De tout.......!

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années
16/09/2018 - 08:01
L'Islande.


L’Islande est un pays insulaire nordique aux paysages spectaculaires composés de volcans, geysers, sources chaudes et champs de lave. Les parcs nationauxde Vatnajökull et Snæfellsjökull comportent d’immenses glaciers protégés. La plupart des Islandais vivent dans la capitale, Reykjavik, qui est alimentée à l’énergie géothermique. Elle accueille le musée national et le musée des sagas, qui retracent l’histoire viking du pays.
En 1918, l’Islande devient juridiquement un État distinct,le royaume d’Islande, bien que lié au Danemark par un Acte d’Union 
qui leur confèrele même roi.Le pays devient pleinement indépendant et souverain en 1944 lors de la fondation de la république.

 
16/09/2018 - 07:43
Un régal culinaire et littéraire dans La Cave de Gaston Leroux.
 
Une journée à Montmartre passe forcément par une belle balade dans le quartier et un bon repas.
Pour ce dernier point, il est un endroit qui attirera les mordus de littérature, de romans policiers et de bons plats traditionnels.

Mort en 1927, Gaston Leroux est un célèbre romancier français, connu pour ses romans policiers empreints de fantastique. Ses œuvres les plus connues sont Le Fantôme de l’opéra, Le Mystère de la chambre jaune ou encore Le Parfum de la dame en noir.
Ces romans ont aussi été popularisés par des adaptations cinématographiques dans les années 2000 et par le personnage de Joseph Rouletabille, un apprenti reporter qui va devenir le héros de plusieurs romans de Gaston Leroux.

Aujourd’hui, Gaston Leroux n’est pas forcément l’auteur français le plus connu mais il n’est jamais trop tard pour apprécier son écriture. Une mission dont s’est chargée Véronique Leroux, l’arrière petite nièce de l’auteur. En hommage à son illustre ancêtre, cette dernière est à la tête depuis quelques années d’une cave vintage qui rend hommage à la vie et au travail de son aïeul. Une fois à l’intérieur, c’est un véritable musée qui s’offre aux plus curieux. Sur les murs, les affiches et les objets
insolites se succèdent et tous rappellent la vie de Gaston Leroux. L’occasion de mieux comprendre les différentes sources d’inspiration du romancier. On se prend ainsi à imaginer la vie de l’auteur, et plus généralement, de la France au début du 20e siècle.


La propriétaire propose ainsi de faire découvrir (ou redécouvrir) ce travail et, dans le même temps, de passer un bon moment autour d’un savoureux repas. Pot-au-feu, assiettes de charcuterie, l’établissement propose principalement de la cuisine traditionnelle. Pour les amateurs de petits assiettes, on peut aussi se régaler avec des tartines, du foie gras… Suffisant pour une pause dégustation dans un cadre confortable.
Enfin, de bons plats s’accompagnent toujours d’un bon vin et ici, la carte est plutôt alléchante. On retrouve en effet plusieurs vins, notamment des crus de la Loire qui évoquent une fois de plus les aventures de Rouletabille.
16/09/2018 - 07:37
Comment lavait-on son linge au XIXe siècle ?  
 

 
En 2017, laver son linge est une tâche des plus courantes et faciles. Et pour cause, près de 97% des ménages français possèdent un lave-linge.
Grâce à des services de pressing collaboratif comme Cowash, il est même possible de déléguer cette tâche sans vider son
porte-monnaie. Pourtant, cette facilité n’a pas toujours existé. Commentlavait-on son linge il y a 150 ans et quelles sont les différences avecles pratiques d’aujourd’hui ? On vous dit tout.

Le lavoir est un passage obligé  
Comment cela se passe XIXe siècle ? Jusqu’au milieu du XXe siècle, seule une infime partie de la population parisienne possède l’eau courante. Le quotidien d’un Parisien est donc rythmé par ses besoins en eau : on utilise des bains publics, on vachercher l’eau à la fontaine et, surtout, on se rend régulièrement au lavoir pour laver son linge. À Paris, ce sont d’abord les bateaux-lavoirs, installés sur les bords de Seine, qui accueillent les habitants. En 1880, on compte 64 établissements de ce type dispersés le long de la Seine. Ces derniers sont rapidement complétés par des lavoirs, installés sur la terre ferme cette fois, dans tous les coins de
la capitale.

