Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
15/01/2019 - 08:53
La Grenouille De Mousse Vietnamienne.
La Petite Grenouille De Mousse.
Cette espèce est endémique du Nord du Viêt Nam.
Elle se rencontre entre 700 à 1 500 m d’altitude dans les provinces de Vĩnh Phúc, de Cao Bằng et de Lạng Sơn.
Theloderma corticale est une espèce de grenouille que l’on trouve au nord du Vietnam.
Sa peau ressemble à de la mousse, et c’est un peu fait exprès: cela lui sert de camouflage.
Les femelles peuvent atteindre 8 à 9 cm, sont plus grosses que les mâles...Mais cela reste petit (encore que, on trouve plein d’espèces de grenouilles bien plus petites).
Les forêts du Vietnam cachent des énigmes sorties tout droit des contes de fées: un groupe d’universitaires russes...

  A réussi à y trouver une espèce rare d’«elfes». Cependant, il s’agit plutôt de faune que de créatures légendaires.
Les chercheurs de la faculté de biologie de l'Université d'État de Moscou, au sein...D'un groupe international de scientifiques, ont découvert et décrit une nouvelle espèce...De pélobates bruns, des grenouilles qui habitent dans les forêts des hauts plateaux du Vietnam.
La nouvelle espèce a reçu le nom d'« Ophryophryne elfina » tout comme les créatures magiques.
Selon les scientifiques, l'apparence singulière des grenouilles récemment découvertes, ainsi que leur habitat, les font ressembler aux elfes.
Il s'agit des formations au-dessus de leurs yeux ressemblant à des petites cornes...

Et des petites bosses rouges et oranges sur leur peau qui créent des motifs intéressants.
Cependant, ces grenouilles sont très petites, leur corps ne dépassant pas trois centimètres.
Ces pélobates ont été découvertes dans les forêts de montagnes subtropicales du plateau du Langbian, au Vietnam, à une altitude comprise entre 700 m et 2 200 m. Même dans la littérature scientifique, ces endroits sont qualifiés de « forêts d'elfes ». En raison de l'évaporation constante, elles sont généralement embrumées, les arbres n'étant pas très grands, couverts d'une épaisse couche de mousse.
 Avant que les scientifiques collectent suffisamment d'informations sur cette nouvelle espèce de grenouilles...Ils proposent de l'inclure dans la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature.



15/01/2019 - 06:20


Un bébé orignal était en détresse dans un ruisseau.
Un homme qui passait par là vit le pauvre animal et réussit à le sortir du ruisseau.
Il essaya de retrouver la mère du petit pour le remettre sur le sentier.
Mais, dès que le jeune orignal se mit à courir, il retomba dans le ruisseau et l'homme dut le secourir à nouveau.
C'est suite à ce moment que le jeune orignal décida de suivre l'homme chez lui.
L'homme ne disposant que d'une petite cabine amena l'orignal chez son voisin.
(C'est lui qui a pris ces photos)
























Le jour suivant, ils ont amené l'orignal à une dame qui s'occupe des animaux sauvages perdus.
Il fut placé dans un enclos avec un jeune compagnon, un faon qui, comme lui, avait été secouru.











Quelle belle histoire !
Merci aux sauveteurs pour ce beau geste.
Bonne chance petit orignal et petit faon !!!


15/01/2019 - 06:11


Je vous présente Rupert, jeune chevreuil orphelin.



Le jeune Rupert (âgé de 5 jours sur ces photos) est né par césarienne,

suite à un accident de la route qui, malheureusement, tua sa mère.


Il mesure 6 pouces de haut et pèse un peu plus d'une livre.



Il vit présentement en incubateur, dans la section des soins intensifs

de l'hôpital vétérinaire de Tiggywinkles, à Buckinghamshire en Angleterre.




Les employés de l'hôpital vétérinaire ont confiance qu'il va se rétablir

car le petit chevreuil est plein d'énergie.


"Un sourire pour la caméra !"



Après tant d'émotions, un petit repos bien mérité.


"Petit Rupert, nous te souhaitons une longue et heureuse vie."
Rendons hommage à tous les intervenants qui consacrent leurs vies
à la protection et à la sauvegarde des petits orphelins comme Rupert.

Et, aujourd'hui, plus particulièrement à toute l'équipe de M. Les Stocker,
fondateur de l'hôpital vétérinaire de Tiggywinckles, pour les soins apportés à Rupert.


Merci à vous.



