La fabrication du pain Un bon boulanger qui sait faire du bon pain, c'est le bien-être quotidien assuré pour tous. Pour faire du bon pain, il faut surtout du cœur à l'ouvrage et un fameux tour de main. La pain fait partie d'une tradition artisanale très ancienne et nous devons veiller à ce qu'elle se poursuive intacte pour un nouveau millénaire. Pour faire du bon pain, il faut du bon blé. De tout temps les hommes ont surveillé d'un œil inquiet la maturation des épis. Ils invoquaient les dieux de leur épargner la famine. Le pain est ainsi devenu sacré pour les hommes. Symbole de la vie et de la fertilité de la terre, nous appartenons à la civilisation du blé comme d'autres à celle du riz ou du maïs. Regardez un pain : c'est l'histoire de l'humanité que vous contemplez. A la base de notre alimentation depuis des millénaires, il est le témoin privilégié de l'histoire des civilisations Le pain est issu d'une série de découvertes et d'innovations qui ont débutées il y a huit mille ans dans le Croissant fertile moyen-oriental, où les premiers villages d'agriculteurs sédentaires ont développé la culture des céréales. Une vrai « civilisation du pain » va naître dans le bassin méditerranéen où cet aliment sera adopté par les Egyptiens, le Hébreux, les Grecs et les Romains. Chez les Egyptiens, le pain est utilisé comme offrande aux dieux ou comme provision emportée en voyage par le défunt. Il a une importance considérable dans cette civilisation. Aliment quotidien essentiel, il sert aussi de monnaie, notamment pour rémunérer les ouvriers ou les fonctionnaires, la qualité du pain remis étant fonction de la position sociale. Chez les Hébreux, le pain devient un aliment de base quand ils se sédentarisent. Le pain levé est un aliment quotidien alors que le pain azyme, non levé, sert d'offrande. Le procédé de fabrication du pain fonctionne aussi comme un signe de reconnaissance sociale : les riches se nourrissent de pains levés à la fine fleur de farine de froment, les pauvres de pains de farine d'orge. Des contacts commerciaux avec l'Egypte vers -800 permettront aux Grecs de découvrir le pain.
Vers -600 le pain au levain sera considéré comme une friandise et réservé aux seuls ambassadeurs. L'invention du moulin olynthien à mouvement alternatif (actionné par des esclaves) constituera un net progrès. Chez les Grecs, le pain va quitter peu à peu l'aire domestique pour rejoindre les fournils des boulangers professionnels, le four est alors utilisé couramment. Au IIe siècle avant J-C, on dénombre dans les boulangeries d'Athènes pas moins de 72 variétés de pains et gâteaux, et, vers 30 ap JC, sur le monumental tombeau du maître boulanger Eurizaces apparaît nettement une machine à pétrir actionnée par un cheval. Sans doute le plus vieux pétrin mécanique ! L'ensemble des scènes témoigne de la grosse taille de ces meuneries-boulangeries qui assuraient la distribution gratuite de céréales et de pains. Vers 300 avant JC, on trouve les premières « pistoria » c'est-à-dire les premières boulangeries à Rome. Traditionnellement consommateurs de bouillie, les notables romains font venir des boulangers grecs dans leur villa pour leur confectionner différents pains. Ils vont même apporter une évolution considérable dans le fabrication du pain : ils apprennent aux romains l'utilisation de la levure de bière et introduisent la cuve cylindrique dans laquelle un bras artificiel est agité grâce à un mécanisme hippomobile, l'ancêtre du pétrin mécanique. Les fours étaient maçonnés en brique, semblables aux fours à bois d'aujourd'hui. Tous ces progrès technologiques sur la fabrication du pain n'empêche pas la misère. Pour calmer le peuple, les Empereurs distribuent du pain gratuitement aux chômeurs dont le nombre ne cesse d'augmenter. A la fin de l'empire romain, ce pain gratuit devient un droit héréditaire et le jeton que l'on doit présenter contre le pain se transmet de père en fils. En -14 la fondation d'un collège de meunier boulanger à Rome est crée. Ceci traduit une progression sensible du pain dans l'alimentation des romains. L'art de faire du pain gagne l'Europe occidentale occupée alors par les Romains. En France, l'histoire du pain reflète celle de la société. Bien que les techniques s'améliorent avec le temps, la différence entre le pain des riches et le pain des pauvres persiste jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.
Au début du Moyen Age, il y a peu de culture de céréales et elles sont pauvres en gluten. Le pain se consomme surtout dans les villes. Vers 630 on attribue à Dagobert des édits concernant la réglementation de la vente de pain. Les rares boulangeries de l'époque devaient se situer dans les différentes cours royales, dans les villes fortifiées et dans les abbayes.
Pour faire moudre les céréales, le paysan doit payer un impôt : le ban (créé vers 1050), au seigneur qui entretient le moulin. Le pain est cuit au four « banal » environ deux fois par mois ou sous la cendre. Il durcit rapidement et se consomme rassis, trempé dans la soupe. Les paysans, privés de farine blanche destinée aux riches, se nourrissent « d'un pain de misère » ou pain noir fabriqué à base de fèves, lentilles ou racines. En ville, on a le choix entre quatre sortes de pains : le pain de Chailly, un pain blanc fabriqué avec les meilleures farines ; le pain coquillé, pain bis blanc qui prendra le nom de pain bourgeois ; le pain de chapitre ou pain broyé ou brié, dont la pâte épaisse et battue avec deux bâtons ; le pain bis le plus grossier. Le boulanger de l'époque se nomme le talemelier.
