Merci Victoria pour toutes vos recherches sur cette émouvante et talentueuse actrice qu'était Annie Girardot , quel bonheur de revoir son visage et toutes ces affiches de cinéma .
Ah oui Merci Victoria, , pour avoir chercher et inclu toute cette info, c'est vraiment atroce cette maladie, vraiment triste de fini comme ça, comme beaucoup gens AJD, vraiment dur pour toute la famille aussi, trsite.
Ce commentaire a été modifié le 05/07/2018 à 16:03
Annie Girardot est née à Paris Xème, le 25 octobre 1931 d'une mère sage-femme , Raymonde-Noëlle-Félicie Girardot , et de père inconnu (un homme marié qui ne la reconnaîtra pas et mourra alors qu'elle est âgée de 2 ans). La guerre lui enlève son père, dans un bombardement aérien Annie Girardot passe sa petite enfance en Normandie. Puis sa mère décide d'emmener Annie et son frère Jeannot à Paris. Élève au lycée Hélène-Boucher de Vincennes, l'adolescente le quitte en 1948, pour s'inscrire dans une école d'infirmières.
Se destinant d'abord à suivre des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère, elle choisit de se tourner vers la comédie, déjà, s'impose à elle le désir de devenir comédienne.
Tout en étudiant et en visitant des crèches, où elle prend plaisir à raconter fables et légendes aux enfants, elle suit les cours gratuits d'Henry BOSC, le dimanche matin, à la rue Pergolèse.
Après une année d'études, elle au centre d'art dramatique de la rue Blanche, où professent : - JEAN MEYER et - JEAN RENOIR ,
puis au Conservatoire, où elle côtoie : - JEAN-PAUL BELMONDO , - JEAN-PIERRE MARIELLE , et - PIERRE VERNIER.
Elle a alors 18 ans.
Elle y passera quatre ans, sous le magistère éclairé de HENRI ROLLAN, débutant en même temps au cabaret et sur de petites scènes, pour payer ses études. . Ainsi la verra-t-on dans "Dugudu", avec ROBERT DHÉRY et ses Branquignols, et . dans "La vertu en danger" de JACQUES FABBRI. 1958 En 1954, le jury du concours de sortie du Conservatoire la couronne de deux prix de comédie, lui ouvrant, par cette distinction, les portes de la Comédie-Française.
Elle l'a quittera trois ans plus tard, non sans avoir triomphé, en 1956, dans "La machine à écrire". JEAN COCTEAU , son auteur, saluera en elle "le plus beau tempérament dramatique de l'après guerre".
Mais, entre-temps, le cinéma est entré dans sa vie. : Pour son deuxième film, " L'HOMME AUX CLÉS D'OR "(1956) avec PIERRE FRESNAY ,
elle obtient même le Prix Suzanne Bianchetti de la jeune comédienne la plus prometteuse.1956 PRIX SUZANNE BIANCHETTI
La Comédie-Française lui fait alors la proposition de devenir sociétaire.
Désirant se sentir libre de ses choix artistiques et attirée par le cinéma, Annie Girardot refuse et démissionne , elle quitte la Maison de Molière en juillet 1958. et décide de poursuivre sa carrière théâtrale sur les scènes libres.
Partie en tournée avec la pièce de Salacrou, "Une femme trop honnête", elle sera choisie par LUCHINO VISCONTI pour être la partenaire de JEAN MARAIS dans "Deux sur la balançoire" (1958), sur la scène des Ambassadeurs.
Le triomphe est absolu et les critiques sont emballés par la prestation magnifique de « la Girardot » qui voit déjà en elle une nouvelle RÉJANE
Mais sa carrière cinématographique va bientôt l'occuper tout entière et prend réellement tournure, lorsque VISCONTI, encore lui, l'appelle à Milan, pour y être l'interprète de "ROCCO ET SES FRÈRES "(1959) , aux côtés de RENATO SALVATORI, dont elle deviendra l'épouse, le 6 janvier 1962.
La prestation est unanimement saluée et le film fait d'elle une star, aux côtés d'autres débutants tels que ALAIN DELON (un ami fidèle de la comédienne) Annie et Rénato
A dater de cette époque, Annie GIRARDOT mènera une double carrière, en France et en Italie, dans des rôles allant de l'humour au drame mais toujours imprégnés de la même vivacité d'esprit et animés de cette volonté de demeurer fidèle à elle-même, à travers la variété de ses personnages.