 

Un bateau-lavoir à Paris

Et aujourd’hui ? En seulement quelques décennies, le lave-linge est devenu un objet bien ordinaire. En 1951, seuls 8% des foyers français possédaient une machineà laver, aujourd’hui, ce sont presque 97 % qui détiennent ce type
d’électroménager (Chiffres : INSEE Focus 2015). Résultat, en 2017, notre plus grand souci concernant le linge n’est
plus tant de trouver un endroit pour le laver que de trouver un moyen d’en prendre soin.

Une activité qui détient un rôle social fort
Comment cela se passe XIXe siècle ?  Pendant presque toute la durée de vie des lavoirs, une constante a existé : ce
sont les femmes qui doivent s’y coller, et seulement elles. En effet, le lavoir est un espace exclusivement féminin et il existe des lois qui interdisent aux hommes de se rendre dans ces lieux destinés au nettoyagedu linge. Aussi sexistes soient-elles, ces habitudes permettent néanmoins aux femmes de se réunir et de se retrouver afin de discuter en toute liberté.

 

Un groupe de femmes lave son linge sur le Canal Saint-Martin

Et aujourd’hui ? La démocratisation de la machine à laver a grandement limité les interactions liées à l’action de laver son linge : aujourd’hui, on ne lave plus son linge sale qu’en famille ! C’est dans ce souci de recréer un lien social que la société Cowash a choisi de privilégier l’aspect collaboratif. En effet, plutôt que de faire appel à un coursier, l’applicationmobile met en relation ceux qui manquent de temps pour s’occuper de leur linge avec d’autres personnes prêtes à les aider, des 
« Cowashers » équipés enlessive Skip Ultimate qui se rendent au domicile des clients 24/7 pour prendre en charge leurs vêtements et les ramener nettoyés et repassés sous 48h.

Un travail physique qui demande du temps. 
Comment cela se passe XIXe siècle ?  Chaque semaine, voire plusieurs fois par semaine selon la taille et la composition du foyer, les femmes se rendent donc au lavoir, leur pile devêtements sous le bras. À genoux pendant souvent plus de trois heures, elles s’attachent à laver chaque tissu avec un gros bloc de savon, le brossent, le frappent dans un battoir puis le rincent. Seulement alors vient le moment de sécher le linge : pour cela, il faut souvent le transporter mouillé jusqu’à chez soi, là où le linge sera étendu à l’extérieur ou disposé près du poêle. Une activité longue et harassante qui demande donc un investissement au quotidien.
 

Un groupe de femmes qui s’affairent sur un bateau-lavoir parisien.


16/09/2018 - 07:25
L’adresse parisienne où est né le Bloody Mary .

 
Véritable référence du cocktail depuis 100 ans, le Harry’s bar détonne toujours autant. Cesvéritables professionnel du shaker continuent de nous faire rêver à travers leurs fabuleuses boissons, mais aussi grâce à leur histoire.
Tout le monde connait le Bloody Mary… À base de vodka, jus de tomate et de tabasco, on saupoudre ensuite d’une pincé de sel et de poivre, d’un zeste de citron et de worcestershire sauce. On raconte que ce célèbre cocktail aurait des vertus « sans gueule de bois ». Mais, saviez-vous qu’il a été inventé dans la capitale ? Oui, oui en plein Paris.
 

