Impossible de noyer un poisson : il ne peut respirer que dans l'eau !
Cette expression récente (XXÈME siècle) provient en fait d'une technique de pêche : pour fatiguer le poisson pris à l'hameçon et le remonter facilement, on lui maintient régulièrement la tête hors de l'eau : il étouffe, se débat, et s'épuise.
Donc, cette expression devrait vouloir dire "fatiguer l'adversaire", au sens figuré. Or ce n'est pas le cas. Sans doute s'imagine-t-on confusément à la place du poisson : on se noie, on a donc les idées qui s'embrouille y. " Noyer le poisson", c'est se débrouiller pour ne pas répondre à une question qui nous embarrasse. Alors on brode, on parle d'autre chose, on bafouille et on détourne la conversation, l'air de rien.
Depuis novembre, un soignant très particulier rend visite au 70 pensionnaires de l'Ehpad des Vergers au sein de l'hôpital de la Chartreuse à Dijon. Peyo est un étalon de 14 ans, dressé pour le spectacle, il est maintenant médiateur entre les soignants et les malades. Peyo ne vient que deux jours par mois, mais sa présence fait toujours sensation. Cet étalon brun de 500 kilos déambule à sa guise dans les couloirs de la maison de retraite médicalisée de l'hôpital psychiatrique de Dijon. Sa grâce, il la tient de ses années de spectacle, il se produit avec son dresseur Hassen Bouchakour sur les plus grandes scènes à travers le monde. Son aura, elle, est innée et émerveille toujours le personnel de l'hôpital. Un lien entre l'homme et l'animal un peu magique Son secret ? Il choisit lui même à quel résident il va rendre visite : "C'est lui qui décide où il va, dans quel chambre, quel couloir
Coucou et merci à vous, ils mignons les petits chats des sables, et cette chienne au grand coeur et ce tout petit "trognon" de porcelet, si petit à côté d'elle!!! Belle journée à vous tous A+
À Lyon, quatre chatons des sables, une espèce peu connue, sont nés au zoo de la Tête d'Or
Le chat des sables ou chat du désert est une espèce peu connue, qui arbore des oreilles très hautes et une fourrure zébrée et soyeuse. Très discrets, ces chats vivent d'ailleurs de préférence la nuit. Et cette semaine, c'est le zoo de la ville de Lyon qui a eu la chance d'assister à la naissance de chatons de sables.
Alors que ce sont des chats qui vivent au nord de l'Afrique ainsi qu'au sud-ouest de l'Asie centrale, le zoo du parc de la Tête d'Or à Lyon en a accueilli quatre. Trois mâles et une femelle, d'un père qui était arrivé au Zoo de la Tête d'Or le 12 août 2016 en provenance des Émirats Arabe Unis et d'une mère recueillie par le zoo en septembre dernier.
À ce jour, seulement 21 zoos européens peuvent se targuer d'avoir des chats des sables, ce qui représente une centaine d'individus. Une espèce qui a du mal à se reproduire en captivité.
La ville de Lyon a précisé que « le mâle est issu d’une lignée génétique absente dans la population européenne actuelle », ce qui donne un caractère important à cette portée de quatre chatons, qui sont, des espèces qui ont du mal à se reproduire lorsqu'ils sont en captivité. Mais ces quatre chatons n'ont pu profiter de l'enclos qu'à partir d'aujourd'hui. En effet, jusqu'à présent, les chatons ont été séparés de leur mère pour « vivre leur première visite médicale », a indiqué la municipalité de Lyon avant d'ajouter qu'ils « resteront séparés de leur père pendant quelques semaines, le temps pour eux de prendre des forces auprès de leur mère. »
Ce commentaire a été modifié le 30/03/2018 à 13:53
Une maman chien ɴᴏᴜʀʀɪᴛ ᴜɴ ᴘᴏʀᴄᴇʟᴇᴛ ᴀʙᴀɴᴅᴏɴɴé ᴅᴇ 2 sᴇᴍᴀɪɴᴇs, ʟᴇᴜʀ ᴀᴍᴏᴜʀ ᴠᴏᴜs ғᴇʀᴀ sᴏᴜʀɪʀᴇ... L'amour d'une mère est sans limite, elle n'hésite jamais à partager sa chaleur et son soin qu'on soit son propre petit ou d'une autre espèce ! Voici l'histoire extraordinaire d'un bébé cochon qui a trouvé sa mère d'adoption en une chienne. Paulichen est un porcelet de deux semaines qui a été abandonné par sa mère. Le pauvre bébé serait mort de froid et de faim ou aurait été mangé par des prédateurs comme les renards. Heureusement, une bonne âme l'a trouvé et l'a amené à une ferme proche.
