Canard carolin femelle et ses petits, comté d’Arapahoe, Colorado. Cette sympathique famille de canard appartient à l’espèce “carolin”, baptiséeainsi en référence à l’État américain où elle a été pour la première fois observée. Nos amis sont donc bien originaires d’Amérique du Nord, même si parfois on peut les trouver dans quelques parcs animaliers d’Europe. Le mâle est particulièrement reconnaissable à son magnifique plumage coloré qu’il revêt lors de la période des amours. L’autre particularité de cette espèce est que, contrairement aux autres canards,ils nichent dans les arbres. C’est grâce à leurs pieds munis de griffesqu’ils peuvent accomplir cette prouesse. Les petits naissent ainsi en hauteur et doivent, alors qu’ils ne sont âgés que de deux jours, sauter du nid pour gagner la mare. Cela peut paraître effrayant mais heureusement peu de poussins se blessent pendant cet exercice. Ouf !
Cause animale : un arrêté interministériel signe la fin de la captivité des dauphins et des orques en France !
Dans quelques années, il n'y aura plus de dauphins captifs en France : c'est ce que promet un arrêté interministériel, publié ce samedi 6 mai au Journal Officiel.
Tombé comme un coup de tonnerre sur les parcs aquatiques et autres delphinariums, le texte prévoit entre autres d'interdire formellement en France la reproduction des orques et dauphins en captivité, ainsi que les achats ou les échanges avec d'éventuels autres bassins à l'étranger.
Concrètement, ce texte signifie que les cétacés actuellement détenus en France feront partie de la toute dernière génération à vivre dans des bassins — et promet, à terme, la fin totale de la captivité de ces animaux dans l'hexagone
Le texte devait, au départ, imposer des normes plus strictes, des conditions plus rigoureuses aux établissements, et notamment un élargissement de la taille des bassins et l'obligation de conduire certains travaux spécifiques pour améliorer les conditions de vie des mammifères marins et garantir leur bien-être. Par contre, le texte ne prévoyait pas du tout, à l'origine, d'interdire la reproduction des dauphins en captivité !
Évidemment, si certains ont été agréablement surpris par la nouvelle, ce n'est pas vraiment le cas des propriétaires de parcs aquatiques, qui crient au scandale et se disent « stupéfaits » et « en colère » par cette clause supplémentaire discrètement ajoutée aux trente-trois articles de l'arrêté, à la veille de l'élection présidentielle.
Pour les écologistes et les militants de la cause animale, l'abolition de la captivité des cétacés représente une victoire de premier plan. Diverses associations se sont exprimées favorablement à ce sujet : en effet, elles considèrent que les grands mammifères marins sont des animaux qui ne sont pas faits pour vivre en captivité, notamment parce qu'ils sont physiquement destinés à nager sur des kilomètres, et parce qu'on sait depuis plusieurs années déjà qu'ils sont dotés d'une sensibilité accrue et d'une intelligence extrêmement développée.
En revanche, si les ONG se réjouissent, la grogne commence à monter chez les professionnels du secteur : ces derniers avaient en effet accepté de réaliser des investissements dans les enclos afin de garantir des conditions de vie améliorées, conformes à la nouvelle loi, en échange de la garantie de voir leur activité perdurer, et de pouvoir continuer à faire se reproduire les animaux. Aujourd'hui, ils ont le sentiment d'avoir été trahis et d'avoir été menés en bateau par les législateurs..
Rodolphe Delord, président de l'Association française des parcs zoologiques, s'indigne du fait que cette décision n'a fait l'objet d'aucune concertation. Directeur du zoo de Beauval, Monsieur Delord avait en effet participé aux négociations qui ont conduit à l'élaboration du texte, en discussion depuis vingt mois. Amer, il explique que, de son point de vue,« L'interdiction de la reproduction va à l'encontre du bien-être animal, car ces animaux sont faits pour se reproduire. Avant d'ajouter : Vous imaginez dans quel état se trouve le personnel qui travaille avec eux ? »
D'emblée, il annonce la couleur : les parcs feront le strict minimum en matière d'amélioration des conditions de vie des animaux, prévient-il. « On ne peut pas leur demander à la fois de faire des travaux, des investissements importants,et à la fois d'arrêter leur activité Le « strict minimum » imposé par la loi, cependant, promet déjà un immense bond en avant pour l'amélioration des conditions de vie des derniers cétacés captifs, qui finiront ainsi tranquillement leur vie dans les aquariums. Outre l'augmentation de la taille et de la profondeur des bassins prévues par l'arrêté, (3 500 m2 minimum pour les orques, contre 800 m2 jusqu'à présent), divers aménagements devront être faits pour recréer des conditions de vie au plus proche de la nature.
