en influence également les mécanismes évolutifs.
C’est du moins ce que rapporte Joyce Poole, experte animalière et présidente de l’association Elephant Voices. La spécialiste a en effet mis en évidence une augmentation des pachydermes dénués de défenses parmi les nouvelles générations.
Les éléphants à défenses dans le viseur des braconniers.
Selon elle, ce phénomène serait directement lié à l’intensité du braconnage il s’expliquerait par la tendance des chasseurs à ne cibler que les animaux avec le plus d’ivoire. En conséquence, les spécimens aux défenses les plus imposantes sont tués avant d’avoir eu le temps de se reproduire.
Cette sélection aurait ainsi des répercussions importantes sur le patrimoine génétique de l’espèce, particulièrement parmi les femelles. Contrairement aux mâles, celles-ci peuvent en effet être dépourvues de défense. Dans le passé, ce caractère était plutôt rare avec un taux variant entre 2 à 6% selon les régions.
Mais aujourd’hui, cette proportion a considérablement augmenté, avoisinant par exemple 33% dans le Parc national de Gorongosa au Mozambique et 98% dans celui des éléphants d’Addo en Afrique du Sud. Deux parcs où de nombreux éléphants ont été tués par le passé. Entre 1977 et 1992, au Mozambique en pleine guerre civile, 90% des pachydermes du Gorongosa ont disparu.
Dans le parc d’Addo, ce sont les chasseurs qui ont tué tous les éléphants excepté 11 spécimens. Quatre des survivants étaient des femelles sans défense. Si le braconnage et la chasse sont maintenant sous contrôle dans les deux endroits, les femelles auraient transmis le gène incriminé à leur descendance, d’après Joyce Poole.
L’absence de défense, un avantage mitigé.
« Les populations se retrouvent avec une proportion plus élevée d’animaux sans défense qui se reproduisent et tendent à engendrer une progéniture sans défenses », explique au Nautilus Joyce Pool. « De nos jours, avec la pression du braconnage, les éléphants sans défense présentent un véritable avantage parce qu’ils ne sont pas ciblés pour leur ivoire ».
Si l’absence de défenses est un avantage contre le braconnage, ça n’en estpas un pour les éléphants eux-mêmes. Ces longues dents incurvées n’ont en effet pas toujours été un inconvénient, elles sont même normalement un précieux atout car elle leur permettent de déchirer l’écorce des arbres, creuser la terre à la recherche d’eau ou de nourriture et de se défendre.
Malheureusement, ces facilités semblent désormais futiles dans un monde où avoir des défenses représente un risque énorme de se faire abattre. Selon les dernières estimations de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), près de 100.000 individus auraient été tués depuis 2006. Selon les chercheurs, le braconnage serait une nouvelle forme de sélection artificielle.
Sa pression est devenue tellement énorme qu’elle peut aller jusqu’à engendrer des changements complexes au sein même des populations.
Néanmoins, le braconnage ne serait pas le seul facteur favorisant l’apparition des éléphants sans défense. L’isolement de certaines
populations dû à la fragmentation de leur habitat jouerait également un rôle.
(Source : Maxi Sciences)
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L’Apogonidé (poisson) : il crache du feu
Lorsqu’il est avalé par son ennemi juré, l’apogonidé, un zooplancton appelé
Ostracode sécrète une soudaine explosion d’éléments chimiques
bioluminescents.
Ce phénomène provoque l’illumination du poisson, le révélant à la vue de ses autres prédateurs. Il n’a alors
d’autre choix que de recracher l’Ostracode, donnant l’impression qu’il
crache une boule de feu.
La crevette pistolet...Elle crée une détonation supersonique...
Ne vous laissez pas tromper par sa minuscule taille : cette crevette
possède un sacré coup de poing. En dépit de mesurer 2,5 cm de long,
cette créature peut émettre un son incroyable de 218 décibels (plus
fortqu’un coup de feu), juste en claquant ses pinces ensemble.
Ceci provoque un bref point chaud à 5000 k, un flash lumineux et une
onde de choc que la crevette utilise pour stupéfier, tuer sa proie ou
briser sa coquille.
Le colibri...La Lévitation
Les ailes étroites et effilées de ce petit oiseau, ainsi que ses
articulations étonnantes en font le seul oiseau sur Terre capable de
garder un vol stationnaire sur une longue durée.
