Un millionnaire, défenseur de la cause animale, sauve un refuge endetté qui accueille des animaux handicapés.
Située à Montreuil-au-Houlme (Orne), l’association Suzi Handicap Animal accumulait 66 000 euros de dettes. Un millionnaire, impliqué dans la cause animale, en a remboursé une grande partie. Le refuge Suzi Handicap Animal, situé dans l’Orne, avait lancé une cagnotte en ligne au début du mois pour tenter de sauver sa structure qui accueille des animaux handicapés et maltraités. La cagnotte a atteint 9 700 euros mais, hélas, cela ne suffisait pas.
Mais le dimanche 14 avril, la créatrice du refuge, Stéphanie Lisicki reçoit un appel d’un certain Jean-Baptiste Descroix-Vernier. Homme d’affaires millionnaire impliqué dans la cause animale, il est aussi l’un des plus gros donateurs privés de WWF, One Voice, Pro anima, Gamelles Pleines et L214. « Il a demandé l’ensemble des factures. Il a étudié tout ça et nous a rappelé en nous disant qu’il remboursait tous les frais vétérinaires, soit 55 000 euros », explique Stéphanie. Une somme importante qui permet de régler les frais vétérinaires du refuge,qui atteignent 15 000 euros chaque mois. « Ce sont des animaux en grande faiblesse. Soit qui ont été martyrisés, ou qui sont nés lourdement handicapés. Peu sont adoptables, et les frais vétérinaires sont importants. Je me suis dit que si je ne les sauvais pas, ils plieraient boutique, tout simplement. Or, ce qu’ils font est important », raconte le donateur. L'association est donc sauvée temporairement. Reste à trouver un financement viable pour continuer à soigner les différents animaux recueillis. La cagnotte est toujours en ligne pour que Suzi Handicap Animal puisse continuer à vivre encore longtemps et recueillir un maximum de dons.
Bouquetins du Bargy : Halte aux tueries! Urgence ! Une consultation est ouverte jusqu’au 28 avril prochain pour recueillir l’avis du public sur le massacre des bouquetins du Bargy. Empêchons la mise à mort de ces magnifiques habitants des montagnes ! Dans un monde sensé, quand un individu est malade, on le soigne ou, si c’est impossible, on abrège ses souffrances. Et s’il est contagieux, on protège les autres via la vaccination. En Haute-Savoie, quand un bouquetin est potentiellement porteur d’une zoonose, on l’abat. Même s’il est en parfaite santé. Même si, fragile, il est protégé par la convention de Berne. Sans autre forme de procès. Éradication pure et simple. Depuis 2013, One Voice et ses partenaires militent contre les « prélèvements » (entendez « abattages ») à répétition des bouquetins du Bargy. Leur tort ?Être porteurs pour certains de brucellose,une zoonose transmise par les animaux domestiques et naturellement non présente chezles ongulés sauvages. Ainsi, alors que le bon sens devrait inciter les éleveurs à soigner leurs ovins, bovins ou caprins infectés, ils s’en prennent aux individus sauvages qui ont eu le malheur de les côtoyer de trop près dans les alpages. Les producteurs de fromage les ont même tenus responsables de la contamination de Reblochons, bien que tout porte à invalider cette hypothèse plus que douteuse. Faites-vous entendre ! Aujourd’hui, alors que nombre de bouquetins bien portants ont déjà péri sous les balles, que le niveau de prévalence a nettement baissé, que le risque pour les élevages est considéré comme quasi nul, va-t-on les laisser tranquilles ? Que nenni ! Le préfet de Haute-Savoie projette un nouvel arrêté pour 2019, qui ordonne notamment « le prélèvement de bouquetins présents sur les secteurs «Grand Bargy», «Petit Bargy» et «Jalouvre Peyre». Présenté à la consultation publique jusqu’au 28 avril inclus, cet arrêté permettrait la mise à mort de 94 autres bouquetins s’il obtient une majorité d’avis favorables. Mobilisons-nous pour empêcher ces massacres planifiés, alors que des alternatives existent ! Joignez vos voix à la nôtre sans tarder en répondant à la consultation:soit par mail : [url=mailto[img]]dt-consultations-publiques@haute-savoie.gouv.fr">ddtconsultationspubliques@haute-savoie.gouv.fr[/url]</span[/img] soit par courrier postal: Direction départementale des territoires de la Haute-Savoie, Service eau et environnement - 15 rue Henry-Bordeaux 74998 Annecy Cedex 9 Faisons entendre raison à ceux pour qui la faune sauvage et la nature doivent disparaître pour laisser la place aux animaux d’élevage exploités jusqu’à l’abattoir.
Fidèle jusqu’au bout, ce chien reste blotti contre le cadavre de son maître (vidéo) Les images émouvantes de ce chien recroquevillé tout contre son maître happé accidentellement par un train au Mexique font le tour du monde. Victor Reyna Vazquez, 57 ans, était mort depuis plusieurs heures sur les voies à Montemorelos lorsque les autorités sont finalement parvenues à extirper son plus fidèle compagnon des lieux de l’accident. L’animal visiblement brisé refusait catégoriquement de quitter son maître. De l’amour qui fend le coeur. L’animal de compagnie de Victor Reyna Vazquez, inconsolable après que son propriétaire eut été mortellement fauché par un train, s’était niché tout contre lui. Même lorsque les autorités, après avoir découvert le cadavre signalé sur les voies, ont recouvert son corps d’un drap bleu par pudeur, le chien est retourné se blottir contre lui, comme si plus rien d’autre au monde n’existait. Les secours ont ensuite eu toutes les peines du monde à éloigner l’animal, qui refusait catégoriquement de laisser son meilleur ami. Finalement, ils ont dû user de la force pour séparer la victime et son chien et ainsi libérer les voies. Selon le rapport de police, l’animal a même mordu les agents et ambulanciers qui s’étaient attelés à cette tâche difficile. Quant au décès lui-même, tout semble indiquer qu’il s’agit d’un accident. L’homme aurait, dans son ivresse, chopé sur les rails et serait tombé sur les voies avant d’être fauché par un train. Selon les habitants du quartier, le quinquagénaire était connu pour son alcoolisme. Son chien et lui étaient inséparables depuis de nombreuses années. (Source : 7s7,Las Noticias)
Billy, le chien coincé depuis six jours, a été sorti sain et sauf.
Depuis mercredi dernier, dans la commune de Saint-Usage, un chien blanc de type fox-terrier, prénommé Billy, était coincé dans un tunnel sous le canal de Bourgogne. Il a été sorti sain et sauf en début d’après-midi. Trois plongeurs du service départemental des secours étaient intervenus dans la galerie pour tenter de récupérer Billy. Mais « l’un d’entre eux s’estretrouvé bloqué et a dû recourir à l’aide de ses collègues pour s’en extraire », indiquait lundi matin le préfet dans un communiqué. Après différentes expertises des lieux, le représentant de l’État avait renoncé à faire intervenir des spéléologues pour tenter un nouveau sauvetage, afin de « ne pas continuer à risquer la vie des sauveteurs enpoursuivant cette opération ». Une décision du préfet qui avait provoqué la colère, lundi 8 avril, sur lesréseaux sociaux, des défenseurs des animaux mais aussi de certaines personnalités comme Rémi Gaillard et Julien Courbet, affirmant que les spéléologues étaient disposés à intervenir. Lundi 8 avril, en fin de journée, des spéléologues étaient finalement arrivéssur les lieux pour tenter de sauver Billy, mais n’avaient pas réussi à établir un contact visuel avec l’animal. Leur mission avait pris fin vers 22 heures. Depuis le début de semaine, des spéléologues bénévoles se relayaient pour tenter de sauver le petit chien. Vers 14 heures ce mardi, Voies navigables de France ont fait baisser le niveau du canal de Bourgogne pour faciliter les recherches. Peu de tempsaprès, le chien a été sorti sain et sauf de la galerie dans laquelle il se trouvait.