Les travaux d'enrichissement des bassins imposent ainsi des courants, des vagues, des zones d'ombre et des cascades pour que les animaux puissent se sentir comme chez eux, et « éviter l'ennui et la frustration ». Seront interdits les échouages des animaux à des fins de spectacle, les effets sonores et lumineux stressants, les contacts directs des animaux avec le public, ainsi que les présentations nocturnes.
Les parcs auront un délai de six mois pour prendre des mesures en conséquence.
Marie-Jeanne les grands esprits se rencontrent Portrait Du Harfang Des Neiges Le harfang des neiges (Bubo scandiacus) est une espèce d'oiseau de la famille des strigidés. Il est aussi appelée ookpik par les Inuits. Il est l'emblème aviaire du Québec. En Europe, on l'appelle Chouette Harfang, mais en Amérique du Nord on le considère comme un hibou, car il possède des petites plumes sur sa tête,appelées aigrettes. Elles ne sont pas visibles car elles sont très petites et repliées sur sa tête.
Morphologie Ce grand oiseau blanc aux yeux jaunes est très reconnaissable. Le mâle est d'un blanc pur alors que la femelle et les jeunes sont légèrement tachetés ou barrés de brun. Leur plumage blanchit avec l'âge, les mâles pouvant alors devenir d'un blanc immaculé. L'été le plumage est plus foncé que l'hiver, le plumage est plus blanc l'hiver pour se camoufler dans la neige. Les mâles sont en général plus petits que les femelles. Leur envergure est de 170 à 177 cm pour les femelles adultes et de 160 à 170 cm pour les mâles adultes. Leur poids varie de 1 à 2,5 kg. Le harfang est un très grand oiseau, pouvant atteindre jusqu'à 70 cm de longueur. Ses yeux sont très grands proportionnellement à sa taille : en effet, ils ont environ la même taille que ceux d'un homme. Ils sont d'une couleur jaune et disposés vers l'avant. Ils sont de plus fixes, ce qui oblige le harfang à devoir souvent tourner sa large tête aplatie pour pouvoir regarder autour de lui (il peut la tourner d'un angle de 270 °).
Répartition & Mode De Vie Le milieu naturel du harfang est le Grand Nord : la toundraarctique. On le retrouve dans 7 provinces et territoires au Canada, soit le Territoire du Yukon, les Territoires du Nord-Ouest, la Colombie-Britannique, le Nunavut, le Manitoba, le Québec et Terre-Neuve-et-Labrador[1]. Au Québec, c'est dans la partie la plus septentrionale qu'on le retrouve souvent. Pendant les années de disette, le harfang ne se reproduit pas et peut s'installer plus au sud (jusqu'au nord des États-Unis). Ce phénomène, dont les origines restent encore mal comprises, se reproduit tous les 4 ou 5 ans environ. Il semble être lié aux variationsde l'abondance des populations de petits mammifères, notamment du lemming, sa principale source d'alimentation. Cependant il se nourrit également de lièvres, de poissons et d'oiseaux : sa vue perçante de nuit comme de jour fait de lui un excellent chasseur, mais contrairement à la plupart des autres chouettes et hiboux, le harfang chasse plutôt de jour. Le harfang se reproduit vers février-mars. La femelle pond entre 3 et 14 œufs, à raison d'un œuf environ tous les deux jours, mais la moyenne estplutôt entre 5 et 9 œufs par couvée. La couvaison commence immédiatement, si bien que dans le nid peuvent se trouver des oisillons d'un âge et d'une taille très différents. L'incubation dure environ 33 à 37 jours et les œufs éclosent environ 48 heures plus tard. Durant toute cette période, le rôle du mâle est de protéger le nid et d'apporter la nourriture à la femelle qui nourrit les oisillons. Les jeunes commencent à voler après 50 jours et 10 jours plus tard, ils sont capables de capturer seuls leurs proies. Il faut à chaque petit 5 repas par jour pour passer de 45 grammes à 1,4 kg. Neuf petits consomment en un mois jusqu'à 1 300 petits rongeurs, des lemmings : autant que chaque parent en un an. Dans la chaîne alimentaire de la toundra, le harfang occupe avec le renard la place la plus élevée : celle du prédateur. Cependant, dans ce système vivant très simplifié, ces carnivores spécialisés sont aussi très vulnérables... Très efficaces lorsque les lemmings sont abondants, ils sont voués à la famine ou à l'exil quand se raréfie ce gibier qui constitue l'essentiel de leur menu. Si le père harfang disparaît pendant