Oh! les beaux jukes box, entre autres choses intéressantes, merci à toutes. Moi je viens de faire "clic" là où il ne fallait pas et mon album, avec les 42 photos que j'avais trouvées, pour mettre sur ce forum...grrrr. disparu!!et voilà!
La porteuse de pains Pourquoi se déplacer quand on peut être livré ? Autrefois, les clients desboulangeries parisiennes voyaient leur pain arriver tout seul à la maison et de bon matin. Les porteuses de pains distribuaient la fameuse baguette française à qui voulaient bien payer pour se faire livrer. Une porteuse de pain dans les rues de Paris, en 1908.
Le cireur de pompes Assis confortablement dans un fauteuil en train de se faire cirer les souliers. Ce tableau en ferait rêver plus d’un. Seulement, dans le Paris du XIXe siècle, les cireurs de chaussures étaient bien souvent des jeunes enfants et ils travaillaient beaucoup puisque Paris n’était pas encore pourvu de trottoirs . Les rues étaient alors jonchées de détritus et autres excréments de chevaux…
L’aiguiseur de couteau / le rémouleur L’aiguiseur de couteau était presque une attraction dans le Paris d’antan. Avec sa petite (mais imposante) meule ambulante, il s’occupait de redonner un coup de neuf aux objets tranchantsdes badauds, mais aussi des commerçants : couteaux, poignards, épées…
Le vendeur de journaux à la criée Souvent représentés dans les films par de jeunes garçons, les vendeurs de journaux étaient monnaie courante dans le Paris du XIXe siècle. Dès l’âge de six ans, ils scandaient la Une du quotidien sur un bout de trottoir pour attirer le lecteur.
Le tapeur de vitres Avant l’invention des réveils, les gens étaient sortis du lit par des tapeurs de vitres ! Armés d’un long bâton pour les appartements en hauteur ou de leurs mains pour les habitations en rez-de-chaussée, les tapeurs de vitres réveillaient les endormis. À la demande du client, ces réveils humains se devaient de taper à la fenêtre jusqu’à ce que le dormeur se montre à la fenêtre. Très courants en Angleterre et en Irlande, ils étaient plus rares à Paris.
Je me régale avec tout ce que vous trouvez , merci !
Moi je viens de faire "clic" là où il ne fallait pas et mon album, avec les 42 photos que j'avais trouvées, pour mettre sur ce forum...grrrr. disparu!!et voilà!
Emission "Les Coulisses de l'exploit" présentée par Raymond Marcillac.
Diffusion de 1961 à 1972 sur la 1ère chaîne de l'ORTF
la Piste aux Etoiles avec Roger Lanzac et ses fameuses poches et la belle Jacqueline Monsigny
La porteuse de pains
Pourquoi se déplacer quand on peut être livré ?
Autrefois, les clients desboulangeries parisiennes voyaient leur pain arriver tout seul à la maison et de bon matin.
Les porteuses de pains distribuaient la fameuse baguette française à qui voulaient bien payer pour se faire livrer.
Une porteuse de pain dans les rues de Paris, en 1908.
Le cireur de pompes
Assis confortablement dans un fauteuil en train de se faire cirer les souliers. Ce tableau en ferait rêver plus d’un. Seulement, dans le Paris
du XIXe siècle, les cireurs de chaussures étaient bien souvent des jeunes enfants et ils travaillaient beaucoup puisque Paris n’était pas
encore pourvu de trottoirs . Les rues étaient alors jonchées de détritus et autres excréments de chevaux…
L’aiguiseur de couteau / le rémouleur
L’aiguiseur de couteau était presque une attraction dans le Paris d’antan.
Avec sa petite (mais imposante) meule ambulante, il s’occupait de redonner un coup de neuf aux objets tranchantsdes badauds, mais aussi des commerçants : couteaux, poignards, épées…
Le vendeur de journaux à la criée
Souvent représentés dans les films par de jeunes garçons, les vendeurs de journaux étaient monnaie courante dans le Paris du XIXe siècle. Dès l’âge de six ans, ils scandaient la Une du quotidien sur un bout de trottoir pour attirer le lecteur.
Le tapeur de vitres
Avant l’invention des réveils, les gens étaient sortis du lit par des tapeurs de vitres !
Armés d’un long bâton pour les appartements en hauteur ou de leurs mains pour les habitations en rez-de-chaussée, les tapeurs de vitres réveillaient les endormis.
À la demande du client, ces réveils humains se devaient de taper à la fenêtre jusqu’à ce que le dormeur se montre à la fenêtre. Très courants en Angleterre et en Irlande, ils étaient plus rares à Paris.