Comme vous pouvez le voir sur les photographies ci-dessous, une des modes capillaires actuelles est de dessiner une fleur de lotus. Ses significations sont nombreuses, mais très souvent, elles représentent une grande pureté. Cependant, elle peut aussi signifier le passage à autre chose après une rupture dans sa vie.
Bal de Noël comme dans Harry Potter grâce à ce restaurant.
Fans d’Harry Potter, vous rêvez de passer Noël plein de magie ? Cette année,ce sera possible si vous êtes de passage au Mexique au moment des fêtes. En effet, un restaurant sur l’univers du célèbre sorcier organise son bal de Noël. Au menu de cet événement spécial : un festin grandiose, une ambiance magique et bien évidemment, de la danse ! Parmi les moments de la saga Harry Potter qui ont le plus marqué les lecteurs, on trouve le Bal de Noël (le Yule Ball en VO) qui se déroule à Poudlard dans le quatrième tome des aventures du jeune sorcier. Ce moment magique va devenir réalité dans quelques jours, pour le plus grand plaisir des fans d’Harry Potter vivant ou étant de passage à Mexico City.
L’Incantatum, un restaurant dont la décoration et les plats sont directement inspirés de l’univers créé par J.K.Rowling, a décidé pour Noël de donner vie au bal le plus connu du monde des sorciers. Le 23 décembredès 20 heures, le lieu va accueillir sorciers et moldus venus se plonger dans l’ambiance magique, non pas des fêtes, maisdu bal de Noël. Pour l’occasion, le restaurant a prévu un grand dîner, mais aussi de nombreuses animations. Comme dans le film Harry Potter et la Coupe de Feu, la danse sera évidemment de la partie. Pas de couple Hermione Granger / Viktor Crumen vue, mais une compétition de danses de couples. Pour ceux qui préfèrentchanter plutôt que danser, un karaoké aura lieu au cours de la soirée. L’animation musicale sera, quant à elle, garantie par un orchestre live. Chaque invité participe également grâce à son billet d’entrée à un tirage au sort permettant de gagner des cadeaux magiques. Enfin, un dress code « Formel et Magique » est de mise pour tous les invités.
Si le menu est encore secret, les places sont, quant à elles, très limitées. Seuls 82 invités pourront participer à l’événement et les places sont chères. Comptez 180 euros, boissons et dessert compris, pour pouvoir participer à ce bal de Noël.
Les Légendes & Les Superstitions... De Noël... Pour la période des Fêtes de fin d’année, il existe de très nombreuses superstitions, heureuses et malheureuses selon le cas, mais toutes sont intéressantes et témoignent de la féerie de cette période festive et de la fête de Noël.
Elles expriment la peur du noir, qui engendre des événements terribles; toutefois, comme pour se rassurer, on accorde aussi à cette période du temps de Noël, des pouvoirs magiques de réconciliation. Le 24 DécembreLes enfants sont bordés dans leur lit depuis des heures, même les plus curieux, ceux qui voulaient voir le Père Noël pour de vrai, se sont assoupis. Et c'est tant mieux car dehors rôdent des esprits bien étranges. Des croyances venant des fêtes païennes nous révèlent que la nuit de Noël est la nuit de tous les dangers comme de toutes les chances. Ce soir là, sorcières et démons surgissent du néant. Les fantômes, par contre, redoutent cette date et préfèrent disparaître, mais par précaution, les habitants des contrées visitées par ces êtres surnaturels laissent les portes ouvertes à minuit pour permettre aux mauvais esprits de s'en aller. Ceux qui récitent, pendant leurs occupations, mille « Je vous salue Marie » durant la journée du 24 décembre peuvent obtenir une grâce spéciale. La Veillée De NoëlLa bûche de Noël doit être allumée par un morceau de la bûche utilisée le Noël précédent. Ainsi, aucun mauvais esprit ne peut entrer dans la maison. Les restes de la bûche portent chance et sont une protection contre la foudre ou le feu. Les bougies de Noël doivent brûler jusqu'au matin de Noël et ne doivent pas être déplacées jusqu’à ce qu’on les éteigne. Manger une pomme la veille de Noël assure la santé pour la prochaine année. S'embrasser sous le gui devient promesse de mariage pour les amoureux… Si on coupe une branche d'arbre fruitier entre 11 heures et minuit et qu'on la met dans une bouteille d'eau, elle se couvrira de fleurs 30 jours après. Toute prière dite entre 11 heures et minuit sera exaucée. À Minuit SonnantAu premier coup de minuit, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent dès le douzième