la période de croissance des jeunes, jamais la mère ne pourra les alimenter seule. Ce qui frappe chez les rapaces nocturnes, c'est d'abord leur vol silencieux, dû aux soies très douces dont sont garnies les barbules de leurs plumes. Cette adaptation leur permet de surprendre leurs proies. Le harfang possède une excellente vision diurne et nocturne qui lui permet de déceler des mouvements à 1 km de distance. En outre, son ouïe est extrêmement développée. La longévité d'un harfang est d'environ neuf ans en milieu naturel et peut aller jusqu'à 32 ans en captivité. Il peut maintenir la température de son corps entre 38 et 40 °C, même lorsque la température de l’air atteint -50 °C. Autres photos En mode chasse C'est un oiseau de toute beauté
Le harfang des neiges ... Un oiseau de toute beauté ! Le harfang des neiges (Bubo scandiacus) est une espèce d'oiseau de la famille des strigidés. Il est aussi appelée ookpik par les Inuits. Il est l'emblème aviaire du Québec En Europe, on l'appelle Chouette Harfang, mais en Amérique du Nord on le considère comme un hibou, car il possède des petites plumes sur sa tête, appelées aigrettes. Elles ne sont pas visibles car elles sont très petites et repliées sur sa tête. Ce grand oiseau blanc aux yeux jaunes est très reconnaissable.
Leur plumage blanchit avec l'âge, les mâles pouvant alors devenir d'un blanc immaculé. Le mâle est d'un blanc pur alors que la femelle et les jeunes sont légèrement tachetés ou barrés de brun. L'été le plumage est plus foncé que l'hiver, le plumage est plus blanc l'hiver pour se camoufler dans la neige. Les mâles sont en général plus petits que les femelles. Leur envergure est de 170 à 177 cm pour les femelles adultes et de 160 à 170 cm pour les mâles adultes. Leur poids varie de 1 à 2,5 kg. Le harfang est un très grand oiseau, pouvant atteindre jusqu'à 70 cm de longueur. Ses yeux sont très grands proportionnellement à sa taille : en effet, ils ont environ la même taille que ceux d'un homme.
Ils sont d'une couleur jaune et disposés vers l'avant. Ils sont de plus fixes, ce qui oblige le harfang à devoir souvent tourner sa large tête aplatie pour pouvoir regarder autour de lui (il peut la tourner d'un angle de 270 °). Le milieu naturel du harfang est le Grand Nord : la toundra arctique. On le retrouve dans 7 provinces et territoires au Canada, soit le Territoire du Yukon, les Territoires du Nord-Ouest, la Colombie-Britannique, le Nunavut, le Manitoba, leQuébec et Terre-Neuve-et-Labrador. Au Québec, c'est dans la partie la plus septentrionale qu'on le retrouve souvent Pendant les années de disette, le harfang ne se reproduit pas et peut s'installer plus au sud (jusqu'au nord des États-Unis). Ce phénomène, dont les origines restent encore mal comprises, se reproduit tous les 4 ou 5 ans environ. Il semble être lié aux variations de l'abondance des populations de petits mammifères, notamment du lemming, sa principale source d'alimentation. Cependant il se nourrit également de lièvres, de poissons et d'oiseaux : sa vue perçante de nuit comme de jour fait de lui un excellent chasseur, mais contrairement à la plupart des autres chouettes et hiboux, le harfang chasse plutôt de jour. Le harfang se reproduit vers février-mars. La femelle pond entre 3 et 14 œufs, à raison d'un œuf environ tous les deux jours, mais la moyenne est plutôt entre 5 et 9 œufs par couvée.
La couvaison commence immédiatement, si bien que dans le nid peuvent se trouver des oisillons d'un âge et d'une taille très différents. L'incubation dure environ 33 à 37 jours et les œufs éclosent environ 48 heures plus tard. Durant toute cette période, le rôle du mâle est de protéger le nid et d'apporter la nourriture à la femelle qui nourrit les oisillons. Les jeunes commencent à voler après 50 jours et 10 jours plus tard, ils sont capables de capturer seuls leurs proies. Il faut à chaque petit 5 repas par jour pour passer de 45 grammes à 1,4 kg. Neuf petits consomment en un mois jusqu'à 1 300 petits rongeurs, des lemmings : autant que chaque parent en un an. Dans la chaîne alimentaire de la toundra, le harfang occupe avec le renard la place la plus élevée : celle du prédateur. Cependant, dans ce système vivant très simplifié, ces carnivores spécialisés sont aussi très vulnérables...