A partir des ordonnances de Jean Le Bon, il faudra pouvoir s'offrir les services d'un boulanger à domicile pour varier les plaisirs du pain. A cette époque, la vente du pain s'effectuait à l'ouvroir ou sur les marchés. L'ouvroir correspond à une sorte de fenêtre munie d'une étagère qui donne sur une rue commerçante, c'est semble-t-il la première boutique. Une partie importante de la vente se faisait sur de nombreux marchés, approvisionnés également par des talemeliers forains venus des campagnes proches pour vendre des pains de plus grosse taille.
Le pain est un élément clé de la paix sociale, il est au centre des revendications lors des émeutes de la faim. On parlera d'ailleurs du « pain de l'égalité » à la Révolution Française.
En effet, de la renaissance à la révolution, le développement des sciences profite à la technologie meunière te boulangère. Les techniques de panification progressent considérablement. Mais le blé connaît de fortes hausses de prix et, à l'aube de la révolution, la colère du peuple affamé se cristallise contre les boulangers.
Au cours du XVII ème siècle, les pâtes à pain sont davantage hydratées et les techniques de pétrissage sont améliorées, en particulier par deux opérations supplémentaires : le « bassinage » et le « battement ».
Selon Parmentier, il faut donner à la pâte un certain degré de mollesse qui permette à la matière glutineuse de produire son effet, et à celui qui a pétri, les moyens de bien travailler son pain.
L'importance du pain dans l'alimentation est attestée dès le début du XVIII ème siècle. Dans son dictionnaire des aliments en 1704, Lemery écrit : « nous ne mangeons presque rien sans pain, sans lui, la plupart de nos viandes nous donneraient le dégoût » Cette citation illustre bien le fait que les français sont de gros consommateurs de pain. A partir de 1750 beaucoup de savants (Beccari, Kessel, Meyer, Duhamel du Monceau, Bucquet, Beguillet, Malisset) commencent à faire des études en rapport avec la technologie meunière et boulangère : ils étudient les propriétés du gluten, testent des étuves pour sécher et améliorer la conservation des récoltes, diffusent la mouture économique (mouture progressive avec laquelle les blés sont mieux nettoyés, les produits de mouture repassés plusieurs fois sous de nouvelles meules).
Au XVIII ème siècle, les farines tamisées apparaissent sur les marchés. Alors qu'avant le boulanger tamisait lui-même sa farine pendant la seconde moitié du XVII ème, certains meuniers commencent à expérimenter une mouture dite à blanc. Les sons gras sont sassés énergiquement, voire repassés sous la meule.
Après avoir publié en 1778 un livre remarquable « le parfait boulanger » Parmentier s'associe à Cadet de Vaux pour ouvrir une école gratuite de boulangerie à Paris.
Plus tard (1788/1789) une famine importante, due à de très mauvaises conditions climatiques et à des conditions économiques dramatiques, apparaît. Le prix du pain atteint des sommets et déclenche des émeutes. Les boulangeries sont attaquées et le peu de farine disponible est pillée. En 1791, on impose des prix obligatoires aux pains et en 1796, le pain blanc, réservé aux riches, devient officiellement le pain de tous les français.
La fabrication du pain varie peu jusqu'à l'ère industrielle si ce n'est l'utilisation de la levure de bière à coté du levain. Les principales innovations verront le jour au XIX ème siècle : premières machines à pétrir, moulins automatiques, .... La fabrication du pain se modernise jusqu'au XX ème siècle où les fournils sont mécanisés. De nouvelles techniques de cuisson apparaissent : four à vapeur puis à gaz et à l'électricité ; surgélation de la pâte, etc. Les nouveaux mots d'ordre sont productivité et pain blanc.
C'est en 1830 que les boulangers des villes vont commencer à acheter des marques commerciales de farine issues des minoteries parisiennes. D'une certaine manière ils y perdent en autonomie puisqu'ils ne contrôlent plus l'achat des blés ni de la mouture, et qu'ils ne tamisent plus eux-mêmes. Certaines minoteries vont devenir très puissantes et contrôler financièrement bon nombre de petites boulangeries.
En 1836 ouvre la boulangerie Mouchot rue de Grenelle. Il s'agit vraisemblablement de la première boulangerie privée de type industriel.
La III ème République voit les débuts de la boulangerie moderne. Les inventions sont nombreuses et l'accès à des matières premières diversifiées est plus aisé. Pourtant, le pain va se raréfier à l'occasion de la crise économique de 1929, puis avec l'occupation allemande.
Tout au long du XIX ème siècle, les fours de boulangerie sont améliorés, des systèmes de chaînage métallique leur assurent une meilleure longévité, les façades sont en briques, les voûtes plus basses, et les dalles réfractaires pour la sole se généralisent ainsi que les ouras.