Ils peuvent également voler vers l’arrière et changer de direction presque
instantanément. Le colibri peut également effectuer 52 battements
d’ailes par seconde.
Le rat-kangourou...Il vit sans eau
Les êtres humains peuvent à peine survivre trois jours sans eau.
Cependant,ce petit rat du désert peut survivre sans elle pendant trois
ans.
Comment ?
Car il passe son temps à grignoter des graines et d’autres plantes qui contiennent de l’humidité. Ils
conservent également de l’eau en errant sous terre durant le jour,
émergent seulement dans la fraîcheur de la nuit pour chercher de la
nourriture.
Le grand cachalot...Il retient son souffle pendant 90 minutes...
La plupart des mammifères marins doivent faire surface régulièrement pour
respirer l’oxygène qui nous maintient tous en vie. Mais pas le cachalot.
Grâce à des protéines chargées électriquement dans le sang, le système
circulatoire du cachalot transporte et stocke l’oxygène plus
efficacement.
Armé de cette protéine particulière, les cachalots peuvent plonger sans manquer de souffle.
Le lézard Jésus-Christ...Il court sur l’eau
Ce lézard d’Amérique centrale adore traîner dans les arbustes et les
arbres près de l’eau, prêt à bondir sur les insectes délicieux qui
pourraient passer par là.
S’il se sent menacé, cependant, le petit reptile va déguerpir à toute allure, sur toute la
surface d’une rivière ou d’un étang. Ce super pouvoir vraiment étonnant
provient du mouvement complexe de ses pattes arrières et du dépliement
de palmes.
Sa faible masse (2 grammes pour un nouveau-né, 200 grammes pour un adulte) et sa vitesse lui permet donc de
courir sur l’eau, ce qui a valu au basilic à plumes le surnom de
« lézard Jésus-Christ ».
Un homme qui voudrait imiter l’exploit du reptile devrait atteindre une vitesse de 110 km/h et avoir
des muscles 15 fois plus puissants que ceux d’un homme normal.
Turritopsis dohrnii...La Méduse Immortelle
La Turritopsis dohrnii est une minuscule méduse qui vit dans la mer
Méditerranée et dans les eaux au large des côtes du Japon. Au lieu de
mourir lorsque son cycle de vie arrive à son terme, cette méduse immortelle rajeunit jusqu’à redevenir un polype, à n’importe quel
stade de son développement, pour recommencer son cycle de vie
naturellement.
Après avoir passé du temps sur le sol de l’océan, cette méduse que l’on surnomme « Benjamin Button » (en
référence au film) fait repousser ses tentacules et commence sa vie de
nouveau.
La pieuvre mimétique...Elle se métamorphose
Les pieuvres ne sont pas des prédateurs féroces, de sorte que leur première
ligne de défense contre leurs propres prédateurs ne doit pas être
repérée.
Munie de cellules de peau spéciales qui peuvent changer la couleur apparente,l’opacité et la réflectivité de son
épiderme, la pieuvre peut se fondre presque n’importe où.
Elle imite surtout l’apparence et les mouvements de plus de quinze espèces
différentes, dont les serpents de mer, la rascasse volante, les poissons
plats, les poissons-grenouilles, les ophiures, les crabes géants, les
coquillages, les raies, les anémones de mer, les méduses et les
crevettes mantes.
Le gecko...Il marche aux murs
La capacité du gecko à escalader les murs, se tenir la tête en bas, et se
« coller » à toutes les surfaces est due aux lamelles adhésives
présentes sous les doigts du reptile.
On les appellent les setæ, et leurs forces d’adhérence sont si grandes qu’un
seul doigt peut soutenir le poids complet de l’animal.
Le tarsier...Il possède la vision nocturne
Avec d’énormes yeux, les plus grands de tous les mammifères, relativement à
la taille du corps, il n’est pas surprenant d’apprendre que le tarsier
possède une vue très perçante et une superbe vision de nuit.
En plus de sa vision développée, le tarsier peut pivoter sa tête jusqu’à 180 degrés !
La grenouille velue d’Afrique...Elle a les griffes de Wolverine
Le dernier animal de cette liste va vraiment vous impressionner (et vous faire peur).
Les grenouilles velues d’Afrique, que l’on trouve couramment au Cameroun,
ont la capacité de briser leurs os d’orteils et de les transformer en
griffes lorsqu’elles se sentent menacées.