Très efficaces lorsque les lemmings sont abondants, ils sont voués à la famine ou à l'exil quand se raréfie ce gibier qui constitue l'essentiel de leur menu.
Si le père harfang disparaît pendant la période de croissance des jeunes, jamais la mère ne pourra les alimenter seule. Ce qui frappe chez les rapaces nocturnes, c'est d'abord leur vol silencieux, dû aux soies très douces dont sont garnies les barbules de leurs plumes Cette adaptation leur permet de surprendre leurs proies. Le harfang possède une excellente vision diurne et nocturne qui lui permet de déceler des mouvements à 1 km de distance. En outre, son ouïe est extrêmement développée. La longévité d'un harfang est d'environ neuf ans en milieu naturel et peut aller jusqu'à 32 ans en captivité.
Il peut maintenir la température de son corps entre 38 et 40 °C, même lorsque la température de l'air atteint -50 °C. C'est un oiseau de toute beauté
Avishek Mazumder de la communauté Your Shot a capturé ce portrait d'un garçon et de son serpent lors du festival de Holi à Vrindabon, en Inde. Il raconte : "Le festival célèbre la victoire du bien sur le mal, l'arrivée du printemps, la fin de l'hiver, et pour est l'occasion de nombreuses fêtes pour rencontrer les autres, jouer et rire, oublier et pardonner, et réparer les relations brisées".
Une femme en Arkansas, a recueilli depuis 20 ans tous les animaux, sauvages ou domestiques ayant besoin de soins médicaux. Le refuge Rocky Ridge est le résultat du travail d'une femme et vit des donations.
Dans le monde aquatique, les murènes n’ont pas forcément bonne réputation. Pareil dans la fiction. Les deux compagnons d’Ursula, la méchante sorcière de La Petite Sirène de Disney, par exemple étaient de cette espèce. Toutefois, rassurez-vous, nos deux amies sont loin d’être aussi effrayantes dans la vraie vie. Les murènes de l’espèce à œil blanc ne mesurent en réalité que 60 cm de long. On est loin du monstre marin ! Elles vivent dans les eaux tropicales et subtropicales d’une vaste zone qui s’étend de l’océan Indien à la Polynésie. La journée, nos deux compères se reposent tranquillement dans leur abri. Ils attendent la nuit pour s’alimenter. Au menu : petits poissons et crustacés.
PHOTOGRAPHIE DE ALISON LANGEVAD, Alors qu'une tempête fait rage en arrière-plan, un rhinocéros blanc s'abreuve dans une réserve d'eau en Afrique du Sud. Alison Langevad de la communauté Your Shot a capturé cette incroyable photographie avec un objectif 35 mm, ce qui signifie qu'elle devait être très proche de son sujet. Elle décrit cette expérience comme « exaltante ».
Le monde merveilleux des insectes contient certaines des créatures les plus bizarres prospectifs dans l’existence et les chenilles ne sont pas une exception. En fait, une chenille est un jeune d’un papillon et qui vient d’éclore de son œuf. Leur regard varie d’effrayant pour mignon, mais ils saisissent toujours notre attention quand on le trouve un dans mon jardin. Les chenilles généralement se nourrissent de feuilles, même si certaines sont cannibales, et d’autres sur des chenilles d’autres espèces. Ells sont souvent été appelés «machines alimentaires », et qui grossissent très rapidement; par exemple, le sphinx du tabac va augmenter son poids de dix-mille fois en moins de vingt jours. Les chenilles sont aussi d’incroyables culturistes. Ils ont environ 4.000 muscles (comparer les êtres humains, avec 629) et pas de squelette pour maintenir leur forme. Ells sont comme des ballons gonflés minuscules par leur propre sang se déplaçant à travers la contraction des muscles dans les segments arrièrepoussant le sang en avant dans les segments avant d’allongement du torse. Alors que les chenilles peuvent sembler inoffensives, ses poils sont connu pour être la cause de problèmes de santé humaine, ces poils peuvent se loger dans les yeux.Et une fois qu’ils entrent, ils sont difficiles à extraire, ce qui aggrave souvent le problème car ils migrent à travers la membrane. Voilà pour la théorie, maintenant passons à notre belle collection de photographies... (Source : Bored Panda) Ces chenilles sont toutes plus étranges et joliment colorées les unes que les autres !