                                                           
14/01/2019 - 12:45
oh les oiseaux 
14/01/2019 - 11:19
Les oiseaux du jardin : les accueillir, les reconnaître et les protéger.

Mésange, rouge-gorge, pinson des arbres... Identifiez les 25 oiseaux du jardin et réservez-leur un bel accueil avec leurs plantes préférées, les nichoirs et les mangeoires qu'ils aiment fréquenter au fil des saisons, et observez-les avec plaisir.



Tout ce qu'il faut savoir pour aider les oiseaux à passer l'hiver

Le Vrai-Faux des oiseaux

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Mode d'emploi : 5 manières de personnaliser un nichoir

    Portraits d'oiseaux
.

Le troglodyte mignon

Le rouge-gorge

Le sizerin flammé

Le pinson des arbres

Le pic-épeiche

Le gros-bec casse-noyaux

Le bouvreuil pivoine

La tourterelle turque

Le pigeon ramier

Le héron cendré

Le verdier d'Europe

La mésange huppée

La perruche à collier

Le pouillot véloce

Le moineau domestique

La mésange charbonnière


La mésange bleue

Le roitelet huppé

La pie bavarde

La sittelle torchepot

L'accenteur mouchet

L'étourneau sansonnet

Le corbeau freux

Le geai des chênes

Une chouette hulotte dans le jardin


Ce commentaire a été modifié le 15/01/2019 à 05:58
14/01/2019 - 10:07
De l’amour, de l’amour et encore de l’AMOUR !
Voilà ce que nos amis les animaux nous montrent comme magnifique exemple. Ces photos remplies de tendresse nous caressent le coeur et le remplissent de bonheur. Laissons-nous transporter par ces si jolies images qui, j’en suis sûre, vous donneront de l’espoir pour l’humanité !
Souriez, riez, soupirez, fermez les yeux et… ouvrez votre coeur à la douceur !!!
 En ces temps de colère et de violence cela mets un peu de baume au coeur.





























14/01/2019 - 06:49
Chat : Ce Que Le Ronron Révèle.

Sylvie Buy et Jean-Yves Durand / Geo Extra -


Antistress et antidouleur pour le chat, le ronronnement serait aussi source de bienfaits pour l'homme.
/ © Poliphilia / CC Flick


Il agirait sur le chat telle une thérapie. Antistress et antidouleur, il lui procurerait bien-être et sommeil, soignerait ses muscles et ses os… Mieux : le ronronnement aurait une action bienfaisante pour l’homme.
Mais de quelle façon ?

Etabli depuis juin 2015 dans une rue tranquille du XVe arrondissement de Paris, le Chat Mallow Café n’est pas un salon de thé comme les autres. Une douzaine de chats s’y faufilent entre les tasses, se frottent aux mollets des clients ou sommeillent sur des coussins.
Ce jour-là, des étudiantes se sont réunies autour d’une table en forme de tête de matou. L’une d’elle, Aurélie, passe une main dans l’épaisse fourrure blanche de Jéricho, un british shorthair qui, ravi, ronronne à tout-va. «Ici, au bout d’un moment, je ne pense plus à rien, confie la jeune fille. À force de jouer avec les chats, de rire à leurs facéties et de les caresser, je lâche prise. Quand je sors, je suis de bonne humeur, comme regonflée !»
A Tokyo, Paris ou New York, ce genre d’établissement fait
florès.
Tous vantent les bienfaits des félins et de leur relaxant ronron sur les humains. Ce doux son répétitif serait-il un médicament naturel, ou un placebo à la mode ? En sept questions, voici le point des connaissances actuelles.

Comment Le Ronronnement Est-Il Produit ?