La fin des années 60 marque un ralentissement dans sa carrière. Comme le cinéma d'alors, elle se cherche.
Avec" MOURIR D'AIMER "(1970) ,
elle va réhabiliter sa cote commerciale et inaugurer une série de rôles identiques, femmes courageuses, fortes et tendres, qui vont toucher le public familial et faire des ravages au box-office.
Mais la crise du cinéma, l'exploitation abusive de la veine mélodramatique, et le fiasco, en 1982, de son spectacle du Casino de Paris,"Revue et corrigée", vont la laisser professionnellement exsangue et moralement meurtrie.
Il faudra la publication de deux recueils de souvenirs:
- "Vivre d'aimer" et - "Ma vie contre la tienne",
et la mort de deux êtres chers, sa MÈRE et RENATO SALVATORI, dont elle était entre-temps séparée , mais sans jamais divorcer (car elle était victime de violences conjugales)
pour l'amener progressivement à faire la paix avec elle-même.
Une succession de choix professionnels heureux et son retour en force au théâtre feront le reste.
Elle obtient deux CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE dans un second rôle en 1996 pour " LES MISÉRABLES "
et en 2002 pour " LA PIANISTE "
Lors de la remise de son César à la 21e cérémonie (pour " les Misérables") , elle provoque l'émotion avec ces paroles : « Je ne sais pas si j’ai manqué au cinéma français, mais à moi, le cinéma français a manqué follement... éperdument... douloureusement. Et votre témoignage, votre amour, me font penser que peut-être, je dis bien peut-être, je ne suis pas encore tout à fait morte. » L'année suivante, elle est la présidente de la 22e cérémonie .
Avec Renato SALVATORI, elle aura une fille GIULIA SALVATORI née à Rome le 04.07.62 1965 Tout les 3 Giulia , sa fille
Le 20 septembre 2006, on apprend par son avocat Me Emmanuel Asmar, chargé de ses intérêts, qu'Annie Girardot est atteinte de la maladie d'Alzheimer depuis une dizaine d'années, ce que confirme l'édition du 21 septembre de l'hebdomadaire Paris Match, dans lequel sa fille, GIULIA SALVATORI , et la petite-fille de l'actrice, LOLA VOGEL , révèlent sa maladie.
Malgré cela, la comédienne continue à jouer au théâtre : - de 2001 à 2003, elle reprend la pièce "Madame Marguerite " à Paris et en tournée, et, pour pallier les éventuels trous de mémoire, elle est équipée d'une oreillette destinée à lui souffler son texte.
C'est avec ce même procédé qu'elle continue à participer au tournage de plusieurs films comme : " je préfère qu'on reste amis...."en 2005, où elle interprète — ironie du sort — une femme atteinte de la maladie d'Alzheimer.
Les rôles sont plus courts et adaptés (peu de scènes physiques), mais les réalisateurs sont conciliants.
La comédienne « revit » lorsqu'elle est sur un plateau de tournage et, le temps d'une scène, la maladie s'efface
Son dernier rôle sera celui d'une ancienne journaliste française dans une mini-série policière russe intitulée " VOROTILY " . Depuis les années 1960, Annie Girardot est en effet une des actrices françaises les plus appréciées en Russie et plusieurs réalisateurs russes avaient fait appel à elle.
En 2007 , sa fille Giulia Salvatori publie, avec le journaliste Jean-Michel Caradec'h, ' La Mémoire de ma mère '(éditions Michel Lafon ), une biographie où elle consigne les souvenirs de sa mère.
À partir de 2008 , Annie Girardot vit dans une maison médicalisée de Paris.
Le , 21 .09.2008 , TF1 diffuse ' ANNIE GIRARDOT : ' AINSI VA LA VIE ", un film documentaire de Nicolas Baulieu sur huit mois de sa vie
On y découvre sa vision du passé et les effets de la maladie.