Cette sympathique famille de canard appartient à l’espèce “carolin”, baptiséeainsi en référence à l’État américain où elle a été pour la première fois observée. Nos amis sont donc bien originaires d’Amérique du Nord, même si parfois on peut les trouver dans quelques parcs animaliers d’Europe. Le mâle est particulièrement reconnaissable à son magnifique plumage coloré qu’il revêt lors de la période des amours. L’autre particularité de cette espèce est que, contrairement aux autres canards,ils nichent dans les arbres. C’est grâce à leurs pieds munis de griffesqu’ils peuvent accomplir cette prouesse. Les petits naissent ainsi en hauteur et doivent, alors qu’ils ne sont âgés que de deux jours, sauter du nid pour gagner la mare. Cela peut paraître effrayant mais heureusement peu de poussins se blessent pendant cet exercice. Ouf !
Dans quelques années, il n'y aura plus de dauphins captifs en France : c'est ce que promet un arrêté interministériel, publié ce samedi 6 mai au Journal Officiel.
Tombé comme un coup de tonnerre sur les parcs aquatiques et autres delphinariums, le texte prévoit entre autres d'interdire formellement en France la reproduction des orques et dauphins en captivité, ainsi que les achats ou les échanges avec d'éventuels autres bassins à l'étranger.
Concrètement, ce texte signifie que les cétacés actuellement détenus en France feront partie de la toute dernière génération à vivre dans des bassins — et promet, à terme, la fin totale de la captivité de ces animaux dans l'hexagone
Le texte devait, au départ, imposer des normes plus strictes, des conditions plus rigoureuses aux établissements, et
notamment un élargissement de la taille des bassins et l'obligation de conduire certains travaux spécifiques pour améliorer les conditions de vie des mammifères marins et garantir leur bien-être. Par contre, le texte ne prévoyait pas du tout, à l'origine, d'interdire la reproduction des dauphins en captivité !
Évidemment, si certains ont été agréablement surpris par la nouvelle, ce n'est pas vraiment le cas des propriétaires de parcs aquatiques, qui crient au scandale et se disent « stupéfaits » et « en colère » par cette clause supplémentaire discrètement ajoutée aux trente-trois articles de l'arrêté, à la veille de l'élection présidentielle.
Pour les écologistes et les militants de la cause animale, l'abolition de la captivité des cétacés représente une victoire de premier plan. Diverses associations se sont exprimées favorablement à ce sujet : en effet, elles considèrent que les grands mammifères marins sont des animaux qui ne sont pas faits pour vivre en captivité, notamment parce qu'ils sont physiquement destinés à nager sur des kilomètres, et parce qu'on sait depuis plusieurs années déjà qu'ils sont dotés d'une sensibilité accrue et d'une intelligence extrêmement développée.
En revanche, si les ONG se réjouissent, la grogne commence à monter chez les professionnels du secteur : ces derniers avaient en effet accepté de réaliser des investissements dans les enclos afin de garantir des conditions de vie améliorées, conformes à la nouvelle loi, en échange de la garantie de voir leur activité perdurer, et de pouvoir continuer à faire se reproduire les animaux. Aujourd'hui, ils ont le sentiment d'avoir été trahis et d'avoir été menés en bateau par les législateurs..
Rodolphe Delord, président de l'Association française des parcs zoologiques, s'indigne du fait que cette décision n'a fait l'objet d'aucune concertation. Directeur du zoo de Beauval, Monsieur Delord avait en effet participé aux négociations qui ont conduit à l'élaboration du texte, en discussion depuis vingt mois. Amer, il explique que, de son point de vue,« L'interdiction de la reproduction va
à l'encontre du bien-être animal, car ces animaux sont faits pour se reproduire. Avant d'ajouter : Vous imaginez dans quel état se trouve le personnel qui travaille avec eux ? »
D'emblée, il annonce la couleur : les parcs feront le strict minimum en matière d'amélioration des conditions de vie des animaux, prévient-il. « On ne peut pas leur demander à la fois de faire des travaux, des investissements importants,et à la fois d'arrêter leur activité
Le « strict minimum » imposé par la loi, cependant, promet déjà un immense bond en avant pour l'amélioration des conditions de vie des derniers cétacés captifs, qui finiront ainsi tranquillement leur vie dans les aquariums. Outre l'augmentation de la taille et de la profondeur des bassins prévues par l'arrêté, (3 500 m2 minimum pour les orques, contre 800 m2 jusqu'à présent), divers aménagements devront être faits pour recréer des conditions de vie au plus proche de la nature.
Les travaux d'enrichissement des bassins imposent ainsi des courants, des vagues, des zones d'ombre et des cascades pour que les animaux puissent se sentir comme chez eux, et « éviter l'ennui et la frustration ».
