Zoo de Beauval : l'un des deux bébés pandas est mort.
@ GUILLAUME SOUVANT / AFP
Le bébé avait été placé en couveuse peu après sa naissance. Le premier des deux jumeaux nés vendredi soir,4 août, a rapidement éprouvé des difficultés respiratoires. L'un des deux bébés pandas nés vendredi soir, le premier né, est mort peu après 23H30, ont annoncé les responsables du parc zoologique de Beauval (Loir-et-Cher). Pesant 121 grammes, le petit, né à 22H18, avait été placé en couveuse peu après la naissance deson jumeau, à 22H32. "Bien trop faible pour survivre." Plus fragile que le second bébé panda, il avait rapidement éprouvé des difficultés respiratoires. Dans la couveuse, il avait été posé sur une serviette éponge rose, un peu du même ton que sa peau totalement nue et les soigneurs le réchauffaient à l'aide d'un sèche-cheveu. "Il était bien trop faible pour survivre. Les soigneuses chinoises, qui ontl'expérience, l'ont vu tout de suite", a déclaré le directeur du zoo, Rodolphe Delord. Le nouveau-né viable pèse 142,4 grammes, soit 21,4 grammes de plus que son jumeau mort. "Nos équipes vétérinaires ont fait le maximum pour le ramener (le plus fragile), mais il était trop petit, trop faible", a-t-il poursuivi. Le second bébé "en parfaite santé." Le second bébé panda est en "parfaite santé". Il a été placé en couveuse pour nettoyer le cordon, faire ses premières selles et lui donner du colostrum (premier lait maternelle riche en nutriments), ont indiqué les responsables du parc. "Huan Huan est une très bonne mère mais c'est une primipare qui n'a pas d'expérience. Donc, nous lui donnons un petit coup de main", a commenté Rodolphe Delord. La femelle panda est devenue agitée après que son petit lui a été retiré mais elle devrait "le récupérer très vite", selon le directeur du zoo. En dehors de Chine, seuls 22 parcs zoologiques dans le monde possèdent des pandas. Les parents des jumeaux, Huan Huan et Yuan Zi, ont été prêtés pour dix ans au zoo de Beauval.
Images de la naissance des deux bébés pandas au zoo de Beauval (Loir-et-Cher), le 4 août 2017. (GUILLAUME SOUVANT / AFP)
De Anastacia photographie les animaux sauvés du marché noir.
Natasha Wilson, alias De Anastacia, est une enfant du désert américain. Elle évolue entre photo de mode, lifestyle et portrait, le tout dans un univers très féminin, poétique et coloré. Touchée par la détresse de l’association Animal Tracks, un refuge pour animaux californien, la photographe a réalisé une superbe série de portraits intitulée Where the Wild Things Are. Beaucoup d’animaux sauvages, souvent en voie de disparition, sont arrachés à la nature par l’homme puis vendus ou abandonnés, privés de leur instinct de survie. Animal Tracks les sauve du marché noir et tente tant bien que mal de les aider à retrouver leur liberté. Natasha Wilson nous parle de sa série Where the Wild Things Are (Où sont les choses sauvages) dans cette interview exclusive !
– Qu’est-ce qui vous a poussée à réaliser la série Where the Wild Things Are ? J’ai contacté le refuge Animal Tracks fin mai pour leur demander l’autorisation de photographier quelques uns de leurs animaux pour mon compte. Le lendemain, ils me demandaient de passer visiter le refuge et rencontrer les animaux. Ce jour-là, j’ai appris l’histoire de chacun de ces animaux et de leur arrivée au refuge (marché noir, possession illégale d’animaux, etc),et comment Animal Tracks participait quotidiennement à leur réadaptation. Ils m’ont expliqué que leur organisation à but non lucratif avait du mal à faire venir les genset à collecter des dons et que Stacy, la directrice de l’association, payait de sa poche pour maintenir le refuge en bon état. À la fin de ma visite, j’ai su que mon projet devait aller plus loin qu’une simple série photo animalière personnelle. Je voulais aider Animal Tracks et favoriser la prise de conscience générale, encourager le travail extraordinaire accompli par les bénévoles sauvant ces animaux. Pour monter ce grand projet, j’ai dû réunir 19 modèles, 4 maquilleurs, 2 coiffeurs, 2 designers, 1 fleuriste, 1 tapissier, et quelques amis en guise d’assistants. La suite, c’était plus simple !