Difficile de le dire, en l’état actuel de nos connaissances.
Car si l’étude du comportement animal (l’éthologie) est née dans les années 1950...Elle s’est d’abord focalisée sur les espèces sauvages, puis sur celles d’élevage, bétail et volailles.
Ce n’est qu’au début de la décennie 1990, marquée par le «boom» des animaux de compagnie...Que les scientifiques se sont intéressés à nos amis à quatre pattes.
Ils découvrirent alors que le ronronnement est un murmure volontaire, que le chat émet la gueule ouverte ou fermée.
Ils établirent aussi que la production de ce son n’est pas due à un organe particulier...Mais qu’elle implique au moins le larynx (qui abrite les cordes vocales) et le diaphragme...Ce muscle qui ferme le bas de la cage thoracique et qui expulse l’air des poumons.
Les chercheurs crurent d’abord que le son provenait de la vibration des petits replis qui tapissent la muqueuse du larynx.
Mais ils constatèrent que des matous pouvaient encore le déclencher...Après que cet organe leur avait été enlevé.
Par la suite, leur attention se porta sur la chaîne hyoïde, une structure complexe située entre la langue et le larynx.
Elle est composée de l’os hyoïde, qui flotte en travers de la gorge, et d’un faisceau de muscles et de ligaments qui relie celui-ci à divers éléments du squelette.
Certains experts supposent que cette chaîne d’os et de muscles produirait le ronronnement en vibrant...Peut être sous l’action de l’air qui passe dans la gorge de l’animal lorsque celui-ci respire.
Un peu comme le vent fait bruire une corde à linge tendue entre deux piquets.
Par ailleurs, les différences de consistance entre la chaîne hyoïde des petits félins tels que le chat...Et celle des grands félins tels que le lion, pourraient expliquer pourquoi les premiers ronronnent et les seconds rugissent.
Une autre hypothèse implique la veine cave (celle qui transporte le sang entre les organes et le cœur)...Que certains muscles feraient «palpiter». Cette pulsation, accentuée dans les bronches, la trachée et les sinus du chat, engendrerait le «trémolo » du chat.Bref, le mécanisme de cette drôle de vocalise demeure une énigme.

Quels Sont Ses Effets Sur Le Félin ?
Ils sont en premier lieu d’ordre psychique. Quelle que soit son origine, le ronronnement se traduit par une vibration.
«Celle-ci est amplifiée dans les voies respiratoires de l’animal, et le fait résonner tout entier comme un instrument à cordes»...Révèle le vétérinaire toulousain Jean-Yves Gauchet, auteur du livre Mon chat et moi, on se soigne.
Notre petit compagnon fonctionnerait ainsi comme une guitare ou un violoncelle, dont la caisse de résonance serait son propre corps.Mieux : le volume de son thorax module la tonalité du son.
Plus le matou est gros, plus celui-ci est grave, et vice versa...Si bien que chaque ronron est différent.
Tous, cependant, sont émis à de très basses fréquences, comprises entre 20 et 140 Hertz (Hz)...Soit à peu près les mêmes que celles du ronflement humain (de 30 à 200 Hz).
Or, ainsi que l’explique le docteur Jean-Marc Aimonetti, du Laboratoire de neurosciences intégratives et adaptatives de l’université d’Aix-Marseille.
«Le chat, comme tous les mammifères, perçoit les basses fréquences grâce à des capteurs situés dans sa peau, appelés corpuscules de Pacini.
Ces détecteurs transforment les vibrations félines en impulsions électriques et les transmettent au cerveau...Lequel y répond en secrétant des endorphines ».
Plus connus sous le nom populaire d’«hormones du bonheur », ces opiacés aux propriétés analgésiques...Semblables à celles de la morphine procurent une sensation de bien-être...De plaisir, voire d’euphorie, et atténuent la douleur.
Nous-mêmes les produisons dans des moments d’efforts physiques...D’excitation intense et lors de l’orgasme.
Chez le chat, ce mécanisme entraînerait également la sécrétion d’ocytocine...Une substance qui favorise (entre autres) l’activité sexuelle et la confiance en soi...Et de sérotonine, qui améliore la qualité du sommeil et de l’humeur.
Alors, les matous lanceraient-ils leur étrange vocalise pour se faire du bien ?
Possible, car les chatons le font dès leur première tétée...Un instant, pour eux, de félicité absolue.
En sécurité, lovés contre leur mère qui elle-même ronronne, ils associent vite ce «trémolo » à l’allaitement et à la notion de plaisir, renforçant ainsi leur attachement à leur «maman».
Les autres petits félins (guépard, puma, lynx…) en font autant au début de leur vie.
Mais ce qui se passe ensuite est proprement stupéfiant :«À l’âge adulte, tous arrêtent de “vibrer”, même le chat de gouttière...Révèle Thierry Bedossa, comportementaliste et vétérinaire à Neuilly.Seul celui qui vit avec l’homme perpétue cette action !»
La démonstration vivante de cette bizarrerie se frotte aux jambes du praticien :«Quand Félix a débarqué chez moi, il venait de la rue et ne ronronnait pas. Mais au bout de quelques semaines, quand il s’est senti en confiance et dans un milieu familier...Il a commencé à le faire… et n’a plus jamais cessé !»