Un animal peut-il cracher du feu comme un dragon ? (vidéo) Il n’y a presque personne qui puisse égaler Daenerys Targaryen et ses dragons cracheurs de feu. Crédit: HBO
Les dragons ont la défense intégrée ultime: ils peuvent cracher du feu, frapper leurs ennemis en les transformant en enveloppes carbonisées.Mais bien que la littérature historique et moderne soit riche en traditions de dragon (quand nous regardons, « Game of Thrones »), il n’y a aucune preuve physique digne de confiance de l’existence de ces créatures légendaires. Cela dit, y a-t-il des êtres vivants capables de cracher dufeu comme le dragon mythique? La réponse courte est non, mais il y a des animaux étonnamment créatifs qui peuvent cracher des vapeurs nocives, des toxines de leur corps. Et il y a même des rapaces astucieux qui propagent le feu pour pouvoir fumer des proies savoureuses. La principale raison pour laquelle les animaux cracheurs de feu n’existentpas? Eh bien, une flamme pourrait causer un méchant boo-boo.
« Il n’y a pas de vrais animaux qui résistent aux flammes ou qui ne craignent pas les flammes », a déclaré dans un communiqué Rachel Keeffe, étudiante au doctorat étudiant les reptiles et les amphibiens à l’Université de Floride . « Certains animaux peuvent résister à des températures très élevées, comme les bouches de ventilation des océans. Certains vers peuvent vivre dans ces environnements de chaleur vraiment insensés, mais ce n’est pas un feu. »
Ce fait pourrait décevoir Daenerys Targaryen, la soi-disant mère des dragons de « Game of Thrones » de HBO – ainsi que ses enfants cracheurs de feu Drogon, Viserion et Rhaegal – mais il y a encore beaucoup d’animaux ressemblant à des dragons. Prenez, par exemple, le cobra crachant , un groupe qui comprend plusieurs espèces de cobra qui crachent le venin aveuglant de leurs crocs lorsqu’elles sont menacées. Les scorpions afrotropiques du genre Parabuthus peuvent éjecter un venin hautement toxique au niveau d’intrus menaçants. Et, même s’il n’est pas aussi flamboyant que l’explosion de Drogon, legecko Strophurus peut tirer une odeur nauséabonde pour effrayer les prédateurs.
« Ce n’est pas toxique ou quoi que ce soit. C’est juste un peu dégoûtant », a déclaré Keeffe, qui a co-écrit et illustré le livre à paraître « L’anthropologie des dragons: une perspective mondiale ».
Les autres bestioles dont les défenses sortent de leurs derrières comprennent les moufettes et les coléoptères bombardiers ( Pheropsophus jessoensis ), qui pètent un cocktail de produits chimiques toxiques lorsqu’ils sont menacés. Les pets de ces coléoptères sont si puissants qu’ils peuvent pousser les crapauds qui en ont mangé à manger leur dernier repas. C’est exactement ce que veut le scarabée; il peut être recouvert de mucus provenant de l’estomac du crapaud, mais ces coléoptères peuvent parfois survivre à l’épreuve. Cependant, quand il s’agit de combattre avec le feu, les rapaces australiens prennent le premier prix. Trois espèces de ces oiseaux prédateurs Down Under – les cerfs-volants noirs ( Milvus migrans ), les cerfs-volants sifflants ( Haliastur sphenurus ) et les faucons bruns ( Falco berigora ) – se cachent sous les feux de forêt, puis attrapent brusquement des herbes ou des branches qui couvent avec leurs griffes. Les oiseaux utilisent ensuite le feu pour allumer de nouvelles flammes ailleurs qui, à leur tour, fument les mammifères et les proies des insectes qu’ils peuvent manger. Quant aux animaux cracheurs de feu, il semble que ceux-ci soient confinés à notre imagination. Notez simplement que cet éléphant qui respire la fumée n’est pas une sorte d’hybride dragon (voir vidéo ci-dessous). Au lieu de cela, il a probablement mangé des morceaux de charbon de bois provenant du sol de la forêt, puis a soufflé la cendre, a déclaré Varun Goswami, biologiste des éléphants de la Wildlife Conservation Society en Inde, dans un communiqué . (Source : Live Science) Une caméra de surveillance placée dans un parc national de Nagarhole, au sud-ouest de l’Inde ont fait le tour de la toile en capturant des imagesd’un éléphant expirant un épais nuage de fumée ⇓ Game of Thrones – Saison 8 – Bande Annonce Officielle ⇓
Ce commentaire a été modifié le 16/04/2019 à 10:52
Faire Garder Son Chien Pendant Les Vacances Par Catherine Delvaux
Vous partez et ne pouvez emmener votre chien ? Il existe plusieurs solutions ! Faites le meilleur choix possible pour votre fidèle compagnon -
Laissez le numéro de téléphone du vétérinaire à la personne qui s'occupe de votre chien... Et prévoyez sa nourriture habituelle pour le temps de votre absence. Le chat est un animal casanier et avant tout territorial. Il peut rester dans son environnement naturel, même sans vous. Il suffit que quelqu’un passe lui donner à boire et à manger et changer sa litière. Pour le chien, le plus stressant, c’est de perdre sa meute et avec elle, son chef de meute... Dans l’idéal, une garde à domicile, ou chez une personne qu’il connaît et qu’il aime, est donc largement préférable pour lui. Et quand vous partez, laissez- lui des vêtements imprégnés de votre odeur...pour qu’il ne se sente pas complètement abandonné.
La Pension.
Vous laissez votre chien dans un endroit spécialisé dans la garde d’animaux, entre les mains de personnes compétentes. Au-dessus de dix animaux, il faut un employé disposant d’un certificat de capacité «Animaux domestiques », décerné par l’État. Avantage : votre chien est entre les mains de personnes habituées aux animaux. Inconvénients : le coût. L’ambiance « chenil ». Conseil : ne choisissez pas au hasard. Visitez-en plusieurs avant de partir. Fourchette de prix : entre 10 et 20 €/jour.
La Garde À Domicile.
Vous faites venir un pet-sitter qui habite chez vous (étudiant ou retraité). Avantage : l’animal n’est pas trop dépaysé. Inconvénient : il faut trouver la personne en qui on aura toute confiance. Conseil : si vous voulez être en règle avec la loi, sachez que toute personne proposant de s’occuper d’animaux à titre commercial doit déclarer sonactivité et obtenir une autorisation de la Direction des services vétérinaires (DDSV)...Et détenir un certificat de capacité «animaux domestiques» décerné par les services de l’État (loi 99-5 du 6 janvier 1999). Elle doit aussi être assurée. Fourchette de prix : de gratuit à environ 100 €/4 jours.