Et ce n’est autre qu’au Harry’s bar qu’il a vu le jour. Il aurait été concocté pour la première fois par Ferdinand « Pete » Petiot en l’honneur de l’acteur Roy Barton. Il se dit, également, qu’il fut créé pour l’écrivain Ernest Hemingway. Ce dernier demanda au barman un cocktail avec lequel il n’aurait pas une haleine d’alcool. En effet, à chaque fois qu’il rentrait chez lui, sa femme, Mary (d’où vient peut-être le nom) lui passait un savon s’il sentait l’alcool.
Bien que le cocktail nait à Paris, c’est en Amérique que le Bloody Mary faitun carton et devient une star mondiale. Plus récemment et plus parisien, Serge Gainsbourg prenait souvent ce cocktail (considéré par certains comme son préféré), dans son antre, un bistrot rue de Lille.
Attention, pas sûr que nous dégustions aujourd’hui le même Bloody Mary que Hemingway… Le jus de tomates, venant alors d’être inventé, n’était pas tel qu’il est de nos jours.
Le Harry’s Bar n’a pas volé sa réputation. Au delà d’avoir vu naitre le Bloody Mary, l’histoire du lieu est belle.
L’un des deux fondateurs nommé Clancey gérait un bar à Manhattan. Sentant venir la prohibition, il démonte les boiseries de son bistrot sur la 7thAvenue et décide de venir s’installer à Paris. Il s’associe alors à l’ancien jockey Toad Sloan. Tous les deux démarrent l’activité du « New York bar » en 1911, qui deviendra le « Harry’s New York Bar » en 1923.
Ce changement de nom est dû à la personne qui excelle derrière le bar : Harry. En l’espace de quelques mois, il est devenu une vraie célébrité dans cette enceinte. Il rachète, naturellement, le fond de commerce et ajoute son nom à l’enseigne.

Cela fait donc plus de 100 ans que la légende du Harry’s Bar perdure, devenuune référence française pour ces cocktails à tomber par terre. De plus,une ambiance jazz nous attend tous les soirs au sous-sol. Cette atmosphère musicale est fidèle à la déco toujours retro.
Comptez 14€ pour un cocktail d’exception. La cave à whisky a aussi de très bons crus, de 15€ à 45€.

On se croirait presque dans un bar caché de New-York en pleine prohibition américaine.
Le Harry’s bar – 5 rue Daunou, IIe

16/09/2018 - 07:16
Les anciens rails cachés de la place des Vosges.
 
Il n’est pas forcément obligatoire de lever la tête pour admirer les charmes et les secrets de Paris. Il faut parfois regarder par terre pourdécouvrir des vestiges de la capitale. Celle du jour concerne des anciens rails, aujourd’hui cachés en plein cœur du Marais. Direction la place des Vosges et plus précisément les somptueux immeubles qui entourent la plus ancienne place de Paris. Pour fouler cesvestiges d’un autre temps, rendez-vous précisément au numéro 5.
Incrustés dans le pavement devant le portail de l’hôtel de Rotrou, on peut en effet apercevoir des rails. Commence alors un petit voyage dans le quartier et surtout dans le temps. Ces rails continuent leur chemin dansla cour, ce qui conduit alors les curieux à un local industriel datant de 1914. À l’époque, ce bâtiment de brique abritait les cuisines de la Compagnie internationale des wagons-lits et des grands express européens. Fondée en 1872 par l’homme d’affaires belge, Georges Nagelmackers, la Compagnie était un véritable empire. Pendant longtemps,elle était d’ailleurs le premier prestataire de services du monde ferroviaire. La Compagnie avait notamment à sa charge certaines des lignes les plus prestigieuses, la plus glorieuse étant l’Orient-Express.

© Nicolas B. Jacquet/Parigramme


Jusqu’en 1954, c’est donc dans ce bâtiment, dont la toiture est visible depuis le jardin de l’Hôtel de Sully, que l’on conditionnait les vivres destinés à approvisionner les gares de la capitale. Sandwichs, petits plats… Il y en avait pour tous les goûts et ils étaient tous destinés aux gares ou aux Grands Hôtels des wagons-lits. Pour ce faire, les denrées étaient alors transportées sur rail de la cour à la place. Il fallait ensuite charger le tout dans des camions frigorifiques, qui prenaient ensuite la direction des gares concernées. Aujourd’hui, ce temps est révolu, mais les traces encore visibles nous donnent des envies de voyage…
Ce commentaire a été modifié le 16/09/2018 à 07:18
16/09/2018 - 07:11
D’où vient le nom des Tuileries ?