coup! À minuit, l'eau des sources se transforme en vin... Et celui qui en boit une seule coupe, même si le nectar dépasse en qualité les meilleurs vins, sera en bonne santé toute l'année, s’il en boit plus qu’une, il sera malade. À minuit, les abeilles s'agitent dans leurs ruches pour chanter les louanges de l’Enfant-Jésus. La nuit de Noël, en raison de son caractère sacré, enlève tout pouvoir aux mauvais esprits et aux sorciers. En France, certaines pierres faisaient autrefois trois tours sur elles-mêmes pendant la messe de minuit, et les monstres qui étaient censés y habiter exécutaient autour d'elles des danses folles qu'il eût été dangereux de troubler. Les menhirs de Carnac en Bretagne se mettent à tourner trois fois sur eux-mêmes avant d'aller se baigner dans l'océan. On peut attendre que l'une de celles-ci se déplace pour descendre dans le trou et trouver un trésor, mais le scintillement des pièces d'or peut étourdir le chercheur et s'il s'attarde trop, le menhir rafraîchi reprend sa place, écrasant l'homme et son trésor. Les portes du ciel s'ouvrent la veille de Noël à minuit, ceux qui meurent vont alors directement au ciel, selon une croyance irlandaise. Si on creuse un trou à minuit dans un cimetière, on trouve une fortune en or... Si on trouve un noisetier, il y a des chances qu'un rameau d'or y pousse. Parvenir à le couper entre les douze coups de minuit assure richesse pour la vie. Mais si la branche n'est pas sciée au douzième coup de minuit, on rejoindra les morts... La nuit de Noël vers minuit, l'âne et le boeuf se mettent à parler entre eux. Ils causent du temps où l'Enfant-Jésus n'avait pour se réchauffer que leur haleine. Ce don miraculeux de la parole est le cadeau envoyé tous les ans par le Ciel à ces deux animaux, en souvenir des bons offices rendus à l'Enfant-Jésus dans l'étable de Bethléem. Mais malheur à celui qui tente de surprendre leur mystérieuse conversation, sa témérité est punie d'une manière terrible : il tombe mort à l'instant même. À l'heure de minuit, dit-on, tous les animaux de ferme s'agenouillent pour vénérer l’Enfant-Dieu... Et tel curieux qui voudrait alors pénétrer dans l'étable, uniquement pour s'assurer du fait, serait immédiatement puni de sa témérité...
Tout le monde connaît bien le Père Noël mais qui est donc celle qu’on appelle « la Mère Noël »? Celle à qui la publicité donne parfois le rôle d’épouse du Père Noël ? Si tous les enfants apprennent un jour que le Vieil homme à la barbe blanche est beaucoup moins réel qu’ils ne l’imaginaient, il semblerait que Mère Noël ait réellement existé. La Tante Arie En Franche-Comté, au 13e siècle, ce n’était ni saint Nicolas ni Santa Claus qui apportait des présents aux enfants le soir de Noël : c’était la vieille tante Arie. La tradition la décrit comme une très vieille et gentille dame au visage resté juvénile. Curieusement, elle portait des chaussures qui avaient un peu la forme de pattes d’oie. Elle faisait le tour du pays, chaudement emmitouflée dans ses habits d’hiver, un bâton de marche dans la main, le licol de son âne de l’autre. Ce dernier portait sur son dos deux larges paniers chargés de tous les jouets et de toutes les friandises que Tante Arie devait distribuer aux enfants sages. En fait, une version féminine de Saint Nicolas. On raconte que cette dame habitait dans une grotte en forêt, sur le Lomont, et qu’elle y entreposait des milliers de jouets pour plusieurs Noëls à venir. Il lui arrivait cependant de jouer de vilains tours. Par exemple, comme elle ne supportait pas les paresseuses qui filaient mal la laine, elle emmêlait leurs fils au point que les jeunes filles vidaient leurs fuseaux le soir de Noël pour ne pas qu’Arie vienne y toucher. Par contre, celle qui était la plus ardente au travail du pays recevait une bourse pleine de pièces d’or en guise de dot. La Bonne Comtesse Personne ne connaît exactement l’origine de cette légendaire tante Arie. Certains folkloristes ont signalé qu’il pourrait s’agir de l’évocation d’une jeune fille noble de la région du nom d’Henriette d’Orbe. Veuve du comte de Wurtemberg, elle administrait elle-même ses terres comtoises et se montrait si bonne avec les paysans et les pauvres qu’elle fut surnommée « la bonne comtesse » par les habitants de Montbéliard. Elle a fait tellement de bien dans sa vie qu’après sa mort, en 1444, la bonne comtesse Henriette est devenue de façon officielle la tante Ariette puis, plus simplement, la tante Arie...