L’échange.
C’est un échange de garde entre particuliers possédant des animaux et qui ne partent pas en vacances en même temps. Avantage:coût nul,sauf si vous vous inscrivez sur un site d’annonces d’échanges d’animaux entre particulier. (jusqu’à 30 €) Inconvénients : peu de points négatifs si vous tombez sur la bonne personne. Conseil : préparez votre chien avant de le laisser, en faisant plusieurs visites. Fourchette de prix : 0 €.
La Visite À Domicile.
Un pet-sitter vient d’une à plusieurs fois par jour chez vous s’occuper de votre animal, qui reste dans son lieu de vie. Il existe des sites spécialisés... animaute.fr fr.holidog.com Avantage : l’animal n’est pas dépaysé et reste chez lui. Inconvénients : l’animal a peu de compagnie et reste seul sans surveillance un bon laps de temps. Conseil : ce mode de garde n’est pas adapté à une absence de plus de deux jours, car l’animal est trop livré à lui-même. Fourchette de prix : de 10 à 25 €/jour en fonction du nombre de visites et des services. Quant à la personne, elle est soumise à la même réglementation que pour la garde à domicile. Vous partez avec votre animal ? Voici sa valise idéaleL’emmener avec vous, c’est la meilleure solution pour lui. Il aura donc besoin de son bagage. Prévoyez...Son coussin ou sa couverture, ses objets familiers, pour qu’il ne soit pas dépaysé,Une gamelle en plastique et une bouteille d’eau pour le trajet,Quelques rations de sa nourriture habituelle, pour faire une transition en douceur avec les boîtes ou les croquettes que vous trouverez sur place...Son carnet de santé (avec les vaccins à jour)...Ses médicaments, s’il en a...Son collier avec une plaque et votre numéro de téléphone, même s’il est par ailleurs pucé...Si vous voyagez en avion, vérifiez auprès de la compagnie s’il doit aller en soute ou s’il peut rester avec vous. En train, il lui faut un billet spécial (très peu cher).
Ce commentaire a été modifié le 16/04/2019 à 08:47
Une propriétaire de lapin a expliqué pourquoi vous ne devriez jamais en obtenir un avant Pâques.
Quand les gens apportent un lapin à la maison à Pâques, il ne reste généralement pas très longtemps chez eux. En fait, près de 80 % des lapins dans les refuges ont été achetés comme cadeaux de Pâques, selon MyFoxPhilly.com. MsHissyPants, une utilisatrice du site Imgur, en avait marre de voir ces boules de poils se retrouver entre de mauvaises mains, alors elle s’est servie de son lapin Maurie comme exemple pour montrer les choses auxquelles il faut penser avant d’en obtenir un.
Les lapins sont le troisième animal de compagnie le plus populaire en France, après les chats et les chiens. Cependant, c’est aussi le troisième animal le plus abandonné. La plupart des gens ont une idée de la durée de vie des chiens et des chats, du type de soins dont ils ont besoin et de leurs comportements, mais des lapins ? Pas tellement. « Les lapins grandissent très vite et ne sont pas minuscules et mignons très longtemps », « Souvent, après très peu de temps, les gens les abandonnent et ils finissent dans des refuges ou pire encore. » Bien que les lapins puissent être d’adorables compagnons, ils ne sont pas des animaux faciles. Sans surprise, les vétérinaires et les compagnies d’assurance les considèrent comme des animaux exotiques. Cela signifie que leurs soins médicaux peuvent être plus coûteux que pour un chat ou un chien. Les lapins ont également besoin de beaucoup d’exercice et ne devraient pas vivre dans une cage. Cela signifie qu’ilsdoivent apprendre à utiliser un bac à litière, ce qui demande de la patience, tout comme pour les chats. De plus, ce sont des proies et ils n’aiment généralement pas être pris par les humains; ils préfèrent être en contrôle, les pieds sur terre.
Ce chien a un problème de confiance, alors son propriétaire lui a construit un « boudoir » qui comprend même une « télé » pour le réconforter Sean Farrell aime tellement son chien Buster qu’il s’est dit qu’il devrait avoir sa propre petite maison. Après avoir recherché de l’inspiration sur Internet, il a décidé de construireun « boudoir » pour Buster. Malgré n’avoir « aucune expérience en menuiserie », le résultat fut absolument fabuleux. « Buster est un Staffordshire bull terrier de 12 ans », a déclaré Sean, âgé de 47 ans, au site Bored Panda. « Cela fait un peu plus de deux ans que je l’ai adopté. Il n’avait pas eu la meilleure vie, mais cela a changé le jour où je l’ai rencontré. »
« En raison de mauvaises expériences dans sa vie, il n’aime pas les hommes. Quand nous sommes seuls à la maison, il reste seul dans la chambre à coucher. Il ne descendra que lorsque d’autres personnes seront également présentes. Ou pour les promenades et la nourriture », a déclaré Sean.
« Nous avons travaillé très très fort sur ses problèmes de confiance. Et comme son comportement s’est tellement amélioré, il est maintenant un chien de thérapie et nous visitons des maisons de retraite et une clinique de réadaptation pour traumatismes cérébraux. Il accompagne également les personnes à faibles compétences sociales, autisme, agoraphobie, etc. lors de leurs achats. »
« Le boudoir était une idée pour donner à Buster un espace confortable dans la même pièce que moi. Pour vraiment lui faire savoir qu’il peut être en sécurité autour de moi et se sentir en sécurité dans sa petite tanière en même temps. Après l’avoir terminé, il y entra presque instantanément.Cela fait quelques semaines maintenant et il est content de dormir et de rester chez lui. »
Au total, Sean a dépensé environ 115 € pour la nouvellemaison de son ami et il lui a fallu environ 4 jours de travail pour la construire. L’homme a mis à jour la page Facebook de Buster avec des photos du projet et ses admirateurs l’adorent.
Il est écrit « imagine être un singe » sur le devant de sa maison. C’est le premier vers d’une berceuse que je lui chante quand il fait de mauvais rêves.
« Beaucoup de finitions cosmétiques, comme la télévision, les étagères et l’éclairage d’ambiance, étaient vraiment juste pour le plaisir, mais le ventilateur fonctionne très bien », a déclaré le propriétaire de Buster.
« Il y a aussi des photos de mon chien précédent Zook sur le mur. Zook était un peu une célébrité. Il était handicapé et était suivi par des internautes du monde entier. » Zook est décédé à 17 ans et c’est grâce à lui si Sean a trouvé Buster. « Je suis absolument époustouflé par la réaction des centaines de milliers de personnes du monde entier. Les Staffordshire bull terriers ne sont pas bien perçus, alors il est si agréable de pouvoir montrer aux autres qu’ils sont de beaux chiens qui méritent une vie merveilleuse. »
Les animaux peuvent-ils faire preuve de compassion . L’empathie est-elle le propre de l’homme ? Pas vraiment, à en croire de nombreusesétudes. Mieux, les animaux sociaux comme les éléphants ou les chimpanzés seraient capables de compassion. Une notion qui intrigue les chercheurs. La rumeur avait de quoi plaire : à en croire de nombreux messages diffuséssur les réseaux sociaux, lorsqu’un éléphant aperçoit un humain, la mêmezone s’active dans son cerveau que lorsqu’un humain aperçoit un chaton ; les pachydermes nous trouveraient donc mignons.