Dans cette ferme vivait Katjinga, une chienne de Rhodésie à crête dorsale, qui avait récemment eu ses propres chiots. Elle a pris le porcelet Paulichen sous son aile et s'est occupée de lui comme s'il était son propre petit. La maman chien l'a nourri et l'a réchauffé. Paulichen partage le lait avec cinq autres chiots dans sa litière. La bonté inhérente et l'amour de cet animal a donné au petit cochon un nouvel espoir de vie. Paulichen a assez de lait et de chaleur pour lui durer toute une vie il partage le lait de maman Katjinga avec cinq autres frères chiots katjinga a certainement bien joué le rôle d'une maman pour Paulichen le porcelet. Elle lui fournit tout ce dont il a besoin sans même penser qu'il n'est pas un des siens. Quelle histoire touchante !
Ces grands oiseaux planants sont particulièrement présents ces jours. Le soir en ville, les Burgiens peuvent les apercevoir perchées sur le toit de l'église de Brou ou les mâts d'éclairage de certains carrefour. La journée, elles séjournent parfois par centaines dans les prés des alentours. Un phénomène qui ne devrait cependant pas durer. La Bresse est une grande région de passage de ces oiseaux migrateurs. Elles reviendront en février/mars pour la nidification.
La Grenouille Des Bois Survit Congelée...(Vidéos) La grenouille des bois, ou Rana sylvatica est la seule espèce de grenouille capable de vivre au nord du cercle arctique. Pour survivre à l’hiver, cette grenouille se laisse congeler et revient à la vie une fois le printemps revenu.Nom(s) Français : Grenouille des bois. Famille : Ranidés Nom Scientifique : Rana sylvatica Taille : La taille des mâles varie entre 4 et 6 cm alors que celle des femelles entre 3 et 6 cm. Aspect des têtards : Ils ont un corps relativement court. Ils sont verdâtres à brunâtres. Leur ventre est blanc rosé et leur queue est arquée et pointue. Aspect des adultes : Les grenouilles des bois ont un museau pointu. Leurs yeux possèdent une pupille horizontale et un iris brun. Leurs tympans sont visibles. Elles possèdent une marque sombre de chaque côté de la tête, derrière l’œil. Cette marque est très difficile à distinguer chez les mâles à la périodede l’accouplement. Elles sont brunes à brun foncé quelque peu grisâtres, parfois rousses. Les femelles peuvent prendre à certains endroits une teinte rougeâtre. Leurs membres postérieurs sont longs. Les doigts de leurs pattes avant ne sont pas palmés, à la différence de ceux de leurs pattes arrière. Alimentation des adultes : Leur repas comporte des insectes, des petits invertébrés et des araignées. Répartition : On trouve cette grenouille en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick. Habitat : Comme leur nom l’indique, les grenouilles des bois se plaisent dans les forêts feuillues ou mixtes. Mœurs : Les grenouilles des bois sont nocturnes et solitaires.Hibernation : Les grenouilles des bois sortent de leur hibernation au mois de février-mars, en avance par rapport aux autres espèces. Comportement. Reproduction : Les mâles enlacent les femelles par les aisselles, en accouplement axillaire. Les femelles pondent un tas d’œufs qui peut en contenir jusqu’à 1 000. Les accouplements durent jusqu’en mai puis les têtards semétamorphosent et deviennent des grenouillettes en septembre. Chant : Leur chant, qui fait penser aux « coins-coins » étouffés de canards au loin, peut durer toute la nuit. Prédateurs : Les pêcheurs sont l’un de leurs prédateurs.
Espérance de vie...Elles vivent de 4 à 5 ans.