Seront interdits les échouages des animaux à des fins de spectacle, les effets sonores et lumineux stressants, les contacts directs des animaux avec le public, ainsi que les présentations nocturnes.
Les parcs auront un délai de six mois pour prendre des mesures en conséquence.
Portrait Du Harfang Des Neiges
Le harfang des neiges (Bubo scandiacus) est une espèce d'oiseau de la famille des strigidés. Il est aussi appelée ookpik par les Inuits. Il est l'emblème aviaire du Québec.
En Europe, on l'appelle Chouette Harfang, mais en Amérique du Nord on le considère comme un hibou, car il possède des petites plumes sur sa tête,appelées aigrettes.
Elles ne sont pas visibles car elles sont très petites et repliées sur sa tête.
Morphologie
Ce grand oiseau blanc aux yeux jaunes est très reconnaissable.
Le mâle est d'un blanc pur alors que la femelle et les jeunes sont légèrement tachetés ou barrés de brun.
Leur plumage blanchit avec l'âge, les mâles pouvant alors devenir d'un blanc immaculé.
L'été le plumage est plus foncé que l'hiver, le plumage est plus blanc l'hiver pour se camoufler dans la neige. Les mâles sont en général plus petits que les femelles.
Leur envergure est de 170 à 177 cm pour les femelles adultes et de 160 à 170 cm pour les mâles adultes. Leur poids varie de 1 à 2,5 kg.
Le harfang est un très grand oiseau, pouvant atteindre jusqu'à 70 cm de longueur.
Ses yeux sont très grands proportionnellement à sa taille : en effet, ils ont environ la même taille que ceux d'un homme.
Ils sont d'une couleur jaune et disposés vers l'avant. Ils sont de plus fixes, ce qui oblige le harfang à devoir souvent tourner sa large tête aplatie pour pouvoir regarder autour de lui (il peut la tourner d'un angle de 270 °).
Répartition & Mode De Vie
Le milieu naturel du harfang est le Grand Nord : la toundra arctique. On le retrouve dans 7 provinces et territoires au Canada, soit le Territoire du Yukon, les Territoires du Nord-Ouest, la Colombie-Britannique, le Nunavut, le Manitoba, le Québec et Terre-Neuve-et-Labrador[1]. Au Québec, c'est dans la partie la plus septentrionale qu'on le retrouve souvent.
Pendant les années de disette, le harfang ne se reproduit pas et peut s'installer plus au sud (jusqu'au nord des États-Unis). Ce phénomène, dont les origines restent encore mal comprises, se reproduit tous les 4 ou 5 ans environ. Il semble être lié aux variationsde l'abondance des populations de petits mammifères, notamment du lemming, sa principale source d'alimentation.
Cependant il se nourrit également de lièvres, de poissons et d'oiseaux : sa vue perçante de nuit comme de jour fait de lui un excellent chasseur, mais contrairement à la plupart des autres chouettes et hiboux, le harfang chasse plutôt de jour.
Le harfang se reproduit vers février-mars. La femelle pond entre 3 et 14 œufs, à raison d'un œuf environ tous les deux jours, mais la moyenne estplutôt entre 5 et 9 œufs par couvée.
La couvaison commence immédiatement, si bien que dans le nid peuvent se trouver des oisillons d'un âge et d'une taille très différents.
L'incubation dure environ 33 à 37 jours et les œufs éclosent environ 48 heures plus tard.
Durant toute cette période, le rôle du mâle est de protéger le nid et d'apporter la nourriture à la femelle qui nourrit les oisillons. Les jeunes commencent à voler après 50 jours et 10 jours plus tard, ils sont capables de capturer seuls leurs proies.
Il faut à chaque petit 5 repas par jour pour passer de 45 grammes à 1,4 kg. Neuf petits consomment en un mois jusqu'à 1 300 petits rongeurs, des lemmings : autant que chaque parent en un an.
Dans la chaîne alimentaire de la toundra, le harfang occupe avec le renard la place la plus élevée : celle du prédateur. Cependant, dans ce système vivant très simplifié, ces carnivores spécialisés sont aussi très vulnérables...
Très efficaces lorsque les lemmings sont abondants, ils sont voués à la famine ou à l'exil quand se raréfie ce gibier qui constitue l'essentiel de leur menu.
Si le père harfang disparaît pendant la période de croissance des jeunes, jamais la mère ne pourra les alimenter seule.
Ce qui frappe chez les rapaces nocturnes, c'est d'abord leur vol silencieux, dû aux soies très douces dont sont garnies les barbules de leurs plumes.