Ce Son Est-Il Émis Dans Des Circonstances Précises ?
Tout à fait. Le chat domestique ne ronronne pas quand il est seul...Ni en présence d’un congénère ou de tout autre animal. Il ne le produit qu’en compagnie d’un humain.
«Il communique avec nous, s’exclame Thierry Bedossa. J’ai la conviction que lorsqu’il éprouve du contentement, il veut que nous le sachions.
Même si nous lui avons fabriqué le plus altéré des environnements – il est le plus souvent stérilisé...Mange des croquettes, ne chasse plus, vit parfois en appartement –, il est capable de retrouver des sensations...Liées aux premiers jours de sa vie, synonymes de plaisir et de quiétude extrêmes.»
D’une certaine façon, nous nous substituerions à sa mère en lui procurant gîte et couvert et en l’infantilisant.
D’autant que l’ocytocine que son cerveau secrète alors favorise, chez les «mamans» chats, l’éjection du lait, suite à la tétée de leur bébé.
Autrement dit, notre matou retomberait en enfance. Et il nous dirait, à travers son «vibrato » : «Je suis petit, j’ai besoin d’être protégé.»
Etrangement, ce son se manifeste aussi dans des situations de souffrance.
Les chercheurs du Fauna Communications Research Institute (Caroline du Nord) l’ont établi, et les vétérinaires l’observent au quotidien.
«Beaucoup de chats ronronnent lorsqu’ils sont stressés ou malades, raconte Thierry Bedossa. Mais aussi pendant un accouchement difficile, et même à l’agonie, dans l’heure qui précède la mort.»
Amplifié par le stéthoscope, ce bruit de fond peut empêcher le médecin de discerner la respiration et les battements de cœur de l’animal qu’il ausculte.
Au point qu’en 2014, une équipe de vétérinaires de l’université britannique de Cambridge...A publié dans le Journal of Small Animal Practice un article très sérieux intitulé...«Comment empêcher les chats de ronronner en consultation ?». Explication...
Cette réaction permettrait aux matous de secréter des endorphines qui atténueraient leur angoisse et leur douleur.

Serait-Ce, Pour L’animal, Un Moyen De Se Soigner ?
Incroyable, mais (peut-être) vrai !
Il semblerait que ses vibrations l’aideraient à réparer ses tissus lésés...Muscles, tendons, articulations ou os fracturé.
Plusieurs études scientiques en ont fait le constat...Sans pour autant l’expliquer. Thierry Bedossa les résume ainsi :
«Les chats se rétablissent bien plus vite et avec moins de séquelles que les chiens, par exemple.»
Les Anglo-Saxons appellent ce mécanisme «high rise syndrome» («syndrome de la chute haute»).
Il a été mentionné pour la première fois en 1976 par le Dr Robinson, un vétérinaire du Memorial Hospital de New York...Qui traitait chaque année quelque cent cinquante félins auteurs d’une «cascade» involontaire depuis un lieu très élevé.
Puis en 1987, le Dr Wayne O. Whitney en fit l’objet d’une publication...Dans le Journal of the American Veterinary Medical Association.
Après avoir examiné 132 «chats volants», ce chercheur a établi qu’un matou...Qui tombe d’une hauteur moyenne d’un cinquième étage...A 90 % de chances de s’en sortir vivant et de guérir de ses éventuelles blessures.

Ce «miracle» serait dû, entre autres, a son ossature...Particulièrement résistante, que le ronron conforterait encore.
Syndrome ou pas, nos compagnons préférés ne contractent, d’une façon générale, que très peu de fractures.
Beaucoup moins que les chiens, mais aussi que les lions ou les tigres, c’est-à-dire des félins… Qui ne ronronnent pas.
Un autre argument en faveur d’un effet réel de cette vibration sur ce genre de lésions.
Même le cancer des os serait concerné. Chez le chien, il est très agressif...Et nécessite une opération chirurgicale suivie d’une chimiothérapie.
Chez le chat, en revanche, il est rare, et bénin dans un tiers des cas...Et si tumeur il y a, elle n’est guère virulente. «L’ostéoporose, la perte de masse osseuse...Qui touche toutes les femelles de mammifères à la ménopause...Affecte très peu cette espèce en comparaison des autres», note encore Thierry Bedossa.
Finalement, tout se passe comme si le ronronnement agissait sur le tissu osseux de l’animal.
Pour en fabriquer, en prévenir la disparition ou le préserver des maladies.
Par quelles actions physiologiques ? Le mystère reste entier.