Durant cette période, les inventions ne manquent pas. Pourtant la boulangerie française est nettement moins mécanisée que les boulangeries allemandes et autrichiennes. Durant la première guerre des mesures sont prises pour rationner le pain, alors que la mobilisation des boulangers va créer de nombreuses difficultés, notamment celle de trouver des remplaçants compétents et aptes physiquement au pétrissage manuel. C'est à cette époque que la vente des pétrins mécaniques se développe : on estime que seulement 5 % des boulangeries parisiennes possédaient des pétrins mécaniques avant 1914 ; il y en a 95 % en 1931. En 1922 le batteur-mélangeur permet d'éviter de pétrir à la main les pâtes de viennoiserie. Il rendra également d'énormes services aux pâtissiers pour la préparation de leurs crèmes.
Vers 1936 les sociétés Frigidaire et Bonnet commercialisent des armoires frigorifiques. C'est un progrès considérable.
Depuis le début du siècle le marché de la pâtisserie s'est beaucoup développé, de nombreux boulangers fabriquent et vendent de la pâtisserie.
Dès 1939, essentiellement en ville, la nouvelle méthode de panification sur direct s'impose. Elle se caractérise par l'emploi de farines peu extraites, d'un pétrissage lent, de faibles doses de levure. Le pointage est très long jusqu'à 4h, entrecoupé d'une ou deux ruptures. Pesée et façonnage manuels suivis d'un apprêt court, favorisent l'obtention d'une crème très irrégulière.
Avec la Guerre et l'occupation, les approvisionnements sont complètement perturbés. A la qualité très médiocre du pain s'ajoutent les tickets de rationnement. Les campagnes souffrent moins de ces rationnements que les villes, et les paysans remettent en chauffe le vieux four à pain, ou en reconstruisent de plus petits. On assiste à une reprise de la fabrication du pain de ménage dans les fermes
À l'est de la ville d'Amiens, sur la rive droite de la Somme, les Hortillonnages sont un lieu très particulier, un espace vert de 300 hectares à la sortie de la ville, composé de marais et de canots autour d’îlots habités. Existant depuis le début de notre ère, ces petits jardins flottants s'étendaient jadis sur plus de 10 000 hectares.
Les cultivateurs y faisait pousser toute sortes de légumes et se déplaçaient d'îlots en îlots à bord de petits bateaux à fond plat, appelés "barques à cornet".
Au début du XXe siècle, les maraîchers vivant de la culture des légumes sur ces jardins flottant étaient encore nombreux, presque 1 millier et vendaient leurs produits au fil de l'eau. Mais l'activité s'est nettement réduite sur les 60 dernières années et désormais, seule une dizaine de personnes s'affairent encore dans les hortillonnages, le «marché sur l'eau » n'a plus lieu qu'une fois par an, pour se remémorer ce métier récemment disparu.
Les anciens carrés de culture sont aujourd'hui tapissés de fleurs aux multiples couleurs.Il est désormais possible de visiter ces anciens jardins flottants, qui ont donné à Amiens son surnom de Venise du Nord, en empruntant l'une des embarcations traditionnelles, en kayak ou tout simplement en se promenant sur les berges et les pontons qui garnissant ce petit havre de paix et de tranquillité, aux portes de la ville.
Explication: Il est facile de se perdre après des filaments complexes dans cette image détaillée du léger supernova restant Simeis 147. Également catalogué comme Sharpless 2-240, il passe par le surnom populaire, la nébuleuse Spaghetti. Vu vers la limite des constellations Taurus et Auriga, il couvre près de 3 degrés ou 6 lunes pleines sur le ciel. Il s'agit d'environ 150 années-lumière à la distance estimée du nuage de débris stellaire de 3 000 années-lumière. Ce composite comprend des données d'image prises à travers des filtres à bande étroite, améliorant l'émission rougeâtre des atomes d'hydrogène ionisé pour tracer le gaz étincelant et brillant. Le reste de la supernova a un âge estimé à environ 40 000 ans, ce qui signifie que la lumière provenant de l'explosion stellaire massive a atteint la Terre il y a 40 000 ans. Mais le reste en expansion n'est pas le seul résultat. La catastrophe cosmique a également laissé derrière lui une étoile neutronique ou un pulsar, tout ce qui reste du noyau de l'étoile originale.
Danny Sepkowski de la communauté Your Shot admet que la mise au point de son appareil photo sur un rouleau n'est « pas la chose la plus prudente à faire ». Mais il a obtenu cette photo incroyable de sable aspiré dans une vague en photographiant avec une lentille 100 mm. "Photographier avec une macro lentille m'a également appris la patience et la composition", dit-il. PHOTOGRAPHIE DE DANNY SEPKOWSKI,
18 bagues de fiançailles magnifiques qui ne sont pas serties de diamants mais qui raviront votre bien aimée.
Vous êtes allés dans toutes les bijouteries pour enfin trouver LA bague qui symbolisera votre amour pour votre âme sœur. Et pour cela, pas besoin d’opter pour le diamant le plus scintillant de la planète !