– Comment avez-vous choisi quelle modèle allait poser avec tel ou tel animal ? La plupart des gens ont leurs préférences. Je voulais que les modèles se sentent le plus à l’aise possible.Quand les modèles ont été confirmées, je leurai donné le choix parmi trois compagnons qui, selon moi, allaient avec leur style et leur physique. Elles ont pu choisir avec lequel poser et ça m’a facilité les choses ; je n’ai pas eu à coller un python dans les bras de n’importe qui ! (rires)
– Pourquoi avez-vous réalisé ces photos dans un studio avec des fonds imprimés, et pas dans la nature, comme on aurait pu s’y attendre ? Le « studio » était en fait à l’extérieur ! On a simplement suspendu des tapis faits-main et des tapisseries en guise de fonds. J’étais assez limitée par l’espace mis à ma disposition parce que le refuge est une sorte de ranch et que j’aurais eu à faire des démarches coûteuses pour obtenir l’autorisation de photographier les animaux ailleurs – sans compter que le déplacement des animaux dans un nouvel environnement aurait constitué un risque en plus d’une perte de temps. On a monté ce studio improvisé au centre du ranch, et chaque animal pouvait se promener autour où rentrer dans l’espace du tournage à sa guise.
– Dans la même idée, pourquoi avoir choisi un maquillage aux couleurs vives et non pas un maquillage nude, plus naturel ? J’accorde une grande importance à la palette de couleurs. En général, j’essaie derester sur une palette de 2 à 3 couleurs pour une seule et même image. Comme je savais que j’allais utiliser des tapis marocains imprimés et une tapisserie luxuriante en fond, j’étais consciente que le tout allaitêtre très coloré. Je voulais que le style des modèles soit à la fois cohérent et unique. Je pense que ces couleurs néons ont créé une certaine harmonie entre les différentes modèles, tout en leur permettant de ne pas rester dans l’ombre de leurs petits compagnons.
– Avez-vous rencontré des difficultés avec les animaux ? Seuls deux animaux se montraient hésitants à participer, mais nous avions anticipé ce risque et tout s’est bien passé. La truie, Sarah Jessica Porke, hésitait à se rendre dans une zone clôturée (notre studio improvisé). On ne l’a pas forcée à venir et on l’a laissée tranquille. On l’a remplacée par les kinkajous (photo ci-dessus). Le renard, Shy, était lui aussi intimidé par le studio et n’osait pas rentrer non plus. On a fini par tourner avec cet adorable singe-écureuil qui sautait partout sur les membres de l’équipe (photo-ci dessous).
– De toute la série Where the Wild Things Are, avez-vous une préférence pour une photo en particulier ? Pourquoi ? Je n’ai aucune préférence, je pense que toutes les photos de la série se complètent parfaitement. On peut voir que chaque animal correspond à la personnalité de sa co-modèle. Je n’oublierai jamais la connexion unique qui s’est établie ce jour-là entre les modèles, l’équipe et les animaux.
Bretagne : 70 espèces d'oiseaux en danger. CLIC.........http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/bretagne-70-especes-oiseaux-danger-1306959.html#xtor=EPR521- -- L'association Bretagne Vivante dresse un constat alarmant sur la disparition d'espèces d'oiseaux dans notre région. Par Baptiste Galmiche Publié le 04/08/2017 à 10:07 Avocette, vanneau huppé, courlis cendré... Combien de temps encore pourra-t-on voir ces espèces ? Selon l'association Bretagne Vivante, environ 70 espèces d'oiseaux sont en danger ou vulnérables dans notre région. Certaines en ont même disparu. Didier Masci est soigneur au centre de soins "Volée de piafs", à Languidic (Morbihan). Sur les 650 pensionnaires du centre, la plupart sont des oiseaux victimes de l'action de l'homme, comme des chouettes hulottes heurtées par des voitures ou empoisonnés par des raticides. Le goéland en danger. Parmi les espèces menacées,le goéland. "Sur les 10 dernières années, on a perdu 50 % des goélands sur les côtes atlantiques", alerte Didier Masci. "En mer, il n’y a plus rien à manger, on voit des goélands en train de devenir carnivore, alors que leur système digestif n’est pas du tout fait pour ça. Donc énormément de goélands meurent par des occlusions intestinales", s'inquiète-t-il. Le soigneur se demande même si l'on est en train de perdre une espèce et s'en inquiète. "Sur certains ports anglais, ils ont voulu éradiquer le goéland : ils ont multiplié par 10 le nombre de rats." Note positive toutefois : protéger les animaux produit des résultats. Dans les années 1960, la spatule avait presque disparu ; on compte désormais plusieurs centaines de couples de cette espèce en France.