La « Tante Arie » est un personnage du folklore de Franche-comté. Elle combine à elle seule les caractéristiques du père noël et du père fouettard. Tante Arie est une vieille dame qui malgré tout conserve un visage éternellement jeune…. Selon certains elle serait une sorte de fée sans baguette magique… Ses cadeaux sont sur son chariot, tiré par son âne, elle fait sa tournée de cadeaux le soir du 24 décembre et elle offre des bâtons de flagellation aux enfants méchants en guise d’avertissement. Mais elle peut également encourager les gens dans leurs initiatives diverses au cours de l’année (mardi gras etc...) Elle peut aussi rendre de discrets services aux gens faisant de leur mieux mais n’y parvenant pas (si tant est que leur but reste louable). Le mystère demeure concernant son origine : ancienne fée venant du folklore antique des séquanes qui peuplaient la région ? Ou souvenir d’une noble locale qui au 15ème siècle s’était montrée très juste avec les gens ? (D’autres encore la considèrent comme « dernière fille des druides »). Pour la version médiévale un peu plus historique...
Il s’agirait d’Henriette de Montfaucon-Montbéliard, seigneure d’Etobon, décédée en 1444. En souvenir de sa bonté, son départ chagrina le peuple, la légende voudrait qu’alors Dieu lui aurait confié la tâche de continuer à veillersur les humains, en devenant cette « Tante Arie ». « Henriette » auraitalors donné en patois « Ariette », puis « Arie ». Un petit tour sur google vous en dira bien davantage au sujet de cette Tante Arie (je vous laisse chercher par exemple la controverse sur l’emplacement exact de la présumée demeure de la tante Arie). Je vous souhaite de joyeuses fêtes de noel et de fin d’année.
Si vous avez des enfants et que vous vivez dans un endroit qui reçoit de la neige, les chances sont que vous allez vous trouver a construire un bonhomme de neige cet hiver. #1
Le saviez-vous ? C'est à Moulins que Gabrielle est devenue Coco... Marchez dans ses pas en empruntant une balade de 1,5 km tracée par le service patrimoine de la ville de Moulins. Vous découvrirez ainsi la douzaine de lieux et institutions moulinoises où Gabrielle Chanel avait ses habitudes. Gabrielle (23 ans) et Adrienne en 1906. En 1900, Gabrielle Chanel quitte le couvent d'Aubazine en Corrèze pour rejoindre les chanoinesses de l'Institution Notre-Dame de Moulins. Gabrielle, alors âgée de 18 ans, y retrouve sa tante Adrienne, d'un an sa cadette, avec laquelle une amitié très forte va se nouer.
La Maison Grampayre : un premier emploi pour Coco Chanel
La fin du mot "dentelles" est encore légèrement visible sur la façade ("LES"). Les religieuses de l'Institution Notre-Dame apprennent un métier aux deux jeunes femmes et dès qu’elles les jugent capables de travailler, se mettent en quête d'une maison sérieuse pour les employer. En 1902, Gabrielle et Adrienne trouvent un emploi dans un commerce prospère de Moulins, la Maison Grampayre. Sur l’enseigne de la boutique est écrit : « A Sainte Marie, soieries, dentelles et rubans ».
A la Maison Grampayre, les deux jeunes femmes reçoivent la clientèle, prennent les commandes, vendent des articles en rayon et font des retouches. Dans ce domaine en particulier, elles déploient un tel talentque des clientes en parlent dans toute la ville. Gabrielle et Adrienne sont alors affectéesau rayon confection pour dames et fillettes où viennent se fournir les familles bourgeoises de Moulins et les châtelaines de la région. A l'époque, Coco et sa tante sont logées dans une mansarde au-dessus du magasin. Le dimanche, elles regagnent l’institution Notre-Dame pour chanter dans la chorale. Adrienne et Coco vont ensuite louer une chambre meublée dans un quartier populaire de Moulins, rue du pont Ginguet, et se mettre à coudre pour leur compte pendant leurs heures de loisirs. Elles se constituent ainsi petit à petit une fidèle clientèle.