« Je viens juste d’apprendre que les éléphants pensent que les humains sont mignons de la même façon que les humains trouvent les chatons mignons (la même partie du cerveau s’allume quand ils nous voient), donc remballez-tout, rien d’autre d’aussi pur et bon n’arrivera aujourd’hui. »
Ce tweet, partagé et repris des milliers de fois, conte une jolie fable… que rien ne permet de prouver. Nulle étude ne confirme que les éléphantstrouvent l’être humain mignon. Mais cette affirmation erronée traduit pourtant une réalité : les pachydermes, ainsi que d’autres animaux, semblent pouvoir éprouver de l’empathie, voire de la compassion à notre égard. Et cette idée divise encore la communauté scientifique. De l’empathie à l’altruisme chez les animaux. L’empathie n’a rien d’un sentiment propre à l’homme : elle est la capacité à percevoir et à se mettre à l’unisson de ce que ressent autrui. La peur, par exemple, est une forme d’empathie, et on la retrouve dans la nature sous forme de contagion émotionnelle (des oiseaux prenant la fuite en même temps par exemple). L’empathie est ainsi nécessaire aux interactions sociales, et elle existe notamment chez les animaux qui vivent en groupe, dits sociaux.
« Lorsqu’on montre à des humains et à des grands singes des images chargées d’émotion, on observe des modifications similaires de leurs cerveau et de leur température périphérique, précise Carl Safina, auteur plusieurs fois primé pour ses ouvrages sur l’environnement, dans son livre Qu’est-ce qui fait sourire lesanimaux ? L’empathie est automatique. Elle n’exige aucune réflexion. Le cerveau établit automatiquement la correspondance d’humeur et ne fait prendre consciencede l’émotion qu’ensuite. Les animaux qui jouent doivent savoir que l’individu qui leur court après et les attaque n’est pas sérieux : empathie. Comprendre l’invitation au jeu : empathie. » « Plus le cerveau est compliqué, plus il y aura des émotions raffinées et fines. C’est vrai pour l’émotion. C’est vrai pour tout « , précisait Georges Chapouthier, neurobiologiste et philosophe, membre du conseil d’administration de La Fondation Droit Animal.Dans tous les groupes sociaux fortement intégrés il y a une forte interaction et une forte empathie nécessaire au fonctionnement du groupe.
Ce “sentiment” peut donc s’expliquer simplement : il y a un intérêt collectif à coopérer pour ces animaux. En ce sens, l’empathie est compatible avec la théorie de l’évolution et de la sélection naturelle des espèces de Charles Darwin. Pourtant, chez certains animaux, comme les éléphants, l’empathie semble virer à la compassion ou à l’altruisme,non seulement entre eux mais également à d’autres espèces, ce qui intrigue les chercheurs. Les éléphants, des animaux capables de compassion. Dans leur étude, “Les éléphants sont-ils capables d’empathie ?” (“Do Elephants Show Empathy ?”), la chercheuse Lucy Bates et ses collègues affirment ainsi que les éléphants sont capables de secourir ceux qui souffrent et de s’aider mutuellement. Des scientifiques ont pu observer des éléphants nourrir un congénère blessé à la trompe ou encore arracher les fléchettes tranquillisantes utilisées par les soigneurs. En 2013, au Kenya, lors du décès d’une éléphante nommée Victoria, trois groupes distincts d’éléphants sont venus défiler devant la dépouille, s’arrêtant plusieurs secondes avant de repartir. Si les scientifiques se méfient de notre tendance à tirer de cet événement une analyse anthropomorphique, ils reconnaissent un comportement inhabituel. Les comportements altruistes des éléphants ne semblent pourtant pas motivéspar des mécanismes de survie lorsque ces derniers viennent en aide à d’autres espèces. En Inde, par exemple, il a été fait mention d’un éléphant utilisé pour enfoncer des poteaux dans des trous préalablement creusés. L’éléphant domestiqué a soudainement refusé de continuer sa tâche, jusqu’à ce que le mahout, son “guide”, réalise qu’un chien était endormi dans un des trous et ne le fasse partir. Après quoi l’éléphant arepris son travail. Plus curieux encore, les éléphants peuvent aider des humains. Dans son livre“Qu’est-ce qui fait sourire les animaux ?”, Carl Safina relate ainsi plusieurs fois où des pachydermes sont venus en aide à des humains :
Un berger s’était cassé une jambe dans un affrontement accidentel avec une matriarche. […] Il a expliqué plus tard qu’après l’avoir frappé, l’éléphante s’était rendu compte qu’il ne pouvait plus marcher. A l’aide de sa trompe et de ses pattes avant, elle l’avait doucement déplacé un peu plus loin et l’avait adossé à l’ombre d’un arbre. L’effleurant de temps en temps de sa trompe, elle l’avait veillé toute la nuit, bien quesa famille ne l’ait pas attendue.
Selon la chercheuse Lucy Bates et ses collaborateurs, les éléphants, en plus d’avoir des capacités cognitives très élevées, ont ainsi une empathie équivalente à celle des humains. Chimpanzés, chiens, rats : une empathie partagée. Mais les éléphants sont loin d’être les seuls animaux soupçonnés d’empathie.Ce genre de comportements a été observé chez les très grands singes à de nombreuses reprises. En septembre 2013, dans l’émission Les Racines du ciel, le docteur en génétique cellulaire et moine bouddhiste Matthieu Ricard,venu parler de la notion d’altruisme, racontait ainsi comment un bonobonommé Kuni avait pris soin d’un étourneau :
L’oiseau avait percuté une vitre et était tombé par terre. Le singe l’a pris entre ses mains, a étendu ses ailes et l’a lâché pour voir s’il volait, puis il est monté sur une branche a écarté ses ailes et l’a lancé : l’oiseau est retombé. D’autres Bonobo s’approchant, il l’a repris pour le protéger…
Les bonobos ayant un régime omnivore, la protection n’avait rien de superflu : l’oiseau sauvé a ainsi fini par s’envoler à nouveau.D’autres exemples témoignent de la capacité des grands singes à aider également les êtres humains : en 1996, au Zoo de Brookfield à Chicago, une femellegorille a ainsi rapporté à l’entrée de l’enclos un petit garçon de 3 ans qui avait fait une chute de 6 m dans l’enceinte des primates, raconte Emmanuelle Pouydebat dans L’Intelligence animale. Selon une étude de 2015 de Jaak et Jules Panksepp, intitulée Toward a cross-species understanding of empathy, on dénombre ainsi plus de 2000 anecdotes qui confirment que les primates non-humains sont capables d’empathie. Longtemps, les scientifiques ont contesté la possibilité de l’empathie chez les animaux, cherchant une explication plus égoïste à ces comportements. Pourtant, dès 1959, une étude intitulée Emotional reactions of rats to the pain of others (Les Réactions émotionnelles des rats face à la douleur des autres), démontrait que les rats, s’ils avaient la possibilité d’obtenir de la nourriture en poussant un levier au prix d’une décharge électrique sur l’un de leurs congénères, choisissaient le plus souvent de ne rien faire. Quelles origines pour l’empathie ? Dans une étude publiée en janvier 2016 dans la revue américaine Science, des chercheurs ont mis en évidence le rôle de l’ocytocine, un neurotransmetteur, dans les comportements empathiques chez les campagnols des prairies. Alors qu’ils avaient tendance à consoler des rongeurs de leur “famille” soumis à du stress, les campagnols cessaient de les aider dès lors qu’ils étaient privés parles chercheurs de ce neurotransmetteur. Le résultat de l’étude continue de mettre à mal l’idée que seule la compétition régule les relations entre animaux, ce que Charles Darwin avait d’ailleurs anticipé dans La Descendance de l’homme et la sélectionsexuelle : il expliquait d’ores et déjà qu’à l’intérieur d’une tribu, un animal honnête n’était pas forcément avantagé,mais qu’un groupe avec des congénères honnêtes possédait un avantage sur les autres groupes, cela constituant in fine « une sélection naturelle ». Pour le biologiste Frans de Waal, co-auteur de l’étude sus-citée et spécialiste des primates, l’empathie trouve effectivement ses origines dans un processus évolutif, dicté par l’instinct maternel :
« Pendant 200 millions d’années d’évolution des mammifères, les femelles sensibles à leur progéniture se reproduisirent davantage que les femelles froides et distantes. Il s’est sûrement exercé une incroyable pression de sélection sur cette sensibilité ».
