Envoyés au front lors des attaques, utilisés comme moyens de traction et de communication, ils faisaient partie intégrante de la stratégie militaire. Compagnons fidèles, ils partageaient le quotidien des soldats et leur permettaientde s’évader, pour un temps, des horreurs de la guerre. Cavaliers français conduisant des prisonniers allemands jusqu’à la ville d’Aniche — William Heinemann/Domaine public
D’abord célébrés par les soldats, puis relégués au second plan dans l’Histoire,ces animaux sont presque entièrement tombés dans l’oubli. Eux aussi ontpourtant payé un lourd tribut. 14 millions d’animaux enrôlés dans le conflit Chevaux, mulets, bœufs, ânes, chiens, pigeons voyageurs… Au total, on estime qu’environ 14 millions d’animaux ont participé à la Première Guerre mondiale. En plus du lourd bilan humain (9 millions de morts au cours du conflit), on oublie souvent que la Grande Guerre a entraîné d’énormes pertes animales. Les chevaux ont été les plus touchés, avec environ 10 millions de chevaux tués entre 1914 et 1918. Une fois la guerre terminée, beaucoup de « rescapés » ont dû être abattus en raison de leurs blessures, de leur grand âge, ou simplement parce qu’on ne leur trouvait plus d’utilité. En Australie par exemple, sur 13 000 chevaux enrôlés, 15 % ont été euthanasiés à l’issue du conflit car on ne savait pas où les placer. Une bien triste fin pour ces héros de guerre… Pigeon équipé d’une caméra par l’armée allemande — Bundesarchiv/CC BY SA 3.0
Un rôle stratégique de premier plan Utilisés dans un premier temps par les Français et les Anglais pour charger l’ennemi lors des combats, les chevaux se sont heurtés aux feux impitoyables de l’artillerie et à la froideur des tanks. La guerre de 14-18 a ainsi marqué un tournant dans la manière de faire la guerre, la cavalerie ne faisant pas le poids face aux machines destructrices. Les soldats ont donc surtout mis à profit la puissance de traction des chevaux, des ânes, des mulets et des bœufs pour transporter les vivres, les munitions et les blessés entre le front de combat et les lignes arrières. Les pigeons voyageurs ont également pris part à la guerre ; celle de l’information. Pour communiquer avec un front parfois isolé, les pigeons ont apporté leur assistance en entrant dans la guerre, bien malgré eux, volant au-dessus des champs de bataille afin d’acheminer leurs messages. Pour tenter d’obtenir le moindre renseignement de leur ennemi français, les Allemands exigeaient, en territoire occupé, que tout pigeon trouvé leur soit rapporté. Quant au lâcher de pigeons, il était puni de la peine de mort, une peine qui témoigne de leur importance et de leur utilité : les Anglais en auraient utilisé 100 000 ! Les chiens, quant à eux, avaient deux fonctions principales. La première consistait à retrouver les blessés après chaque offensive. Leur seconde mission était informative : en complément des pigeons, les chiens étaient dressés pour porter des messages écrits et des munitions vers des points de ravitaillement. Enfin les chiens ont parfois remplacé les chevaux pour tracter armements ou npourriture Au total, 100 000 chiens auraient été mobilisés durant la guerre. Le lieutenant-colonel John McCrae et son chien Bonneau — Bibliothèque et Archives Canada/CC BY 2.0
Le quotidien de la guerre Enrôlés dans le conflit bien malgré eux, les animaux partagent la souffrance quotidienne des soldats.