Le Marché Couvert : la tante de Coco habitant tout près
Aujourd'hui totalement réhabilité, l'ossature métallique de 1880 du marché couvert aété intégrée aux restructurations. Le lieu accueille à nouveau les commerçants les vendredi et dimanche matin. Julia la tante de Coco habitait place de la Liberté, juste derrière le marché. Elle et son mari étaient marchands forains. La rue Datas et le marché couvert de Moulins ont toujours été le cœur commerçant de la ville. Les marchands forains s'y retrouvaient autrefoisen grand nombre pour y proposer leurs marchandises. L'animation y étaittrès forte, bien-sûr très bruyante et aussi très attendue par les Moulinois.
Le Grand Café : les premières chansons de Coco
Poussez la porte de ce café et découvrez le jeu de ses miroirs, son plafond peint par Auguste Sauroy et sa verrière. Tout au fond, sur le balcon, pouvait se tenir un orchestre qui agrémentait de musique l'ambiance déjà très enjouée du café. Le soir, Gabrielle fréquente le Grand Café (l’un des deux « beuglants » de Moulins avec La Rotonde, aujourd’hui disparue) une brasserie de style Art Nouveau créée en 1899 par un ancien garçon de café de Montluçon. La majorité des clients étaient des officiers de garnison. Elle est recrutée comme "pauseuse" (chanteuse de seconde zone censée meubler le silence en attendant le retour des artistes) et obtient d'emblée un véritable triomphe. La chanson qui lui vaut le plus de succès s'intitule"Qui a vu Coco dans l'Trocadéro ?" Elle raconte les mésaventures d'une jeune femme qui a perdu son chien dans un square. Ses admirateurs lorsqu'ils la voient scandent " Coco ". Ces deux syllabes lui resteront à jamais attachées. Le Grand Café fut très prisé par la société de la Belle Epoque, elle pouvait y profiter d'équipements modernes tel que le téléphone, dans un cadre architectural fastueux et novateur. Aujourd’hui, le Grand Café est une brasserie plus traditionnelle où la société moulinoise se plaît à être vue et fréquentée en saison par les touristes. Sa carte brasserie est représentative de la cuisine bourbonnaise au travers des différentes pièces de bœuf charolais, d’une tête de veau revenue en grâce ou encore de salades gourmandes agrémentées de produitsdu terroir.
Le quartier Villars
Les officiers qui fréquentaient le Grand Café à la Belle Epoque étaient en garnison au quartier Villars. Cette caserne du 18e siècle, devenue aujourd’hui le Centre National du Costume de Scène, abrite plus de 9000 costumes des Opéras de Paris ou de la Comédie Française dont certains ont été dessinés par les plus grands couturiers français parmi lesquels une certaine Gabrielle Chanel.
L'ancien kiosque à musique
Face à la Préfecture et à l'actuel Hôtel du Département, de nombreux concerts étaient organisés sous un kiosque à musique installé en 1895. Il fût détruit en 1951. Le kiosque à musique se trouvait sur le cours qui était, à l’époque de Coco Chanel, un lieu de promenade privilégié en ville et où se trouvaitégalement le café américain (qui existe toujours). Ce cours était très animé le week-end, car à l’écart du centre-ville, et proposait un vaste espace ombragé. Il était bordé par quelques-uns des plus beaux hôtels particuliers de la ville (Hôtel de Ballore, Hôtel du Cercle Bourbonnais...).
Les Palets d'Or sur le chemin de Coco
Gabrielle Chanel passait devant la boutique Les Palets d'Or en allant du Couvent Notre-Dame au magasin Grampayre. Le décor fut réalisé en 1898 par l'école des Beaux Arts de Moulins, sous la direction du peintre Galfione, dans un style néo-classique avec une entrée ornée d'une mosaïque de Favret de Nevers. C'est ici que Bernard Sérardy met en vente ses célèbres chocolats de ganache fondante enrobée de chocolat mi-amer et décorée d'une fine feuille d'or. Pour découvrir la suite du parcours, rendez-vous à Moulins...
Comme vous pouvez le voir sur les photographies ci-dessous, une des modes capillaires actuelles est de dessiner une fleur de lotus. Ses significations sont nombreuses, mais très souvent, elles représentent une grande pureté. Cependant, elle peut aussi signifier le passage à autre chose après une rupture dans sa vie.
