Il faudrait en réalité parler de journée mondiale de la protection de l'éléphant, dans la mesure où nous sommes une nouvelle fois face à une espèce menacée.
Journée mondiale des éléphants
Braconnage, défense d'ivoire... :
Le braconnage, lié à la demande toujours élevée de produits en ivoire (notamment en provenance des consommateurs chinois), réduit les populations d’éléphants comme peau de chagrin dans plusieurs régions d’Afrique.
En instituant une journée mondiale des éléphants, nous bénéficions d'une occasion supplémentaire pour réfléchir aux mesures qui doivent être mises en place pour arrêter le massacre et assurer un habitat sûr et viable aux éléphants d'Afrique et d'Asie.
Des exemples à suivre : Certains pays (USA notamment) ont annoncé des embargos sur les importations d'ivoire.
Saluons ces initiatives qui, même si elles ne résolvent pas tout le problème, ont le mérite de toucher les fautifs là où ils sont le plus sensibles, c'est à dire le portefeuille...
En Afrique, le nombre d’éléphants a diminué de plus de la moitié au cours de la dernière décennie.
A l'occasion de la journée mondiale des éléphants, ce 12 août, le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) souhaite encore une fois alerter sur la situation dramatique de ces grands mammifères.
Si rien n’est fait, un cinquième de leur population pourrait disparaître durant la décennie.
Et les ONG alertent sur la disparition progressive de l’habitat naturel de l'animal.
En Asie par exemple, les éléphants ont perdu 90 % de leur aire de répartition
tandis qu'en Afrique, ils n’occupent désormais que 37 pays du continent, selon l’IFAW, le Fonds international pour la protection des animaux.
Pour trouver des solutions, des scientifiques et des spécialistes se réunissent ce 12 août à l’occasion de la journée mondiale des éléphants pour « arrêter le massacre et assurer un habitat sûr et viable aux éléphants d'Afrique et d'Asie ».
L'initiative est saluée par de nombreuses associations, dont « Des éléphants et des hommes.»
Le tourisme comme solution:
« Cette journée est une initiative positive qui continue l’œuvre de sensibilisation au sort des éléphants », souligne Julien Marchais, le fondateur de l’association.
Pour lui, le sort des éléphants pourra s’améliorer surtout à travers la sensibilisation et l'éducation.
La solution ? :
« A mon sens, il faut valoriser le tourisme dans les pays africains, affirme Julien Marchais.
Dans les pays où le tourisme est valorisé, on voit que les conditions des éléphants sont meilleures que celles où il ne l’est pas.
Il faut mettre en avant les valeurs écologiques, culturelles et esthétiques ».
L’association compte d’ailleurs bientôt créer un observatoire de la valorisation des éléphants dans les 50 pays d’Afrique et d’Asie où ils vivent. « C’est une démarche qui s’inscrit aux côtés d’autres mesures prises depuis des années, poursuit Julien Marchais.
Il faut continuer à renforcer la protection contre le braconnage, agir sur le commerce d’ivoire et intervenir sur les conflits humains-éléphants ».
Sauver les éléphants, sauver les hommes Comment convaincre de l’importance de la protection des éléphants ?
Comment sensibiliser à la lutte contre le braconnage ?
Julien Marchais ne mâche pas ses mots et va droit au but :
sauver les éléphants, c’est sauver l’homme lui-même.
« Si les éléphants disparaissent, c’est un signal très fort que notre propre cohabitation avec la nature et donc notre survie dans l’écosystème terrestre est mise en danger », estime-t-il.
Et de continuer :
« Pour assurer notre avenir, on a tout intérêt à garder de grands espaces naturels où l’on trouvera plein d’espèces emblématiques comme les éléphants mais aussi les tigres, les lions ou les gorilles ». Car les autres grands mammifères sont aussi concernés.
Le 27 juillet dernier, 43 scientifiques lançaient un appel dans la revue BioScience pour la sauvegarde de la grande faune mondiale. A l’heure actuelle, 60 % de la mégafaune, les animaux de grande taille, est menacée d’extinction.
Au nord-est de l'Afrique du Sud, les rangers du parc national du Kruger se battent toute l'année contre les braconniers. Immense réserve qui borde le Mozambique et une petite portion du Zimbabwe.
le Gabon, réputé pour être la plus grande réserve des éléphants de forêt, fait face à un braconnage sauvage de ses éléphants.
Par Emmanuelle Saporta...Du Magazine Détente Jardin Aime, aime pas. Nous vous disons tout, ou presque, sur la façon dont l'animal apprécie l'eau, ou pas.