Nyalas femelles, Parc national de Kruger, Afrique du Sud. Ces deux Nyalas femelles sont-elles en train de se faire des confidences ? Une chose est sûre, pour cette espèce, rien n’est plus important que l’amitié féminine. De nature plutôt craintives et prudentes, elles préfèrent sortir en groupe pour être plus fortes face à un éventuel prédateur. Elles peuvent d’ailleurs se promener en troupeau pouvant aller jusqu’à 30 femelles. Les Nyalas mâles sont quant à eux très solitaires. Outre leur comportement sociétal, vous pouvez distinguer lesfemelles des mâles en observant leurs pelages : les mâles ont un manteau gris foncé ainsi que des cornes tordues alors que les nyalas femelles ont un pelage chatain-roux comme sur la photo .
Quelques photographies d'éléphanteaux plein de vie, pour égayer votre journée. S'il y a bien une chose dans le monde qui fait sourire à peu près tout le monde, c'est un bébé animal (enfin pas tous). Cette fois-ci, changeons un peu de registre et arrêtons de nous focaliser sur les chiens et les chats pour nous concentrer sur autre chose : les éléphants.
- Deux bébés pandas attendus au zoo de Beauval d'ici la fin de la semaine Un bonheur n'arrive jamais seul au zoo de Beauval : désormais ce sont deux bébés qui vont naître à la fin de la semaine ! Une échographie réalisée en début d'après-midi de ce mardi 1er août a montré la présence d'un deuxième bébé. Ce fut l'extraordinaire surprise de ce mardi 1er août, lorsque le vétérinaire a fait une nouvelle échographie à Huan Huan : il a découvert un deuxième bébé panda bien caché jusqu'à présent dans une autre partie de l'utérus de la femelle inséminée artificiellement au printemps dernier. il y a donc 2 fœtus : l'un dans la corne droite de l'utérus, l'autre dans la corne gauche de l'utérus. Huan Huan sera-t-elle une bonne mère ? L'accouchement est prévu pour la fin de cette semaine. Deux soigneuses chinoises ont débarqué en France samedi, et veillent sur les derniers jours avant la naissance. mais la question se pose du comportement de Huan Huan qui n'a jamais encore eu de petits : va-t-elle s'en occuper ? va-t-elle privilégier le plus fort et le plus gros et délaisser l'autre comme cela se fait dans la nature ? soigneurs et sages-femmes chinoises sont fin prêts pour faire face à ces naissances et au comportement de Maman Panda !
24 heures sur 24, il y a toujours quelqu'un dans le bâtiment pour visionner une des cinq caméras de surveillance qui filment Huan Huan la femelle panda" - Delphine Poivraud, responsable secteur panda Pour accéder à la salle de maternité spécialement aménagée, il faut enfiler des chaussons hygiéniques. Tout est contrôlé, aseptisé. Baptiste, le vétérinaire qui va accoucher Huan Huan répète tous les gestes. La couveuse de Huan Huan est prête - Il faut que tout le monde s'organise, que tout le monde sache ce qu'il va se passer comment ça va se passer, qui doit faire quoi' - Baptiste, responsable vétérinaire
Lors de l'accouchement, les sept soigneurs de l'équipe seront mobilisés plus deux aides-soignantes venues de la région d'origine de Huan Huan, en Chine. Et on saura plusieurs heures avant l'accouchement que la naissance est imminente.
Baptiste qui va accoucher Huan Huan est anxieux
Huan Huan va s'agiter, bouger, et surtout se lécher le bas du ventre et la vulve" Les bébés panda resteront auprès de sa mère pendant deux ans, mais ensuite ils seront sevrés et devraien partir pour la Chine, c'est la règle : tous les bébés panda appartiennent au pays asiatique. La naissance de Huan Huan est annoncée sur un panneau dans le parc aux visiteurs
La chouette effraie (Tyto alba), appelée aussi la Dame blanche ou l’ Effraie des clochers pour son goût pour les endroits tranquilles et les vieilles bâtisses, est un rapace nocturne de taille moyenne de la famille des Tytonidés.
Comment reconnaître une chouette effraie ? La chouette effraie se reconnaît facilement avec sa grosse tête marquée par une sorte de disque facial blanc argenté entouré d’une ligne couleurbrun en forme de cœur et d’un bec blanc jaunâtre. Ce « masque » fait ressortir ses yeux très noirs. Le corps de la chouette effraie est élancé et il est prolongé par de longues pattes. Il est de couleur jaune sur sa partie supérieure. Les plumes de la chouette effraie sont marbrées de gris et de brun pâle et de petites plumes en forme de gouttelettes blanches aux bouts noirs. La chouette effraie a un vol caractéristique de nombreux rapaces, lent, souple, silencieux et avec les pattes pendantes. Cris et chant de la chouette effraieLa chouette effraie possède des cris variés. Les jeunes rapaces émettent des ronflements aigus et sifflants et au rythme irrégulier chez les adultes, mais aussi des chuintements. Quand elle vole, la chouette effraie pousse des cris aigus et stridents. En cas de stress, elle souffle et claque du bec.