Lorsqu’un prédateur attaque, des griffes percent les ventouses de cette grenouille velue, prête à se défendre.
Ces griffes ne sont pas en Adamantium (alliage de métal imaginaire)...
Mais elles ont peut-être inspiré la société Marvel pour créer le personnage de Wolverine, vous ne pensez pas ?
Ces bêtes vous fascinent-elles... Ou bien vous effraient-t-elles ? Source photos : Distractify
par TRI SETYO WIDODO
photographe basé en Indonésie.
Le monde des insectes dans une manière qui puisse impressionner une personne moyenne qui a prêté aucune attention au monde à ses pieds ou même détesté ces "bugs".
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n ° 2
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Le paon normalement est bleu, vert et violet et tourne sa queue, en faisant une « roue » afin de se montrer en toute sa beauté !
Cependant, ce n’est pas le seul existant : eh bien, oui les AMIS , il existe aussi des paons tous blancs,ce sont des paons blancs !
Avec son plumage immaculé, le paon blanc est tout simplement majestueux.
Et en plus mâle et femelle sont identiques. Contrairement à l’idée très répandue, il n’est pas albinos, mais leucistique.
Le paon blanc est en réalité issu d’une mutation récessive du paon bleu.
Voila une super bonne nouvelle pour les amoureux des animaux. Des pandas en particulier!
Les pandas géants étaient toujours considérés comme une espèce en voie de disparition, mais les dernières nouvelles disent que le danger est passé puisque ces animaux qui vivent en Chine sont en nette augmentation.
Cela est possible grâce aux efforts des autorités pour leur donner un milieu adapté à leurs besoins et grâce aussi à leur protection.
Une protection qui a enfin apporté des fruits puisque désormais ces pandas géants ne sont plus considérés “menacés”, mais juste “vulnérables”.
Ainsi la science et la volonté de tous les fans des animaux triomphent d’une Première!
Il est donc désormais possible de sauver tous les animaux en danger, de même que toute notre planète!
Découvrez ces adorables pandas géants avec ces magnifiques photos!
Voila le panda géant de Chine. Il est magnifique!
Les animaux en voie de disparition sont encore très nombreux à attendre une solution à leur problème. Peut-être qu’un jour on entendra une autre bonne nouvelle. Celle qui nous annoncerait que désormais plus aucun animal ne souffre et plus aucune espèce n’est en danger.
Ce serait enfin un vrai bonheur!
En attendant voici en bonus ces séquences qui montrent un panda heureux!
Depuis leur rencontre, Lulu et Blizzard sont inséparables. La petite Lulu a pris l’habitude de rester sur le dos du grand Blizzard, qui ne semble pas voir cette relation d’un mauvais œil, bien au contraire. Leurs liens ne font que se renforcer de jour en jour.
Lulu, une petite femelle de la race Epagneul Japonais, et Blizzard, qui, d’après les photos, semble être un Saint-Bernard croisé, se sont rencontrés alors que la première n’était encore qu’un minuscule chiot.
Très vite, les 2 chiens se sont attachés l’un à l’autre et Blizzard est devenu un véritable grand frère pour la jeune chienne. Patient et très protecteur, il apportait énormément de sérénité à cette dernière et lui conférait un sentiment de sécurité. Si bien, d’ailleurs, que Lulu a vite pris l’habitude de se hisser sur le dos de Blizzard pour y dormir, comme l’explique leur propriétaire David Mazzarella au site The Dodo. D’après celui-ci, la petite chienne s’endort sur le dos de son grand frère d’adoption « pour la chaleur et le confort » que cette position lui apporte.
De son côté, Blizzard ne semble pas du tout gêné par cette présence, loin de là. Il se prête volontiers au jeu et laisse sa petite sœur monter à sa guise. Il est même devenu une sorte de moyen de transport pour Lulu, l’emmenant ainsi partout où il va. Absolument partout, comme le montrent les superbes photos ci-dessous extraites du compte Instagram intitulé blizzardandlulu et créé par leur heureux papa. On peut également y trouver quelques courtes séquences vidéo amusantes et pleines de tendresse.
Voilà une bien belle histoire d’amitié et de totale osmose entre 2 chiens aux statures très éloignées…
par Darren Pearson