Le Ronronnement A-T-Il Les Mêmes Effets Sur L’homme .

Il semble bien, à en croire le Dr Jean Marc Aimonetti : «Comme celle du chat, notre peau contient des corpuscules de Pacini.
Et ces récepteurs captent pareillement les vibrations du ronronnement.
Il n’y a donc aucune raison pour qu’elles ne déclenchent pas dans notre cerveau la production d’endorphines...D’ocytocine et de sérotonine, avec les mêmes effets bienfaisants sur notre psychisme.
Outre, ces basses fréquences sont les seules qui traversent le ventre de la femme enceinte et le placenta...Si bien que le bébé les perçoit. »
On peut ainsi penser que le ronron du chat évoque chez l’homme adulte...Cette période de bonheur total qu’il a vécue in utero, ou d’agréables sensations de son enfance avec, à la clé, un sentiment de sérénité.
«Ce son jouerait un peu le rôle de la madeleine de Proust, sauf, bien sûr...Si vous restez traumatisé par un matou qui vous a griffé...Quand vous aviez 6 ans», plaisante le scientifique.
Même raisonnement pour l’action réparatrice des vibrations félines sur nos tissus osseux ou musculaires.
Certes, les effets des très basses fréquences sur l’homme sont avérés.

Les kinésithérapeutes et les médecins du sport s’en servent avec succès...Pour consolider des fractures ou traiter des arthroses et des tendinites.
Nul ne connaît le processus, probablement hormonal, qui permet de tels résultats.
Et prouver que le ronron nous soigne par une expérience scientifique qui utiliserait des chats vivants est exclu.
Cela supposerait que l’on place, par exemple, un félin qui l’émet sur la jambe cassée d’un patient...Et un qui ne le fait pas sur un autre malade atteint d’une lésion parfaitement identique.
Puis répéter l’opération suffisamment de fois pour que l’essai soit crédible… Irréalisable ! Jean-Marc Aimonetti s’est donc résolu à jouer au cobaye.
«Je me suis injecté de l’eau dans un muscle, raconte-t-il.Ensuite, j’ai testé différentes vibrations et les ai combinées entre elles...En évaluant l’intensité de la douleur que je ressentais sur une réglette graduée de 0 à 10.
Or, les fréquences qui correspondaient à celles du ronronnement calmaient ma souffrance…»
Fortes présomptions, déductions, faisceaux d’observations convergentes :C’est, à ce jour, tout ce que nous avons sur les effets de ce son animal sur l’homme.

De récentes études, telle que celle menée en 2013 à l’université de Daegu (Corée du Sud)...Suggèrent ainsi qu’un individu soumis quelques minutes par jour à une vibration de 20 Hz...Verrait diminuer sa fatigue musculaire, et retrouverait plus rapidement du tonus.
Plusieurs équipes américaines avancent aussi que les propriétaires de chats seraient moins sujets...À l’hypertension et aux complications cardiovasculaires de type infarctus que le reste de la population.
En 2002, au terme d’une étude de sept ans, le chercheur Dennis Ownby, de l’université de Géorgie (USA)..Affirmait pour sa part que le contact quotidien d’un chat boosterait...Notre système immunitaire et diminuerait le risque d’asthme et d’allergie.
«Je ne crois pas à une action spécifique directe des vibrations sur le cœur...L’immunité ou la tension, nuance le Dr Jean-Marc Aimonetti.Mais si l’on admet que beaucoup de nos maladies sont liées au stress...On peut penser que sa réduction par le ronronnement ait une influence bénéfique sur ces pathologies.»
Mais cette action est-elle volontaire ? Est-ce à dire que notre petit compagnon vocalise pour nous soigner ?
«Ne rêvons pas, tempère Bertrand Deputte, professeur émérite d’éthologie à l’école vétérinaire d’Alfort :«Le chat “vibre” avant tout pour son propre bien-être et sa santé. Cela lui demande une grande dépense d’énergie. Or, la nature est économe.Le métabolisme du félin, c’est son carburant : il doit en disposer jusqu’à sa mort. Il ne peut pas le gaspiller à faire des choses inutiles pour lui.»
Cet animal domestique, qui vit souvent dans un espace réduit et dort seize heures par jour en moyenne...(Soit les deux tiers de sa vie), pourrait ainsi se servir du ronronnement comme exercice physique.
Il lui suffirait de résonner telle un instrument à cordes pour rester en bonne santé...Préserver ses os, ses muscles et son souffle, là ou d’autres bêtes courent avec leur maître.
«Si un chat se met à “vibrer” quand je le caresse, ce n’est pas par altruisme, insiste le Dr Aimonetti. Il y trouve un avantage : cela m’incite à lui faire d’autres câlins.
Ce qui lui est profitable, car ce son active ses récepteurs épidermiques...Et, par conséquent, la production d’hormones apaisantes et régénératrices.