Sur le rapport qu’entretient le chat avec l’eau, on entend presque autant de versions qu’il y a d’animaux. Difficile de tirer des généralités… En revanche, on peut en déduire que les chats n’ont pas une peur irraisonnée de l’eau. « Les chats aiment le poisson, il y en a bien qui pêchent et pour pêcher, il faut toucher l’eau… », résume Nicolas Massal. Dont acte ! La BaignadeCertains chats, dont ceux à poils longs, réclament un entretien régulier de leur pelage et se laissent baigner, puis sécher et brosser sans rechigner. Pour d’autres, la baignade peut même devenir un plaisir ; ils prennent l’habitude – tout petits – de sauter dans la baignoire pour participer au bain des enfants. Encore une fois, pas de généralités, mais des attitudes qui varient selon les individus. Quelques chats se baignent volontairement dans les piscines ou viennent s’y désaltérer en été. Les risques de chute existent. « La plupart du temps, ils effectuent un mouvement violent de torsion du corps, ils ”rebondissent” pour en sortir aussitôt comme s’ils prenaient appui sur l’eau. Certains nagent pour regagner l’escalier, d’autres n’arrivent pas à imaginer qu’ils peuvent se déplacer pour sortir et restent agrippés au rebord, parfois longtemps, avant d’être repêchés. » Heureusement, les noyades sont rares. Mais pour éviter ce genre de situation, utilisez une alarme de piscine. La PluieCraint-il la pluie ? « Le chat va réduire la fréquence de ses sorties par temps pluvieux, mais pas d’inquiétude : quand le poil est mouillé en surface, la peau ne l’est pas, car l’eau perle sur la fourrure », rassure Nicolas Massal. La pluie n’est donc pas un obstacle majeur à ses déplacements. Et les flaques d’eau ? « Les chats prennent toujours le même chemin pour aller d’un point à l’autre, au jardin par exemple. Si des flaques se trouvent sur leur passage, certains ne changeront pas leur trajet pour autant, sauf si elles sont vraiment profondes. »
Par Catherine Delvaux...Du Magazine Détente Jardin
Vous partez et ne pouvez emmener votre chien ? Il existe plusieurs solutions! Faites le meilleur choix possible pour votre fidèle compagnon.
Laissez le numéro de téléphone du vétérinaire à la personne qui s'occupe de votre chien et prévoyez sa nourriture habituelle pour le temps de votre absence. Le chat est un animal casanier et avant tout territorial. Il peut rester dans son environnement naturel, même sans vous. Il suffit que quelqu’unpasse lui donner à boire et à manger et changer sa litière. Pour le chien, le plus stressant, c’est de perdre sa meute et avec elle, son chef de meute... C’est-à-dire vous. Dans l’idéal, une garde à domicile, ou chez une personne qu’il connaît et qu’il aime, est donc largement préférable pour lui. Et quand vous partez, laissez- lui des vêtements imprégnés de votre odeur, pour qu’il ne se sente pas complètement abandonné.
La Pension: Vous laissez votre chien dans un endroit spécialisé dans la garde d’animaux, entre les mains de personnes compétentes. Au-dessus de dix animaux, il faut un employé disposant d’un certificat de capacité «Animaux domestiques », décerné par l’État. Avantage : votre chien est entre les mains de personnes habituées aux animaux. Inconvénients : le coût. L’ambiance « chenil ». Conseil : ne choisissez pas au hasard. Visitez-en plusieurs avant de partir. Fourchette de prix : entre 10 et 20 €/jour.
La Garde À Domicile:Vous faites venir un pet-sitter qui habite chez vous (étudiant ou retraité). Avantage : l’animal n’est pas trop dépaysé. Inconvénient : il faut trouver la personne en qui on aura toute confiance. Conseil : si vous voulez être en règle avec la loi, sachez que toute personne proposant de s’occuper d’animaux à titre commercial doit déclarer sonactivité et obtenir une autorisation de la Direction des services vétérinaires (DDSV)... Et détenir un certificat de capacité «animaux domestiques» décerné par les services de l’État (loi 99-5 du 6 janvier 1999). Elle doit aussi être assurée. Fourchette de prix : de gratuit à environ 100 €/4 jours.
L’échange :C’est un échange de garde entre particuliers possédant des animaux et qui ne partent pas en vacances en même temps. Avantage:coût nul, sauf si vous vous inscrivez sur un site d’annonces d’échanges d’animaux entre particulier(jusqu’à 30€). Inconvénients : peu de points négatifs si vous tombez sur la bonne personne. Conseil : préparez votre chien avant de le laisser, en faisant plusieurs visites. Fourchette de prix : 0 €.
La Visite À Domicile: Un Baby-sitter vient une à plusieurs fois par jour chez vous s’occuper de votre animal, qui reste dans son lieu de vie. Il existe des sites spécialisés... Avantage : l’animal n’est pas dépaysé et reste chez lui. Inconvénients : l’animal a peu de compagnie et reste seul sans surveillance un bon laps de temps. Conseil : ce mode de garde n’est pas adapté à une absence de plus de deux jours, car l’animal est trop livré à lui-même. Fourchette de prix : de 10 à 25 €/jour en fonction du nombre de visites et des services. Quant à la personne, elle est soumise à la même réglementation que pour la garde à domicile.