L'habitat de la chouette effraieLa chouette effraie est présente dans des lieux où elle peut chasser à basse altitude pour se nourrir : prairies, lisières de champs, haies, friches ou encore vergers. Elle habite le plus souvent à proximité de constructions humaines et on la trouve aussi dans les parcs des villes. La chouette effraie reste cachée le jour et chasse la nuit entre des périodes de repos et d’entretien de son plumage. Alimentation de la chouette effraieLa chouette effraie se nourrit presque exclusivement de campagnols, de mulots, de souris grises et de musaraignes qu’elle repère grâce à son ouïe. Elle peut aussi manger des passereaux comme les moineaux, les étourneaux ou les hirondelles. Elle avale ses proies en entier et rejette ensuite les parties indigestes sous forme de pelotes lors de sa digestion.
Reproduction de la chouette effraie . C’est le plus souvent au plus proche de l’habitat humain que la chouette effraie nidifie. Elle installe son nid, rudimentaire (nid déjà existant ou cavité), dans des bâtiments anciens tels que des granges, des greniers, des châteaux ou encore dans les clochers des églises. La parade nuptiale de la chouette effraie débute en février ou mars. Elle se reproduit à partir de l’âge de 1 an. Elle peut pondre 2 fois par an, de mars à juin, 6 œufs en moyenne à chaque ponte, à raison d'un œuf tous les deux ou trois jours. L’incubation assurée uniquement par la femelle dure environ 32 jours. Les jeunes prennent leur envol au bout de 8 à 10 semaines. La chouette effraie est-elle utile ou nuisible au jardin ? Pour les jardins ou les terrains cultivés envahis par les étourneaux et les moineaux notamment, la chouette effraie est très utile puisque ces oiseaux font partie de son alimentation.
C’est une étrange découverte qu’ont pu faire passants et riverains que ce cachalot échoué sur les bords de Seine à Paris. Une baleine qui est en fait une sculpture très réaliste réalisée par le collectif artistique belge Captain Boomer Collective (site web) pour sensibiliser la population aux problèmes écologiques.
L'échouage d'une baleine a toujours été un événement magique. Les villages tremblaient.et ont été exaltés quand c'est arrivé. C'est ce que nous reconstruisons. "En même temps"(sic), la baleine échouée est une métaphore gigantesque pour la perturbation de notre système écologique. Les gens sentent leur lien avec la nature et sont dérangés. Le jeu entre fiction et réalité renforce ce sentiment de perturbation.
Cette sculpture sera exposée jusqu’au 5 aout prochain.
Présents dès la fin du Carnien (premier étage du Trias supérieur), il y a environ 230 Ma, ils disparaissent presque entièrement lors de l'extinction Crétacé-Tertiaire il y a 66 Ma. La majorité des paléontologues admettent que les oiseaux ont émergé de petits dinosaures théropodes du Jurassique moyen. Ainsi la survie des oiseaux à cette extinction, leur diversification considérable durant le Cénozoïque, en fait le seul groupe vivant actuel de dinosaures selon cette hypothèse. Ce groupe de vertébrés majoritairement terrestres connut un succès évolutif considérable au Mésozoïque, dominant les faunes continentales entre le Trias supérieur et le Crétacé supérieur pendant plus de 160 Ma. Présents sur l'ensemble des continents dès la fin du Trias, ils comprennent des formes très diverses d'animaux terrestres et volants, bipèdes et quadrupèdes, carnivores et herbivores, ayant développé toute une série d'innovations squelettiques et tégumentaires telles que des cornes, des crêtes, des plaques et des plumes. Les dinosaures non-aviens comptent parmi eux les animaux les plus grands et les plus lourds ayant existé sur la terre ferme. Néanmoins, ungrand nombre de dinosaures ne dépassait pas la taille d'un être humain et certains d'entre eux étaient plus petits qu'une poule. Maïasaura signifie "Lézard bonne mère" Mahakala omnogovae Liliensternus
@ GUILLAUME SOUVANT / AFP
Le bébé avait été placé en couveuse peu après sa naissance.
Le premier des deux jumeaux nés vendredi soir,4 août, a rapidement éprouvé des difficultés respiratoires. L'un des deux bébés pandas nés vendredi soir, le premier né, est mort peu après 23H30, ont annoncé les responsables du parc zoologique de Beauval (Loir-et-Cher). Pesant 121 grammes, le petit, né à 22H18, avait été placé en couveuse peu après la naissance deson jumeau, à 22H32.