Cette adaptation leur permet de surprendre leurs proies. Le harfang possède une excellente vision diurne et nocturne qui lui permet de déceler des mouvements à 1 km de distance. En outre, son ouïe est extrêmement développée.
La longévité d'un harfang est d'environ neuf ans en milieu naturel et peut aller jusqu'à 32 ans en captivité.
Il peut maintenir la température de son corps entre 38 et 40 °C, même lorsque la température de l’air atteint -50 °C.
Autres photos
En mode chasse
C'est un oiseau de toute beauté
Le harfang des neiges ... Un oiseau de toute beauté !
Le harfang des neiges (Bubo scandiacus) est une espèce d'oiseau de la
famille des strigidés. Il est aussi appelée ookpik par les Inuits. Il
est l'emblème aviaire du Québec
En Europe, on l'appelle Chouette Harfang, mais en Amérique du Nord on le considère comme un hibou, car il
possède des petites plumes sur sa tête, appelées aigrettes. Elles ne
sont pas visibles car elles sont très petites et repliées sur sa tête.
Ce grand oiseau blanc aux yeux jaunes est très reconnaissable.
Leur plumage blanchit avec l'âge, les mâles pouvant alors devenir d'un blanc immaculé.
Le mâle est d'un blanc pur alors que la femelle et les jeunes sont légèrement tachetés ou barrés de brun.
L'été le plumage est plus foncé que l'hiver, le plumage est plus blanc
l'hiver pour se camoufler dans la neige. Les mâles sont en général plus
petits que les femelles.
Leur envergure est de 170 à 177 cm pour les femelles adultes et de 160 à 170 cm pour les mâles adultes. Leur poids
varie de 1 à 2,5 kg.
Le harfang est un très grand oiseau, pouvant atteindre jusqu'à 70 cm de longueur. Ses yeux sont très grands
proportionnellement à sa taille : en effet, ils ont environ la même
taille que ceux d'un homme.
Ils sont d'une couleur jaune et disposés vers l'avant. Ils sont de
plus fixes, ce qui oblige le harfang à devoir souvent tourner sa large
tête aplatie pour pouvoir regarder autour de lui (il peut la tourner
d'un angle de 270 °).
Le milieu naturel du harfang est le Grand Nord : la toundra arctique. On le retrouve dans 7 provinces et territoires au
Canada, soit le Territoire du Yukon, les Territoires du Nord-Ouest, la
Colombie-Britannique, le Nunavut, le Manitoba, leQuébec et
Terre-Neuve-et-Labrador. Au Québec, c'est dans la partie la plus
septentrionale qu'on le retrouve souvent
Pendant les années de disette, le harfang ne se reproduit pas et peut s'installer plus au sud
(jusqu'au nord des États-Unis). Ce phénomène, dont les origines restent
encore mal comprises, se reproduit tous les 4 ou 5 ans environ. Il
semble être lié aux variations de l'abondance des populations de petits
mammifères, notamment du lemming, sa principale source d'alimentation.
Cependant il se nourrit également de lièvres, de poissons et d'oiseaux : sa vue
perçante de nuit comme de jour fait de lui un excellent chasseur, mais
contrairement à la plupart des autres chouettes et hiboux, le harfang
chasse plutôt de jour.
Le harfang se reproduit vers février-mars. La femelle pond entre 3 et 14 œufs, à raison d'un œuf environ tous les deux
jours, mais la moyenne est plutôt entre 5 et 9 œufs par couvée.
La couvaison commence immédiatement, si bien que dans le nid peuvent se
trouver des oisillons d'un âge et d'une taille très différents.
L'incubation dure environ 33 à 37 jours et les œufs éclosent environ 48
heures plus tard.
Durant toute cette période, le rôle du mâle est de protéger le nid et d'apporter la nourriture à la femelle qui nourrit les
oisillons. Les jeunes commencent à voler après 50 jours et 10 jours
plus tard, ils sont capables de capturer seuls leurs proies.
Il faut à chaque petit 5 repas par jour pour passer de 45 grammes à 1,4 kg. Neuf
petits consomment en un mois jusqu'à 1 300 petits rongeurs, des lemmings
: autant que chaque parent en un an.
Dans la chaîne alimentaire de la toundra, le harfang occupe avec le renard la place la plus élevée :
celle du prédateur. Cependant, dans ce système vivant très simplifié,
ces carnivores spécialisés sont aussi très vulnérables...
Très efficaces lorsque
les lemmings sont abondants, ils sont voués à la famine ou à l'exil
quand se raréfie ce gibier qui constitue l'essentiel de leur menu.