Vous partez avec votre animal ? Voici sa valise idéaleL’emmener avec vous, c’est la meilleure solution pour lui. Il aura donc besoin de son bagage. Prévoyez... Son coussin ou sa couverture, ses objets familiers, pour qu’il ne soit pas dépaysé, Une gamelle en plastique et une bouteille d’eau pour le trajet, Quelques rations de sa nourriture habituelle, pour faire une transition en douceur avec les boîtes ou les croquettes que vous trouverez sur place... Son carnet de santé (avec les vaccins à jour)... Ses médicaments, s’il en a... Son collier avec une plaque et votre numéro de téléphone, même s’il est par ailleurs pucé... Si vous voyagez en avion, vérifiez auprès de la compagnie s’il doit aller en soute ou s’il peut rester avec vous. En train, il lui faut un billet spécial (très peu cher).
Emprisonnée pendant 53 ans dans un cirque, Rhea retrouve enfin ses sœurs adoptives.
Les conditions de vie d'animaux dans les cirques sont bien souvent inhumaines et atroces. Pour les éléphants, ces majestueux animaux dont on découvre peu à peu toute l'étendue de leur intelligence, c'est sûrement encore plus insoutenable. Cages minuscules, torture, séparés deleur famille dès la naissance, etc. Sur Buzzly, nous avons déjà montré à plusieurs reprise à quel point ces pratiques sont abominables et doivent cesser. Si cela va sûrement être difficile à erradiquer, il y a heureusement des volontaires qui secourent régulièrement des animaux utilisés par lescirques. C'est le cas de l'association Wildlife S.O.S en Inde qui, il y a seulement quelques jours, est parvenue à sauver Rhea un éléphant femelle qui a vécu 53 ans d'enfer dans un cirque. Pour suivre les actualités de l'association, n'hésitez pas à aller sur leur page Facebook.
Voici Rhea, une éléphante qui a passé 53 ans de sa vie dans un cirque en Inde. Dans son calvaire, elle n'était pas seule puisque deux autres éléphantes, Mia et Sita, étaient avec elle. Un lien unique s'est formé entre les trois pachydermes. En novembre 2015, la Wildlife S.O.S a réussi à venir les secourir, mais seules Sita et Mia ont pu être sauvées à l'époque car il manquait une autorisation de dernière minute pour la libération de Rhea. Les voici quelques mois après leur sauvetage. Une vie libre où les deux éléphantes reçoivent beaucoup d'amour et de la nourriture en grande quantité (le cirque où elles étaient ne les nourrissait pas assez). Mais Rhea semblait leur manquer énormément. Heureusement, après cinq mois d'attente, Rhea a enfin pu être libérée à son tour. Ce gros plan sur l'état de ses pieds en dit long sur sa condition physique. Les ongles sont écaillés, les pieds enflés, l'endroit où la corde la tenait était meurtri... Elle a enfin pu commencer à reprendre goût à la vie, les soigneurs chargés de son transport jusqu'à son nouvel habitat s'occupaient sérieusement d'elle
Puis les chaînes ont enfin été enlevées
Et voici Rhea prête à embarquer pour un voyage (sans retour espérons) vers sa nouvelle vie
Il en faut des bananes pour lui couper la faim !
L'heure du déjeuner
Puis celle de la sieste...
Et enfin de la douche, avant de repartir
Après un long trajet, Rhea arrive enfin au centre Elle y sera traitées pour sa malnutrition, l'infection aux pieds, etc. Et mènera enfin une vie paisible.
Et finalement... Les retrouvailles tant attendues entre Rhea et ses soeurs adoptives
BELLE FRANCE : RESERVE ANIMALE DES OISEAUX DES SEPTS ILES.
Bienvenue aux Sept-Îles, première réserve française d’oiseaux de mer, située dans les Côtes d'Armor. Découvrez le riche patrimoine naturel de cet archipel remarquable lors d’une sortie en bateau ou d’une visite de la station LPO.
Le fou de Bassan Le fou de Bassan : plus de 20 000 couples de fous de Bassan sont visibles de fin janvier à octobre. C’est une colonie unique en France, bruyante et odorante ! C’est aussi la population la plus méridionale d’Europe. Le comptage de la colonie de fous de Bassan se fait par photos aériennes, l’unité de mesure étant le nid avec un couple reproducteur. La réserve naturelle des Sept-Île abrite plus de 25 000 couples d’oiseaux de mer parmi lesquels quelques espèces emblématiques. Le printemps et l'été sont les périodes d'observation idéales. Fous de Bassan en plein vol. Le macareux moine
Le macareux moine. Ces oiseaux sont originaires de l’Atlantique Nord ; leur fief se situe en Islande où l’on dénombre des millions de couples. Dans l’archipel, la population est stable depuis 10 ans : entre 150 et 200 couples. Les Sept-Îles a toujours été un site privilégié de l’espèce pour la France métropolitaine. En France, l’espèce est rare, mais elle n’est pas menacée au niveau mondial. Il existe aussi des colonies de macareux à Saint-Pierre-et-Miquelon.
