Merci Victoria pour toutes ces recherches, ça fait plaisir de les revoir , malgré tous et toutes ces "disparus" moi j'en ai beaucoup, et de quoi les écouter, et je ne m'en prive pas !!! ah!non, alors!
La Piste aux étoiles était une émission de télévision française de Gilles Margaritis consacrée au cirque, enregistrée principalement au Cirque d'hiver de Paris et diffusée chaque mercredi soir sur la première chaîne de la RTF,puis sur la première chaîne de l'ORTF du 11 janvier 1956 à décembre 1974, puis sur Antenne 2 de janvier 1975 jusqu'au 29 octobre 1978
présentait l'émission hebdomadaire de variétés de Jacques Antoine et Jacques Solness " Le Palmarès des chansons "
Guy Lux, Simone Garnier, Leon Zitrone : INTERVILLES !!
1962 (juillet) : Guy Lux et Pierre Brive proposent Intervilles, un jeu de compétition qui oppose deux villes françaises dans des épreuves fantaisistes, mais sportives. Sur une idée du Général de Gaulle, une version européenne de l'émission sera créée à partir de 1965 : Jeux sans frontières Léon Zitrone
me deniserci les amies; comme jecourai apres lesautobus; ceux qui etaientsurla plateforme tendaient les mains pour aider a monte et lehulahope merci beaucoup
Sa famille paternelle est originaire du Nord Dauphiné où de nombreuses générations ont travaillé comme laboureur.
Son grand-père a quitté la campagne au début du XIXème siècle et a trouvé un emploi d’ouvrier-tulliste à Lyon.
Son père a créé un modeste atelier de tissu pour coiffes de chapeau.
Sa mère Lucie Fabre est méridionale.
--- Certificat d’études en poche en 1881, à 15 ans, Marius Berliet, apprenti tisseur, rejoint ensuite l’atelier paternel.
Il suit des cours du soir – mécanique et anglais – à la Société d’Enseignement Professionnel du Rhône.
Il a 24 ans lorsqu’il adjoint à l’activité de son père celle de cuirs artificiels et gaufrage de tissus et invente sa machine à enrouler les rubans.
Taraudé par la mécanique, il construit son premier moteur en 1894, sa première voiture en 1895.
En 1899, il achète à Lyon, 56 rue Sully, un local de 90 m2 puis loue un atelier de 450 m2 en 1900, 1 rue Paul-Michel Perret.
En 1902, il acquiert les usines Audibert et Lavirotte (5000 m2), embryon de l’usine Berliet de Monplaisir.
En 1905, la vente de la licence de 3 voitures 22, 40 et 60 ch à Alco (American Locomotive Company) lui donne les moyens de prendre son essor industriel.
La locomotive chasse-buffle fabriquée par l’Alco devient l’emblème de la marque Berliet.
L’Ecole d’Apprentis est créée en 1912.
L’exportation représente 50 % des ventes en 1912.
Cette année-là, un équipage allemand sur une voiture de série Berliet gagne le rallye de Monaco.
En 1913, 3 500 voitures sortent de l’usine de Monplaisir qui occupe 48 000 m2.
En 1914, il fabrique 6000 obus par jour, puis des camions (40 CBA par jour en 1916) et des chars Renault (1050 en 1918). A partir de 1916 , Marius Berliet achète 400 hectares de terrains à Vénissieux – Saint-Priest et, en deux ans, rend l’usine opérationnelle : --- usine intégrée de la production de l’acier à la livraison des véhicules.
Malgré son dépôt de bilan en 1921, l’entreprise, devenue Société Anonyme en 1917, se remet en selle, fait le choix du moteur diesel en 1930, lance les premières missions sahariennes (1926-1932) et oriente les activités vers la fabrication exclusive de poids lourds.
Pendant la seconde guerre mondiale, la fabrication de gazobois pour le parc de la zone sud sera possible jusqu’en fin 42 : --- au-delà, le gouvernement de Vichy exige la livraison de véhicules aux Allemands et oblige la firme lyonnaise à fournir une part de sa production en zone occupée.
À la libération, la société Berliet est placée sous séquestre et une gestion ouvrière des usines appelée « Expérience Berliet » est mise en place.
L’entreprise est rendue à ses propriétaires en 1949, année de la mort de Marius Berliet.
Les Berliet et les Fabre appartiennent à la Petite Eglise, fraction de catholiques qui n’a pas accepté les termes du concordat de 1801. Il est l’aîné d’une fratrie de 7 enfants.
Conformément aux principes de la Petite Eglise, il désigne le chef de famille qui lui succédera : Paul, né en 1918, avant-dernier enfant.
Celui-ci prend les rênes de l’entreprise à partir de 1950 avec le Président d’Automobiles Marius Berliet, Emile Parfait.
De 17 camions par jour en 1950, la production passera à plus de 120 camions par jour en 1974.
Berliet porte ses efforts à l’exportation en Europe et au développement d’une politique d’industrialisation dans les pays en voie de développement pour les propres besoins de ces pays à partir de 1958.