  La brève culture*  
C’est au début des années 1560 que l’idée d’un palais installé à l’Ouest de Paris émerge dans l’esprit de Catherine de Médicis, veuve du roi Henri II et reine-mère de Charles IX. Cette dernière souhaite remplacer l’ancien Hôtel des Tournelles, situé au nord de l’actuelle place des Vosges et abandonné par la noble florentine depuis la mort de son mari cinq ans plus tôt.Elle décide de faire édifier, le long de la Seine, un vaste palais à l’italienne accompagné de jardins. Pour cela, elle achète un ensemble debâtiments et de terres du faubourg Saint-Honoré, alors situé à l’extérieur de l’enceinte de Charles V. La première pierre est posée en mai 1564 et, dès ce moment-là, l’édifice a le nom qu’on lui connaîtra au fil des siècles : le palais des Tuileries.
D’où vient ce nom donné à l’un des projets architecturaux les plus importants de l’histoire de la capitale ? Tout simplement de celui des édifices ayant précédé l’existence du palais. En effet, les bâtiments du faubourg Saint-Honoré achetés par le royaume étaient des fabriques de tuiles. Au moment de la vente, ces tuileries (sans majuscule cette fois !) sont au nombre de trois. Elles sont en fonctionnement depuis au moins 1373, date à laquelle la première preuve de leur existence est
retrouvée dans la littérature.


Les fabriques de tuiles, dites les « Tuilleries », sur le plan Saint Victor en 1550

Les tuiles, longtemps fabriquées dans le bourg de Saint-Germain-des-Prés, sont alors le matériau le plus utilisé dans la capitale, au détriment de l’ardoise, plus chère car importée. La destruction des fabriques et l’installation de Catherine de Médicis sonnera la fin de la fabrication des tuiles à Paris et le début de l’ère de l’ardoise sur lestoits de la capitale. De son côté, le Palais des Tuileries, relié à celui du Louvre par une galerie longeant la Seine, a été détruit en 1871, lors de la Commune de Paris. Il a néanmoins donné son nom à l’un des jardins les plus agréables de la capitale, à une station de métro et à un quartier tout entier du centre de Paris.

Le Palais des Tuileries, cinquante ans après le début de sa construction, sur le plan Merian de 1615


15/09/2018 - 17:22
"On ne nous dit pas tout."
15/09/2018 - 15:05
L'école d'autrefois .

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15/09/2018 - 14:50
Des scientifiques découvrent une protéine anti-vieillissement .


Des scientifiques découvrent une protéine anti-vieillissement

 Des chercheurs de l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale) auraient découvert une protéine capable de lutter contre le vieillissement musculaire.

Fatigue, douleurs articulaires, pertes de ses capacités musculaires...
Et si l’on parvenait à freiner l’apparition des marques du temps ? Un rêve, imaginé par la plupart d’entre nous, qui pourrait bien devenir réalité selon les travaux publiés dans Nature Medicine par une équipe de scientifiques de l'Inserm, de l'Université Paul-Sabatier et du Gérontopôle du CHU de Toulouse.

Une hormone qui régénère les muscles des seniors
Des scientifiques de l’Inserm à Toulouse ont identifié une protéine capable de jouer un rôle déterminant dans la lutte contre le vieillissement.
Son nom ? L’apeline. Connue depuis 1998, cette hormone est sécrétée lors de l'effort physique .Véritableallié-jeunesse , l’apeline pourrait maintenir voire restaurer les capacités musculaires.

Bémol : sa production diminue avec l’âge. C’est pourquoi les muscles des personnes âgées ont du mal à se régénérer.