"Bien trop faible pour survivre." Plus fragile que le second bébé panda, il avait rapidement éprouvé des difficultés respiratoires. Dans la couveuse, il avait été posé sur une serviette éponge rose, un peu du même ton que sa peau totalement nue et les soigneurs le réchauffaient à l'aide d'un sèche-cheveu.
"Il était bien trop faible pour survivre. Les soigneuses chinoises, qui ontl'expérience, l'ont vu tout de suite", a déclaré le directeur du zoo, Rodolphe Delord. Le nouveau-né viable pèse 142,4 grammes, soit 21,4 grammes de plus que son jumeau mort. "Nos équipes vétérinaires ont fait le maximum pour le ramener (le plus fragile), mais il était trop petit, trop faible", a-t-il poursuivi.
Le second bébé "en parfaite santé." Le second bébé panda est en "parfaite santé". Il a été placé en couveuse pour nettoyer le cordon, faire ses premières selles et lui donner du colostrum (premier lait maternelle riche en nutriments), ont indiqué les responsables du parc. "Huan Huan est une très bonne mère mais c'est une primipare qui n'a pas d'expérience. Donc, nous lui
donnons un petit coup de main", a commenté Rodolphe Delord.
La femelle panda est devenue agitée après que son petit lui a été retiré mais elle devrait "le récupérer très vite", selon le directeur du zoo.
En dehors de Chine, seuls 22 parcs zoologiques dans le monde possèdent des pandas. Les parents des jumeaux, Huan Huan et Yuan Zi, ont été prêtés pour dix ans au zoo de Beauval.
Images de la naissance des deux bébés pandas au zoo de Beauval (Loir-et-Cher), le 4 août 2017. (GUILLAUME SOUVANT / AFP)
Natasha Wilson, alias De Anastacia, est une enfant du désert américain.
Elle évolue entre photo de mode, lifestyle et portrait, le tout dans un univers très féminin, poétique et coloré.
Touchée par la détresse de l’association Animal Tracks, un refuge pour animaux californien, la photographe a réalisé une superbe série de portraits intitulée Where the Wild Things Are. Beaucoup d’animaux sauvages, souvent en voie de disparition, sont arrachés à la nature par l’homme puis vendus ou abandonnés, privés de leur instinct de survie. Animal Tracks les sauve du marché noir et tente tant bien que mal de les aider à retrouver leur liberté.
Natasha Wilson nous parle de sa série Where the Wild Things Are (Où sont les choses sauvages)
dans cette interview exclusive !
– Qu’est-ce qui vous a poussée à réaliser la série Where the Wild Things Are ?
J’ai contacté le refuge Animal Tracks fin mai pour leur demander l’autorisation de photographier quelques uns de leurs animaux pour mon compte. Le lendemain, ils me demandaient de passer visiter le refuge et rencontrer les animaux. Ce jour-là, j’ai appris l’histoire de chacun de ces animaux et de leur arrivée au refuge (marché noir, possession illégale d’animaux, etc),et comment Animal Tracks participait quotidiennement à leur réadaptation. Ils m’ont expliqué que leur organisation à but non lucratif avait du mal à faire venir les genset à collecter des dons et que Stacy, la directrice de l’association, payait de sa poche pour maintenir le refuge en bon état. À la fin de ma visite, j’ai su que mon projet devait aller plus loin qu’une simple série photo animalière personnelle. Je voulais aider Animal Tracks et favoriser la prise de conscience générale, encourager le travail extraordinaire accompli par les bénévoles sauvant ces animaux. Pour monter ce grand projet, j’ai dû réunir 19 modèles, 4 maquilleurs, 2 coiffeurs, 2 designers, 1 fleuriste,
1 tapissier, et quelques amis en guise d’assistants. La suite, c’était plus simple !
– Comment avez-vous choisi quelle modèle allait poser avec tel ou tel animal ?
La plupart des gens ont leurs préférences. Je voulais que les modèles se sentent le plus à l’aise possible.Quand les modèles ont été confirmées, je leurai donné le choix parmi trois compagnons
qui, selon moi, allaient avec leur style et leur physique. Elles ont pu choisir avec lequel poser et ça m’a facilité les choses ; je n’ai pas eu à coller un python dans les bras de n’importe qui ! (rires)
– Pourquoi avez-vous réalisé ces photos dans un studio avec des fonds imprimés, et pas dans la nature, comme on aurait pu s’y attendre ?