En 2010, dans une déclaration médiatique dans le cadre de la journée mondiale contre la maladie d’Alzheimer, sa fille déclare qu'Annie Girardot ne se souvient plus avoir été actrice, en raison de la maladie dont elle souffre et ajoute : « Si j’ai un message à faire passer, c’est de ne plus essayer de rencontrer Annie Girardot, d’avoir une dernière photo... Si vous avez aimé maman, surtout, il faut lui foutre la paix, garder d’elle une belle image. »
Après avoir joué dans cent vingt-deux films, cinquante-quatre téléfilms et une quarantaine de pièces de théâtre, Annie GIRARDOT décède à l'hopital Lariboisière à Paris des suites de la maladie d'Alzheimer le 28 février 2011.
Elle est inhumée à Paris au cimetière du Père Lachaise
25/10/1931 - 28/02/2011
Annie Girardot est née à Paris Xème, le 25 octobre 1931
d'une mère sage-femme , Raymonde-Noëlle-Félicie Girardot ,
et de père inconnu (un homme marié qui ne la reconnaîtra pas et mourra alors qu'elle est âgée de 2 ans).
La guerre lui enlève son père, dans un bombardement aérien
Annie Girardot passe sa petite enfance en Normandie.
Puis sa mère décide d'emmener Annie et son frère Jeannot à Paris.
Élève au lycée Hélène-Boucher de Vincennes,
l'adolescente le quitte en 1948, pour s'inscrire dans une école d'infirmières.
Se destinant d'abord à suivre des études d'infirmière à Caen pour être sage-femme comme sa mère,
elle choisit de se tourner vers la comédie, déjà, s'impose à elle le désir de devenir comédienne.
Tout en étudiant et en visitant des crèches, où elle prend plaisir à raconter fables et légendes aux
enfants, elle suit les cours gratuits d'Henry BOSC, le dimanche matin, à la rue Pergolèse.
Après une année d'études, elle au centre d'art dramatique de la rue Blanche, où professent :
- JEAN MEYER
et
- JEAN RENOIR ,
puis au Conservatoire, où elle côtoie :
- JEAN-PAUL BELMONDO ,
- JEAN-PIERRE MARIELLE ,
et - PIERRE VERNIER.
Elle a alors 18 ans.
Elle y passera quatre ans, sous le magistère éclairé de HENRI ROLLAN,
débutant en même temps au cabaret et sur de petites scènes, pour payer ses études.
. Ainsi la verra-t-on dans "Dugudu", avec ROBERT DHÉRY et ses Branquignols,
et
. dans "La vertu en danger" de JACQUES FABBRI .
En 1954,
le jury du concours de sortie du Conservatoire la couronne de deux prix de comédie,
lui ouvrant, par cette distinction, les portes de la Comédie-Française.
Elle l'a quittera trois ans plus tard,
non sans avoir triomphé, en 1956, dans
"La machine à écrire".
JEAN COCTEAU , son auteur, saluera en elle "le plus beau tempérament dramatique de l'après guerre".
Mais, entre-temps, le cinéma est entré dans sa vie. :
Pour son deuxième film, " L'HOMME AUX CLÉS D'OR "(1956) avec PIERRE FRESNAY ,
elle obtient même le Prix Suzanne Bianchetti de la jeune comédienne la plus prometteuse.
La Comédie-Française lui fait alors la proposition de devenir sociétaire.
Désirant se sentir libre de ses choix artistiques et attirée par le cinéma,
Annie Girardot refuse et démissionne , elle quitte la Maison de Molière en juillet 1958.
et décide de poursuivre sa carrière théâtrale sur les scènes libres.
Partie en tournée avec la pièce de Salacrou,
"Une femme trop honnête",
elle sera choisie par LUCHINO VISCONTI pour être la partenaire de JEAN MARAIS
dans "Deux sur la balançoire" (1958), sur la scène des Ambassadeurs.
Le triomphe est absolu et les critiques sont emballés par la prestation magnifique de « la Girardot »
qui voit déjà en elle une nouvelle RÉJANE
Mais sa carrière cinématographique va bientôt l'occuper tout entière et prend réellement tournure, lorsque VISCONTI,
encore lui, l'appelle à Milan, pour y être l'interprète de "ROCCO ET SES FRÈRES "(1959) ,
aux côtés de RENATO SALVATORI, dont elle deviendra l'épouse, le 6 janvier 1962.