Le fulmar boréal et le cormoran huppé. A gauche : le fulmar boréal (80 couples sont présents dans l’archipel.) A droite : le cormoran huppé (240 couples ont été dénombrés en 2014). Le guillemot de Troïl et le pingouin troda A gauche : le guillemot de Troïl ( une trentaine de couples sont présents). A droite :le pingouin troda (près d’une quarantaine de couples). Les phoques gris : cette espèce est l’une des stars de la réserve. On en dénombre environ 40 individus. La réserve des Sept-Îles en quelques dates 1912 : La LPO est à l’origine de la co-création de la Réserve ornithologique des 7 îles. Une décision motivée par le massacre des macareux moines provoqué par les chasseurs.1976 : création de la réserve naturelle (arrêté ministériel). Cela englobe l’ensemble de l’archipel et garantit la protection de la faune, de la flore et des paysages.1984 : ouverture de la Maison de la réserve pour l’accueil du public. Comment découvrir la Réserve des Sept-Îles. La station LPO (Maison de la réserve naturelle des Sept-Îles) est ouverte au public d’avril à septembre. A la station Expo permanente sur l’écosystème de Sept-Îles. Découverte des différents milieux naturels et espèces qui peuplent l’archipel. On peut yvoir un rocher sur lequel sont présentés des « faux » oiseaux en taille et couleur réelles. Egalement : une salle dédiée au milieu marin, un écran montrant des images de fous de Bassan en direct de Rouzic… La station LPO de l’Île Grande abrite aussi un centre de soins pour oiseaux sauvages où sont recueillis et soignés les oiseaux sauvages de Bretagne. Quelque 1300 oiseaux ont été recueillis l’an dernier. La LPO propose des animations en juillet-août pour le grand public. En juillet-août, circuit de 2 heures en bateau pour découvrir la réserve. Ces sorties en vedette sont commentées par un guide LPO ; plusieurs haltes sont prévues afin d’observer les oiseaux avec des jumelles prêtées à bord, sans débarquer. Toutes les visites partent de la station LPO de l’Île Grande. A pied: Visite commentée par un guide LPO à la découverte des différentes espèces d’oiseaux et de leur comportement. Au départ de la station LPO.Des sorties à marée basse et des sorties botaniques sont également organisées. La réserve des Sept-Îles en quelques chiffres La réserve des 7 Îles, ce sont 4 kms au large des roches de Ploumanc’h (Perros-Guirrec) et 208 ha dont 40 de terres toujours émergées et 240 d’estran. A marée haute, on distingue les îles et îlots suivants : île aux Moines, l’île Plate, l’île de Malban, l’île Rouzic, l’île Bono, les îlots aux Rats ainsi que le récif du Cerf et les récifs des Costans.
Parfois, l'art nécessite des sacrifices. La photographe Katherine Henderson, de la communauté Your Shot, raconte l'histoire de cette photographie simple et belle : « J'ai trouvé ce sphinx de la tomate grignoter mes plants et je l'y ai autorisé à rester pour pouvoir le photographier. Le problème est que mes plants étaient en plein soleil. J'ai donc dû attendre pour avoir les meilleures conditions de lumière. Un ou deux jours plus tard, le soleil était caché par les nuages, il n'y avait pas de vent qui les ballottait, j'ai donc appuyé sur le déclencheur. J'ai perdu toutes mes tomates mais cette photo en valait lapeine. » PHOTOGRAPHIE DE KATHERINE HENDERSON
Lynx du Canada, Parc national de Denali, Alaska Notre ami de la famille des félins ne vit pas seulement au Canada : on trouve également des Lynx du Canada en Alaska et dans certains autres états du Nord-Ouest des États-Unis. Ce cousin du chat porte une fourrure épaisse, qui lui permet de supporter le froid, et possède de longues pattes recouvertes d’un pelage dense. Avec son manteau épais, il parait plus impressionnant qu’il ne l’est vraiment… En réalité, un mâle pèse rarement plus de 10kg.
l'éléphant, dans la mesure où nous sommes une nouvelle fois face à une
espèce menacée.
Journée mondiale des éléphants
Braconnage, défense d'ivoire... :
Le braconnage, lié à la demande toujours élevée de produits en ivoire
(notamment en provenance des consommateurs chinois),
réduit les
populations d’éléphants comme peau de chagrin dans plusieurs régions
d’Afrique.