Fans d’Harry Potter, vous rêvez de passer Noël plein de magie ? Cette année,ce sera possible si vous êtes de passage au Mexique au moment des fêtes. En effet, un restaurant sur l’univers du célèbre sorcier organise son bal de Noël. Au menu de cet événement spécial : un festin grandiose, une ambiance magique et bien évidemment, de la danse !
Parmi les moments de la saga Harry Potter qui ont le plus marqué les lecteurs, on trouve le Bal de Noël (le Yule Ball en VO) qui se déroule à Poudlard dans le quatrième tome des aventures du jeune sorcier. Ce moment magique va devenir réalité dans quelques jours, pour le plus grand plaisir des fans d’Harry Potter vivant ou étant de passage à Mexico City.
L’Incantatum, un restaurant dont la décoration et les plats sont directement inspirés de l’univers créé par J.K.Rowling, a décidé pour Noël de donner vie au bal le plus connu du monde des sorciers. Le 23 décembredès 20 heures, le lieu va accueillir sorciers et moldus venus se plonger dans l’ambiance magique, non pas des fêtes, maisdu bal de Noël. Pour l’occasion, le restaurant a prévu un grand dîner, mais aussi de nombreuses animations.
Comme dans le film Harry Potter et la Coupe de Feu, la danse sera évidemment de la partie. Pas de couple Hermione Granger / Viktor Crumen vue, mais une compétition de danses de couples. Pour ceux qui préfèrentchanter plutôt que danser, un karaoké aura lieu au cours de la soirée.
L’animation musicale sera, quant à elle, garantie par un orchestre live.
Chaque invité participe également grâce à son billet d’entrée à un tirage au sort permettant de gagner des cadeaux magiques. Enfin, un dress code « Formel et Magique » est de mise pour tous les invités.
Si le menu est encore secret, les places sont, quant à elles, très limitées. Seuls 82 invités pourront participer à l’événement et les places sont chères. Comptez 180 euros, boissons et dessert compris, pour pouvoir participer à ce bal de Noël.
De Noël...
Pour la période des Fêtes de fin d’année, il existe de très nombreuses superstitions, heureuses et malheureuses selon le cas, mais toutes sont intéressantes et témoignent de la féerie de cette période festive et de la fête de Noël.
Elles expriment la peur du noir, qui engendre des événements terribles; toutefois, comme pour se rassurer, on accorde aussi à cette période du temps de Noël, des pouvoirs magiques de réconciliation.
Le 24 Décembre Les enfants sont bordés dans leur lit depuis des heures, même les plus curieux, ceux qui voulaient voir le Père Noël pour de vrai, se sont assoupis. Et c'est tant mieux car dehors rôdent des esprits bien étranges. Des croyances venant des fêtes païennes nous révèlent que la nuit de Noël est la nuit de tous les dangers comme de toutes les
chances.
Ce soir là, sorcières et démons surgissent du néant. Les fantômes, par contre, redoutent cette date et préfèrent disparaître, mais par précaution, les habitants des contrées visitées par ces êtres surnaturels laissent les portes ouvertes à minuit pour permettre aux mauvais esprits de s'en aller.
Ceux qui récitent, pendant leurs occupations, mille « Je vous salue Marie » durant la journée du 24 décembre peuvent obtenir une grâce spéciale.
La Veillée De Noël La bûche de Noël doit être allumée par un morceau de la bûche utilisée le Noël précédent.
Ainsi, aucun mauvais esprit ne peut entrer dans la maison. Les restes de la bûche portent chance et sont une protection contre la foudre ou le feu.
Les bougies de Noël doivent brûler jusqu'au matin de Noël et ne doivent pas être déplacées jusqu’à ce qu’on les éteigne. Manger une pomme la veille de Noël assure la santé pour la prochaine année.
S'embrasser sous le gui devient promesse de mariage pour les amoureux…
Si on coupe une branche d'arbre fruitier entre 11 heures et minuit et qu'on la met dans une bouteille d'eau, elle se couvrira de fleurs 30 jours après. Toute prière dite entre 11 heures et minuit sera exaucée.
À Minuit Sonnant Au premier coup de minuit, les arbres fruitiers se couvrent de fleurs, qui disparaissent dès le douzième coup!
À minuit, l'eau des sources se transforme en vin...
Et celui qui en boit une seule coupe, même si le nectar dépasse en qualité les meilleurs vins, sera en bonne santé toute l'année, s’il en boit plus qu’une, il sera malade.
