MAIS Serge Rondini s’est éteint vendredi 17 .08.2018
Né le 5 juillet 1927 à Saint Raphaël, Serge Rondini a pris la suite de son père et fait prospérer le magasin jusqu’à ce que l’âge venant, il passe aussi le flambeau y a peu, à l’un de ses fils, Alain Serge Rondini et son épouse Roseline ont tenu l’atelier et le magasin plusieurs dizaines d’années : - Prise de la pointure, essai des chaussures, ajustement des brides, rien n’était laissé au hasard pour que le client reparte avec "ses chaussures", pas celles d’un autre Durant toutes ces années, Serge Rondini a su faire prospérer et donner ses lettres de noblesse à l’atelier qui se trouvait juste-là, en arrière-boutique et s’y trouve encore. "spartiates tropéziennes"Rondini rue Clemenceau 1927
Tropézien au plus profond de lui-même, Serge Rondini était aussi bravadeur, dans la compagnie des marins.
Il fit sa première bravade en 1946 et n’a "rendu les armes" il y a quelques années seulement.
Ce qui ne l’empêchait pas de participer à la procession du 17 mai et,régulièrement, au pèlerinage à Pise.
Il y a à peine plus d’un an, Serge Rondini, fils du fondateur des sandales Dominique Rondini, célébrait ses 90 ans.
Une jolie fête avait été organisée ce 5 juillet 2017,
pour marquer tout à la fois l’anniversaire du patriarche de la famille Rondini, mais aussi
les 90 ans des Sandales Rondini dont les célèbres tropéziennes se vendent au monde entier.
MAIS
Serge Rondini s’est éteint vendredi 17 .08.2018
Né le 5 juillet 1927 à Saint Raphaël,
Serge Rondini a pris la suite de son père et fait prospérer le magasin jusqu’à ce que l’âge venant, il passe aussi le flambeau y a peu, à l’un de ses fils, Alain
Serge Rondini et son épouse Roseline ont tenu l’atelier et le magasin plusieurs dizaines d’années :
- Prise de la pointure, essai des chaussures, ajustement des brides, rien n’était laissé au hasard pour que le client reparte
avec "ses chaussures", pas celles d’un autre
Durant toutes ces années, Serge Rondini a su faire prospérer et donner ses lettres de noblesse à l’atelier qui se trouvait juste-là, en
arrière-boutique et s’y trouve encore. "spartiates tropéziennes"Rondini rue Clemenceau
Tropézien au plus profond de lui-même,
Serge Rondini était aussi bravadeur, dans la compagnie des marins.
Il fit sa première bravade en 1946 et n’a "rendu les armes" il y a quelques années seulement.
Ce qui ne l’empêchait pas de participer à la procession du 17 mai et,régulièrement, au pèlerinage à Pise.
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