Terrarium
Découvrez les différents stades de développement de la grenouille des bois.
Pour passer l'hiver, elle hiberne sous les roches ou dans la litière forestière et se laisse littéralement congeler !
Toutes les fonctions vitales sont suspendus, son sang ne circule quasiment plus, mais il contient du glucose, un sucre qui évite la dégradation des cellules au moment de la cristallisation de l'eau.
À Londres, Les Chiens Vont Au Cinéma Live Schreiber lors de la première du film Isle of Dogs tenue à New York hier soir. Photo AFP Agence France-Presse Londres
À Londres, les chiens vont au cinéma, et l'initiative de la chaîne Picturehouse a du succès: l'avant-première à Picadilly de Isle of Dogs de Wes Anderson, dimanche prochain à 11h, affiche déjà complet.
«Les clients sont les bienvenus avec leurs chiens bien élevés pour cette projection en avant-première, explique Picturehouse Central sur son site, dans la rubrique «Dog-Friendly». Dans le West End, quartier des spectacles à Londres, comme dans 14 autres salles à travers le pays, dont bon nombre dans la capitale britannique, les canins et leurs maîtres pourront découvrir le film d'animation du réalisateur américain... Où le jeune héros part à la recherche de son chien, placé en quarantaine sur une île par la ville de Megasaki après une épidémie de grippe canine. Picturehouse fournit aux toutous bols d'eau et couvertures à placer sur le siège afin d'éviter les poils salissants, et le niveau du son est baissé pour ne pas heurter leur ouïe ultra sensible. L'initiative a démarré en août et a eu un tel succès qu'elle se poursuit au rythme d'une séance toutes les six semaines. Selon Kathryn Smith, gérante du cinéma citée par le Times, «ce sont parmi les séances les plus calmes (...) Ils sont souvent bien mieux élevés que nos clients humains», souligne-t-elle, assurant qu'il n'y a pas eu d'incident jusqu'ici - satisfaction d'un besoin naturel ou bagarre.
Les portes ouvrent un peu plus tôt afin que chacun puisse se flairer avant de s'installer. Les films sont choisis de façon à éviter les bruits forts et soudain qui perturberaient les spectateurs. Souvent, les toutous s'endorment auprès de leurs maîtres. Mais certaines projections éveillent leur attention. Grand succès selon Kathryn Smith...histoire d'amour entre deux bergers et ses nombreuses apparitions de moutons et de chiens.
Mode De Survie De La Faune & De La Flore En Terre Arctique (Vidéo)
Nous sommes à environ 150 kilomètres au nord du cercle polaire arctique. C’est la saison du dégel, une période très courte et idéale pour la recherche dans cet environnement extrême, où les températures hivernalespeuvent atteindre -45° C. Des chercheurs étudient comment les plantes subarctiques et leurs pollinisateurs intéragissent dans cet écosystème si complexe. Ces biologistes étudient les mécanismes de base utilisés par les plantes pour survivre dans un tel écosystème. Et la variété de couleurs de ces fleurs est un des mécanismes de survie car elles attirent les insectes pollinisateurs. “Dans d’autres environnements extrêmes, plus il y a d’abeilles ou de bourdons dans les environs, plus il y a de couleurs de fleurs, violet, rose, bleu, et beaucoup d’autres explique le biologiste japonais Hiroshi S. Ishii de l’université de Toyama. Si les principaux pollinisateurs ne sont que des mouches, par exemple, lescouleurs des fleurs seront plus limitées, ce sera principalement du jaune ou du blanc.” Les scientifiques veulent savoir si le même schéma se reproduit ici dans la région subarctique. Ils étudient ainsi de près l’anatomie des insectes et examinent les couleurs des fleurs grâce à une technique appelée “spectrométrie optique”. “Pratiquement tous nos milieux naturels dépendent de l’intéraction entre les pollinisateurs et les plantes souligne le biologiste japonais Hiroshi S.Ishii de l’université de Toyama. Plus nous comprenons ce partenariat naturel, mieux nous pouvons être en mesure de protéger ces environnements”. Les régions polaires,qui comprennent les zones subarctiques et subantarctiques,sont immenses, et y faire des recherches coûte très cher. C’est pourquoi les scientifiques se regroupent pour optimiser leurs études. Cette équipe européenne profite du court été suédois pour étudier la flore, la répartition et la densité des insectes. Des campagnes similaires ont été effectuées dans le nord du Canada et du Groenland, et d’autres sont prévues dans le nord de la Sibérie. “Les écosystèmes arctiques sont très simples indique Fredrik Dalerum de l’Université de Stokholm. Il est donc très facile de voir les processus qui y sont actifs. Dans les forêts boréales et méditerranéennes, les systèmes sont si complexes qu’il est très difficile d’identifier quels processus affectent quelles espèces.”