À minuit, les abeilles s'agitent dans leurs ruches pour chanter les louanges de l’Enfant-Jésus. La nuit de Noël, en raison de son caractère sacré, enlève tout pouvoir aux mauvais esprits et aux sorciers.
En France, certaines pierres faisaient autrefois trois tours sur elles-mêmes pendant la messe de minuit, et les monstres qui étaient censés y habiter exécutaient autour d'elles des danses folles qu'il eût été dangereux de troubler.
Les menhirs de Carnac en Bretagne se mettent à tourner trois fois sur eux-mêmes avant d'aller se baigner dans l'océan.
On peut attendre que l'une de celles-ci se déplace pour descendre dans le trou et trouver un trésor, mais le scintillement des pièces d'or peut étourdir le chercheur et s'il s'attarde trop, le menhir rafraîchi reprend sa place, écrasant l'homme et son trésor.
Les portes du ciel s'ouvrent la veille de Noël à minuit, ceux qui meurent vont alors directement au ciel, selon une croyance irlandaise.
Si on creuse un trou à minuit dans un cimetière, on trouve une fortune en or...
Si on trouve un noisetier, il y a des chances qu'un rameau d'or y pousse.
Parvenir à le couper entre les douze coups de minuit assure richesse pour la vie.
Mais si la branche n'est pas sciée au douzième coup de minuit, on rejoindra les morts...
La nuit de Noël vers minuit, l'âne et le boeuf se mettent à parler entre eux.
Ils causent du temps où l'Enfant-Jésus n'avait pour se réchauffer que leur haleine.
Ce don miraculeux de la parole est le cadeau envoyé tous les ans par le Ciel à ces deux animaux, en souvenir des bons offices rendus à l'Enfant-Jésus dans l'étable de Bethléem.
Mais malheur à celui qui tente de surprendre leur mystérieuse conversation, sa témérité est punie d'une manière terrible : il tombe mort à l'instant même.
À l'heure de minuit, dit-on, tous les animaux de ferme s'agenouillent pour vénérer l’Enfant-Dieu...
Et tel curieux qui voudrait alors pénétrer dans l'étable, uniquement pour s'assurer du fait, serait immédiatement puni de sa témérité...
Tout le monde connaît bien le Père Noël mais qui est donc celle qu’on appelle « la Mère Noël »?
Celle à qui la publicité donne parfois le rôle d’épouse du Père Noël ? Si tous les enfants apprennent un jour que le Vieil homme à la barbe blanche est beaucoup moins réel qu’ils ne l’imaginaient, il semblerait que Mère Noël ait réellement existé.
La Tante Arie
En Franche-Comté, au 13e siècle, ce n’était ni saint Nicolas ni Santa Claus qui apportait des présents aux enfants le soir de Noël : c’était la vieille tante Arie.
La tradition la décrit comme une très vieille et gentille dame au visage resté juvénile. Curieusement, elle portait des chaussures qui avaient un peu la forme de pattes d’oie.
Elle faisait le tour du pays, chaudement emmitouflée dans ses habits d’hiver, un bâton de marche dans la main, le licol de son âne de l’autre.
Ce dernier portait sur son dos deux larges paniers chargés de tous les jouets et de toutes les friandises que Tante Arie devait distribuer aux enfants sages.
En fait, une version féminine de Saint Nicolas.
On raconte que cette dame habitait dans une grotte en forêt, sur le Lomont, et qu’elle y entreposait des milliers de jouets pour plusieurs Noëls à venir.
Il lui arrivait cependant de jouer de vilains tours. Par exemple, comme elle ne supportait pas les paresseuses qui filaient mal la laine, elle emmêlait leurs fils au point que les jeunes filles vidaient leurs fuseaux le soir de Noël pour ne pas qu’Arie vienne y toucher.
Par contre, celle qui était la plus ardente au travail du pays recevait une bourse pleine de pièces d’or en guise de dot.
La Bonne Comtesse
Personne ne connaît exactement l’origine de cette légendaire tante Arie.
Certains folkloristes ont signalé qu’il pourrait s’agir de l’évocation d’une jeune fille noble de la région du nom d’Henriette d’Orbe.
Veuve du comte de Wurtemberg, elle administrait elle-même ses terres comtoises et se montrait si bonne avec les paysans et les pauvres qu’elle fut surnommée « la bonne comtesse » par les habitants de Montbéliard.
