Les Chats Sont Diaboliques ! Il y en a vraiment beaucoup !
Ah les chats ! Autant ils peuvent se montrer adorable, autant ils sont parfois diaboliques (ou sont-ils juste stupides ?)... Les voici en train de semer la pagaille et de faire des choses... Étranges …
Les chiens et les chats sont en général de formidables animaux de compagnie, mais lorsqu’on les laisse seul sans surveillance, certain ne se privent pas de faire un tas de bêtises et de détruire tout ce qu’il leur passe sous le nez …
Une femme a adopté le chat « le plus triste du monde
Bien sûr, lorsqu’un animal est adopté, il semble plutôt normal de se dire que sa vie sera bien meilleure dans sa nouvelle famille, et qu’il sera plus heureux. Mais dans le cas d’un petit chat prénommé Ben Ben, il s’agissait d’un véritable miracle !
Lorsque Ben Ben est arrivé pour la première fois au refuge pour animaux qui l’a adopté, il avait tellement peu de chances de survivre que le personnel avait commencé à envisager son euthanasie.
Personne ne sait ce qui lui est arrivé. Peut-être a-t-il été battu, même s’il semble plutôt qu’il ait été attaqué et laissé pour mort par un animal plus grand que lui.
Personne ne sait s’il s’agissait d’un animal sauvage, un chien errant, ou s’il a été utilisé comme « punching-ball » pour entraîner des chiens de combat, une pratique qui, aussi barbare et dégoûtante qu’elle soit, est malheureusement répandue dans certains milieux.
Quoi qu’il en soit, les yeux de ce chat avaient quelque chose de profondément poignant : ils semblaient briller d’une infinie tristesse…
Selon les vétérinaires, il ne pourrait plus jamais marcher comme avant. De plus, pour le sauver, il fallait de très nombreux soins vétérinaires, des soins très particuliers, compliqués et très coûteux.
C’est là que le personnel du centre s’est vu contraint de prendre une terrible décision : euthanasier le chat afin de pouvoir au moins limiter ses souffrances.
Mais un jour seulement avant l’euthanasie, une femme qui travaillait dans la clinique vétérinaire décida qu’elle ne pouvait pas se résoudre à laisser mourir le chat. Alors, elle l’a adopté !
Un miracle nommé « adoption » Selon la nouvelle maîtresse de Ben Ben, le chat était très triste, abattu, « comme s’il savait qu’il devait mourir, et qu’il avait déjà abandonné toute espérance, comme un condamné à mort ». Mais au moment où il est arrivé dans son nouveau chez lui après avoir été soigné, un véritable miracle s’est produit !
« On s’est assis un peu sur le canapé avec lui et, immédiatement, il s’est métamorphosé. Bientôt, il s’est mis à ronronner pour la première fois, puis à se frotter contre nous ! »
Contrairement au premier diagnostic des vétérinaires, Ben Ben put reprendre des forces, et peut désormais marcher comme avant !
Un peu d’air pour «l’ourse la plus triste du monde»
Pizza, mascotte controversée d’un centre commercial géant, a été transférée vers un zoo. Après des mois de protestations, Pizza est enfin sortie de sa prison. Cette ourse polaire de 3 ans a ému le web, cet été, quand les internautes ont découvert son sort d’attraction de centre commercial. En raison de travaux, l’animal a été «provisoirement» transféré vers le zoo de Tianjin, où il est né, a communiqué dimanche la direction du Grandview Mall Aquarium de Guangzhou. Des militants hongkongais de la cause animale ont été les premiers à dénoncer les conditions de captivité de la femelle de 3 ans, dans un local clos exigu, sous le regard permanent des fans de shopping. En octobre, Humane Society International (HSI) a constaté que l’animal, privé d’activité et d’air extérieur, montrait des signes de «déclin mental». Pétition Malgré 900?000 signatures à une pétition pour la libération de Pizza et une offre d’adoption émanant d’un zoo anglais, la direction du complexe récupérera sa mascotte dès que possible. Ce qui indigne Peter Li, de HSI: «Même avec toutes les rénovations possibles, un centre commercial ne sera jamais adapté pour cet animal.» (Source : 20 Minutes)
Depuis six ans , cette girafe vit avec un cou cassé, la survivor du règne animal.