Depuis des siècles, il est coutume d’offrir une bague de mariage en diamant. Pierre extrêmement résistante, le diamant est devenu le symbole de la fidélité conjugale. Seulement voilà, de nos jours, le diamant n’est plusforcément nécessaire pour orner une bague de fiançailles et on peut trouver son bonheur à travers l’éclat d’autres pierres précieuses comme l’émeraude, le saphir, le rubis, entre autres.
Ces bagues sont devenues de plus en plus populaires au fil des décennies, non seulement parce qu’elles sont moins chères, mais aussi parce qu’elles sont tout aussi magnifiques à l’image de ces bagues en bois en forme de boules de neige.
Voici 18 exemples de bagues à la beauté époustouflante et qui ne comportent pas de diamants :
Jean Moncorgé, dit Jean Gabin, est un acteur français, Sa filmographie, dénombrant 95 films, compte un nombre important de classiques, parmi lesquels Gueule d'amour, La Bête humaine, Pépé le Moko, Le Quai des brumes, La Grande Illusion, Touchez pas au grisbi, Un singe en hiver, Le Chat, Le Pacha ou La Traversée de Paris. Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque dont certains, comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon, sont ses amis.
Acteur populaire, il a attiré plus de 161 millions de spectateurs dans les salles au cours de sa carrière d'après-guerre , auxquels il faut ajouter ses nombreux succès parmi sa trentaine de films d'avant-guerre. Il est décédé le 15 novembre 1976 à Neuilly-sur-Seine.
1943 : Vingt-cinq missions pour Memphis Belle
Le B-17 Memphis Belle est le premier bombardier à accomplir 25 missions sur l'Europe. Le Memphis Belle est le nom d'un bombardier B-17 'Flying Fortress' datant de la Seconde Guerre mondiale, dont de nombreux films et reportages relatent les exploits.
Ce fut le premier avion, et le premier équipage à réussir les 25 missions, signifiant à l'époque un billet de retour pour les État-Unis. Cet appareil est aujourd'hui conservé à Memphis
1978 : Le corps de Charlie Chaplin est retrouvé dans un champ
Le corps de Charlie Chaplin est retrouvé dans un champ en Suisse, trois mois après le vol de son cercueil, au cimetière de Corsier-sur-Vevey Le 1er mars 1978, le cercueil de Chaplin fut exhumé et volé par deux mécaniciens automobile immigrés, un Polonais, Roman Wardas, et un Bulgare, Gantcho Ganev. Leur but était d'extorquer une rançon d'un million de francs suisses à Oona Chaplin afin de pouvoir ouvrir plus tard un atelier de réparation automobile.
Ils furent arrêtés lors d'une vaste opération de police le 17 mai 1978 et le cercueil fut retrouvé enterré dans un champ de maïs près du village voisin de Noville. Il fut réenterré dans le cimetière de Corsier-sur-Vevey et un caveau en béton armé fut ajouté pour empêcher tout nouvel incident
1995 : Passation des pouvoirs au Palais de l'Élysée entre François Mitterrand et Jacques Chirac
Passation des pouvoirs au Palais de l'Élysée entre François Mitterrand et Jacques Chirac, qui devient ainsi le cinquième président de la Ve République . Alain Juppé est nommé Premier ministre par le président Jacques Chirac.
Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie La Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, qui se tient le 17 mai de chaque année, est un événement rassembleur et un moment de convergence des actions de lutte menées contre l’homophobie et la transphobie. La Fondation Émergence fait la promotion de cette journée et invite les organisations et les personnes à souligner cet événement dans leur milieu.
Porthminster Beach et St Ives, Cornouailles, Angleterre.
Vous ne devinerez jamais où ce magnifique bout de littoral se trouve ? En Angleterre ! St Yves était autrefois un modeste port de pêche perdu au fin fond de la Cornouailles jusqu’au milieu du XIXe siècle. Sous l’ère victorienne se développa en Grande-Bretagne la mode des bains de mer, unphénomène qui entraîna avec lui la construction des premières stations balnéaires. C’est à partir de 1877 et l’arrivée du chemin de fer que la petite bourgade de St Yves se transforme en l’une des destinations préférées des Britanniques. En effet, en plus de son incroyable beauté, le site bénéficie de l’un des meilleurs climats du pays, doux en hiver, relativement chaud en été et un taux d’ensoleillement au-dessus de la moyenne. St Yves est encore aujourd’hui l’une des meilleures stations balnéaires du pays attire de nombreux touristes, retraités et artistes
La fabrication du pain
Un bon boulanger qui sait faire du bon pain, c'est le bien-être quotidien
assuré pour tous. Pour faire du bon pain, il faut surtout du cœur à
l'ouvrage et un fameux tour de main. La pain fait partie d'une tradition
artisanale très ancienne et nous devons veiller à ce qu'elle se
poursuive intacte pour un nouveau millénaire.
Pour faire du bon pain, il faut du bon blé. De tout temps les hommes ont surveillé d'un œil
inquiet la maturation des épis. Ils invoquaient les dieux de leur
épargner la famine. Le pain est ainsi devenu sacré pour les hommes.
Symbole de la vie et de la fertilité de la terre, nous appartenons à la
civilisation du blé comme d'autres à celle du riz ou du maïs.