Une approche commune pour produire une meilleure science dans ces environnements difficiles est l’une des raisons d‘être de projets de recherche européens tel que EU-PolarNet, dans lequel participe activement la station de recherche scientifique Abisko. “Nous avons un chercheur danois, un autre néerlandais qui travaillent ici à la Station de recherche Abisko, et qui ont des projets en Alaska, ou au Groenland ou en Sibérie, où ils reproduisent les choses que je fais ici,pour voir si les résultats sont similaires explique Keith W.Larson.Nous pouvons donc dire que ce qui se passe ici est vraiment représentatif de ce qui se passe dans les régions subarctiques, par exemple.”
Les chercheurs analysent les gaz qui y sont présents, CO2, méthane et vapeur d’eau, pour quantifier le volume de carbone absorbé par l’environnement et comprendre quelles pourraient être les implications pour l’ensemble de l‘écosystème environnant. “Dans l’Arctique, le réchauffement est plus rapide. Il y a des changements dans l’hydrologie, il y a des changements intervenant dans les saisons de croissance, des changements dans les structures des communautés végétales souligne Patrick Crill, biochimiste à l’Université de Stokholm. Donc, nous avons vraiment besoin de comprendre pour être en mesure de démêlerquelles pourraient être les contributions humaines à ces changements.” Les flux de gaz dans ces tourbières ont été scrutés par les chercheurs pendant plus d’une décennie.
Objectif : une plus grande coopération multidisciplinaire pour obtenir des données encore plus significatives. (Source : Euronews)
Expression "Noyer le poisson"
Impossible de noyer un poisson : il ne peut respirer que dans l'eau !
Cette expression récente (XXÈME siècle) provient en fait d'une technique de pêche : pour fatiguer le poisson pris à l'hameçon et le remonter facilement, on lui maintient régulièrement la tête hors de l'eau : il étouffe, se débat, et s'épuise.
Donc, cette expression devrait vouloir dire "fatiguer l'adversaire", au sens figuré. Or ce n'est pas le cas. Sans doute s'imagine-t-on confusément à la place du poisson : on se noie, on a donc les idées qui s'embrouille y. " Noyer le poisson", c'est se débrouiller pour ne pas répondre à une question qui nous embarrasse. Alors on brode, on parle d'autre chose, on bafouille et on détourne la conversation, l'air de rien.
Depuis novembre, un soignant très
particulier rend visite au 70 pensionnaires de l'Ehpad des Vergers au
sein de l'hôpital de la Chartreuse à Dijon. Peyo est un étalon de 14
ans, dressé pour le spectacle, il est maintenant médiateur entre les
soignants et les malades.
Peyo ne vient que deux jours par mois, mais sa présence fait toujours
sensation. Cet étalon brun de 500 kilos déambule à sa guise dans les
couloirs de la maison de retraite médicalisée de l'hôpital psychiatrique
de Dijon. Sa grâce, il la tient de ses années de spectacle, il se
produit avec son dresseur Hassen Bouchakour sur les plus grandes scènes à
travers le monde. Son aura, elle, est innée et émerveille toujours le
personnel de l'hôpital.
Un lien entre l'homme et l'animal un peu magique
Son secret ? Il choisit lui même à quel résident il va rendre visite :
"C'est lui qui décide où il va, dans quel chambre, quel couloir
Belle journée à vous tous A+
Le chat des sables ou chat du désert est une espèce peu connue, qui arbore des oreilles très hautes et une fourrure zébrée et soyeuse. Très discrets, ces chats vivent d'ailleurs de préférence la nuit. Et cette semaine, c'est le zoo de la ville de Lyon qui a eu la chance d'assister à la naissance de chatons de sables.