Dans le monde animal, une simple fracture d'une jambe peut s'avérer fatale. L'animal blessé ne peut fuir les prédateur ou est simplement abandonné par ses congénères. Et pourtant... Voici l'histoire impressionnante d'une girafe qui a passé les six dernières années de sa vie avec un cou cassé.
Avoir le cou cassé pour une girafe c'est un peu le comble et ça ne doit évidemment pas lui faciliter la vie. Elle a été repérée par le photographe Mark Drysdale qui était en safari dans le parc national du Serengeti. Et le guide d'expliquer à lui et aux autres touristes que l'animal avait été blessé il y avait 5 dans de cela (6 désormais) en se battant avec un autre mâle pour impressionner une femelle.
En plus de sa survie impressionnante, l'autre fait étonnant est que ses congénères continuent d'interagir avec comme si de rien n'était.
Le verdict vient de tomber : l’Homme a fait disparaitre la majorité des animaux en moins de 40 ans.
Le nouveau rapport « 2016 » est tombé et démontre une très forte accélération alarmante de la disparition des animaux. Entre 1970 et 2012, l’homme a entrainé la disparition de plus de la moitié des animaux vertébrés.
Jeudi 27 octobre, WWF publie un NOUVEAU BILAN et met en lumière les différentes raisons de la disparition de ces animaux.
D’après leur constat, l’humanité exerce une pression sur les écosystèmes qui détruit l’environnement naturel des êtres vivants. En effet, la pression est telle qu’il faut, chaque année, l’équivalent de 1,6 planète Terre pour satisfaire tous nos besoins. Les écosystèmes sont menacés et rien ne semble s’améliorer avec le temps. Abeilles L’étude réalisée se base sur deux indices. Le premier indice, indice Planète Vivante (IVP), mesure l’abondance de la biodiversité à partir du suivi de 14 152 groupes d’animaux, sur un territoire défini, appartenant à 3706 espèces vertébrées de mammifères, de poissons, de reptiles partout dans le monde
Les espèces d’eau douce sont les plus touchées. On note un effondrement de 81% sur la période devant les espèces terrestres (-38%) et celles marines (-36%). D’après le rapport de WWF, si rien ne change, ces populations pourraient avoir diminué en moyenne de deux tiers (67%) d’ici 2020.
Les causes de cette disparition massive des espèces vertébrées sont multiples : la perte et la dégradation de l’habitat naturel, une surexploitation de la terre avec une utilisation insoutenable de l’eau douce, une surexploitation des espèces, une pollution à son apogée avec une acidification des océans, ainsi que des changements climatiques très brusques. Pollution massive Le deuxième indice sur lequel se base le rapport de WWF est l’empreinte écologique. L’empreinte écologique correspond à la superficie nécessaire à une personne ou une population pour répondre à sa consommation de ressources naturelles (c’est-à-dire à ses besoins en nourriture, chauffage, matériaux de construction, air pur, eau potable) et pour absorber les déchets qu’elle produit.
Cette empreinte est donc calculée en hectares globaux (hag), c’est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité mondiale moyenne, puis comparée à la surface productive effectivement disponible sur la Terre (ce que l’on appelle la « biocapacité » de notre planète). Empreinte écologique L’empreinte écologique de l’humanité a atteint 20,1 milliards d’hectares globaux en 2012, soit 2,8 par personne. La biocapacité de la planète était largement dépassée (61%) sachant sa biocapacité de base s’élève à 12,2 milliards de hag. Le capital naturel a donc été entamé depuis quelques années.
Nous assistons à la SIXIÈME EXTINCTION DE MASSE , alerte WWF. Il s’agit d’une disparition massive des espèces, qui dans l’ordre des choses, devrait prendre des milliers, voire des millions d’années à se produire. Pour ne pas passer par quatre chemins, si nous ne changeons pas, dès à présent, nos habitudes de vies, la planète aura perdu plus de 67% de sa population animale d’ici 2020.