Le « studio » était en fait à l’extérieur ! On a simplement suspendu des tapis faits-main et des tapisseries en guise de fonds. J’étais assez limitée par l’espace mis à ma disposition parce que le refuge est une sorte de ranch et que j’aurais eu à faire des démarches coûteuses pour obtenir l’autorisation de photographier les animaux ailleurs – sans compter que le déplacement des animaux dans un nouvel environnement aurait constitué un risque en plus d’une perte de temps. On a monté ce studio improvisé au centre du ranch, et chaque animal pouvait se promener autour où rentrer dans l’espace du tournage à sa guise.
– Dans la même idée, pourquoi avoir choisi un maquillage aux couleurs vives et non pas un maquillage nude, plus naturel ?
J’accorde une grande importance à la palette de couleurs. En général, j’essaie derester sur une palette de 2 à 3 couleurs pour une seule et même image.
Comme je savais que j’allais utiliser des tapis marocains imprimés et une tapisserie luxuriante en fond, j’étais consciente que le tout allaitêtre très coloré. Je voulais que le style des modèles soit à la fois cohérent et unique. Je pense que ces couleurs néons ont créé une certaine harmonie entre les différentes modèles, tout en leur permettant de ne pas rester dans l’ombre de leurs petits compagnons.
– Avez-vous rencontré des difficultés avec les animaux ?
Seuls deux animaux se montraient hésitants à participer, mais nous avions anticipé ce risque et tout s’est bien passé. La truie, Sarah Jessica Porke, hésitait à se rendre dans une zone clôturée (notre studio improvisé). On ne l’a pas forcée à venir et on l’a laissée tranquille.
On l’a remplacée par les kinkajous (photo ci-dessus). Le renard, Shy, était lui aussi intimidé par le studio et n’osait pas rentrer non plus.
On a fini par tourner avec cet adorable singe-écureuil qui sautait partout sur les membres de l’équipe (photo-ci dessous).
– De toute la série Where the Wild Things Are, avez-vous une préférence pour une photo en particulier ? Pourquoi ?
Je n’ai aucune préférence, je pense que toutes les photos de la série se complètent parfaitement. On peut voir que chaque animal correspond à la personnalité de sa co-modèle. Je n’oublierai jamais la connexion unique qui s’est établie ce jour-là entre les modèles, l’équipe et les animaux.
CLIC.........http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/bretagne-70-especes-oiseaux-danger-1306959.html#xtor=EPR521-
--
L'association Bretagne Vivante dresse un constat alarmant sur la disparition d'espèces d'oiseaux dans notre région.
Par Baptiste Galmiche Publié le 04/08/2017 à 10:07
Avocette, vanneau huppé, courlis cendré... Combien de temps encore pourra-t-on voir ces espèces ?
Selon l'association Bretagne Vivante, environ 70 espèces d'oiseaux sont en danger ou vulnérables dans notre région.
Certaines en ont même disparu.
Didier Masci est soigneur au centre de soins "Volée de piafs", à Languidic (Morbihan). Sur les 650 pensionnaires du centre, la plupart sont des oiseaux victimes de l'action de l'homme, comme des chouettes hulottes heurtées par des voitures ou empoisonnés par des raticides.
Le goéland en danger.
Parmi les espèces menacées,le goéland. "Sur les 10 dernières années, on a perdu 50 % des goélands sur les côtes atlantiques", alerte Didier Masci. "En mer, il n’y a plus rien à manger, on voit des goélands en train de devenir carnivore, alors que leur système digestif n’est pas du tout fait pour ça. Donc énormément de goélands meurent par des occlusions intestinales", s'inquiète-t-il.
Le soigneur se demande même si l'on est en train de perdre une espèce et s'en inquiète. "Sur certains ports anglais, ils ont voulu éradiquer le goéland : ils ont multiplié par 10 le nombre de rats."
Note positive toutefois : protéger les animaux produit des résultats. Dans les années 1960, la spatule avait presque disparu ; on compte désormais plusieurs centaines de couples de cette espèce en France.
Ces deux Nyalas femelles sont-elles en train de se faire des confidences ?
Une chose est sûre, pour cette espèce, rien n’est plus important que l’amitié féminine. De nature plutôt craintives et prudentes, elles préfèrent sortir en groupe pour être plus fortes face à un éventuel prédateur. Elles peuvent d’ailleurs se promener en troupeau pouvant aller jusqu’à 30 femelles. Les Nyalas mâles sont quant à eux très solitaires. Outre leur comportement sociétal, vous pouvez distinguer lesfemelles des mâles en observant leurs pelages : les mâles ont un
manteau gris foncé ainsi que des cornes tordues alors que les nyalas femelles ont un pelage chatain-roux comme sur la photo .