Regardez un pain : c'est l'histoire de l'humanité que vous contemplez. A la base
de notre alimentation depuis des millénaires, il est le témoin
privilégié de l'histoire des civilisations
Le pain est issu d'une série de découvertes et d'innovations qui ont débutées il y a huit mille
ans dans le Croissant fertile moyen-oriental, où les premiers villages
d'agriculteurs sédentaires ont développé la culture des céréales. Une
vrai « civilisation du pain » va naître dans le bassin méditerranéen où
cet aliment sera adopté par les Egyptiens, le Hébreux, les Grecs et les
Romains.
Chez les Egyptiens, le pain est utilisé comme offrande aux dieux ou comme provision emportée en voyage par le défunt. Il a une
importance considérable dans cette civilisation. Aliment quotidien
essentiel, il sert aussi de monnaie, notamment pour rémunérer les
ouvriers ou les fonctionnaires, la qualité du pain remis étant fonction
de la position sociale.
Chez les Hébreux, le pain devient un aliment de base quand ils se sédentarisent. Le pain levé est un aliment
quotidien alors que le pain azyme, non levé, sert d'offrande. Le procédé
de fabrication du pain fonctionne aussi comme un signe de
reconnaissance sociale : les riches se nourrissent de pains levés à la
fine fleur de farine de froment, les pauvres de pains de farine d'orge.
Des contacts commerciaux avec l'Egypte vers -800 permettront aux Grecs de découvrir le pain.
Vers -600 le pain au levain sera considéré comme une friandise et réservé
aux seuls ambassadeurs. L'invention du moulin olynthien à mouvement
alternatif (actionné par des esclaves) constituera un net progrès. Chez
les Grecs, le pain va quitter peu à peu l'aire domestique pour rejoindre
les fournils des boulangers professionnels, le four est alors utilisé
couramment. Au IIe siècle avant J-C, on dénombre dans les boulangeries
d'Athènes pas moins de 72 variétés de pains et gâteaux, et, vers 30 ap
JC, sur le monumental tombeau du maître boulanger Eurizaces apparaît
nettement une machine à pétrir actionnée par un cheval. Sans doute le
plus vieux pétrin mécanique ! L'ensemble des scènes témoigne de la
grosse taille de ces meuneries-boulangeries qui assuraient la
distribution gratuite de céréales et de pains.
Vers 300 avant JC, on trouve les premières « pistoria » c'est-à-dire les
premières boulangeries à Rome. Traditionnellement consommateurs de
bouillie, les notables romains font venir des boulangers grecs dans leur
villa pour leur confectionner différents pains. Ils vont même apporter
une évolution considérable dans le fabrication du pain : ils apprennent
aux romains l'utilisation de la levure de bière et introduisent la cuve
cylindrique dans laquelle un bras artificiel est agité grâce à un
mécanisme hippomobile, l'ancêtre du pétrin mécanique. Les fours étaient
maçonnés en brique, semblables aux fours à bois d'aujourd'hui. Tous ces
progrès technologiques sur la fabrication du pain n'empêche pas la
misère. Pour calmer le peuple, les Empereurs distribuent du pain
gratuitement aux chômeurs dont le nombre ne cesse d'augmenter. A la fin
de l'empire romain, ce pain gratuit devient un droit héréditaire et le
jeton que l'on doit présenter contre le pain se transmet de père en
fils. En -14 la fondation d'un collège de meunier boulanger à Rome est
crée. Ceci traduit une progression sensible du pain dans l'alimentation
des romains.
L'art de faire du pain gagne l'Europe occidentale occupée alors par les Romains. En France, l'histoire du pain reflète
celle de la société. Bien que les techniques s'améliorent avec le temps,
la différence entre le pain des riches et le pain des pauvres persiste
jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.
Au début du Moyen Age, il y a peu de culture de céréales et elles sont pauvres en gluten. Le pain se
consomme surtout dans les villes. Vers 630 on attribue à Dagobert des
édits concernant la réglementation de la vente de pain. Les rares
boulangeries de l'époque devaient se situer dans les différentes cours
royales, dans les villes fortifiées et dans les abbayes.
Pour faire moudre les céréales, le paysan doit payer un impôt : le ban (créé
vers 1050), au seigneur qui entretient le moulin. Le pain est cuit au
four « banal » environ deux fois par mois ou sous la cendre. Il durcit
rapidement et se consomme rassis, trempé dans la soupe. Les paysans,
privés de farine blanche destinée aux riches, se nourrissent « d'un pain
de misère » ou pain noir fabriqué à base de fèves, lentilles ou
racines. En ville, on a le choix entre quatre sortes de pains : le pain
de Chailly, un pain blanc fabriqué avec les meilleures farines ; le pain
coquillé, pain bis blanc qui prendra le nom de pain bourgeois ; le pain
de chapitre ou pain broyé ou brié, dont la pâte épaisse et battue avec
deux bâtons ; le pain bis le plus grossier. Le boulanger de l'époque se
nomme le talemelier.
A partir des ordonnances de Jean Le Bon, il faudra pouvoir s'offrir les services d'un boulanger à domicile pour
varier les plaisirs du pain.