Il y en a vraiment beaucoup !
Ah les chats ! Autant ils peuvent se montrer adorable, autant ils sont parfois diaboliques (ou sont-ils juste stupides ?)...
Les voici en train de semer la pagaille et de faire des choses...
Étranges …
Les chiens et les chats sont en général de formidables animaux de compagnie, mais lorsqu’on les laisse seul sans surveillance, certain ne se privent pas de faire un tas de bêtises et de détruire tout ce qu’il leur passe sous le nez …
Bien sûr, lorsqu’un animal est adopté, il semble plutôt normal de se dire que sa vie sera bien meilleure dans sa nouvelle famille, et qu’il sera plus heureux. Mais dans le cas d’un petit chat prénommé Ben Ben, il s’agissait d’un véritable miracle !
Lorsque Ben Ben est arrivé pour la première fois au refuge pour animaux qui l’a adopté, il avait tellement peu de chances de survivre que le personnel avait commencé à envisager son euthanasie.
Personne ne sait ce qui lui est arrivé. Peut-être a-t-il été battu, même s’il
semble plutôt qu’il ait été attaqué et laissé pour mort par un animal
plus grand que lui.
Personne ne sait s’il s’agissait d’un animal sauvage, un chien errant, ou s’il a
été utilisé comme « punching-ball » pour entraîner des chiens de
combat, une pratique qui, aussi barbare et dégoûtante qu’elle soit, est
malheureusement répandue dans certains milieux.
Quoi qu’il en soit, les yeux de ce chat avaient quelque chose de
profondément poignant : ils semblaient briller d’une infinie tristesse…
Selon les vétérinaires, il ne pourrait plus jamais marcher comme avant. De
plus, pour le sauver, il fallait de très nombreux soins vétérinaires,
des soins très particuliers, compliqués et très coûteux.
C’est là que le personnel du centre s’est vu contraint de prendre une
terrible décision : euthanasier le chat afin de pouvoir au moins limiter
ses souffrances.
Mais un jour seulement avant l’euthanasie, une femme qui travaillait dans la
clinique vétérinaire décida qu’elle ne pouvait pas se résoudre à laisser mourir le chat.
Alors, elle l’a adopté !
Un miracle nommé « adoption »
Selon la nouvelle maîtresse de Ben Ben, le chat était très triste, abattu, « comme s’il savait qu’il devait mourir, et qu’il avait déjà abandonné toute espérance, comme un condamné à mort ».
Mais au moment où il est arrivé dans son nouveau chez lui après avoir été soigné, un véritable miracle s’est produit !
« On s’est assis un peu sur le canapé avec lui et, immédiatement, il
s’est métamorphosé. Bientôt, il s’est mis à ronronner pour la première
fois, puis à se frotter contre nous ! »
Contrairement au premier diagnostic des vétérinaires, Ben Ben put reprendre des forces, et peut désormais marcher comme avant !
Pizza, mascotte controversée d’un centre commercial géant, a été transférée vers un zoo.
Après des mois de protestations, Pizza est enfin sortie de sa prison. Cette ourse polaire de 3 ans a ému le web, cet été, quand les internautes ont découvert son sort d’attraction de centre commercial. En raison de travaux, l’animal a été «provisoirement» transféré vers le zoo de Tianjin, où il est né, a communiqué dimanche la direction du Grandview Mall Aquarium de Guangzhou.
Des militants hongkongais de la cause animale ont été les premiers à dénoncer les conditions de captivité de la femelle de 3 ans, dans un local clos exigu, sous le regard permanent des fans de shopping. En octobre, Humane Society International (HSI) a constaté que l’animal, privé d’activité et d’air extérieur, montrait des signes de «déclin mental».
Pétition
Malgré 900?000 signatures à une pétition pour la libération de Pizza et une offre d’adoption émanant d’un zoo anglais, la direction du complexe récupérera sa mascotte dès que possible. Ce qui indigne Peter Li, de HSI: «Même avec toutes les rénovations possibles, un centre commercial ne sera jamais adapté pour cet animal.»