Invité en octobre 2016 de La Grande Table, le biologiste auteur de « Sommes nous trop ‘bêtes’ pour comprendre l’intelligence des animaux », regrettait que les scientifiques aient si longtemps mis de côté la notion d’intelligence animale :
L’intelligence animale était un tabou au siècle dernier, on essayait de tout mettre dans deux boîtes : soit c’est l’instinct, soit c’est de l’apprentissage très simple. C’est seulement depuis 25 ans que de jeunes scientifiques regardent en dehors de ces boîtes et proposent que les animaux puissent avoir des concepts, puissent planifier, fabriquer des outils… Chaque semaine il y a des découvertes comme ça. […] La façon dont on traite les animaux peut être influencée par ce genre de recherches.
Située à Montreuil-au-Houlme (Orne), l’association Suzi Handicap Animal accumulait 66 000 euros de dettes. Un millionnaire, impliqué dans la cause animale, en a remboursé une grande partie.
Le refuge Suzi Handicap Animal, situé dans l’Orne, avait lancé une cagnotte en ligne au début du mois pour tenter de sauver sa structure qui accueille des animaux handicapés et maltraités. La cagnotte a atteint 9 700 euros mais, hélas, cela ne suffisait pas.
Mais le dimanche 14 avril, la créatrice du refuge, Stéphanie Lisicki reçoit un appel d’un certain Jean-Baptiste Descroix-Vernier. Homme d’affaires millionnaire impliqué dans la cause animale, il est aussi l’un des plus gros donateurs privés de WWF, One Voice, Pro anima, Gamelles Pleines et L214. « Il a demandé l’ensemble des factures. Il a étudié tout ça et nous a rappelé en nous disant qu’il remboursait tous les frais vétérinaires, soit 55 000 euros », explique Stéphanie.
Une somme importante qui permet de régler les frais vétérinaires du refuge,qui atteignent 15 000 euros chaque mois.
« Ce sont des animaux en grande faiblesse. Soit qui ont été martyrisés, ou qui sont nés lourdement handicapés. Peu sont adoptables, et les frais vétérinaires sont importants. Je me suis dit que si je ne les sauvais pas, ils plieraient boutique, tout simplement. Or, ce qu’ils font est important », raconte le donateur.
L'association est donc sauvée temporairement. Reste à trouver un financement viable pour continuer à soigner les différents animaux recueillis.
La cagnotte est toujours en ligne pour que Suzi Handicap Animal puisse continuer à vivre encore longtemps et recueillir un maximum de dons.
Urgence ! Une consultation est ouverte jusqu’au 28 avril prochain pour recueillir l’avis du public sur le massacre des bouquetins du
Bargy. Empêchons la mise à mort de ces magnifiques habitants des montagnes !
Dans un monde sensé, quand un individu est malade, on le soigne ou, si c’est impossible, on abrège ses souffrances. Et s’il est contagieux, on protège les autres via la vaccination. En Haute-Savoie, quand un bouquetin est potentiellement porteur d’une zoonose, on l’abat. Même s’il est en parfaite santé. Même si, fragile, il est protégé par la convention de Berne. Sans autre forme de procès.
Éradication pure et simple.
Depuis 2013, One Voice et ses partenaires militent contre les « prélèvements » (entendez « abattages ») à répétition des bouquetins du Bargy. Leur tort ?Être porteurs pour certains de brucellose,une zoonose transmise par les animaux domestiques et naturellement non présente chezles ongulés sauvages. Ainsi, alors que le bon sens devrait inciter les éleveurs à soigner leurs ovins, bovins ou caprins infectés, ils s’en prennent aux individus sauvages qui ont eu le malheur de les côtoyer de trop près dans les alpages. Les producteurs de fromage les ont même tenus responsables de la contamination de Reblochons, bien que tout porte à invalider cette hypothèse plus que douteuse.
Faites-vous entendre !
Aujourd’hui, alors que nombre de bouquetins bien portants ont déjà péri sous les balles, que le niveau de prévalence a nettement baissé, que le risque pour les élevages est considéré comme quasi nul, va-t-on les laisser tranquilles ?
Que nenni ! Le préfet de Haute-Savoie projette un nouvel arrêté pour 2019, qui ordonne notamment « le prélèvement de bouquetins présents sur les secteurs «Grand Bargy», «Petit Bargy» et «Jalouvre Peyre». Présenté à la consultation publique jusqu’au 28 avril inclus, cet arrêté permettrait la mise à mort de 94 autres bouquetins s’il obtient une majorité d’avis favorables.
Mobilisons-nous pour empêcher ces massacres planifiés, alors que des alternatives existent ! Joignez vos voix à la nôtre sans tarder en répondant à la consultation:soit par mail :
[url=mailto[img]]dt-consultations-publiques@haute-savoie.gouv.fr">ddtconsultationspubliques@haute-savoie.gouv.fr[/url]</span[/img]
soit par courrier postal: Direction départementale des territoires de la Haute-Savoie, Service eau et environnement - 15 rue Henry-Bordeaux 74998 Annecy Cedex 9
Faisons entendre raison à ceux pour qui la faune sauvage et la nature doivent disparaître pour laisser la place aux animaux d’élevage exploités jusqu’à l’abattoir.
Les images émouvantes de ce chien recroquevillé tout contre son maître happé accidentellement par un train au Mexique font le tour du monde. Victor Reyna Vazquez, 57 ans, était mort depuis plusieurs heures sur les voies à Montemorelos lorsque les autorités sont finalement parvenues à extirper son plus fidèle compagnon des lieux de l’accident. L’animal visiblement brisé refusait catégoriquement de quitter son maître.
De l’amour qui fend le coeur. L’animal de compagnie de Victor Reyna Vazquez, inconsolable après que son propriétaire eut été mortellement fauché par un train, s’était niché tout contre lui. Même lorsque les autorités, après avoir découvert le cadavre signalé sur les voies, ont recouvert son corps d’un drap bleu par pudeur, le chien est retourné se blottir contre lui, comme si plus rien d’autre au monde n’existait.