A cette époque, la vente du pain s'effectuait à l'ouvroir ou sur les
marchés. L'ouvroir correspond à une sorte de fenêtre munie d'une étagère
qui donne sur une rue commerçante, c'est semble-t-il la première
boutique. Une partie importante de la vente se faisait sur de nombreux
marchés, approvisionnés également par des talemeliers forains venus des
campagnes proches pour vendre des pains de plus grosse taille.
Le pain est un élément clé de la paix sociale, il est au centre des
revendications lors des émeutes de la faim. On parlera d'ailleurs du «
pain de l'égalité » à la Révolution Française.
En effet, de la renaissance à la révolution, le développement des sciences profite à la
technologie meunière te boulangère. Les techniques de panification
progressent considérablement. Mais le blé connaît de fortes hausses de
prix et, à l'aube de la révolution, la colère du peuple affamé se
cristallise contre les boulangers.
Au cours du XVII ème siècle, les pâtes à pain sont davantage hydratées et les techniques de
pétrissage sont améliorées, en particulier par deux opérations
supplémentaires : le « bassinage » et le « battement ».
Selon Parmentier, il faut donner à la pâte un certain degré de mollesse qui
permette à la matière glutineuse de produire son effet, et à celui qui a
pétri, les moyens de bien travailler son pain.
L'importance du pain dans l'alimentation est attestée dès le début du XVIII ème siècle.
Dans son dictionnaire des aliments en 1704, Lemery écrit : « nous ne
mangeons presque rien sans pain, sans lui, la plupart de nos viandes
nous donneraient le dégoût » Cette citation illustre bien le fait que
les français sont de gros consommateurs de pain.
A partir de 1750 beaucoup de savants (Beccari, Kessel, Meyer, Duhamel du Monceau,
Bucquet, Beguillet, Malisset) commencent à faire des études en rapport
avec la technologie meunière et boulangère : ils étudient les propriétés
du gluten, testent des étuves pour sécher et améliorer la conservation
des récoltes, diffusent la mouture économique (mouture progressive avec
laquelle les blés sont mieux nettoyés, les produits de mouture repassés
plusieurs fois sous de nouvelles meules).
Au XVIII ème siècle, les farines tamisées apparaissent sur les marchés. Alors qu'avant le
boulanger tamisait lui-même sa farine pendant la seconde moitié du XVII
ème, certains meuniers commencent à expérimenter une mouture dite à
blanc. Les sons gras sont sassés énergiquement, voire repassés sous la
meule.
Après avoir publié en 1778 un livre remarquable « le parfait boulanger » Parmentier s'associe à Cadet de Vaux pour ouvrir une
école gratuite de boulangerie à Paris.
Plus tard (1788/1789) une famine importante, due à de très mauvaises conditions climatiques et à
des conditions économiques dramatiques, apparaît. Le prix du pain
atteint des sommets et déclenche des émeutes. Les boulangeries sont
attaquées et le peu de farine disponible est pillée. En 1791, on impose
des prix obligatoires aux pains et en 1796, le pain blanc, réservé aux
riches, devient officiellement le pain de tous les français.
La fabrication du pain varie peu jusqu'à l'ère industrielle si ce n'est
l'utilisation de la levure de bière à coté du levain. Les principales
innovations verront le jour au XIX ème siècle : premières machines à
pétrir, moulins automatiques, .... La fabrication du pain se modernise
jusqu'au XX ème siècle où les fournils sont mécanisés. De nouvelles
techniques de cuisson apparaissent : four à vapeur puis à gaz et à
l'électricité ; surgélation de la pâte, etc. Les nouveaux mots d'ordre
sont productivité et pain blanc.
C'est en 1830 que les boulangers des villes vont commencer à acheter des marques commerciales de farine
issues des minoteries parisiennes. D'une certaine manière ils y perdent
en autonomie puisqu'ils ne contrôlent plus l'achat des blés ni de la
mouture, et qu'ils ne tamisent plus eux-mêmes. Certaines minoteries vont
devenir très puissantes et contrôler financièrement bon nombre de
petites boulangeries.
En 1836 ouvre la boulangerie Mouchot rue de Grenelle. Il s'agit vraisemblablement de la première boulangerie privée
de type industriel.
La III ème République voit les débuts de la boulangerie moderne. Les inventions sont nombreuses et l'accès à des
matières premières diversifiées est plus aisé. Pourtant, le pain va se
raréfier à l'occasion de la crise économique de 1929, puis avec
l'occupation allemande.
Tout au long du XIX ème siècle, les fours de boulangerie sont améliorés, des systèmes de chaînage métallique leur
assurent une meilleure longévité, les façades sont en briques, les
voûtes plus basses, et les dalles réfractaires pour la sole se
généralisent ainsi que les ouras.
Durant cette période, les inventions ne manquent pas. Pourtant la boulangerie française est
nettement moins mécanisée que les boulangeries allemandes et
autrichiennes. Durant la première guerre des mesures sont prises pour
rationner le pain, alors que la mobilisation des boulangers va créer de
nombreuses difficultés, notamment celle de trouver des remplaçants
compétents et aptes physiquement au pétrissage manuel. C'est à cette
époque que la vente des pétrins mécaniques se développe : on estime que
seulement 5 % des boulangeries parisiennes possédaient des pétrins
mécaniques avant 1914 ; il y en a 95 % en 1931.