Les chevaux, largement mobilisés dès 1914, vivent un calvaire. De leur réquisition jusqu’à leur envoi au front, le stress les envahit. Les phéromones dégagées par les hommes et les animaux les apeurent. Viennent les détonations, la lumière des canons ; la vision des cadavres de leurs congénères et l’odeur du sang. L’artillerie les frappe, le gaz lesronge. La maladie ne les épargne pas. En France, où l’on compte 1 million de chevaux morts pendant la guerre,35 % d’entre eux sont en réalité abattus alors que les maladies les font souffrir et menacent de se propager ; alors qu’il faut abréger les souffrances de ceux qui trainent leurs blessures depuis le front ; alors que les poilus sont en manque d’une nourriture que la viande de cheval peut combler. La présence des animaux dans les camps contribue toutefois à remonter le moral des troupes. D’après certains témoignages, les soldats n’hésitent pas à qualifier ces compagnons d’infortune de « frères ». Certains animaux deviennent rapidement les mascottes des soldats, comme Tiny, un âne récupéré par les Anglais en Picardie et dont on raconte qu’il appréciait le thé. Des animaux plus « exotiques » sont également conservés à l’arrière des tranchées comme de véritables porte-bonheur ; c’est le cas d’un éléphantqui avait été offert aux soldats allemands par un directeur de cirque, ou d’un lionceau qui veillait sur l’armée de l’air américaine. In memoriamEn leur mémoire, plusieurs mémoriaux ont été érigés, dans des villes comme Berlin, Bruxelles, Lille ou encore Londres.
Des artistes se sont également attachés à mettre en avant le rôle joué par les animaux durant la guerre. Le peintre britannique Alfred James Munnings, passionné par les chevaux, a immortalisé des scènes de cavalerie.
Bien plus tardivement, en 1982, Michael Morpugo publie War Horse (« Cheval de guerre »). Ce livre destiné aux enfants raconte l’histoire de Joey, un cheval exceptionnel qui se retrouve emporté en plein cœur de la guerre.
En 2012, le roman a été porté à l’écran par Steven Spielberg, ce qui a contribué à raviver la mémoire du grand public sur le rôle joué par les animaux durant la Grande Guerre. Enfin en 2013, avec Bêtes des tranchées, l’historien Eric Baratay nous invite à se repencher sur la guerre 14-18 du point de vue des animaux. Les animaux ont largement contribué, bien malgré eux, à « l’effort de guerre ». En ce jour où nous célébrons l’Armistice, ne les oublions pas.
En classe je devais faire un exposé, j’ai choisi de le faire sur les oursins:
Comment s’appellent-ils? Les oursins ont différents noms: -L’oursin -L’échinide (ou l’échinidé) -Hérisson de mer (on donne ce nom car l’oursin a des piquants comme l’hérisson) -Châtaigne de mer (on donne ce nom car la châtaigne de mer à la même forme que la châtaigne) Ils font parti de quelle famille? Les oursins sont des invertébrés ( ils n’ont pas d’os). Ils sont couverts de piquants, ils font partie avec les étoiles de mer et les concombres de mer du groupes des échinodermes, qui signifie « peau piquante ». Comment c’est un oursin?
Les oursins sont en forme de boule. Cette boule est recouverte de piquants, plus ou moins longs et ses piquants sont noirs (ou de couleurs sombres). Les oursins n’ont pas de veritables « cerveau », leur système nerveux est composé de 5 fibres qui sont placées à l’intérieur de la carapace.
Tête, yeux Les oursins n’ont pas vraiment de « tête ». Leur bouche est située en-dessous d’eux. Ils n’ont pas non plus vraiment d’yeux et ils sont remplacés par des cellules invisibles.
Comment se déplacent-ils? Ils se déplacent avec leurs piquants articulés, mais ils ont également de petites ventouses appelées podias.
Où en trouver? Des oursins, on peut en voir dans toutes les grandes mers du monde et à toutes les profondeurs.
Que mangent-ils? Les oursins sont des herbivores qui broutent les algues avec leur bouche à 5 dents (nommée lanterne d’Aristote).
Sont-ils dangereux? Les oursins ne sont pas agressifs parce qu’ils sont très lents. On peut les ramasser et les tenir en main si l’on fait bien attention, sans se blesser. Si on les laisse trop longtemps hors de l’eau, ils meurent et se mettent à pourrir (ça sent mauvais!). ATTENTION, certaines espèces tropicales peuvent être venimeuses ( ce sont ces oursins que l’on a vus et ils sont très beaux, voir la photo). Au Cambodge
Un peu d’histoire… Les oursins sont très vieux! Ils sont apparus il y a plus de 450 millions d’années. Ils étaient nés avant les dinosaures et les animaux terrestres! L’oursin vit de 4 à 20 ans. Mais certaines espèces peuvent vivre plus de 100 ans!