S'il y a bien une chose dans le monde qui fait sourire à peu près tout le monde, c'est un bébé animal (enfin pas tous). Cette fois-ci, changeons un peu de registre et arrêtons de nous focaliser sur les chiens et les chats pour nous concentrer sur autre chose : les éléphants.
© http://www.saveelephant.org/category/our-animals/
© http://www.saveelephant.org/category/our-animals/
© http://www.saveelephant.org/category/our-animals/
© http://www.saveelephant.org/category/our-animals/
© http://www.shahrogersphotography.com/detail/1597.html
© http://www.saveelephant.org/category/our-animals/
© https://500px.com/photo/43011586/elephant-fun-by-gary-brookshaw
© https://500px.com/photo/109443897/close-by-bj%C3%B6rn-alicke
© https://500px.com/photo/69664415/blowing-bubbles-by-robbie-prehn
© http://www.gettyimages.fr/license/114991305
© http://www.clarkvision.com/galleries/gallery.africa_2009/web/baby.elephants.c01.17.2009._mg_0130.f-900.html
© https://500px.com/photo/83176119/do-i-look-pretty-by-barbara-arstall
© https://500px.com/photo/103746985/can-i-try-by-rupankar-mahanta
© https://500px.com/photo/61759777/twin-baby-elephants-east-africa-by-diana-robinson
...
Le poisson-chat doré ne vit que dans un seul endroit au monde : dans le gouffre du Souffle du dragon, au coeur du désert du Kalahari.
NAISSANCE DE BÉBÉS PANDA
- Deux bébés pandas attendus au zoo de Beauval d'ici la fin de la semaine
Un bonheur n'arrive jamais seul au zoo de Beauval : désormais ce sont deux
bébés qui vont naître à la fin de la semaine ! Une échographie réalisée
en début d'après-midi de ce mardi 1er août a montré la présence d'un
deuxième bébé.
Ce fut l'extraordinaire surprise de ce mardi 1er août, lorsque le vétérinaire a fait une nouvelle échographie à Huan Huan : il
a découvert un deuxième bébé panda bien caché jusqu'à présent dans une
autre partie de l'utérus de la femelle inséminée artificiellement au
printemps dernier. il y a donc 2 fœtus : l'un dans la corne droite de
l'utérus, l'autre dans la corne gauche de l'utérus.
Huan Huan sera-t-elle une bonne mère ?
L'accouchement est prévu pour la fin de cette semaine. Deux soigneuses chinoises ont
débarqué en France samedi, et veillent sur les derniers jours avant la
naissance. mais la question se pose du comportement de Huan Huan qui n'a
jamais encore eu de petits : va-t-elle s'en occuper ? va-t-elle
privilégier le plus fort et le plus gros et délaisser l'autre comme cela
se fait dans la nature ? soigneurs et sages-femmes chinoises sont fin
prêts pour faire face à ces naissances et au comportement de Maman Panda
!
24 heures sur 24, il y a toujours quelqu'un dans le bâtiment pour visionner une des cinq caméras de surveillance qui filment
Huan Huan la femelle panda" - Delphine Poivraud, responsable secteur
panda
Pour accéder à la salle de maternité spécialement aménagée, il faut enfiler
des chaussons hygiéniques. Tout est contrôlé, aseptisé. Baptiste, le
vétérinaire qui va accoucher Huan Huan répète tous les gestes.
La couveuse de Huan Huan est prête -
Il faut que tout le monde s'organise, que tout le monde sache ce
qu'il va se passer comment ça va se passer, qui doit faire quoi' -
Baptiste, responsable vétérinaire
Lors de l'accouchement, les sept soigneurs de l'équipe seront mobilisés plus deux aides-soignantes
venues de la région d'origine de Huan Huan, en Chine. Et on saura
plusieurs heures avant l'accouchement que la naissance est imminente.
Baptiste qui va accoucher Huan Huan est anxieux
Huan Huan va s'agiter, bouger, et surtout se lécher le bas du ventre et la vulve"
Les bébés panda resteront auprès de sa mère pendant deux ans, mais ensuite
ils seront sevrés et devraien partir pour la Chine, c'est la règle :
tous les bébés panda appartiennent au pays asiatique.
La naissance de Huan Huan est annoncée sur un panneau dans le parc aux visiteurs
La chouette effraie (Tyto alba), appelée aussi la Dame blanche ou l’ Effraie des clochers pour son goût pour les endroits tranquilles et les vieilles bâtisses, est un rapace nocturne de taille moyenne de la famille des Tytonidés.