En 1922 le batteur-mélangeur permet d'éviter de pétrir à la main les pâtes
de viennoiserie. Il rendra également d'énormes services aux pâtissiers
pour la préparation de leurs crèmes.
Vers 1936 les sociétés Frigidaire et Bonnet commercialisent des armoires frigorifiques. C'est un progrès considérable.
Depuis le début du siècle le marché de la pâtisserie s'est beaucoup développé,
de nombreux boulangers fabriquent et vendent de la pâtisserie.
Dès 1939, essentiellement en ville, la nouvelle méthode de panification sur
direct s'impose. Elle se caractérise par l'emploi de farines peu
extraites, d'un pétrissage lent, de faibles doses de levure. Le pointage
est très long jusqu'à 4h, entrecoupé d'une ou deux ruptures. Pesée et
façonnage manuels suivis d'un apprêt court, favorisent l'obtention d'une
crème très irrégulière.
Avec la Guerre et l'occupation, les approvisionnements sont complètement perturbés. A la qualité très
médiocre du pain s'ajoutent les tickets de rationnement. Les campagnes
souffrent moins de ces rationnements que les villes, et les paysans
remettent en chauffe le vieux four à pain, ou en reconstruisent de plus
petits. On assiste à une reprise de la fabrication du pain de ménage
dans les fermes
À l'est de la ville d'Amiens, sur la rive droite de la Somme, les Hortillonnages sont un lieu très particulier, un espace vert de 300
hectares à la sortie de la ville, composé de marais et de canots autour d’îlots habités. Existant depuis le début de notre ère, ces petits
jardins flottants s'étendaient jadis sur plus de 10 000 hectares.
Les cultivateurs y faisait pousser toute sortes de légumes et se déplaçaient d'îlots en îlots à bord de petits bateaux à fond plat,
appelés "barques à cornet".
Au début du XXe siècle, les maraîchers vivant de la culture des légumes sur ces jardins flottant étaient encore nombreux, presque 1
millier et vendaient leurs produits au fil de l'eau. Mais l'activité s'est nettement réduite sur les 60 dernières années et désormais, seule
une dizaine de personnes s'affairent encore dans les hortillonnages, le «marché sur l'eau » n'a plus lieu qu'une fois par an, pour se remémorer ce métier récemment disparu.
Les anciens carrés de culture sont aujourd'hui tapissés de fleurs aux multiples couleurs.Il est désormais possible de visiter ces anciens jardins flottants, qui ont donné à Amiens son surnom de Venise du Nord, en empruntant l'une des embarcations traditionnelles, en kayak ou tout simplement en se promenant sur les berges et les pontons qui garnissant ce petit havre de paix et de tranquillité, aux portes de la ville.
Plage sauvage avec nuages & une barrière ainsi que des traces de pas mystérieux & des rosiers sauvages...
Clic ici.......................IL DIVO - Aleluya from ILDIVORUS on Vimeo.
Explication: Il est facile de se perdre après des filaments complexes dans cette image détaillée du léger supernova restant Simeis 147.
Également catalogué comme Sharpless 2-240, il passe par le surnom populaire, la nébuleuse Spaghetti. Vu vers la limite des constellations Taurus et Auriga, il couvre près de 3 degrés ou 6 lunes pleines sur le ciel.
Il s'agit d'environ 150 années-lumière à la distance estimée du nuage de débris stellaire de 3 000 années-lumière.
Ce composite comprend des données d'image prises à travers des filtres à bande étroite, améliorant l'émission rougeâtre des atomes d'hydrogène ionisé pour tracer le gaz étincelant et brillant.
Le reste de la supernova a un âge estimé à environ 40 000 ans, ce qui signifie que la lumière provenant de l'explosion stellaire massive a atteint la Terre il y a 40 000 ans.
Mais le reste en expansion n'est pas le seul résultat. La catastrophe cosmique a également laissé derrière lui une étoile neutronique ou un pulsar, tout ce qui reste du noyau de l'étoile originale.
Danny Sepkowski de la communauté Your Shot admet que la mise au point de son appareil photo sur un rouleau n'est
« pas la chose la plus prudente à faire ».
Mais il a obtenu cette photo incroyable de sable aspiré dans une vague en photographiant avec une lentille 100 mm.
"Photographier avec une macro lentille m'a également appris la patience et la composition", dit-il.
PHOTOGRAPHIE DE DANNY SEPKOWSKI,
Vous êtes allés dans toutes les bijouteries pour enfin trouver LA bague qui symbolisera votre amour pour votre âme sœur. Et pour cela, pas besoin d’opter pour le diamant le plus scintillant de la planète !
Depuis des siècles, il est coutume d’offrir une bague de mariage en diamant.
Pierre extrêmement résistante, le diamant est devenu le symbole de la fidélité conjugale. Seulement voilà, de nos jours, le diamant n’est plusforcément nécessaire pour orner une bague de fiançailles et on peut trouver son bonheur à travers l’éclat d’autres pierres précieuses comme l’émeraude, le saphir, le rubis, entre autres.
Ces bagues sont devenues de plus en plus populaires au fil des décennies, non seulement parce qu’elles sont moins chères, mais aussi parce qu’elles sont tout aussi magnifiques à l’image de ces bagues en bois en forme de boules de neige.