Parmi les opérations les plus importantes :
création de Berliet-Algérie en 1957
et inauguration de la première ligne d’assemblage en 1958,
création de Berliet Maroc en 1958,
transfert de technologie en Chine portant sur la fabrication de 4 types de véhicules lourds en 1965,
contrat produits en mains d’une usine d’autobus à Cuba en 1969,
contrat d’industrialisation d’une gamme de 7 véhicules et
construction du complexe industriel produits en mains en Algérie en 1970 (sur 300 ha avec 10 000 personnes),
contrat d’industrialisation de l’autobus PR 100 en Pologne
et construction de l’usine de 25 unités par jour en 1972, s’accompagnent d’une politique très large de formation
.
Parallèlement, est menée à bien, une politique de décentralisation régionale avec la création de plusieurs usines dans un rayon de 60 kilomètres autour de Lyon : -- à Bourg-en-Bresse (01) : montage en 1964, à Saint-Priest (69) et Andrézieux-Bouthéon (42) respectivement pont-essieux et boîtes de vitesses en 1970, à Chambéry (73) : matériel incendie et à l’Arbresle (69) : petite mécanique en 1971, d’autre part, une politique de rationalisation des méthodes et des moyens dans l’ensemble des fonctions de l’entreprise.
Deux décisions stratégiques ont marqué les années 1960 :
-- la création du Centre d’Etudes et de Recherches en 1962, instrument de la maîtrise du produit, -- l’accord capitalistique avec le Groupe Michelin en 1967 aboutit au transfert de la fabrication des camions Citroën chez Automobiles M. Berliet.
En 1975, Automobiles M. Berliet compte alors un effectif de 24 000 personnes.
L’Etat décide du rattachement de Berliet à la Régie Renault.
En 1978, Berliet devient Renault V.I. après absorption de Saviem.
présentateur de l'émission "36 chandelles"
La Piste aux étoiles était une émission de télévision française de Gilles Margaritis consacrée au cirque, enregistrée principalement au Cirque d'hiver de Paris et diffusée chaque mercredi soir sur la première chaîne de la RTF,puis sur la première chaîne de l'ORTF du 11 janvier 1956 à décembre 1974, puis sur Antenne 2 de janvier 1975 jusqu'au 29 octobre 1978
'La chance aux Chansons'
présentait l'émission hebdomadaire de variétés de Jacques Antoine et Jacques Solness
" Le Palmarès des chansons "
Guy Lux, Simone Garnier, Leon Zitrone : INTERVILLES !!
1962 (juillet) : Guy Lux et Pierre Brive proposent Intervilles, un jeu de compétition qui
oppose deux villes françaises dans des épreuves fantaisistes, mais sportives.
Sur une idée du Général de Gaulle, une version européenne de l'émission sera créée à partir de 1965 : Jeux sans frontières
Catherine Langeais + Raymond Oliver
Raymond Oliver et Catherine Langeais
Jacqueline Caurat, Anne-Marie Peysson, Jacqueline Huet
Droit de réponse : Michel Pollac
animateur de Croque Vacances
Jacques Martin,
sous vos applaudissements
l'école des fans
son fils David et Claude Sarraulte
Thierry Le Luron avec Dalida, Jacques Martin et Yves Mourousi
(Photo by Bertrand Rindoff Petroff/Getty Images)
est une émission de jeu télévisé qui consiste à faire venir
les jambes au secours de la tête le cas échéant. Un candidat (la tête) doit répondre àdes questions de culture générale et, s'il échoue, un sportif (les jambes) doit gagner une épreuve sportive. Le jeu existait déjà dans les années 1960 mais sous forme de séquence. En 1975, porté par la dynamiquede Pierre Bellemare, il passe en prime time et rencontre un véritable succès d'audience.
Thierry Le Luron (né le 2 avril 1952 à Paris, mort le 13 novembre 1986 à Boulogne-Billancourt) est un imitateur, chanteur, humoriste et animateur de radio français.
Les Shadoks, ils pompaient pompaient... Série TV d'animation française diffusée de 1968 à 1973. Création : Jacques Rouxel - narration : Claude Piéplu
en anglais (pour revoir les personnages)
présentée par Raymond Marcillac. Diffusion de 1961 à 1972 sur la 1ère chaîne de l'ORTF.
Mars 1954
Marius Berliet est né en 1866 à Lyon,
dans le quartier industrieux de la Croix-Rousse.
Sa famille paternelle est originaire du Nord Dauphiné où de nombreuses générations ont travaillé comme laboureur.
Son grand-père a quitté la campagne au début du XIXème siècle et a trouvé un emploi d’ouvrier-tulliste à Lyon.
Son père a créé un modeste atelier de tissu pour coiffes de chapeau.
Sa mère Lucie Fabre est méridionale.
--- Certificat d’études en poche en 1881, à 15 ans, Marius Berliet,
apprenti tisseur, rejoint ensuite l’atelier paternel.
Il suit des cours du soir – mécanique et anglais – à la Société d’Enseignement Professionnel du Rhône.
Il a 24 ans lorsqu’il adjoint à l’activité de son père celle de cuirs artificiels et gaufrage de tissus et invente sa machine à enrouler les rubans.