En l’émettant, il se fait d’abord du bien, mais nous le percevons aussi, au passage, à travers notre peau.»
Dans ce contact qui active leurs fibres tactiles respectives, chacun des protagonistes serait donc gagnant.
«N’oublions pas, conclut le chercheur, que le toucher est le seul sens qui soit réciproque.
La caresse se fait à deux. Chez les humains, cela va de soi...Mais c’est le secret du double bénéfice du ronron, à la fois pour nous et pour notre animal.
Alors, bientôt une ronronthérapie ? En fait, cette vibration est déjà employée depuis longtemps à des fins curatives.
En 2002, le vétérinaire Jean-Yves Gaucher a ainsi gravé 30 minutes de ronrons sur un CD intitulé Détendez-vous avec Rouky. Les 250 personnes qui l’ont testé ont éprouvé du bien-être, de la sérénité et une plus grande facilité à s’endormir.
Sept ans plus tard, le même chercheur a conçu, en collaboration avec Apple...Une application pour iPhone baptisée iJetlag, qui vise à réduire la fatigue liée au décalage horaire.
Elle comprend des enregistrements de ronronnements qui entraîneraient la production de mélatonine...Une hormone favorisant le sommeil.

Certains hôpitaux, comme celui de Charles-Foix à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), se servent encore de l’effet apaisant des chats –Mais aussi des chiens – sur les personnes âgées et les handicapés moteur.
D’autres scientifiques, subventionnés par la Nasa, planchent sur la possibilité d’utiliser des vibrations à basses fréquences...
Pour enrayer la perte de densité osseuse que subissent les astronautes (2 % par mois dans l’espace).
Envoyer un chat en orbite serait le meilleur moyen de vérifier cette hypothèse.
Mais il n’en est pas question : en 1963, le premier vol d’un félin au-delà de notre atmosphère (une femelle «française» du nom de Félicette) s’est soldé par un tollé mémorable au sein des associations de protection animale.
Mais sur Terre, la ronronthérapie a de beaux jours devant elle.
Le chat, mélomane et compositeur.
Des bruits de tétée, ceux d’une chatte qui fait sa toilette, des gazouillis d’oiseaux, et bien sûr des ronronnements… Voici quelques-uns des motifs qui forment les airs que l’Américain David Teie a composés à l’intention spécifique des matous.
Le violoncelliste, chef d’orchestre et musicologue à l’université du Maryland est parti de l’idée...que ces animaux sont attirés par les sons qu’ils ont perçus...dans les premiers jours de leur vie.
Pour vérifier cette hypothèse,il s’est adressé à un confrère,Charles Snowdon...du département de psychologie de l’université
du Wisconsin.

Trois mélodies «félines» et deux «humaines» ont ainsi été testées sur 47 chats domestiques.
Le résultat, publié en mai 2015 : 38 % d’entre eux ont été sensibles à Bach et Fauré, alors que 77 % l’ont été à l’écoute de «leur» musique.
Ils se sont apaisés et ont frotté leur tête (signe de fort plaisir) contre les hauts-parleurs !
L’affaire a fait grand bruit dans la presse anglo-saxonne.
Au point que les deux chercheurs ont édité un CD de 40 minutes intitulé Music for cats (on peut le commander sur le site Internet éponyme, ou écouter des extraits en ligne).
La Ballade de Rusty ou L’Air de Cosmoz s’y révèlent...un entrelacs de violoncelle, de miaulements et de ronrons des plus planants….
Les Pouvoirs Thérapeutiques Du Ronron

Le ronron génère des vibrations entre 20 et 140 Hertz. Ces basses fréquences pourraient soigner certaines pathologies.
Diminution Du Stress Etre en présence d’un chat qui ronronne réduirait l’anxiété.
Difficultés Respiratoires Le ronron restreindrait leurs symptômes, chez le félin comme chez l’homme.
Baisse De La Tension Elle se produirait lorsque nous interagissons avec le chat.

