Voici Les 3 Pensées Positives Du Jeudi 18 Avril 2019 - Les Voici...
Pensée Du Matin
Un être humain est bien plus heureux et bien plus épanoui lorsqu’il se dévoue... À une cause qui dépasse sa propre personne et son autosatisfaction...
Benjamin Spock
Pensée Du Midi
L’optimisme est surtout une découverte qu’on fait par étapes... À certains moments importants de la vie...
Roland Poupon
Pensée Du Soir
Combien de sourires as-tu offerts aujourd’hui ? Tu as créé une joie, un espoir et un bon sentiment... Tout ceci gratuitement et de bonne foi, que ça fait du bien d’être bon...
J'ai voulu des jardins pleins de roses fleuries, J'ai rêvé de l'eden aux vivantes féeries... Mais je ne veux plus rien ! Il suffit que tu ries...!! Ch. CROS
Jeudi...Je Vis...Je Suis...Je Réfléchis... Pourquoi les gens sont tristes ??? C'est simple répond le vieillard... Ils sont prisonniers de leur histoire personnelle... Tout le monde est convaincu que le but de cette vie... Est de suivre un plan... Personne ne se demande si ce plan est le sien... Ou s'il a été inventé par quelqu'un d'autre... Tous accumulent des expériences, des souvenires, des objets... Des idées qui ne sont pas les leurs, et c'est plus qu'il ne peuvent porter... Et c'est ainsi qu'ils en oublient leurs rêves...
Les Citations Du Mercredi 17 Avril 2019 - Sans doute, c’est encore aujourd’hui un majestueux et sublime édifice que l’église de Notre-Dame de Paris. Mais si belle qu’elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s’indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument. Notre-Dame de Paris (1831) De Victor Hugo
Sans doute c'est encore aujourd'hui un majestueux et sublime édifice que l'église de Notre-Dame de Paris. Mais, si belle qu'elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s'indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument, sans respect pour Charlemagne qui en avait posé la première pierre, pour Philippe-Auguste qui en avait posé la dernière. Notre-Dame de Paris (1831) De Victor Hugo
Le prodige de ce grand départ céleste qu’on appelle la mort, c’est que ceux qui partent ne s’éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde de ténèbres. Ils sont en haut et tout près. Discours sur la tombe d'Émilie de Putron, 19 janvier 1865 De Victor Hugo
Oh ! qui que vous soyez, qui avez vu s’évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui. Il est toujours là. Il est à côté de vous plus que jamais. La beauté de la mort, c’est la présence. Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes. L’être pleuré est disparu, non parti. Nous n’apercevons plus son doux visage ; nous nous sentons sous ses ailes. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents. La beauté de la mort, c’est la présence. Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes. Discours sur la tombe d'Émilie de Putron, 19 janvier 1865 De Victor Hugo
Viens, mon George. Ah ! les fils de nos fils nous enchantent Nous nous retrouvons doux, naïfs, heureux de rien ; Le coeur serein s'emplit d'un vague aérien ; En les voyant on croit se voir soi-même éclore ; Oui, devenir aïeul, c'est rentrer dans l'aurore. L'autre De Victor Hugo
Qui sait si l'homme n'est pas un repris de justice divine ? Regardez la viede près. Elle est ainsi faite qu'on y sent partout de la punition. Les Misérables (1862) De Victor Hugo
Sous Jacques II, un jeune lord millionnaire qui avait mis le feu la nuit à une chaumière fit rire Londres aux éclats et fut proclamé roi du fun. Les pauvres diables de la chaumière s’étaient sauvés en chemise. Les membres du Fun Club, tous de la plus haute aristocratie, couraient Londres à l’heure où les bourgeois dorment, arrachaient les gonds des volets, coupaient les tuyaux des pompes, défonçaient les citernes, décrochaient les enseignes, saccageaient les cultures, éteignaient les réverbères, sciaient les poutres d’étai des maisons, cassaient les carreaux des fenêtres, surtout dans les quartiers indigents. L'Homme qui rit (1869) De Victor Hugo
À tous les étages de la société, tout ce qui travaille, tout ce qui pense, tout ce qui aide, tout ce qui tend vers le bien, le juste et le vrai, c’est le peuple ; À tous les étages de la société, tout ce qui croupit par stagnation volontaire, tout ce qui ignore par paresse, tout ce qui fait le mal sciemment, c’est la populace. En haut : égoïsme et oisiveté ; en bas : envie et fainéantise : voilà les vices de ce qui est populace. Correspondance, lettre à M. Pierre Vinçard rédacteur en chef de la Ruche populaire, le 2 juillet 1841 De Victor Hugo Un plus sévère eût ajouté peut-être : et haïr la populace. Je me suis contenté de la dédaigner. Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
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Pensée Du Matin
Laurent Gounelle
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Alexandra David-Neel
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Steve Lambert
J'ai voulu des jardins pleins de roses fleuries,
J'ai rêvé de l'eden aux vivantes féeries...