Les secours ont ensuite eu toutes les peines du monde à éloigner l’animal, qui refusait catégoriquement de laisser son meilleur ami. Finalement, ils ont dû user de la force pour séparer la victime et son chien et ainsi libérer les voies. Selon le rapport de police, l’animal a même mordu les agents et ambulanciers qui s’étaient attelés à cette tâche difficile.
Quant au décès lui-même, tout semble indiquer qu’il s’agit d’un accident.
L’homme aurait, dans son ivresse, chopé sur les rails et serait tombé sur les voies avant d’être fauché par un train. Selon les habitants du quartier, le quinquagénaire était connu pour son alcoolisme. Son chien et lui étaient inséparables depuis de nombreuses années.
(Source : 7s7,Las Noticias)
Depuis mercredi dernier, dans la commune de Saint-Usage, un chien blanc de type fox-terrier, prénommé Billy, était coincé dans un tunnel sous le canal de Bourgogne. Il a été sorti sain et sauf en début d’après-midi.
Trois plongeurs du service départemental des secours étaient intervenus dans la galerie pour tenter de récupérer Billy. Mais « l’un d’entre eux s’estretrouvé bloqué et a dû recourir à l’aide de ses collègues pour s’en extraire », indiquait lundi matin le préfet dans un communiqué.
Après différentes expertises des lieux, le représentant de l’État avait renoncé à faire intervenir des spéléologues pour tenter un nouveau sauvetage, afin de « ne pas continuer à risquer la vie des sauveteurs enpoursuivant cette opération ».
Une décision du préfet qui avait provoqué la colère, lundi 8 avril, sur lesréseaux sociaux, des défenseurs des animaux mais aussi de certaines personnalités comme Rémi Gaillard et Julien Courbet, affirmant que les spéléologues étaient disposés à intervenir.
Lundi 8 avril, en fin de journée, des spéléologues étaient finalement arrivéssur les lieux pour tenter de sauver Billy, mais n’avaient pas réussi à établir un contact visuel avec l’animal. Leur mission avait pris fin vers 22 heures.
Depuis le début de semaine, des spéléologues bénévoles se relayaient pour tenter de sauver le petit chien.
Vers 14 heures ce mardi, Voies navigables de France ont fait baisser le niveau du canal de Bourgogne pour faciliter les recherches. Peu de tempsaprès, le chien a été sorti sain et sauf de la galerie dans laquelle il se trouvait.
Il n’y a presque personne qui puisse égaler Daenerys Targaryen et ses dragons cracheurs de feu. Crédit: HBO
Les dragons ont la défense intégrée ultime: ils peuvent cracher du feu, frapper leurs ennemis en les transformant en enveloppes carbonisées.Mais bien que la littérature historique et moderne soit riche en traditions de dragon (quand nous regardons, « Game of Thrones »), il n’y a aucune preuve physique digne de confiance de l’existence de ces créatures légendaires. Cela dit, y a-t-il des êtres vivants capables de cracher dufeu comme le dragon mythique?
La réponse courte est non, mais il y a des animaux étonnamment créatifs qui peuvent cracher des vapeurs nocives, des toxines de leur corps. Et il y a même des rapaces astucieux qui propagent le feu pour pouvoir fumer des proies savoureuses.
La principale raison pour laquelle les animaux cracheurs de feu n’existentpas? Eh bien, une flamme pourrait causer un méchant boo-boo.
Ce fait pourrait décevoir Daenerys Targaryen, la soi-disant mère des dragons de « Game of Thrones » de HBO – ainsi que ses enfants cracheurs de feu Drogon, Viserion et Rhaegal – mais il y a encore beaucoup d’animaux ressemblant à des dragons. Prenez, par exemple, le cobra crachant , un groupe qui comprend plusieurs espèces de cobra qui crachent le venin aveuglant de leurs crocs lorsqu’elles sont menacées. Les scorpions afrotropiques du genre Parabuthus peuvent éjecter un venin hautement toxique au niveau d’intrus menaçants.
Et, même s’il n’est pas aussi flamboyant que l’explosion de Drogon, legecko Strophurus peut tirer une odeur nauséabonde pour effrayer les prédateurs.
Les autres bestioles dont les défenses sortent de leurs derrières comprennent les moufettes et les coléoptères bombardiers ( Pheropsophus jessoensis ), qui pètent un cocktail de produits chimiques toxiques lorsqu’ils sont menacés.
Les pets de ces coléoptères sont si puissants qu’ils peuvent pousser les crapauds qui en ont mangé à manger leur dernier repas. C’est exactement ce que veut le scarabée; il peut être recouvert de mucus provenant de l’estomac du crapaud, mais ces coléoptères peuvent parfois survivre à l’épreuve.
Cependant, quand il s’agit de combattre avec le feu, les rapaces australiens prennent le premier prix. Trois espèces de ces oiseaux prédateurs Down Under – les cerfs-volants noirs ( Milvus migrans ), les cerfs-volants sifflants ( Haliastur sphenurus ) et les faucons bruns ( Falco berigora ) – se cachent sous les feux de forêt, puis attrapent brusquement des herbes ou des branches qui couvent avec leurs griffes.
Les oiseaux utilisent ensuite le feu pour allumer de nouvelles flammes ailleurs qui, à leur tour, fument les mammifères et les proies des insectes qu’ils peuvent manger.
Quant aux animaux cracheurs de feu, il semble que ceux-ci soient confinés à notre imagination. Notez simplement que cet éléphant qui respire la fumée n’est pas une sorte d’hybride dragon (voir vidéo ci-dessous). Au lieu de cela, il a probablement mangé des morceaux de charbon de bois provenant du sol de la forêt, puis a soufflé la cendre, a déclaré Varun Goswami, biologiste des éléphants de la Wildlife Conservation Society en
Inde, dans un communiqué .
(Source : Live Science)
Une caméra de surveillance placée dans un parc national de Nagarhole, au sud-ouest de l’Inde ont fait le tour de la toile en capturant des imagesd’un éléphant expirant un épais nuage de fumée ⇓
Game of Thrones – Saison 8 – Bande Annonce Officielle ⇓
Par Catherine Delvaux
Vous partez et ne pouvez emmener votre chien ?
Il existe plusieurs solutions !
Faites le meilleur choix possible pour votre fidèle compagnon -
Laissez le numéro de téléphone du vétérinaire à la personne qui s'occupe de votre chien...
Et prévoyez sa nourriture habituelle pour le temps de votre absence.
Le chat est un animal casanier et avant tout territorial. Il peut rester dans son environnement naturel, même sans vous.
Il suffit que quelqu’un passe lui donner à boire et à manger et changer sa litière.
Pour le chien, le plus stressant, c’est de perdre sa meute et avec elle, son chef de meute... Dans l’idéal, une garde à domicile, ou chez une personne qu’il connaît et qu’il aime, est donc largement préférable pour lui.
Et quand vous partez, laissez- lui des vêtements imprégnés de votre odeur...pour qu’il ne se sente pas complètement abandonné.
La Pension.
Vous laissez votre chien dans un endroit spécialisé dans la garde d’animaux, entre les mains de personnes compétentes.