Réparation Des Os

Les fréquences comprises entre 25 et 50 Hz, ainsi que celles comprises entre 100 et 200 Hz, soit celles du ronron, les consolident.
Risques D'infractus.
Une étude américaine de 2009* avance que les propriétaires de chats en auraient 40 % en moins.

Immunité.

Les vibrations émises par le félin l’augmenteraient.
Lésions des tissus mous.
Le ronron favoriserait la guérison des affections musculaires, tendineuses et ligamentaires.

* «Journal of Vascular and Interventional Neurology» (Zeenat Qureshi Stroke Research Center), janvier 2009.
 
Cet article est paru dans le magazine GEO Extra "Le Chat" (n°5)

 Acheter ce numéro en pdf



En EXTRA.Photos Reportages GEO

Ce commentaire a été modifié le 14/01/2019 à 06:58
13/01/2019 - 06:55
Des gens publient des photos hilarantes de leur lévrier irlandais (Irish wolfhound) et c’est fou comme ils sont énormes (33 photos)

Les lévriers irlandais sont des créatures incroyablement charmantes et mignonnes. Selon les normes officielles de la Fédération cynologique internationale, leur hauteur désirée est de 81 cm à 86 cm. Et bien que le lévrier irlandais puisse sembler effrayant aux yeux de ceux qui ne le connaissent pas, leur comportement ne pourrait être plus amical.
Dans le but de donner à ces chiens toute l’attention qu’ils méritent, ipnozea dressé pour vous une liste de quelques photos les plus drôles.
(source)

1. Notre nouveau chiot Whippet assis avec son ami, un lévrier irlandais.

2. Je suppose que je vais dormir là…


3. Il ne savait pas quoi faire.


4. Le plus petit cheval de Grande-Bretagne avec Fergus le lévrier irlandais.

5. Dix-sept jours après le décès de ma mère d’un cancer de l’ovaire, son
vieux lévrier irlandais est décédé aussi. Ils me manquent tellement tous les deux.



6. Ma grand-mère et son lévrier irlandais en 1974.

7. Ces deux copains.


8. Des teckels pour avoir un meilleur équilibre.

9. Les expressions de mon chien quand je n’ai pas arrêté au parc à chiens.

10. C’est un magnifique trio.


11. Les lévriers irlandais adorent le beurre de cacahuète.

12. Ma chienne Janine est tombée en morceaux.
On a mis les morceaux dans cette chaise.


13. Le plus grand garçon.


14. Tu as une énorme bouche !


15. Quand tu réalises que tu peux toucher tes pattes.

16. Quand une chaise chez le vétérinaire est trop petite pour toi.

17. Un vrai chasseur de loups.
Il a besoin d’un nounours pour se sentir en sécurité.


18. Est-ce que t’es confortable ?


19. Aussi gros qu’un âne.


20. Il a mangé son petit-déjeuner, s’est agité sous la pluie et a joué avec
ses jouets. Il est maintenant temps de se reposer jusqu’à la récréation
de l’après-midi.



21. Le lévrier irlandais, un compagnon de lit parfait.

22. L’endroit préféré de notre chaton pour faire la sieste est entre
ses deux frères.



23. Toujours un chien de poche.


24. Cette queue.


25. Il a entendu du tonnerre.


26. Un lévrier irlandais et deux corgis.


27. Voici Hobbes.


28. Jazza et Gandalf.


29. Ce grand garçon.


30. Un lévrier irlandais dans une Mazda Miata.

31. Janine pense qu’elle est une personne.

32. Notre système antivol.


33. Cette fille et son chien se sont déguisés comme les personnages de Wayne’s World pour l’Halloween.


 
Ce commentaire a été modifié le 13/01/2019 à 12:56
13/01/2019 - 06:28
Les Belles Choses !

31 Choses Que J’aime Des Chats... Par Samuel Cyr...

Je suis obsédé par les chats. Tu le sais. J’aime les chats de base.
Les chats simples. Les chats tigrés. J’aime moins les chats fancy.
Genre ceux trop minces avec le poil trop court pis la queue trop longue.
Genre les chats que Cléopatre devait avoir dans sa pyramide. J’les aime pas vraiment ceux-là.
J’aime mieux les chats qui sont casual.
J’aime observer les chats. J’aime quand les chats miaulent. J’aime quand les chats ronronnent. J’aime quand les chats dorment.

01) J’aime quand les chats ouvrent leurs yeux après avoir dormi.
02) J’aime quand les chats bâillent. Mais il faut qu’ils aient bonne haleine.
03) J’aime quand les chats mangent pis qu’on entend juste le bruit des croquettes qui bougent dans le bol.
04) J’aime quand les chats font leurs griffes sur un morceau de bois.
05) J’aime quand les chats sursautent.