Alors que ce sont des chats qui vivent au nord de l'Afrique ainsi qu'au sud-ouest de l'Asie centrale, le zoo du parc de la Tête d'Or à Lyon en a accueilli quatre. Trois mâles et une femelle, d'un père qui était arrivé au Zoo de la Tête d'Or le 12 août 2016 en provenance des Émirats Arabe Unis et d'une mère recueillie par le zoo en septembre dernier.
À ce jour, seulement 21 zoos européens peuvent se targuer d'avoir des chats des sables, ce qui représente une centaine d'individus.
Une espèce qui a du mal à se reproduire en captivité.
La ville de Lyon a précisé que « le mâle est issu d’une lignée génétique absente dans la population européenne actuelle », ce qui donne un caractère important à cette portée de quatre chatons, qui sont, des espèces qui ont du mal à se reproduire lorsqu'ils sont en captivité.
Mais ces quatre chatons n'ont pu profiter de l'enclos qu'à partir d'aujourd'hui. En effet, jusqu'à présent, les chatons ont été séparés de leur mère pour « vivre leur première visite médicale », a indiqué la municipalité de Lyon avant d'ajouter qu'ils « resteront séparés de leur père pendant quelques semaines, le temps pour eux de prendre des forces auprès de leur mère. »
Une maman chien ɴᴏᴜʀʀɪᴛ ᴜɴ ᴘᴏʀᴄᴇʟᴇᴛ ᴀʙᴀɴᴅᴏɴɴé ᴅᴇ 2 sᴇᴍᴀɪɴᴇs, ʟᴇᴜʀ ᴀᴍᴏᴜʀ ᴠᴏᴜs ғᴇʀᴀ sᴏᴜʀɪʀᴇ...
L'amour d'une mère est sans limite, elle n'hésite jamais à partager sa chaleur
et son soin qu'on soit son propre petit ou d'une autre espèce ! Voici
l'histoire extraordinaire d'un bébé cochon qui a trouvé sa mère
d'adoption en une chienne.
Paulichen est un porcelet de deux semaines qui a été abandonné par sa mère. Le
pauvre bébé serait mort de froid et de faim ou aurait été mangé par des
prédateurs comme les renards. Heureusement, une bonne âme l'a trouvé et
l'a amené à une ferme proche.
Dans cette ferme vivait Katjinga, une chienne de Rhodésie à crête dorsale, qui avait récemment eu ses
propres chiots. Elle a pris le porcelet Paulichen sous son aile et s'est
occupée de lui comme s'il était son propre petit. La maman chien l'a
nourri et l'a réchauffé. Paulichen partage le lait avec cinq autres
chiots dans sa litière.
La bonté inhérente et l'amour de cet animal a donné au petit cochon un nouvel espoir de vie.
Paulichen a assez de lait et de chaleur pour lui durer toute une vie
il partage le lait de maman Katjinga avec cinq autres frères chiots
katjinga a certainement bien joué le rôle d'une maman pour Paulichen le
porcelet. Elle lui fournit tout ce dont il a besoin sans même penser
qu'il n'est pas un des siens. Quelle histoire touchante !
Ces grands oiseaux planants sont particulièrement présents ces jours.
Le soir en ville, les Burgiens peuvent les apercevoir perchées sur le toit
de l'église de Brou ou les mâts d'éclairage de certains carrefour. La
journée, elles séjournent parfois par centaines dans les prés des
alentours. Un phénomène qui ne devrait cependant pas durer. La Bresse
est une grande région de passage de ces oiseaux migrateurs.
Elles reviendront en février/mars pour la nidification.
La grenouille des bois, ou Rana sylvatica est la seule espèce de grenouille capable de vivre au nord du cercle arctique. Pour survivre à l’hiver, cette grenouille se laisse congeler et revient à la vie une fois le printemps revenu.Nom(s) Français : Grenouille des bois.
Famille : Ranidés
Nom Scientifique : Rana sylvatica
Taille : La taille des mâles varie entre 4 et 6 cm alors que celle des femelles entre 3 et 6 cm.