La prestation est unanimement saluée et le film fait d'elle une star,
aux côtés d'autres débutants tels que ALAIN DELON (un ami fidèle de la comédienne)
A dater de cette époque,
Annie GIRARDOT mènera une double carrière, en France et en Italie, dans des rôles allant de l'humour au drame mais toujours imprégnés de la même vivacité d'esprit et animés de cette volonté de demeurer fidèle à elle-même, à travers la variété de ses personnages.
La fin des années 60 marque un ralentissement dans sa carrière.
Comme le cinéma d'alors, elle se cherche.
Avec" MOURIR D'AIMER "(1970) ,
elle va réhabiliter sa cote commerciale et inaugurer une série de rôles identiques, femmes courageuses, fortes et tendres, qui vont toucher le public familial et faire des ravages au box-office.
Elle a notamment remporté leCÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE en 1977 pour
" docteur Françoise Gailland "
Mais la crise du cinéma,
l'exploitation abusive de la veine mélodramatique, et le fiasco,
en 1982, de son spectacle du Casino de Paris, "Revue et corrigée",
vont la laisser professionnellement exsangue et moralement meurtrie.
Il faudra la publication de deux recueils de souvenirs:
- "Vivre d'aimer"
et
- "Ma vie contre la tienne",
et
la mort de deux êtres chers,
sa MÈRE et RENATO SALVATORI, dont elle était entre-temps séparée , mais sans jamais divorcer (car elle était victime de violences conjugales)
pour l'amener progressivement à faire la paix avec elle-même.
Une succession de choix professionnels heureux et son retour en force au théâtre feront le reste.
Elle obtient deux CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE dans un second rôle en 1996 pour
" LES MISÉRABLES "
et
en 2002 pour " LA PIANISTE "
Lors de la remise de son César à la 21e cérémonie (pour " les Misérables") ,
elle provoque l'émotion avec ces paroles :
« Je ne sais pas si j’ai manqué au cinéma français, mais à moi, le cinéma français a manqué follement... éperdument... douloureusement.
Et votre témoignage, votre amour, me font penser que peut-être, je dis bien peut-être, je ne suis pas encore tout à fait morte. »
L'année suivante, elle est la présidente de la 22e cérémonie .
Avec Renato SALVATORI, elle aura une fille GIULIA SALVATORI née à Rome le 04.07.62
Le 20 septembre 2006,
on apprend par son avocat Me Emmanuel Asmar, chargé de ses intérêts,
qu'Annie Girardot est atteinte de la maladie d'Alzheimer depuis une dizaine d'années,
ce que confirme l'édition du 21 septembre de l'hebdomadaire Paris Match,
dans lequel sa fille, GIULIA SALVATORI , et la petite-fille de l'actrice, LOLA VOGEL , révèlent sa maladie.
Malgré cela, la comédienne continue à jouer au théâtre :
- de 2001 à 2003, elle reprend la pièce "Madame Marguerite " à Paris et en tournée, et,
pour pallier les éventuels trous de mémoire,
elle est équipée d'une oreillette destinée à lui souffler son texte.
C'est avec ce même procédé qu'elle continue à participer au tournage de plusieurs films
comme : " je préfère qu'on reste amis...."en 2005, où elle interprète — ironie du sort — une femme atteinte de la maladie d'Alzheimer.
Les rôles sont plus courts et adaptés (peu de scènes physiques),
mais les réalisateurs sont conciliants.
La comédienne « revit »
lorsqu'elle est sur un plateau de tournage et, le temps d'une scène, la maladie s'efface
Son dernier rôle sera celui d'une ancienne journaliste française dans une mini-série policière
russe intitulée " VOROTILY " .
Depuis les années 1960, Annie Girardot est en effet une des actrices françaises les plus appréciées en Russie et plusieurs réalisateurs russes avaient fait appel à elle.
En 2007 , sa fille Giulia Salvatori publie, avec le journaliste Jean-Michel Caradec'h,
' La Mémoire de ma mère '(éditions Michel Lafon ),
une biographie où elle consigne les souvenirs de sa mère.
À partir de 2008 , Annie Girardot vit dans une maison médicalisée de Paris.
Le , 21 .09.2008 , TF1 diffuse '
ANNIE GIRARDOT : ' AINSI VA LA VIE ",
un film documentaire de Nicolas Baulieu sur huit mois de sa vie
On y découvre sa vision du passé et les effets de la maladie.