06) J’aime quand je touche un chat pis que ça le surprend pis qu’il fait un bruit spécial de surprise.
07) J’adore quand les chats ont peur de quelque chose et réagissent en faisant des mouvements avec leurs corps qui sont 100% inexplicables.
08) J’aime quand les chats couinent de désir en voyant un oiseau par la fenêtre. Ils sont ben ben concentrés dans c’temps-là.
09) J’aime quand j’entends des chats se battre dans la ruelle pis que ça fait le même son qu’un sound effect dans un film.
10) Je sais pas si j’aime ça quand les chats crachent. Je suis indécis.

11) J’aime quand les chats sont dans leurs cages avec leurs maîtres pis qu’ils disent rien.
12) J’aime quand les chats sont terrorisés en voiture pis que leurs oreilles sont basses.
13) J’aime quand les chattes roucoulent.
14) J’aime quand les chats sont couchés dans des couvertures et/ou des choses douces.
15) J’aime quand les chats ont l’air de juger les gens.

16) J’aime pas ça tant que ça quand les chats se lavent. Le bruit m’écoeure un peu.
17) J’aime quand les chats marchent lentement de façon féline comme des guépards.
18) J’aime quand les chats marchent lentement mais juste normalement aussi. Genre décontracté/whatever/je marche.
19) J’aime quand les chats courent d’un bon pas.
20) J’aime quand les chats courent vraiment fucking vite dans la maison. Genre quand ils sont vraiment excités ou effrayés. Quand ils dérapent sur le plancher.

21) J’aime le son des griffes d’un chat qui spinne sur du plancher flottant.
22) J’aime quand les chats ont tellement couru qu’ils sont essoufflés pis qu’ils sortent la langue. Ça, c’est spécial. C’est rare.
23) J’aime quand les chats montent les escaliers.
24) J’aime quand les chats sautent sur des meubles vraiment hauts sans faire de bruit. C’est impressionnant.
25) À la limite, j’aime ça quand les chats crissent des choses à terre. Préférablement pas mes choses. Pas chez nous.

26) J’aime bien Lil Bub. Même si au début j’étais pas sûr parce qu’elle fait des bruits vraiment fucked up.
(
Clic.....https://www.sciencesetavenir.fr/animaux/comment-lil-bub-star-du-web-fait-avancer-la-science_100837)
27) J’aime quand les chats battent fort de la queue parce qu’ils sont fâchés. Ça m’donne le goût d’les écoeurer.
28) J’aime quand les chats sont tellement overwhelmés par nos caresses qu’ils se sauvent. Pis là ils s’arrêtent un peu plus loin pis y te regardent en voulant dire « Estie là… ».
29) J’aime provoquer les chats.
30) J’aime quand les chats veulent me griffer. Ça me fait rire.

31) J’aime quand les chats se couchent sur mon dos. Ça fait un poids. C’est ben apaisant.

Photo De Ma Chatte La Duchesse Par Ma Mère.



Ce commentaire a été modifié le 13/01/2019 à 06:44
12/01/2019 - 07:01
Ce Photographe Réalise Des clichés De Grenouilles Qui... Ne Ressemblent...En Rien À Ce Que Vous Avez Déjà Vu...

Tanto Yensen est un photographe indonésien qui réalise d’éblouissantes photographies de grenouilles. Ce passionné des animaux basé à Jakarta a un talent sûr pour approcher et créer une forme d’intimité avec ces amphibiens, afin de nous laisser entrevoir leur monde étonnamment intéressant.
Le travail de Tanto Yennen, qui utilise un Canon Eos60D avec un objectif Canon EF100mm f/2,8L, a été vu plus de 500 000 fois sur un site internet spécialisé dans la photographie, 500px, et il est facile de comprendre pourquoi en jetant un œil à son portfolio.
Qu’il s’agisse de prendre des photographies de tortues sous l’eau, logées dans les branches, perchées sur le dos de tortues et de crocodiles, voire lorsqu’elles utilisent des escargots pour se déguiser en princesse Leia (sérieusement !)...
Il nous montre ses sujets sous un tout autre angle, nous obligeant à regarder les grenouilles sous un nouveau jour.
Plus D’informations 500px



 



  











 













Amicalement...



Ce commentaire a été modifié le 12/01/2019 à 07:02