Aspect des têtards : Ils ont un corps relativement court. Ils sont verdâtres à brunâtres.
Leur ventre est blanc rosé et leur queue est arquée et pointue.
Aspect des adultes : Les grenouilles des bois ont un museau pointu. Leurs yeux possèdent une pupille horizontale et un iris brun. Leurs tympans sont visibles.
Elles possèdent une marque sombre de chaque côté de la tête, derrière l’œil.
Cette marque est très difficile à distinguer chez les mâles à la périodede l’accouplement.
Elles sont brunes à brun foncé quelque peu grisâtres, parfois rousses. Les femelles peuvent prendre à certains endroits une teinte rougeâtre.
Leurs membres postérieurs sont longs. Les doigts de leurs pattes avant ne sont pas palmés, à la différence de ceux de leurs pattes arrière.
Alimentation des adultes : Leur repas comporte des insectes, des petits invertébrés et des araignées.
Répartition : On trouve cette grenouille en Nouvelle-Écosse et au Nouveau-Brunswick.
Habitat : Comme leur nom l’indique, les grenouilles des bois se plaisent dans les forêts feuillues ou mixtes.
Mœurs : Les grenouilles des bois sont nocturnes et solitaires.Hibernation : Les grenouilles des bois sortent de leur hibernation au mois de février-mars, en avance par rapport aux autres espèces.
Comportement.
Reproduction : Les mâles enlacent les femelles par les aisselles, en accouplement axillaire.
Les femelles pondent un tas d’œufs qui peut en contenir jusqu’à 1 000.
Les accouplements durent jusqu’en mai puis les têtards semétamorphosent et deviennent des grenouillettes en septembre.
Chant : Leur chant, qui fait penser aux « coins-coins » étouffés de canards au loin, peut durer toute la nuit.
Prédateurs : Les pêcheurs sont l’un de leurs prédateurs.
Espérance de vie...Elles vivent de 4 à 5 ans.
Terrarium
Découvrez les différents stades de développement de la grenouille des bois.
Pour passer l'hiver, elle hiberne sous les roches ou dans la litière forestière et se laisse littéralement congeler !
Toutes les fonctions vitales sont suspendus, son sang ne circule quasiment plus, mais il contient du glucose, un sucre qui évite la dégradation des cellules au moment de la cristallisation de l'eau.
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Web : http://www.dominiquelalonde.com/
DVD : http://www.naturesfilms.com/
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Live Schreiber lors de la première du film Isle of Dogs tenue à New York hier soir.
Photo AFP
Agence France-Presse Londres
À Londres, les chiens vont au cinéma, et l'initiative de la chaîne Picturehouse a du succès: l'avant-première à Picadilly de Isle of Dogs de Wes Anderson, dimanche prochain à 11h, affiche déjà complet.
«Les clients sont les bienvenus avec leurs chiens bien élevés pour cette projection en avant-première, explique Picturehouse Central sur son site, dans la rubrique «Dog-Friendly».
Dans le West End, quartier des spectacles à Londres, comme dans 14 autres salles à travers le pays, dont bon nombre dans la capitale britannique, les canins et leurs maîtres pourront découvrir le film d'animation du réalisateur américain...
Où le jeune héros part à la recherche de son chien, placé en quarantaine sur une île par la ville de Megasaki après une épidémie de grippe canine.
Picturehouse fournit aux toutous bols d'eau et couvertures à placer sur le siège afin d'éviter les poils salissants, et le niveau du son est baissé pour ne pas heurter leur ouïe ultra sensible.
L'initiative a démarré en août et a eu un tel succès qu'elle se poursuit au rythme d'une séance toutes les six semaines.
Selon Kathryn Smith, gérante du cinéma citée par le Times, «ce sont parmi les séances les plus calmes (...) Ils sont souvent bien mieux élevés que nos clients humains», souligne-t-elle, assurant qu'il n'y a pas eu d'incident jusqu'ici - satisfaction d'un besoin naturel ou bagarre.
Les portes ouvrent un peu plus tôt afin que chacun puisse se flairer avant de s'installer.