(Source : 20 Minutes)
Dans le monde animal, une simple fracture d'une jambe peut s'avérer fatale. L'animal blessé ne peut fuir les prédateur ou est
simplement abandonné par ses congénères. Et pourtant... Voici l'histoire impressionnante d'une girafe qui a passé les six dernières années de sa vie avec un cou cassé.
Avoir le cou cassé pour une girafe c'est un peu le comble et ça ne doit évidemment pas lui faciliter la vie. Elle a été repérée par le
photographe Mark Drysdale qui était en safari dans le parc national du Serengeti. Et le guide d'expliquer à lui et aux autres
touristes que l'animal avait été blessé il y avait 5 dans de cela (6 désormais) en se battant avec un autre mâle pour impressionner une
femelle.
En plus de sa survie impressionnante, l'autre fait étonnant est que ses congénères continuent d'interagir avec comme
si de rien n'était.
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Le nouveau rapport « 2016 » est tombé et démontre une très forte accélération alarmante de la disparition des animaux. Entre 1970 et 2012, l’homme a entrainé la disparition de plus de la moitié des animaux vertébrés.
Jeudi 27 octobre, WWF publie un NOUVEAU BILAN et met en lumière les différentes raisons de la disparition de ces animaux.
D’après leur constat, l’humanité exerce une pression sur les écosystèmes qui détruit l’environnement naturel des êtres vivants. En
effet, la pression est telle qu’il faut, chaque année, l’équivalent de 1,6 planète Terre pour satisfaire tous nos besoins. Les écosystèmes sont menacés et rien ne semble s’améliorer avec le temps.
Abeilles
L’étude réalisée se base sur deux indices. Le premier indice, indice Planète Vivante (IVP), mesure l’abondance de la biodiversité à partir du suivi de 14 152 groupes d’animaux, sur un territoire défini, appartenant à 3706 espèces vertébrées de mammifères, de poissons, de reptiles partout dans le monde
Les espèces d’eau douce sont les plus touchées. On note un effondrement de 81% sur la période devant les espèces terrestres (-38%) et celles marines (-36%). D’après le rapport de WWF, si rien ne change, ces populations pourraient avoir diminué en moyenne de deux tiers (67%) d’ici 2020.
Les causes de cette disparition massive des espèces vertébrées sont multiples : la perte et la dégradation de l’habitat naturel, une
surexploitation de la terre avec une utilisation insoutenable de l’eau douce, une surexploitation des espèces, une pollution à son apogée avec une acidification des océans, ainsi que des changements climatiques très brusques.
Pollution massive
Le deuxième indice sur lequel se base le rapport de WWF est l’empreinte écologique. L’empreinte écologique correspond à la
superficie nécessaire à une personne ou une population pour répondre à sa consommation de ressources naturelles (c’est-à-dire à ses besoins en nourriture, chauffage, matériaux de construction, air pur, eau potable) et pour absorber les déchets qu’elle produit.
Cette empreinte est donc calculée en hectares globaux (hag), c’est-à-dire en hectares ayant une productivité égale à la productivité mondiale moyenne, puis comparée à la surface productive effectivement disponible sur la Terre (ce que l’on appelle la « biocapacité » de notre planète).
Empreinte écologique
L’empreinte écologique de l’humanité a atteint 20,1 milliards d’hectares globaux en 2012, soit 2,8 par personne. La biocapacité de la
planète était largement dépassée (61%) sachant sa biocapacité de base s’élève à 12,2 milliards de hag. Le capital naturel a donc été entamé depuis quelques années.
Nous assistons à la SIXIÈME EXTINCTION DE MASSE , alerte WWF. Il s’agit d’une disparition massive des espèces, qui dans l’ordre des choses, devrait prendre des milliers, voire des millions d’années à se produire.
Pour ne pas passer par quatre chemins, si nous ne changeons pas, dès à présent, nos habitudes de vies, la planète aura perdu plus de 67% de sa population animale d’ici 2020.