Elle a fait tellement de bien dans sa vie qu’après sa mort, en 1444, la bonne comtesse Henriette est devenue de façon officielle la tante Ariette puis, plus simplement, la tante Arie...
La « Tante Arie » est un personnage du folklore de Franche-comté. Elle combine à elle seule les caractéristiques du père noël et du père fouettard.
Tante Arie est une vieille dame qui malgré tout conserve un visage éternellement jeune…. Selon certains elle serait une sorte de fée sans baguette magique…
Ses cadeaux sont sur son chariot, tiré par son âne, elle fait sa tournée de cadeaux le soir du 24 décembre et elle offre des bâtons de flagellation aux enfants méchants en guise d’avertissement.
Mais elle peut également encourager les gens dans leurs initiatives diverses au cours de l’année (mardi gras etc...)
Elle peut aussi rendre de discrets services aux gens faisant de leur mieux mais n’y parvenant pas (si tant est que leur but reste louable).
Le mystère demeure concernant son origine : ancienne fée venant du folklore antique des séquanes qui peuplaient la région ?
Ou souvenir d’une noble locale qui au 15ème siècle s’était montrée très juste avec les gens ?
(D’autres encore la considèrent comme « dernière fille des druides »).
Pour la version médiévale un peu plus historique...
Il s’agirait d’Henriette de Montfaucon-Montbéliard, seigneure d’Etobon, décédée en 1444.
En souvenir de sa bonté, son départ chagrina le peuple, la légende voudrait qu’alors Dieu lui aurait confié la tâche de continuer à veillersur les humains, en devenant cette « Tante Arie ». « Henriette » auraitalors donné en patois « Ariette », puis « Arie ».
Un petit tour sur google vous en dira bien davantage au sujet de cette Tante Arie (je vous laisse chercher par exemple la controverse sur l’emplacement exact de la présumée demeure de la tante Arie).
Je vous souhaite de joyeuses fêtes de noel et de fin d’année.
Biblio : mes habituels ouvrages de légendes de Franche comté (Seignolle, et celui moins connu de J Defrasne)
Fée
Henriette d'Orbe
Marché de Noël de Montbéliard
Panneau d'information sur Tante Arie
Pour un cadeau de Noël peut-être?
Si vous avez des enfants et que vous vivez dans un endroit qui reçoit de
la neige, les chances sont que vous allez vous trouver a construire un
bonhomme de neige cet hiver.
#1
# 2
# 3
# 4
# 5
# 6
#7
# 8
# 9
#dix
Le saviez-vous ? C'est à Moulins que Gabrielle est devenue Coco... Marchez dans ses pas en empruntant une balade de 1,5 km tracée par le service patrimoine de la ville de Moulins. Vous découvrirez ainsi la douzaine de lieux et institutions moulinoises où Gabrielle Chanel avait ses habitudes.
Gabrielle (23 ans) et Adrienne en 1906.
En 1900, Gabrielle Chanel quitte le couvent d'Aubazine en Corrèze pour rejoindre les chanoinesses de l'Institution Notre-Dame de Moulins.
Gabrielle, alors âgée de 18 ans, y retrouve sa tante Adrienne, d'un an sa cadette, avec laquelle une amitié très forte va se nouer.
La Maison Grampayre : un premier emploi pour Coco Chanel
La fin du mot "dentelles" est encore légèrement visible sur la façade ("LES").
Les religieuses de l'Institution Notre-Dame apprennent un métier aux deux jeunes femmes et dès qu’elles les jugent capables de travailler, se mettent en quête d'une maison sérieuse pour les employer.
En 1902, Gabrielle et Adrienne trouvent un emploi dans un commerce prospère de Moulins, la Maison Grampayre. Sur l’enseigne de la boutique est écrit : « A Sainte Marie, soieries, dentelles et rubans ».
A la Maison Grampayre, les deux jeunes femmes reçoivent la clientèle, prennent les commandes, vendent des articles en rayon et font des retouches. Dans ce domaine en particulier, elles déploient un tel talentque des clientes en parlent dans toute la ville. Gabrielle et Adrienne sont alors affectéesau rayon confection pour dames et fillettes où viennent se fournir les familles bourgeoises de Moulins et les châtelaines de la région. A l'époque, Coco et sa tante sont logées dans une mansarde au-dessus du magasin. Le dimanche, elles regagnent l’institution Notre-Dame pour chanter dans la chorale.