Mais je ne veux plus rien !
Il suffit que tu ries...!!
Ch. CROS
Je poste cette vidéo version française pour les paroles qui sont très inspirantes.
Cela fait du bien dans ce monde de folie d’entendre quelques paroles positives et
édifiantes qui nous aident à penser à la beauté de la vie et de l’amour !
Patrick Etienne
Pourquoi les gens sont tristes ???
C'est simple répond le vieillard...
Ils sont prisonniers de leur histoire personnelle...
Tout le monde est convaincu que le but de cette vie...
Est de suivre un plan...
Personne ne se demande si ce plan est le sien...
Ou s'il a été inventé par quelqu'un d'autre...
Tous accumulent des expériences, des souvenires, des objets...
Des idées qui ne sont pas les leurs, et c'est plus qu'il ne peuvent porter...
Et c'est ainsi qu'ils en oublient leurs rêves...
Le zahir De Paulo Coelho
Clic.....................Memory Played by the Mantovani Orchestra tribute to a Beautiful Autumn from TheEdfox53 on Vimeo.
Sans doute, c’est encore aujourd’hui un majestueux et sublime édifice que l’église de Notre-Dame de Paris. Mais si belle qu’elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s’indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument.
Notre-Dame de Paris (1831) De Victor Hugo
Sans doute c'est encore aujourd'hui un majestueux et sublime édifice que l'église de Notre-Dame de Paris. Mais, si belle qu'elle se soit conservée en vieillissant, il est difficile de ne pas soupirer, de ne pas s'indigner devant les dégradations, les mutilations sans nombre que simultanément le temps et les hommes ont fait subir au vénérable monument, sans respect pour Charlemagne qui en avait posé la première pierre, pour Philippe-Auguste qui en avait posé la dernière.
Notre-Dame de Paris (1831) De Victor Hugo
Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents.
Discours sur la tombe d'Émilie de Putron, 19 janvier 1865 De Victor Hugo
Le prodige de ce grand départ céleste qu’on appelle la mort, c’est que ceux qui partent ne s’éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde de ténèbres. Ils sont en haut et tout près.
Discours sur la tombe d'Émilie de Putron, 19 janvier 1865 De Victor Hugo
Oh ! qui que vous soyez, qui avez vu s’évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui. Il est toujours là. Il est à côté de vous plus que jamais.
La beauté de la mort, c’est la présence. Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes.
L’être pleuré est disparu, non parti. Nous n’apercevons plus son doux visage ; nous nous sentons sous ses ailes. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents.
La beauté de la mort, c’est la présence. Présence inexprimable des âmes aimées, souriant à nos yeux en larmes.
Discours sur la tombe d'Émilie de Putron, 19 janvier 1865 De Victor Hugo
Viens, mon George. Ah ! les fils de nos fils nous enchantent
Nous nous retrouvons doux, naïfs, heureux de rien ;
Le coeur serein s'emplit d'un vague aérien ;
En les voyant on croit se voir soi-même éclore ;
Oui, devenir aïeul, c'est rentrer dans l'aurore.
L'autre De Victor Hugo
Qui sait si l'homme n'est pas un repris de justice divine ? Regardez la viede près. Elle est ainsi faite qu'on y sent partout de la punition.
Les Misérables (1862) De Victor Hugo
Sous Jacques II, un jeune lord millionnaire qui avait mis le feu la nuit à une chaumière fit rire Londres aux éclats et
fut proclamé roi du fun. Les pauvres diables de la chaumière s’étaient sauvés en chemise.
Les membres du Fun Club, tous de la plus haute aristocratie, couraient Londres à l’heure où les bourgeois dorment, arrachaient les gonds des volets, coupaient les tuyaux des pompes, défonçaient les citernes, décrochaient les enseignes, saccageaient les cultures, éteignaient les réverbères, sciaient les poutres d’étai des maisons, cassaient les carreaux des fenêtres, surtout dans les quartiers indigents.
L'Homme qui rit (1869) De Victor Hugo
À tous les étages de la société, tout ce qui travaille, tout ce qui pense, tout ce qui aide, tout ce qui tend vers le bien, le juste et le vrai, c’est le peuple ; À tous les étages de la société, tout ce qui croupit par stagnation volontaire, tout ce qui ignore par paresse, tout ce qui fait le mal sciemment, c’est la populace.
En haut : égoïsme et oisiveté ; en bas : envie et fainéantise : voilà les vices de ce qui est populace.
Correspondance, lettre à M. Pierre Vinçard rédacteur en chef de la Ruche populaire, le 2 juillet 1841 De Victor Hugo
Un plus sévère eût ajouté peut-être : et haïr la populace. Je me suis contenté de la dédaigner.
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
La force, c’est le droit. Courbons-nous. Gloire au sabre !
Les Châtiments (1853) De Victor Hugo