Voici 18 exemples de bagues à la beauté époustouflante et qui ne comportent pas de diamants :
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Magnifiques ces bagues, n’est-ce pas ?
1904 : Naissance de Jean Gabin
Jean Moncorgé, dit Jean Gabin, est un acteur français,
Sa filmographie, dénombrant 95 films, compte un nombre important de classiques, parmi lesquels Gueule d'amour, La Bête humaine, Pépé le Moko, Le Quai des brumes, La Grande Illusion, Touchez pas au grisbi, Un singe en hiver, Le Chat, Le Pacha ou La Traversée de Paris. Il tourne avec la plupart des grands acteurs du cinéma français de l'époque dont certains, comme Lino Ventura, Bernard Blier, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon, sont ses amis.
Acteur populaire, il a attiré plus de 161 millions de spectateurs dans les salles au cours de sa carrière d'après-guerre , auxquels il faut ajouter ses nombreux succès parmi sa trentaine de films d'avant-guerre.
Il est décédé le 15 novembre 1976 à Neuilly-sur-Seine.
1943 : Vingt-cinq missions pour Memphis Belle
Le B-17 Memphis Belle est le premier bombardier à accomplir 25 missions sur l'Europe.
Le Memphis Belle est le nom d'un bombardier B-17 'Flying Fortress' datant de la Seconde Guerre mondiale, dont de nombreux films et reportages relatent les exploits.
Ce fut le premier avion, et le premier équipage à réussir les 25 missions, signifiant à l'époque un billet de retour pour les État-Unis. Cet appareil est aujourd'hui conservé à Memphis
1978 : Le corps de Charlie Chaplin est retrouvé dans un champ
Le corps de Charlie Chaplin est retrouvé dans un champ en Suisse, trois mois après le vol de son cercueil, au cimetière de Corsier-sur-Vevey
Le 1er mars 1978, le cercueil de Chaplin fut exhumé et volé par deux mécaniciens automobile immigrés, un Polonais, Roman Wardas, et un Bulgare, Gantcho Ganev. Leur but était d'extorquer une rançon d'un million de francs suisses à Oona Chaplin afin de pouvoir ouvrir plus tard un atelier de réparation automobile.
Ils furent arrêtés lors d'une vaste opération de police le 17 mai 1978 et le cercueil fut retrouvé enterré dans un champ de maïs près du village voisin de Noville. Il fut réenterré dans le cimetière de Corsier-sur-Vevey et un caveau en béton armé fut ajouté pour empêcher tout nouvel incident
1995 : Passation des pouvoirs au Palais de l'Élysée entre François Mitterrand et Jacques Chirac
Passation des pouvoirs au Palais de l'Élysée entre François Mitterrand et Jacques Chirac, qui devient ainsi le cinquième président de la Ve République .
Alain Juppé est nommé Premier ministre par le président Jacques Chirac.
Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie
La Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie, qui se tient le 17 mai de chaque année, est un événement rassembleur et
un moment de convergence des actions de lutte menées contre
l’homophobie et la transphobie. La Fondation Émergence fait la promotion de cette journée et invite les organisations et les personnes à souligner cet événement dans leur milieu.
Zeus, un hibou aveugle avec des étoiles dans les yeux
Des vaches shampouinées
Un chien heureux de voir sa maitresse
Madame calmez-vous, je fais tout ce que je peux
Pourquoi s'embêter à déneiger le toit de sa voiture
La balançoire Groot
Pas aussi mignon qu'un chat ou un chien
Cadillac One, un vrai coffre-fort ambulant
Tatouage avec illusion 3D
Mare gelée
Un joli ciel
Une ancienne mosaique de sol grec
Miss Laitue
Bus accordéon
Le mur ne suffisait pas
Maman vs Papa
Pour ne pas avoir les oreilles dans la gamelle
Ananas Ferrero Rocher
Comment tuer un Leprechaun ?
T-shirt ours pour les hommes poilus
Chaton coquin
Un chat fait la gueule
L'anamorphose d'un alligator (graffiti)
Elle filme dans un concert non pas avec un ou deux iPhone mais trois !
L'intérieur d'une calculatrice mécanique
Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?
Godzilla de neige avale une voiture
Crédit : Climatologia Geográfica
Vous ne devinerez jamais où ce magnifique bout de littoral se trouve ? En Angleterre ! St Yves était autrefois un modeste port de pêche perdu au fin fond de la Cornouailles jusqu’au milieu du XIXe siècle. Sous l’ère victorienne se développa en Grande-Bretagne la mode des bains de mer, unphénomène qui entraîna avec lui la construction des premières stations
balnéaires. C’est à partir de 1877 et l’arrivée du chemin de fer que la petite bourgade de St Yves se transforme en l’une des destinations préférées des Britanniques. En effet, en plus de son incroyable beauté, le site bénéficie de l’un des meilleurs climats du pays, doux en hiver, relativement chaud en été et un taux d’ensoleillement au-dessus de la
moyenne. St Yves est encore aujourd’hui l’une des meilleures stations balnéaires du pays attire de nombreux touristes, retraités et artistes