Les films sont choisis de façon à éviter les bruits forts et soudain qui perturberaient les spectateurs.
Souvent, les toutous s'endorment auprès de leurs maîtres.
Mais certaines projections éveillent leur attention. Grand succès selon Kathryn Smith...histoire d'amour entre deux bergers et ses nombreuses apparitions de moutons et de chiens.
Nous sommes à environ 150 kilomètres au nord du cercle polaire arctique.
C’est la saison du dégel, une période très courte et idéale pour la recherche dans cet environnement extrême, où les températures hivernalespeuvent atteindre -45° C.
Des chercheurs étudient comment les plantes subarctiques et leurs pollinisateurs intéragissent dans cet écosystème si complexe.
Ces biologistes étudient les mécanismes de base utilisés par les plantes pour survivre dans un tel écosystème. Et la variété de couleurs de ces fleurs est un des mécanismes de survie car elles attirent les insectes pollinisateurs.
“Dans d’autres environnements extrêmes, plus il y a d’abeilles ou de bourdons dans les environs, plus il y a de couleurs de fleurs, violet, rose, bleu, et beaucoup d’autres explique le biologiste japonais Hiroshi S. Ishii de l’université de Toyama.
Si les principaux pollinisateurs ne sont que des mouches, par exemple, lescouleurs des fleurs seront plus limitées, ce sera principalement du jaune ou du blanc.”
Les scientifiques veulent savoir si le même schéma se reproduit ici dans la région subarctique. Ils étudient ainsi de près l’anatomie des insectes et examinent les couleurs des fleurs grâce à une technique appelée “spectrométrie optique”.
“Pratiquement tous nos milieux naturels dépendent de l’intéraction entre les pollinisateurs et les plantes souligne le biologiste japonais Hiroshi S.Ishii de l’université de Toyama. Plus nous comprenons ce partenariat naturel, mieux nous pouvons être en mesure de protéger ces environnements”.
Les régions polaires,qui comprennent les zones subarctiques et subantarctiques,sont immenses, et y faire des recherches coûte très cher. C’est pourquoi les scientifiques se regroupent pour optimiser leurs études.
Cette équipe européenne profite du court été suédois pour étudier la flore, la répartition et la densité des insectes. Des campagnes similaires ont été effectuées dans le nord du Canada et du Groenland, et d’autres sont prévues dans le nord de la Sibérie.
“Les écosystèmes arctiques sont très simples indique Fredrik Dalerum de l’Université de Stokholm. Il est donc très facile de voir les processus qui y sont actifs. Dans les forêts boréales et méditerranéennes, les systèmes sont si complexes qu’il est très difficile d’identifier quels processus affectent quelles espèces.”
Une approche commune pour produire une meilleure science dans ces environnements difficiles est l’une des raisons d‘être de projets de recherche européens tel que EU-PolarNet, dans lequel participe activement la station de recherche scientifique Abisko.
“Nous avons un chercheur danois, un autre néerlandais qui travaillent ici à la Station de recherche Abisko, et qui ont des projets en Alaska, ou au Groenland ou en Sibérie, où ils reproduisent les choses que je fais ici,pour voir si les résultats sont similaires explique Keith W.Larson.Nous pouvons donc dire que ce qui se passe ici est vraiment représentatif de
ce qui se passe dans les régions subarctiques, par exemple.”
Les chercheurs analysent les gaz qui y sont présents, CO2, méthane et vapeur d’eau, pour quantifier le volume de carbone absorbé par l’environnement et comprendre quelles pourraient être les implications pour l’ensemble de l‘écosystème environnant.
“Dans l’Arctique, le réchauffement est plus rapide. Il y a des changements dans l’hydrologie, il y a des changements intervenant dans les saisons de croissance, des changements dans les structures des communautés
végétales souligne Patrick Crill, biochimiste à l’Université de Stokholm.
Donc, nous avons vraiment besoin de comprendre pour être en mesure de démêlerquelles pourraient être les contributions humaines à ces changements.”
Les flux de gaz dans ces tourbières ont été scrutés par les chercheurs pendant plus d’une décennie.
Objectif : une plus grande coopération multidisciplinaire pour obtenir des données encore plus significatives.
(Source : Euronews)