Les prédateurs des oursins: Les oursins se protègent avec leurs piquants mais quand ils s’abiment, les oursins deviennent le repas des homards, crabes, poissons balistes, loutre de mer, et des poissons loups.
Ça se mangent? Certaines espèces sont comestibles, en tant que fruit de mer. Celles que l’on peut manger, on les récoltes à l’aide d’un crochet ou d’un simple couteau. La partie que l’on peut manger est l’ensemble des 5 organes reproducteurs appelé « corail ». On les mange principalement dans les pays meditérranéens et surtout le Japon. En France, ça coûte très cher.( 25€ à 75€ la douzaine )
Bonsoir Cynthia , c'est un comportement étrange , mais j'ai une amie qui a adopté un chaton à moitié mort , récupéré de justesse et qui a un comportement similaire.Ce chat a un tas de doudous , jouets .Quand son mari et elle rentrent le soir , le chat a aligné tous ses jouets sur leur lit et dort à coté .Bien sur , les jouets sont enlevés du lit et le chat est prié d'aller dormir ailleurs. Mais chaque matin ,ils retrouvent leur chat endormi entre eux. Les animaux sont si adorables qu'on leur pardonne bien des comportements ! Merci Cynthia de nous offrir cette tendre histoire
Cette chienne ne peut dormir sans emporter avec elle un doudou différent chaque soir.
Elle, c'est Mojito, une jeune chienne de thérapie âgée de trois ans. Si avec sa bouille, on pourrait penser qu'elle ne pouvait pas être plus adorable, détrompez-vous. Mojito a un petit secret : elle adore collecter des jouets et doudous en tous genres pour dormir avec.
Kim Downie, sa maîtresse, a raconté : "Mojito a plein de jouets... Beaucoup trop. Elle insiste pour en choisir un à chaque fois que nous allons au magasin, et en plus, BARK (un abonnement mensuel à une Box remplie de surprises pour les chiens) lui en envoie de nouveaux jouets tous les mois".
Voici donc Mojito, 3 ans, collectionneuse endurcie de jouets et doudous en tous genres
Depuis un an et demi, son rituel avant d'aller dormir dans sa chambre est d'emporter avec elle un jouet différent Un doudou différent par soir !
Kim, sa maîtresse, raconte : "elle peut chercher dans toute la maison et vider sa boîte à jouets jusqu'à ce qu'elle trouve celui qu'elle veut"
"Si on les transporte au rez-de-chaussée, elle les ramène à l'étage"
Et toute la journée, elle ne fait que jouer avec
Ça lui arrive aussi de partager avec le chat de la famille, Vader
La chèvre de montagne, l'animal le plus casse-cou de la planète : la preuve en images
Un animal peut-il être casse-cou ? La réponse est oui. Incontestablement. Et un animal en particulier : la chèvre de montagne. Casse-cou, d'une part, mais surtout très habile, puisque l'animal est capable de gravir des rochers à pente très abrupte sans s'affoler pour autant. Un équilibriste de talent au coeur des montagnes Rocheuses
Si vous envisager de vous lancer dans un numéro d'équilibrisme, prenez exemple sur LES CHÈVRES DES MONTAGNES ROCHEUSES. Ces bêtes à poil disposent d'une stabilité à toute épreuve, et font preuve d'une témérité inégalée lorsqu'il s'agit de grimper à flanc de falaise.
De nombreux photographes rapportent ainsi des clichés étonnants, où l'on peut admirer ces ruminants escalader des montagnes sans aucune crainte, où bon nombre d'entre nous se seraient rétamés depuis belle lurette.
Découvrez notre sélection de photos insolites ci-dessous :
Vous passez une mauvaise journée ? Voici la vidéo qu'il vous faut !