En instituant une journée mondiale des éléphants, nous bénéficions
d'une occasion supplémentaire pour réfléchir aux mesures qui doivent
être mises en place pour arrêter le massacre et assurer un habitat sûr
et viable aux éléphants d'Afrique et d'Asie.
Des exemples à suivre :
Certains pays (USA notamment) ont annoncé des embargos sur les
importations d'ivoire.
Saluons ces initiatives qui, même si elles ne résolvent pas tout le problème, ont le mérite de toucher les fautifs là
où ils sont le plus sensibles, c'est à dire le portefeuille...
En Afrique, le nombre d’éléphants a diminué de plus de la moitié au cours de la dernière décennie.
A l'occasion de la journée mondiale des éléphants, ce 12 août, le Fonds international pour
la protection des animaux (IFAW) souhaite encore une fois alerter sur
la situation dramatique de ces grands mammifères.
Si rien n’est fait, un cinquième de leur population pourrait disparaître durant la décennie.
Par Julie Saint-Germès,
Cent éléphants sont abattus chaque jour dans le monde, victimes du braconnage, pour une tonne d’ivoire.
Et les ONG alertent sur la disparition progressive de l’habitat naturel de l'animal.
En Asie par exemple, les éléphants ont perdu 90 % de leur aire de répartition
tandis qu'en Afrique, ils n’occupent désormais que 37 pays du continent, selon
l’IFAW, le Fonds international pour la protection des animaux.
Pour trouver des solutions, des scientifiques et des spécialistes se réunissent ce 12 août à l’occasion de la journée mondiale des
éléphants pour « arrêter le massacre et assurer un habitat sûr et viable aux éléphants d'Afrique et d'Asie ».
L'initiative est saluée par de nombreuses associations, dont « Des éléphants et des hommes.»
Le tourisme comme solution:
« Cette journée est une initiative positive qui continue l’œuvre de sensibilisation au sort des éléphants », souligne Julien Marchais, le fondateur de l’association.
Pour lui, le sort des éléphants pourra s’améliorer surtout à travers la
sensibilisation et l'éducation.
La solution ? :
« A mon sens, il faut valoriser le tourisme dans les pays africains, affirme Julien Marchais.
Dans les pays où le tourisme est valorisé, on voit que les conditions des
éléphants sont meilleures que celles où il ne l’est pas.
Il faut mettre en avant les valeurs écologiques, culturelles et esthétiques ».
L’association compte d’ailleurs bientôt créer un observatoire de la valorisation des éléphants dans les 50 pays d’Afrique et d’Asie où ils
vivent.
« C’est une démarche qui s’inscrit aux côtés d’autres mesures prises depuis des années,
poursuit Julien Marchais.
Il faut continuer à renforcer la protection contre le braconnage, agir sur
le commerce d’ivoire et intervenir sur les conflits humains-éléphants ».
Sauver les éléphants, sauver les hommes
Comment convaincre de l’importance de la protection des éléphants ?
Comment sensibiliser à la lutte contre le braconnage ?
Julien Marchais ne mâche pas ses mots et va droit au but :
sauver les éléphants, c’est sauver l’homme lui-même.
« Si les éléphants disparaissent, c’est un signal très fort que notre propre cohabitation avec la nature et donc
notre survie dans l’écosystème terrestre est mise en danger », estime-t-il.
Et de continuer :
« Pour assurer notre avenir, on a tout intérêt à garder de grands espaces
naturels où l’on trouvera plein d’espèces emblématiques comme les
éléphants mais aussi les tigres, les lions ou les gorilles ».
Car les autres grands mammifères sont aussi concernés.
Le 27 juillet dernier, 43 scientifiques lançaient un appel dans la revue BioScience pour la sauvegarde de la grande faune mondiale.
A l’heure actuelle, 60 % de la mégafaune, les animaux de grande taille, est menacée d’extinction.
A lire: Satao, l’éléphant victime de la cruauté des hommes
Sokotei, l’éléphanteau orphelin sauvé de la nuit
Mbegu, l’éléphanteau sauvé de la vengeance humaine
Journée mondiale de l'éléphant - Archives vidéo et radio Ina.fr
www.ina.fr/contenus-editoriaux/.../journee-mondiale-de-l-elephant/
Au nord-est de l'Afrique du Sud, les rangers du parc national du Kruger se battent toute l'année contre les braconniers. Immense réserve
qui borde le Mozambique et une petite portion du Zimbabwe.
le Gabon, réputé pour être la plus grande réserve des éléphants de forêt, fait face à un braconnage sauvage de ses éléphants.
Par Emmanuelle Saporta...Du Magazine Détente Jardin
Aime, aime pas. Nous vous disons tout, ou presque, sur la façon dont l'animal apprécie l'eau, ou pas.