Au-dessus de dix animaux, il faut un employé disposant d’un certificat de capacité «Animaux domestiques », décerné par l’État.
Avantage : votre chien est entre les mains de personnes habituées aux animaux.
Inconvénients : le coût. L’ambiance « chenil ».
Conseil : ne choisissez pas au hasard. Visitez-en plusieurs avant de partir.
Fourchette de prix : entre 10 et 20 €/jour.
La Garde À Domicile.
Vous faites venir un pet-sitter qui habite chez vous (étudiant ou retraité).
Avantage : l’animal n’est pas trop dépaysé.
Inconvénient : il faut trouver la personne en qui on aura toute confiance.
Conseil : si vous voulez être en règle avec la loi, sachez que toute personne proposant de s’occuper d’animaux à titre commercial doit déclarer sonactivité et obtenir une autorisation de la Direction des services vétérinaires (DDSV)...Et détenir un certificat de capacité «animaux domestiques» décerné par les services de l’État (loi 99-5 du 6 janvier 1999).
Elle doit aussi être assurée.
Fourchette de prix : de gratuit à environ 100 €/4 jours.
L’échange.
C’est un échange de garde entre particuliers possédant des animaux et qui ne partent pas en vacances en même temps.
Avantage:coût nul,sauf si vous vous inscrivez sur un site d’annonces d’échanges d’animaux entre particulier.
(jusqu’à 30 €)
Inconvénients : peu de points négatifs si vous tombez sur la bonne personne.
Conseil : préparez votre chien avant de le laisser, en faisant plusieurs visites.
Fourchette de prix : 0 €.
La Visite À Domicile.
Un pet-sitter vient d’une à plusieurs fois par jour chez vous s’occuper de votre animal, qui reste dans son lieu de vie.
Il existe des sites spécialisés...
animaute.fr
fr.holidog.com
Avantage : l’animal n’est pas dépaysé et reste chez lui.
Inconvénients : l’animal a peu de compagnie et reste seul sans surveillance un bon laps de temps.
Conseil : ce mode de garde n’est pas adapté à une absence de plus de deux jours, car l’animal est trop livré à lui-même.
Fourchette de prix : de 10 à 25 €/jour en fonction du nombre de visites et des services.
Quant à la personne, elle est soumise à la même réglementation que pour la garde à domicile.
Vous partez avec votre animal ? Voici sa valise idéale L’emmener avec vous, c’est la meilleure solution pour lui. Il aura donc besoin de son bagage. Prévoyez...Son coussin ou sa couverture, ses objets familiers, pour qu’il ne soit pas dépaysé,Une gamelle en plastique et une bouteille d’eau pour le trajet,Quelques rations de sa nourriture habituelle, pour faire une transition en douceur avec les boîtes ou les croquettes que vous trouverez sur place...Son carnet de santé (avec les vaccins à jour)...Ses médicaments, s’il en a...Son collier avec une plaque et votre numéro de téléphone, même s’il est par ailleurs pucé...Si vous voyagez en avion, vérifiez auprès de la compagnie s’il doit aller en soute ou s’il peut rester avec vous. En train, il lui faut un billet spécial (très peu cher).
Quand les gens apportent un lapin à la maison à Pâques, il ne reste généralement pas très longtemps chez eux. En fait, près de 80 % des lapins dans les refuges ont été achetés comme cadeaux de Pâques, selon MyFoxPhilly.com.
MsHissyPants, une utilisatrice du site Imgur, en avait marre de voir ces boules de poils se retrouver entre de mauvaises mains, alors elle s’est servie de son lapin Maurie comme exemple pour montrer les choses auxquelles il faut penser avant d’en obtenir un.
Les lapins sont le troisième animal de compagnie le plus populaire en France, après les chats et les chiens. Cependant, c’est aussi le troisième animal le plus abandonné. La plupart des gens ont une idée de la durée de vie des chiens et des chats, du type de soins dont ils ont besoin et de leurs comportements, mais des lapins ? Pas tellement.
« Les lapins grandissent très vite et ne sont pas minuscules et mignons très longtemps », « Souvent, après très peu de temps, les gens les abandonnent et ils finissent dans des refuges ou pire encore. »
Bien que les lapins puissent être d’adorables compagnons, ils ne sont pas des animaux faciles. Sans surprise, les vétérinaires et les compagnies d’assurance les considèrent comme des animaux exotiques. Cela signifie que leurs soins médicaux peuvent être plus coûteux que pour un chat ou un chien. Les lapins ont également besoin de beaucoup
d’exercice et ne devraient pas vivre dans une cage. Cela signifie qu’ilsdoivent apprendre à utiliser un bac à litière, ce qui demande de la patience, tout comme pour les chats. De plus, ce sont des proies et ils n’aiment généralement pas être pris par les humains; ils préfèrent être en contrôle, les pieds sur terre.
Sean Farrell aime tellement son chien Buster qu’il s’est dit qu’il devrait avoir sa propre petite maison. Après avoir recherché de l’inspiration sur Internet, il a décidé de construireun « boudoir » pour Buster. Malgré n’avoir « aucune expérience en menuiserie », le résultat fut absolument fabuleux.
« Buster est un Staffordshire bull terrier de 12 ans », a déclaré Sean, âgé de 47 ans, au site Bored Panda. « Cela fait un peu plus de deux ans que je l’ai adopté. Il n’avait pas eu la meilleure vie, mais cela a changé le jour où je l’ai rencontré. »
« En raison de mauvaises expériences dans sa vie, il n’aime pas les hommes.
Quand nous sommes seuls à la maison, il reste seul dans la chambre à coucher.
Il ne descendra que lorsque d’autres personnes seront également présentes.
Ou pour les promenades et la nourriture », a déclaré Sean.
« Nous avons travaillé très très fort sur ses problèmes de confiance. Et comme son comportement s’est tellement amélioré, il est maintenant un chien de thérapie et nous visitons des maisons de retraite et une clinique de réadaptation pour traumatismes cérébraux. Il accompagne également les personnes à faibles compétences sociales, autisme, agoraphobie, etc. lors de leurs achats. »
« Le boudoir était une idée pour donner à Buster un espace confortable dans la même pièce que moi. Pour vraiment lui faire savoir qu’il peut être en sécurité autour de moi et se sentir en sécurité dans sa petite tanière en même temps. Après l’avoir terminé, il y entra presque instantanément.Cela fait quelques semaines maintenant et il est content de dormir et
de rester chez lui. »
Au total, Sean a dépensé environ 115 € pour la nouvellemaison de son ami et il lui a fallu environ 4 jours de travail pour la
construire. L’homme a mis à jour la page Facebook de Buster avec des photos du projet et ses admirateurs l’adorent.
Il est écrit « imagine être un singe » sur le devant de sa maison. C’est le premier vers d’une berceuse que je lui chante quand il fait de mauvais rêves.
« Beaucoup de finitions cosmétiques, comme la télévision, les étagères et l’éclairage d’ambiance, étaient vraiment juste pour le plaisir, mais le ventilateur fonctionne très bien », a déclaré le propriétaire de Buster.
« Il y a aussi des photos de mon chien précédent Zook sur le mur. Zook était un peu une célébrité. Il était handicapé et était suivi par des internautes du monde entier. » Zook est décédé à 17 ans et c’est grâce à lui si Sean a trouvé Buster.