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais on lit beaucoup de choses dernièrement à propos d'humains qui jugent d'autres humains pour leur apparence, leur couleur de peau, leur classe sociale, leur sexe ou encore leur religion. Si cela vous déprime un peu, ne vous en faites pas: le monde n'est pas encore tout à fait foutu ! Les animaux, par exemple, peuvent nous donner un exemple édifiant de ce qu'est l'amitié et l'amour sans concession. Ces animaux sont peut-être d'espèces différentes... mais ils sont meilleurs amis du monde ! Allez, voilà un peu de baume au cœur pour finir la journée, c'est cadeau :
Il est acquis de beaucoup que seules les moustiques femelles piquent. Elles ont besoin de sang pour assurer le développement de leurs oeufs. Non pas que le fait de reconnaître le sexe d'un moustique nous empêche de dormir, mais sachez qu'il est possible de le savoir sans se faire piquer (et avant de les écraser).
Au delà d’être horripilants et de causer de désagréables démangeaisons, les moustiques ont aussi une vie (à défaut de nous pomper la nôtre). Et comme tout animal, la bestiole vrombissante est sexuée. La différence entre mâle et femelle est un impondérable. En l’occurrence pour cette espèce, ce sont les antennes qui vont nous fournir ce renseignement.
« Les moustiques sont caractérisés par des antennes longues et fines à multiples articles, des ailes pourvues d’écailles, et des femelles possédant de longues pièces buccales en forme de trompe rigide de type piqueur-suceur. »
Savez-vous pourquoi ces pu**** de moustiques piquent toujours les mêmes personnes ?
Avez-vous déjà remarque que les moustiques s'en prennent plus à certaines personnes qu'à d'autres ? C'est d'autant plus vrai lorsque vos dormez avec quelqu'un. Vous vous réveillez le matin et constatez que vous êtes rempli de piqûres de moustique. Pendant que l'autre d'à côté n'a rien, ou juste une ou deux… Plutôt rageant ?
Mais il y a une explication scientifique à cela.
Alors ceux que j'entends dire que c'est parce qu'ils ont le sang sucré peuvent aller se coucher. C'est en vérité une question de température corporelle. C'est également dû aux odeurs (pas forcément mauvaises) de notre corps. Et enfin, c'est aussi la conséquence du CO2 que notre corps dégage, d'après Grégory L’Ambert, entomologiste.
Voilà qui explique en partie pourquoi vous vous ferez plus piqué durant une séance de jogging qu'après un bain, entre autres. Aussi, les personnes en surpoids et les femmes enceintes rejettent plus de CO2, ce qui explique en partie qu'elles soient plus sujettes aux piqûres de moustiques.
Le moustique est sensible à environ 150 molécules différentes. À noter également qu'une étude (tout ce qu'il y a de plus sérieux) a démontré quelque chose de fâcheux. La consommation d'alcool n'arrangera pas votre cas. Cela dilate les vaisseaux sanguins, votre corps augmente donc son métabolisme et dégage plus d'odeurs. Dommage...
Le saviez-vous ? Seules les moustiques femelles piquent.
Envoyés au front lors des attaques, utilisés comme moyens de traction et de communication, ils faisaient partie intégrante de la stratégie militaire.
Compagnons fidèles, ils partageaient le quotidien des soldats et leur permettaientde s’évader, pour un temps, des horreurs de la guerre.
Cavaliers français conduisant des prisonniers allemands jusqu’à la ville d’Aniche —
William Heinemann/Domaine public
D’abord célébrés par les soldats, puis relégués au second plan dans l’Histoire,ces animaux sont presque entièrement tombés dans l’oubli. Eux aussi ontpourtant payé un lourd tribut.
14 millions d’animaux enrôlés dans le conflit Chevaux, mulets, bœufs, ânes, chiens, pigeons voyageurs…
Au total, on estime qu’environ 14 millions d’animaux ont participé à la Première Guerre mondiale.