Sur le rapport qu’entretient le chat avec l’eau, on entend presque autant de versions qu’il y a d’animaux. Difficile de tirer des généralités…
En revanche, on peut en déduire que les chats n’ont pas une peur irraisonnée de l’eau. « Les chats aiment le poisson, il y en a bien qui pêchent et pour pêcher, il faut toucher l’eau… », résume Nicolas Massal.
Dont acte !
La Baignade Certains chats, dont ceux à poils longs, réclament un entretien régulier de leur pelage et se laissent baigner, puis sécher et brosser sans rechigner.
Pour d’autres, la baignade peut même devenir un plaisir ; ils prennent l’habitude – tout petits – de sauter dans la baignoire pour participer au bain des enfants.
Encore une fois, pas de généralités, mais des attitudes qui varient selon les individus.
Quelques chats se baignent volontairement dans les piscines ou viennent s’y désaltérer en été. Les risques de chute existent.
« La plupart du temps, ils effectuent un mouvement violent de torsion du corps, ils ”rebondissent” pour en sortir aussitôt comme s’ils prenaient appui sur l’eau. Certains nagent pour regagner l’escalier, d’autres n’arrivent pas à imaginer qu’ils peuvent se déplacer pour sortir et restent agrippés au rebord, parfois longtemps, avant d’être repêchés. »
Heureusement, les noyades sont rares. Mais pour éviter ce genre de situation, utilisez une alarme de piscine.
La Pluie Craint-il la pluie ? « Le chat va réduire la fréquence de ses sorties par temps pluvieux, mais pas d’inquiétude : quand le poil est mouillé en surface, la peau ne l’est pas, car l’eau perle sur la fourrure », rassure Nicolas Massal.
La pluie n’est donc pas un obstacle majeur à ses déplacements.
Et les flaques d’eau ? « Les chats prennent toujours le même chemin pour aller d’un point à l’autre, au jardin par exemple.
Si des flaques se trouvent sur leur passage, certains ne changeront pas leur trajet pour autant, sauf si elles sont vraiment profondes. »
JUSTE UN PEU DE TENDRESSE,A VOIR ET ÉCOUTER TOUT SIMPLEMENT
Par Catherine Delvaux...Du Magazine Détente Jardin
Vous partez et ne pouvez emmener votre chien ? Il existe plusieurs solutions!
Faites le meilleur choix possible pour votre fidèle compagnon.
Laissez le numéro de téléphone du vétérinaire à la personne qui s'occupe de votre chien et prévoyez sa nourriture habituelle pour le temps de votre absence.
Le chat est un animal casanier et avant tout territorial. Il peut rester dans son environnement naturel, même sans vous. Il suffit que quelqu’unpasse lui donner à boire et à manger et changer sa litière.
Pour le chien, le plus stressant, c’est de perdre sa meute et avec elle, son chef de meute... C’est-à-dire vous.
Dans l’idéal, une garde à domicile, ou chez une personne qu’il connaît et qu’il aime, est donc largement préférable pour lui.
Et quand vous partez, laissez- lui des vêtements imprégnés de votre odeur, pour qu’il ne se sente pas complètement abandonné.
La Pension: Vous laissez votre chien dans un endroit spécialisé dans la garde d’animaux, entre les mains de personnes compétentes.
Au-dessus de dix animaux, il faut un employé disposant d’un certificat de capacité «Animaux domestiques », décerné par l’État.
Avantage : votre chien est entre les mains de personnes habituées aux animaux.
Inconvénients : le coût. L’ambiance « chenil ».
Conseil : ne choisissez pas au hasard. Visitez-en plusieurs avant de partir.
Fourchette de prix : entre 10 et 20 €/jour.
La Garde À Domicile: Vous faites venir un pet-sitter qui habite chez vous (étudiant ou retraité).
Avantage : l’animal n’est pas trop dépaysé.
Inconvénient : il faut trouver la personne en qui on aura toute confiance.
Conseil : si vous voulez être en règle avec la loi, sachez que toute personne proposant de s’occuper d’animaux à titre commercial doit déclarer sonactivité et obtenir une autorisation de la Direction des services vétérinaires (DDSV)...
Et détenir un certificat de capacité «animaux domestiques» décerné par les services de l’État (loi 99-5 du 6 janvier 1999).
Elle doit aussi être assurée.
Fourchette de prix : de gratuit à environ 100 €/4 jours.
L’échange :C’est un échange de garde entre particuliers possédant des animaux et qui ne partent pas en vacances en même temps.
Avantage:coût nul, sauf si vous vous inscrivez sur un site d’annonces d’échanges d’animaux entre particulier(jusqu’à 30€).
Inconvénients : peu de points négatifs si vous tombez sur la bonne personne.
Conseil : préparez votre chien avant de le laisser, en faisant plusieurs visites.
Fourchette de prix : 0 €.