Taraudé par la mécanique,
il construit son premier moteur en 1894, sa première voiture en 1895.
En 1899,
il achète à Lyon, 56 rue Sully, un local de 90 m2 puis loue un atelier de 450 m2 en 1900, 1 rue Paul-Michel Perret.
En 1902,
il acquiert les usines Audibert et Lavirotte (5000 m2), embryon de l’usine Berliet de Monplaisir.
En 1905,
la vente de la licence de 3 voitures 22, 40 et 60 ch à Alco (American Locomotive Company)
lui donne les moyens de prendre son essor industriel.
La locomotive chasse-buffle fabriquée par l’Alco devient l’emblème de la marque Berliet.
L’Ecole d’Apprentis est créée en 1912.
L’exportation représente 50 % des ventes en 1912.
Cette année-là, un équipage allemand sur une voiture de série Berliet gagne le rallye de Monaco.
En 1913,
3 500 voitures sortent de l’usine de Monplaisir qui occupe 48 000 m2.
En 1914,
il fabrique 6000 obus par jour,
puis des camions (40 CBA par jour en 1916) et
des chars Renault (1050 en 1918).
A partir de 1916 ,
Marius Berliet achète 400 hectares de terrains à Vénissieux – Saint-Priest et, en deux ans, rend l’usine opérationnelle :
--- usine intégrée de la production de l’acier à la livraison des véhicules.
Malgré son dépôt de bilan en 1921,
l’entreprise, devenue Société Anonyme en 1917, se remet en selle, fait le choix du moteur diesel en 1930, lance les premières missions sahariennes (1926-1932) et oriente les activités vers la fabrication exclusive de poids lourds.
Pendant la seconde guerre mondiale,
la fabrication de gazobois pour le parc de la zone sud sera possible jusqu’en fin 42 :
--- au-delà, le gouvernement de Vichy exige la livraison de véhicules aux Allemands et
oblige la firme lyonnaise à fournir une part de sa production en zone occupée.
À la libération,
la société Berliet est placée sous séquestre et une gestion ouvrière des usines appelée
« Expérience Berliet » est mise en place.
L’entreprise est rendue à ses propriétaires en 1949, année de la mort de Marius Berliet.
Les Berliet et les Fabre appartiennent à la Petite Eglise,
fraction de catholiques qui n’a pas accepté les termes du concordat de 1801.
Il est l’aîné d’une fratrie de 7 enfants.
Conformément aux principes de la Petite Eglise, il désigne le chef de famille qui lui succédera :
Paul, né en 1918, avant-dernier enfant.
Celui-ci prend les rênes de l’entreprise à partir de 1950 avec le Président d’Automobiles Marius Berliet, Emile Parfait.
De 17 camions par jour en 1950,
la production passera à plus de 120 camions par jour en 1974.
Berliet porte ses efforts à l’exportation en Europe et au développement d’une politique d’industrialisation dans les pays en voie de développement pour les propres besoins de ces pays à partir de 1958.
Parmi les opérations les plus importantes :
création de Berliet-Algérie en 1957
et inauguration de la première ligne d’assemblage en 1958,
création de Berliet Maroc en 1958,
transfert de technologie en Chine portant sur la fabrication de 4 types de véhicules lourds en 1965,
contrat produits en mains d’une usine d’autobus à Cuba en 1969,
contrat d’industrialisation d’une gamme de 7 véhicules et
construction du complexe industriel produits en mains en Algérie en 1970
(sur 300 ha avec 10 000 personnes),
contrat d’industrialisation de l’autobus PR 100 en Pologne
et construction de l’usine de 25 unités par jour en 1972, s’accompagnent d’une politique très large de formation
.
Parallèlement,
est menée à bien, une politique de décentralisation régionale avec la création de plusieurs usines
dans un rayon de 60 kilomètres autour de Lyon :
-- à Bourg-en-Bresse (01) : montage en 1964,
à Saint-Priest (69) et
Andrézieux-Bouthéon (42) respectivement pont-essieux et boîtes de vitesses en 1970,
à Chambéry (73) : matériel incendie et à l’Arbresle (69) : petite mécanique en 1971,
d’autre part,
une politique de rationalisation des méthodes et des moyens dans l’ensemble des fonctions de l’entreprise.
Deux décisions stratégiques ont marqué les années 1960 :
-- la création du Centre d’Etudes et de Recherches en 1962,
instrument de la maîtrise du produit,
-- l’accord capitalistique avec le Groupe Michelin en 1967 aboutit
au transfert de la fabrication des camions Citroën chez Automobiles M. Berliet.
En 1975,
Automobiles M. Berliet compte alors un effectif de 24 000 personnes.
L’Etat décide du rattachement de Berliet à la Régie Renault.
En 1978,
Berliet devient Renault V.I. après absorption de Saviem.
En 1980
disparaissent les marques Berliet et Saviem au profit de la marque Renault.
Le Club Automobiliste BERLIET
fixés sur du béton armé fabriqué par Michelin, également en tôles émaillées ces vestiges routiers, qu'on appelle plaque, poteau, borne Michelin, mur, décorent nos routes pour notre plaisir.