Peut-on néanmoins pallier ce phénomène ? 
L’équipe de scientifiques de l’Inserm s’intéressent à la question depuis2012. Pour ce faire, ils ont administré de l’apeline à des souris de deux ans (l’équivalent de 80 ans chez l’homme). Les conclusions de leurs analyses sont surprenantes : les rongeurs voient leurs aptitudes musculaires s’améliorer “significativement” et leurs fibres se régénérer. Un phénomène qui témoigne de la capacité de cette protéine à stimuler à la fois le métabolisme cellulaire dans le muscle et la régénération des myofibres à partir des cellules-souches.

Des essais cliniques bientôt envisagés ?
 Caractérisée par une dégénérescence musculaire, la sarcopénie touche un senior sur trois. Pour que les personnes âgées puissent rapidement bénéficier des bienfaits de l’apeline, les premiers essais cliniques sur la molécule seront menés par le Gérontopôle de Toulouse à partir de 2019. 

“Ces travaux permettent d’envisager l’apeline à la fois comme un outil de diagnostic précoce de la sarcopénie et comme un traitement prometteur pour lutter contre la perte de fonction liée à l’âge”, explique Philippe Valet, codirecteur de l’étude et professeur à l’université Paul-Sabatier de Toulouse.
Si aucun essai thérapeutique sur l’homme n’est prévu avant cinq ans, les médecins placent de grands espoirs dans cet élixir de jouvence.
Ce commentaire a été modifié le 15/09/2018 à 14:51
15/09/2018 - 08:50
Le calcul de Macron : les retraités la fermeront !

Lettre à son Altesse Macron 1er.

Sire, je voudrais vous féliciter il en a fallu du courage
Pour décider de ponctionner
De leurs soi-disant avantages
Tous ces bienheureux retraités.
Il est vrai qu'ils sont redoutables
Et pour tout dire presque enragés
Avec leurs béquilles, leurs bandages
Sans parler des chaises percées.

Il y a même un bon côté

Peu s'en iront à l'abordage

Afin d'incendier l'Élysée
Ou de construire des barrages.
Et puis, ils vont bientôt crever
Alors pourquoi donc s'en priver ?

Peut-être vous a-t-il échappé
Ce que fut leur enfance dorée ?
La deuxième guerre mondiale
Avec son lot de privations
De bombardements, un régal
Pour qui aime les films d'action.

Et ensuite ce fut l'école
Où l'on passa bien peu de temps
Pas comme certains guignols
Qui n'en sortent qu'à 27 ans.
Souvent après c'était l'usine
Où l'on entrait à 14 ans
Quarante-huit heures par semaine ( et non 35h et des RTT)
Quinze jours de congés payés...
Vraiment l'existence rêvée.

Notre service militaire
Dites-moi où l'avez-vous fait ?
Pour nous, 28 mois d'une guerre
Trente mille jeunes y sont tombés    
Mais cela n'est pas votre affaire
Pour le résultat qu'on connaît.   
Alors pourquoi donc se gêner

Pressurons les tous ces nantis
Pour pouvoir mieux distribuer
Aux arrivants de ces pays
Qui jamais n'auront travaillé
Ni cotisé, que nenni.
Pour ce qui est du logement

Mon Dieu que nous fûmes gâtés
A six dans l'appartement
D'à peine soixante mètres carrés
Sans aucune des commodités
Qu'on accorde généreusement
Même aux nouveaux arrivés.
Sans doute l'histoire de France
N'est pas votre tasse de thé
Elle fût traitée en votre absence…..
Ou bien vous l'avez oubliée.
Pas nous !
Un jour, vous vous en apercevrez...
Macron, le Saigneur des retraités !


Appelons désormais Macron,  le Saigneur des retraités car c'est vraiment le titre qui lui convient.
Surtout ne pas se plaindre et critiquer quand on choisit de ne rien faire et ne rien dire !

Avec seulement l'envoi d'un mail à 5 de vos Contacts,(Soit 30 sec de votre temps précieux pour peut-être "Aider" votre Pays),vous serez chacun à l'origine, dans 3 mois, d'1 Million de mails ou de personnes et 48 Millions en 6 Mois averties !!!