Comment reconnaître une chouette effraie ?
La chouette effraie se reconnaît facilement avec sa grosse tête marquée par une sorte de disque facial blanc argenté entouré d’une ligne couleurbrun en forme de cœur et d’un bec blanc jaunâtre.
Ce « masque » fait ressortir ses yeux très noirs.
Le corps de la chouette effraie est élancé et il est prolongé par de longues pattes. Il est de couleur jaune sur sa partie supérieure. Les plumes de la chouette effraie sont marbrées de gris et de brun pâle et de petites plumes en forme de gouttelettes blanches aux bouts noirs.
La chouette effraie a un vol caractéristique de nombreux rapaces, lent, souple, silencieux et avec les pattes pendantes.
Cris et chant de la chouette effraie La chouette effraie possède des cris variés.
Les jeunes rapaces émettent des ronflements aigus et sifflants et au rythme irrégulier chez les adultes, mais aussi des chuintements.
Quand elle vole, la chouette effraie pousse des cris aigus et stridents. En cas de stress, elle souffle et claque du bec.
L'habitat de la chouette effraie La chouette effraie est présente dans des lieux où elle peut chasser à basse altitude pour se nourrir : prairies, lisières de champs, haies, friches ou encore vergers.
Elle habite le plus souvent à proximité de constructions humaines et on la trouve aussi dans les parcs des villes.
La chouette effraie reste cachée le jour et chasse la nuit entre des périodes de repos et d’entretien de son plumage.
Alimentation de la chouette effraie La chouette effraie se nourrit presque exclusivement de campagnols, de mulots, de souris grises et de musaraignes qu’elle repère grâce à son ouïe.
Elle peut aussi manger des passereaux comme les moineaux, les étourneaux ou les hirondelles.
Elle avale ses proies en entier et rejette ensuite les parties indigestes sous forme de pelotes lors de sa digestion.
Reproduction de la chouette effraie .
C’est le plus souvent au plus proche de l’habitat humain que la chouette effraie nidifie.
Elle installe son nid, rudimentaire (nid déjà existant ou cavité), dans des bâtiments anciens tels que des granges, des greniers, des châteaux ou encore dans les clochers des églises. La parade nuptiale de la chouette effraie débute en février ou mars.
Elle se reproduit à partir de l’âge de 1 an.
Elle peut pondre 2 fois par an, de mars à juin, 6 œufs en moyenne à chaque ponte, à raison d'un œuf tous les deux ou trois jours.
L’incubation assurée uniquement par la femelle dure environ 32 jours.
Les jeunes prennent leur envol au bout de 8 à 10 semaines.
La chouette effraie est-elle utile ou nuisible au jardin ?
Pour les jardins ou les terrains cultivés envahis par les étourneaux et les moineaux notamment, la chouette effraie est très utile puisque ces oiseaux font partie de son alimentation.
C’est une étrange découverte qu’ont pu faire passants et riverains que ce cachalot échoué sur les bords de Seine à Paris.
Une baleine qui est en fait une sculpture très réaliste réalisée par le collectif artistique belge Captain Boomer Collective (site web) pour sensibiliser la population aux problèmes écologiques.
Cette sculpture sera exposée jusqu’au 5 aout prochain.
Présents dès la fin du Carnien (premier étage du Trias supérieur), il y a environ 230 Ma, ils disparaissent presque entièrement lors de l'extinction Crétacé-Tertiaire il y a 66 Ma. La majorité des paléontologues admettent que les oiseaux ont émergé de petits dinosaures théropodes du Jurassique moyen. Ainsi la survie des oiseaux à cette extinction, leur diversification considérable durant le Cénozoïque, en fait le seul groupe vivant actuel de dinosaures selon cette hypothèse.
Ce groupe de vertébrés majoritairement terrestres connut un succès évolutif considérable au Mésozoïque, dominant les faunes continentales entre le Trias supérieur et le Crétacé supérieur pendant plus de 160 Ma. Présents sur l'ensemble des continents dès la fin du Trias, ils comprennent des formes très diverses d'animaux terrestres et volants, bipèdes et quadrupèdes, carnivores et herbivores, ayant développé toute une série d'innovations squelettiques et tégumentaires telles que des cornes, des crêtes, des plaques et des plumes. Les dinosaures non-aviens comptent parmi eux les animaux les plus grands et les plus lourds ayant existé sur la terre ferme. Néanmoins, ungrand nombre de dinosaures ne dépassait pas la taille d'un être humain et certains d'entre eux étaient plus petits qu'une poule.
Maïasaura signifie "Lézard bonne mère"
Mahakala omnogovae
Liliensternus