Adrienne et Coco vont ensuite louer une chambre meublée dans un quartier populaire de Moulins, rue du pont Ginguet, et se mettre à coudre pour leur compte pendant leurs heures de loisirs. Elles se constituent ainsi petit à petit une fidèle clientèle.
Le Marché Couvert : la tante de Coco habitant tout près
Aujourd'hui totalement réhabilité, l'ossature métallique de 1880 du marché couvert aété intégrée aux restructurations. Le lieu accueille à nouveau les commerçants les vendredi et dimanche matin.
Julia la tante de Coco habitait place de la Liberté, juste derrière le marché. Elle et son mari étaient marchands forains.
La rue Datas et le marché couvert de Moulins ont toujours été le cœur commerçant de la ville. Les marchands forains s'y retrouvaient autrefoisen grand nombre pour y proposer leurs marchandises. L'animation y étaittrès forte, bien-sûr très bruyante et aussi très attendue par les Moulinois.
Le Grand Café : les premières chansons de Coco
Poussez la porte de ce café et découvrez le jeu de ses miroirs, son plafond peint par Auguste Sauroy et sa verrière. Tout au fond, sur le balcon, pouvait se tenir un orchestre qui agrémentait de musique l'ambiance déjà très enjouée du café.
Le soir, Gabrielle fréquente le Grand Café (l’un des deux « beuglants » de Moulins avec La Rotonde, aujourd’hui disparue) une brasserie de style Art Nouveau créée en 1899 par un ancien garçon de café de Montluçon.
La majorité des clients étaient des officiers de garnison. Elle est recrutée comme "pauseuse" (chanteuse de seconde zone censée meubler le silence en attendant le retour des artistes) et obtient d'emblée un véritable triomphe. La chanson qui lui vaut le plus de succès s'intitule"Qui a vu Coco dans l'Trocadéro ?" Elle raconte les mésaventures d'une
jeune femme qui a perdu son chien dans un square. Ses admirateurs lorsqu'ils la voient scandent " Coco ".
Ces deux syllabes lui resteront à jamais attachées.
Le Grand Café fut très prisé par la société de la Belle Epoque, elle pouvait y profiter d'équipements modernes tel que le téléphone, dans un cadre architectural fastueux et novateur.
Aujourd’hui, le Grand Café est une brasserie plus traditionnelle où la société moulinoise se plaît à être vue et fréquentée en saison par les touristes.
Sa carte brasserie est représentative de la cuisine bourbonnaise au travers des différentes pièces de bœuf charolais, d’une tête de veau revenue en grâce ou encore de salades gourmandes agrémentées de produitsdu terroir.
Le quartier Villars
Les officiers qui fréquentaient le Grand Café à la Belle Epoque étaient en garnison au quartier Villars.
Cette caserne du 18e siècle, devenue aujourd’hui le Centre National du Costume de Scène, abrite plus de 9000 costumes des Opéras de Paris ou de la Comédie Française dont certains ont été dessinés par les plus grands couturiers
français parmi lesquels une certaine Gabrielle Chanel.
L'ancien kiosque à musique
Face à la Préfecture et à l'actuel Hôtel du Département, de nombreux concerts étaient organisés sous un kiosque à musique installé en 1895. Il fût détruit en 1951.
Le kiosque à musique se trouvait sur le cours qui était, à l’époque de Coco Chanel, un lieu de promenade privilégié en ville et où se trouvaitégalement le café américain (qui existe toujours).
Ce cours était très animé le week-end, car à l’écart du centre-ville, et proposait un vaste espace ombragé. Il était bordé par quelques-uns des plus beaux hôtels particuliers de la ville (Hôtel de Ballore, Hôtel du Cercle Bourbonnais...).
Les Palets d'Or sur le chemin de Coco
Gabrielle Chanel passait devant la boutique Les Palets d'Or en allant du Couvent Notre-Dame au magasin Grampayre.
Le décor fut réalisé en 1898 par l'école des Beaux Arts de Moulins, sous la direction du peintre Galfione, dans un style néo-classique avec une entrée ornée d'une mosaïque de Favret de Nevers.
C'est ici que Bernard Sérardy met en vente ses célèbres chocolats de ganache fondante enrobée de chocolat mi-amer et décorée d'une fine feuille d'or.
Pour découvrir la suite du parcours, rendez-vous à Moulins...
Les Endroits Fascinants À visiter Sur Notre Planète...
par Lisa Ericson
Artiste, illustrateur et concepteur Lisa Ericson peint des images hyperréalistes d'animaux imaginaires, hybrides.