La Visite À Domicile: Un Baby-sitter vient une à plusieurs fois par jour chez vous s’occuper de votre animal, qui reste dans son lieu de vie.
Il existe des sites spécialisés...
Avantage : l’animal n’est pas dépaysé et reste chez lui.
Inconvénients : l’animal a peu de compagnie et reste seul sans surveillance un bon laps de temps.
Conseil : ce mode de garde n’est pas adapté à une absence de plus de deux jours, car l’animal est trop livré à lui-même.
Fourchette de prix : de 10 à 25 €/jour en fonction du nombre de visites et des services.
Quant à la personne, elle est soumise à la même réglementation que pour la garde à domicile.
Vous partez avec votre animal ? Voici sa valise idéale L’emmener avec vous, c’est la meilleure solution pour lui. Il aura donc besoin de son bagage. Prévoyez...
Son coussin ou sa couverture, ses objets familiers, pour qu’il ne soit pas dépaysé,
Une gamelle en plastique et une bouteille d’eau pour le trajet,
Quelques rations de sa nourriture habituelle, pour faire une transition en douceur avec les boîtes ou les croquettes que vous trouverez sur place...
Son carnet de santé (avec les vaccins à jour)...
Ses médicaments, s’il en a...
Son collier avec une plaque et votre numéro de téléphone, même s’il est par ailleurs pucé...
Si vous voyagez en avion, vérifiez auprès de la compagnie s’il doit aller en soute ou s’il peut rester avec vous. En train, il lui faut un billet spécial (très peu cher).
Les conditions de vie d'animaux dans les cirques sont bien souvent inhumaines et atroces. Pour les éléphants, ces majestueux animaux dont on découvre peu à peu toute l'étendue de leur intelligence, c'est sûrement encore plus insoutenable. Cages minuscules, torture, séparés deleur famille dès la naissance, etc.
Sur Buzzly, nous avons déjà montré à plusieurs reprise à quel point ces pratiques sont abominables et doivent cesser. Si cela va sûrement être difficile à erradiquer, il y a heureusement des volontaires qui secourent régulièrement des animaux utilisés par lescirques. C'est le cas de l'association Wildlife S.O.S en Inde qui, il y a seulement quelques jours, est parvenue à sauver Rhea un éléphant femelle qui a vécu 53 ans d'enfer dans un cirque.
Pour suivre les actualités de l'association, n'hésitez pas à aller sur leur page Facebook.
Voici Rhea, une éléphante qui a passé 53 ans de sa vie dans un cirque en Inde.
Dans son calvaire, elle n'était pas seule puisque deux autres éléphantes, Mia et Sita, étaient avec elle.
Un lien unique s'est formé entre les trois pachydermes.
En novembre 2015, la Wildlife S.O.S a réussi à venir les secourir, mais seules Sita et Mia ont pu être sauvées à l'époque car il manquait une autorisation de dernière minute pour la libération de Rhea.
Les voici quelques mois après leur sauvetage. Une vie libre où les deux éléphantes reçoivent beaucoup d'amour et de la nourriture en grande quantité (le cirque où elles étaient ne les nourrissait pas assez). Mais Rhea semblait leur manquer énormément.
Heureusement, après cinq mois d'attente, Rhea a enfin pu être libérée à son tour.
Ce gros plan sur l'état de ses pieds en dit long sur sa condition physique. Les ongles sont écaillés, les pieds enflés, l'endroit où la corde la tenait était meurtri...
Elle a enfin pu commencer à reprendre goût à la vie, les soigneurs chargés de son transport jusqu'à son nouvel habitat s'occupaient sérieusement d'elle
Puis les chaînes ont enfin été enlevées
Et voici Rhea prête à embarquer pour un voyage (sans retour espérons) vers sa nouvelle vie
Il en faut des bananes pour lui couper la faim !
L'heure du déjeuner
Puis celle de la sieste...
Et enfin de la douche, avant de repartir
Après un long trajet, Rhea arrive enfin au centre
Elle y sera traitées pour sa malnutrition, l'infection aux pieds, etc. Et mènera enfin une vie paisible.
Et finalement... Les retrouvailles tant attendues entre Rhea et ses soeurs adoptives
Des clichés magnifiques...
Rhea, Mia et Sita enfin réunies et heureuses
Bienvenue aux Sept-Îles, première réserve française d’oiseaux de mer, située dans les Côtes d'Armor. Découvrez le riche patrimoine naturel de cet archipel remarquable lors d’une sortie en bateau ou d’une visite de la station LPO.
Le fou de Bassan
Le fou de Bassan : plus de 20 000 couples de fous de Bassan sont visibles de fin janvier à octobre. C’est une colonie unique en France, bruyante et odorante ! C’est aussi la population la plus méridionale d’Europe. Le comptage de la colonie de fous de Bassan se fait par photos aériennes, l’unité de mesure étant le nid avec un couple reproducteur.