Si le père
harfang disparaît pendant la période de croissance des jeunes, jamais la
mère ne pourra les alimenter seule.
Ce qui frappe chez les rapaces nocturnes, c'est d'abord leur vol silencieux, dû aux soies très douces
dont sont garnies les barbules de leurs plumes
Cette adaptation leur permet de surprendre leurs proies. Le harfang possède une excellente
vision diurne et nocturne qui lui permet de déceler des mouvements à 1
km de distance. En outre, son ouïe est extrêmement développée.
La longévité d'un harfang est d'environ neuf ans en milieu naturel et peut aller jusqu'à 32 ans en captivité.
Il peut maintenir la température de son corps entre 38 et 40 °C, même
lorsque la température de l'air atteint -50 °C.
C'est un oiseau de toute beauté
PHOTOGRAPHIE DE AVISHEK MAZUMDER,
Avishek Mazumder de la communauté Your Shot a capturé ce portrait d'un garçon et de son serpent lors du festival de Holi à Vrindabon, en Inde.
Il raconte : "Le festival célèbre la victoire du bien sur le mal, l'arrivée du printemps, la fin de l'hiver, et pour est l'occasion de nombreuses fêtes pour rencontrer les autres, jouer et rire, oublier et pardonner, et réparer les relations brisées".
Je crois que j'ai fait une terrible erreur!
Une femme en Arkansas, a recueilli depuis 20 ans tous les animaux,
sauvages ou domestiques ayant besoin de soins médicaux.
Le refuge Rocky Ridge est le résultat du travail d'une femme et vit des donations.
Dans le monde aquatique, les murènes n’ont pas forcément bonne réputation.
Pareil dans la fiction. Les deux compagnons d’Ursula, la méchante sorcière de La Petite Sirène de Disney, par exemple étaient de cette
espèce. Toutefois, rassurez-vous, nos deux amies sont loin d’être aussi effrayantes dans la vraie vie. Les murènes de l’espèce à œil blanc ne mesurent en réalité que 60 cm de long. On est loin du monstre marin !
Elles vivent dans les eaux tropicales et subtropicales d’une vaste zone qui s’étend de l’océan Indien à la Polynésie. La journée, nos deux
compères se reposent tranquillement dans leur abri. Ils attendent la nuit pour s’alimenter. Au menu : petits poissons et crustacés.
PHOTOGRAPHIE DE ALISON LANGEVAD,
Alors qu'une tempête fait rage en arrière-plan, un rhinocéros blanc s'abreuve dans une réserve d'eau en Afrique du Sud.
Alison Langevad de la communauté Your Shot a capturé cette incroyable photographie avec un objectif 35 mm, ce qui signifie qu'elle devait être très proche de son sujet.
Elle décrit cette expérience comme « exaltante ».
Le monde merveilleux des insectes contient certaines des créatures les plus bizarres prospectifs dans l’existence et les chenilles ne sont pas une exception.
En fait, une chenille est un jeune d’un papillon et qui vient d’éclore de son œuf. Leur regard varie d’effrayant pour mignon, mais ils saisissent toujours notre attention quand on le trouve un dans mon jardin.
Les chenilles généralement se nourrissent de feuilles, même si certaines sont cannibales, et d’autres sur des chenilles d’autres espèces. Ells sont souvent été appelés «machines alimentaires », et qui grossissent très rapidement; par exemple, le sphinx du tabac va augmenter son poids de dix-mille fois en moins de vingt jours.
Les chenilles sont aussi d’incroyables culturistes. Ils ont environ 4.000 muscles (comparer les êtres humains, avec 629) et pas de squelette pour maintenir leur forme.
Ells sont comme des ballons gonflés minuscules par leur propre sang se déplaçant à travers la contraction des muscles dans les segments arrièrepoussant le sang en avant dans les segments avant d’allongement du torse.
Alors que les chenilles peuvent sembler inoffensives, ses poils sont connu pour être la cause de problèmes de santé humaine, ces poils peuvent se loger dans les yeux.Et une fois qu’ils entrent, ils sont difficiles à extraire, ce qui
aggrave souvent le problème car ils migrent à travers la membrane.
Voilà pour la théorie, maintenant passons à notre belle collection de photographies...
(Source : Bored Panda)
Ces chenilles sont toutes plus étranges et joliment colorées les unes que les autres !
Un guêpier d'Europe (Merops apiaster) en vol s'approche d'un autre guêpier.
PHOTOGRAPHIE DE HUNG DINH,