« Je suis absolument époustouflé par la réaction des centaines de milliers de personnes du monde entier.
Les Staffordshire bull terriers ne sont pas bien perçus, alors il est si agréable de pouvoir montrer aux autres qu’ils sont de beaux chiens qui méritent une vie merveilleuse. »
L’empathie est-elle le propre de l’homme ? Pas vraiment, à en croire de nombreusesétudes. Mieux, les animaux sociaux comme les éléphants ou les chimpanzés seraient capables de compassion. Une notion qui intrigue les chercheurs.
La rumeur avait de quoi plaire : à en croire de nombreux messages diffuséssur les réseaux sociaux, lorsqu’un éléphant aperçoit un humain, la mêmezone s’active dans son cerveau que lorsqu’un humain aperçoit un chaton ; les pachydermes nous trouveraient donc mignons.
Ce tweet, partagé et repris des milliers de fois, conte une jolie fable… que rien ne permet de prouver. Nulle étude ne confirme que les éléphantstrouvent l’être humain mignon. Mais cette affirmation erronée traduit pourtant une réalité : les pachydermes, ainsi que d’autres animaux, semblent pouvoir éprouver de l’empathie, voire de la compassion à notre
égard. Et cette idée divise encore la communauté scientifique.
De l’empathie à l’altruisme chez les animaux.
L’empathie n’a rien d’un sentiment propre à l’homme : elle est la capacité à percevoir et à se mettre à l’unisson de ce que ressent autrui. La peur, par exemple, est une forme d’empathie, et on la retrouve dans la nature sous forme de contagion émotionnelle (des oiseaux prenant la fuite en même temps par exemple). L’empathie est ainsi nécessaire aux interactions sociales, et elle existe notamment chez les animaux qui vivent en groupe, dits sociaux.
Ce “sentiment” peut donc s’expliquer simplement : il y a un intérêt collectif à coopérer pour ces animaux. En ce sens, l’empathie est compatible avec la théorie de l’évolution et de la sélection naturelle des espèces de Charles Darwin. Pourtant, chez certains animaux, comme les éléphants, l’empathie semble virer à la compassion ou à l’altruisme,non seulement entre eux mais également à d’autres espèces, ce qui intrigue les chercheurs.
Les éléphants, des animaux capables de compassion.
Dans leur étude, “Les éléphants sont-ils capables d’empathie ?” (“Do Elephants Show Empathy ?”), la chercheuse Lucy Bates et ses collègues affirment ainsi que les éléphants sont capables de secourir ceux qui souffrent et de s’aider
mutuellement. Des scientifiques ont pu observer des éléphants nourrir un congénère blessé à la trompe ou encore arracher les fléchettes tranquillisantes utilisées par les soigneurs. En 2013, au Kenya, lors du décès d’une éléphante nommée Victoria, trois groupes distincts d’éléphants sont venus défiler devant la dépouille, s’arrêtant plusieurs secondes avant de repartir. Si les scientifiques se méfient de notre tendance à tirer de cet événement une analyse anthropomorphique, ils reconnaissent un comportement inhabituel.
Les comportements altruistes des éléphants ne semblent pourtant pas motivéspar des mécanismes de survie lorsque ces derniers viennent en aide à d’autres espèces. En Inde, par exemple, il a été fait mention d’un éléphant utilisé pour enfoncer des poteaux dans des trous préalablement creusés. L’éléphant domestiqué a soudainement refusé de continuer sa tâche, jusqu’à ce que le mahout, son “guide”, réalise qu’un chien était endormi dans un des trous et ne le fasse partir. Après quoi l’éléphant arepris son travail.
Plus curieux encore, les éléphants peuvent aider des humains. Dans son livre“Qu’est-ce qui fait sourire les animaux ?”, Carl Safina relate ainsi plusieurs fois où des pachydermes sont venus en aide à des humains :
Selon la chercheuse Lucy Bates et ses collaborateurs, les éléphants, en plus d’avoir des capacités cognitives très élevées, ont ainsi une empathie équivalente à celle des humains.
Chimpanzés, chiens, rats : une empathie partagée.
Mais les éléphants sont loin d’être les seuls animaux soupçonnés d’empathie.Ce genre de comportements a été observé chez les très grands singes à de nombreuses reprises. En septembre 2013, dans l’émission Les Racines du ciel, le docteur en génétique cellulaire et moine bouddhiste Matthieu Ricard,venu parler de la notion d’altruisme, racontait ainsi comment un bonobonommé Kuni avait pris soin d’un étourneau :
Les bonobos ayant un régime omnivore, la protection n’avait rien de superflu : l’oiseau sauvé a ainsi fini par s’envoler à nouveau.D’autres exemples témoignent de la capacité des grands singes à aider également les êtres humains : en 1996, au Zoo de Brookfield à Chicago, une femellegorille a ainsi rapporté à l’entrée de l’enclos un petit garçon de 3 ans qui avait fait une chute de 6 m dans l’enceinte des primates, raconte Emmanuelle Pouydebat dans L’Intelligence animale. Selon une
étude de 2015 de Jaak et Jules Panksepp, intitulée Toward a cross-species understanding of empathy, on dénombre ainsi plus de 2000 anecdotes qui confirment que les primates non-humains sont capables d’empathie.
Longtemps, les scientifiques ont contesté la possibilité de l’empathie chez les animaux, cherchant une explication plus égoïste à ces comportements.
Pourtant, dès 1959, une étude intitulée Emotional reactions of rats to the pain of others (Les Réactions émotionnelles des rats face à la douleur des autres), démontrait que les rats, s’ils avaient la possibilité d’obtenir de la nourriture en poussant un levier au prix d’une décharge électrique sur l’un de leurs congénères, choisissaient le plus souvent de ne rien faire.
Quelles origines pour l’empathie ?
Dans une étude publiée en janvier 2016 dans la revue américaine Science, des chercheurs ont mis en évidence le rôle de l’ocytocine, un neurotransmetteur, dans les comportements empathiques chez les campagnols des prairies. Alors qu’ils avaient tendance à consoler des rongeurs de leur “famille” soumis à du stress, les campagnols cessaient de les aider dès lors qu’ils étaient privés parles chercheurs de ce neurotransmetteur.
Le résultat de l’étude continue de mettre à mal l’idée que seule la compétition régule les relations entre animaux, ce que Charles Darwin avait d’ailleurs anticipé dans La Descendance de l’homme et la sélectionsexuelle : il expliquait d’ores et déjà qu’à l’intérieur d’une tribu, un animal honnête n’était pas forcément avantagé,mais qu’un groupe avec des congénères honnêtes possédait un avantage sur les autres groupes, cela constituant in fine « une sélection naturelle ».
Pour le biologiste Frans de Waal, co-auteur de l’étude sus-citée et spécialiste des primates, l’empathie trouve effectivement ses origines dans un processus évolutif, dicté par l’instinct maternel :
Invité en octobre 2016 de La Grande Table, le biologiste auteur de « Sommes nous trop ‘bêtes’ pour comprendre
l’intelligence des animaux », regrettait que les scientifiques aient si longtemps mis de côté la notion d’intelligence animale :
(Source : France Culture)