En 2010, dans une déclaration médiatique dans le cadre de la journée mondiale
contre la maladie d’Alzheimer, sa fille déclare qu'Annie Girardot ne se souvient plus avoir été actrice,
en raison de la maladie dont elle souffre et ajoute :
« Si j’ai un message à faire passer, c’est de ne plus essayer de rencontrer Annie Girardot,
d’avoir une dernière photo...
Si vous avez aimé maman, surtout, il faut lui foutre la paix, garder d’elle une belle image. »
Après avoir joué dans cent vingt-deux films, cinquante-quatre téléfilms et une quarantaine de pièces de théâtre, Annie GIRARDOT décède
à l'hopital Lariboisière à Paris des suites de la maladie d'Alzheimer le 28 février 2011.
Elle est inhumée à Paris au cimetière du Père Lachaise
(notre cinéma)
Ciné Revue
Le vent des moissons
Feuilleton réalisé par Jean Sagols, avec Annie Girardot, Jacques Dufilho, Gérard Klein, Elisa Servier 1988
Un homme qui me plaît est un film français réalisé par Claude Lelouch et sorti en 1969.
Le hasard encourage la rencontre aux États-Unis d'une actrice et d'un compositeur, tous deux français. Laissant son mari et sa fille à Paris, Françoise, actrice de cinéma renommée, s'envole pour les États-Unis, où l'attend un tournage. Compositeur, Henri, marié à une Italienne, est venu seul à New York pour enregistrer la musique du film.
Vas-y maman est un film français réalisé en 1978 par Nicole de Buron.
Annie Larcher est une femme au foyer, s'occupant d'élever ses deux enfants avec son mari patron d'une fabrique de lunettes. Lasse d'effectuer les tâches domestiques dans l'indifférence générale, elle décide de donner un nouveau tournant à sa vie. D'abord employée comme réceptionniste dans une maternité, elle se lance ensuite dans l'écriture d'un roman érotique.
Réalisateur Jean-Pierre BLANC
Jean-Pierre BLANC1972 Honorable Mention CIDALC Philippe NOIRET 1972 Prix UNICRIT ActriceAnnie GIRARDOT 1972 Prix UNICRIT Acteur Philippe NOIRET
La Vieille Fille est un film franco-italien réalisé par Jean-Pierre Blanc et sorti en 1972. Client d'un hôtel de Cassis, Gabriel Marcassus, célibataire convaincu, se lie peu à peu avec Muriel Bouchon, une autre pensionnaire de l'établissement, elle aussi célibataire
est un film français réalisé par Philippe de Broca et sorti en 1978.
Lise Tanquerelle, commissaire à la ville, rencontre par hasard Antoine Lemercier, une vieille connaissance d'école, le jour où elle le renverseavec sa voiture. Il s'impose dans sa vie mouvementée, car Lise enquête sur des meurtres en série de plusieurs députés. Elle decouvre que tous fréquentaient la même callgirl...
est un film franco-italien adapté du roman éponyme de Georges
Simenon, réalisé par Jean Delannoy et sorti en 1958.
Dans le quartier parisien du Marais, plusieurs femmes seules ont été successivement assassinées chaque fois la nuit venue. Le commissaire Maigret soupçonne le criminel de chercher à le provoquer. Il fait arrêter un faux coupable consentant, Mazet, de manière à obliger le vrai meurtrier à se manifester lors de la reconstitution du dernier crime.
Vivre pour vivre est un film français réalisé par Claude Lelouch et sorti en 1967.Un reporter de télévision profite de ses voyages et enquêtes périlleuses pour tromper la femme qu'il aime cependant.
Le Bateau d'Émile est un film franco-italien de Denys de La Patellière, adapté de la nouvelle homonyme de Georges Simenon et sorti en 1962. De retour à La Rochelle, le débauché Charles-Edmond Larmentiel se venge de sa famille d'armateurs en léguant sa fortune à son fils Emile Bouet. François Larmentiel, le frère de Charles-Edmond, furieux de voir le capital familial entre les mains de celui qu'il considère comme un étranger, propose un arrangement à Emile
appartenant au docteur Devillers. Elle s'apercoit peu a peu que le personnel de service de l'institut, composé de jeunes Portugais, a un comportement pour le moins bizarre. De plus le Docteur Devillers fait de bien étranges expériences dans son établissement.
ETC.......