La réserve naturelle des Sept-Île abrite plus de 25 000 couples d’oiseaux de mer parmi lesquels quelques espèces emblématiques. Le printemps et l'été sont les périodes d'observation idéales.
Fous de Bassan en plein vol.
Le macareux moine
Le macareux moine.
Ces oiseaux sont originaires de l’Atlantique Nord ; leur fief se situe en Islande où l’on dénombre des millions de couples.
Dans l’archipel, la population est stable depuis 10 ans : entre 150 et 200 couples. Les Sept-Îles a toujours été un site privilégié de
l’espèce pour la France métropolitaine. En France, l’espèce est rare, mais elle n’est pas menacée au niveau mondial. Il existe aussi des colonies de macareux à Saint-Pierre-et-Miquelon.
Le fulmar boréal et le cormoran huppé.
A gauche : le fulmar boréal (80 couples sont présents dans l’archipel.)
A droite : le cormoran huppé (240 couples ont été dénombrés en 2014).
Le guillemot de Troïl et le pingouin troda
A gauche : le guillemot de Troïl ( une trentaine de couples sont présents).
A droite :le pingouin troda (près d’une quarantaine de couples).
Les phoques gris : cette espèce est l’une des stars de la réserve. On en dénombre environ 40 individus.
La réserve des Sept-Îles en quelques dates 1912 : La LPO est à l’origine de la co-création de la Réserve ornithologique des 7 îles. Une décision motivée par le massacre des macareux moines provoqué par les chasseurs.1976 : création de la réserve naturelle (arrêté ministériel). Cela englobe l’ensemble de l’archipel et garantit la protection de la faune, de la flore et des paysages.1984 : ouverture de la Maison de la réserve pour l’accueil du public.
Comment découvrir la Réserve des Sept-Îles.
La station LPO (Maison de la réserve naturelle des Sept-Îles) est ouverte au public d’avril à septembre.
A la station Expo permanente sur l’écosystème de Sept-Îles. Découverte des différents milieux naturels et espèces qui peuplent l’archipel. On peut yvoir un rocher sur lequel sont présentés des « faux » oiseaux en taille et couleur réelles. Egalement : une salle dédiée au milieu marin, un écran montrant des images de fous de Bassan en direct de Rouzic…
La station LPO de l’Île Grande abrite aussi un centre de soins pour oiseaux sauvages où sont recueillis et soignés les oiseaux sauvages de Bretagne. Quelque 1300 oiseaux ont été recueillis l’an dernier.
La LPO propose des animations en juillet-août pour le grand public. En juillet-août, circuit de 2 heures en bateau pour découvrir la réserve. Ces sorties en vedette sont commentées par un guide LPO ; plusieurs haltes sont prévues afin d’observer les oiseaux avec des jumelles prêtées à bord, sans débarquer.
Toutes les visites partent de la station LPO de l’Île Grande.
A pied:
Visite commentée par un guide LPO à la découverte des différentes espèces d’oiseaux et de leur comportement. Au départ de la station LPO.Des sorties à marée basse et des sorties botaniques sont également organisées.
La réserve des Sept-Îles en quelques chiffres La réserve des 7 Îles, ce sont 4 kms au large des roches de Ploumanc’h
(Perros-Guirrec) et 208 ha dont 40 de terres toujours émergées et 240 d’estran. A marée haute, on distingue les îles et îlots suivants : île aux Moines, l’île Plate, l’île de Malban, l’île Rouzic, l’île Bono, les îlots aux Rats ainsi que le récif du Cerf et les récifs des Costans.
En haute mer un banc de Sardines se révèle être comme un aimant pour une variété de prédateurs.
Parfois, l'art nécessite des sacrifices.
La photographe Katherine Henderson, de la communauté Your Shot, raconte l'histoire de cette photographie simple et belle : « J'ai trouvé ce sphinx de la tomate grignoter mes plants et je l'y ai autorisé à rester pour pouvoir le photographier. Le problème est que mes plants étaient en plein soleil. J'ai donc dû attendre pour avoir les meilleures conditions de lumière.
Un ou deux jours plus tard, le soleil était caché par les nuages, il n'y avait pas de vent qui les ballottait, j'ai donc appuyé sur le
déclencheur. J'ai perdu toutes mes tomates mais cette photo en valait lapeine. »
PHOTOGRAPHIE DE KATHERINE HENDERSON
Notre ami de la famille des félins ne vit pas seulement au Canada : on trouve également des Lynx du Canada en Alaska et dans certains autres états du Nord-Ouest des États-Unis. Ce cousin du chat porte une fourrure épaisse, qui lui permet de supporter le froid, et possède de longues pattes recouvertes d’un pelage dense. Avec son manteau épais, il parait plus impressionnant qu’il ne l’est vraiment… En réalité, un mâle pèse rarement plus de 10kg.