En plus du lourd bilan humain (9 millions de morts au cours du conflit), on oublie souvent que la Grande Guerre a entraîné d’énormes pertes animales. Les chevaux ont été les plus touchés, avec environ 10 millions de chevaux tués entre 1914 et 1918.
Une fois la guerre terminée, beaucoup de « rescapés » ont dû être abattus en raison de leurs blessures, de leur grand âge, ou simplement parce qu’on ne leur trouvait plus d’utilité.
En Australie par exemple, sur 13 000 chevaux enrôlés, 15 % ont été euthanasiés à l’issue du conflit car on ne savait pas où les placer.
Une bien triste fin pour ces héros de guerre…
Pigeon équipé d’une caméra par l’armée allemande — Bundesarchiv/CC BY SA 3.0
Un rôle stratégique de premier plan Utilisés dans un premier temps par les Français et les Anglais pour charger l’ennemi lors des combats, les chevaux se sont heurtés aux feux impitoyables de l’artillerie et à la froideur des tanks.
La guerre de 14-18 a ainsi marqué un tournant dans la manière de faire la guerre, la cavalerie ne faisant pas le poids face aux machines destructrices.
Les soldats ont donc surtout mis à profit la puissance de traction des chevaux, des ânes, des mulets et des bœufs pour transporter les vivres, les munitions et les blessés entre le front de combat et les lignes arrières.
Les pigeons voyageurs ont également pris part à la guerre ; celle de l’information.
Pour communiquer avec un front parfois isolé, les pigeons ont apporté leur assistance en entrant dans la guerre, bien malgré eux, volant au-dessus des champs de bataille afin d’acheminer leurs messages.
Pour tenter d’obtenir le moindre renseignement de leur ennemi français, les Allemands exigeaient, en territoire occupé, que tout pigeon trouvé leur soit rapporté. Quant au lâcher de pigeons, il était puni de la peine de mort, une peine qui témoigne de leur importance et de leur utilité : les Anglais en auraient utilisé 100 000 !
Les chiens, quant à eux, avaient deux fonctions principales.
La première consistait à retrouver les blessés après chaque offensive.
Leur seconde mission était informative : en complément des pigeons, les chiens étaient dressés pour porter des messages écrits et des munitions vers des points de ravitaillement.
Enfin les chiens ont parfois remplacé les chevaux pour tracter armements ou npourriture
Au total, 100 000 chiens auraient été mobilisés durant la guerre.
Le lieutenant-colonel John McCrae et son chien Bonneau — Bibliothèque et Archives Canada/CC BY 2.0
Le quotidien de la guerre Enrôlés dans le conflit bien malgré eux, les animaux partagent la souffrance quotidienne des soldats.
Les chevaux, largement mobilisés dès 1914, vivent un calvaire. De leur réquisition jusqu’à leur envoi au front, le stress les envahit. Les phéromones dégagées par les hommes et les animaux les apeurent. Viennent les détonations, la lumière des canons ; la vision des cadavres de leurs congénères et l’odeur du sang. L’artillerie les frappe, le gaz lesronge.
La maladie ne les épargne pas. En France, où l’on compte 1 million de chevaux morts pendant la guerre,35 % d’entre eux sont en réalité abattus alors que les maladies les font souffrir et menacent de se propager ; alors qu’il faut abréger les souffrances de ceux qui trainent leurs blessures depuis le front ; alors que les poilus sont en manque d’une nourriture que la viande de cheval peut combler.
La présence des animaux dans les camps contribue toutefois à remonter le moral des troupes. D’après certains témoignages, les soldats n’hésitent pas à qualifier ces compagnons d’infortune de « frères ».
Certains animaux deviennent rapidement les mascottes des soldats, comme Tiny, un âne récupéré par les Anglais en Picardie et dont on raconte qu’il appréciait le thé.
Des animaux plus « exotiques » sont également conservés à l’arrière des tranchées comme de véritables porte-bonheur ; c’est le cas d’un éléphantqui avait été offert aux soldats allemands par un directeur de cirque, ou d’un lionceau qui veillait sur l’armée de l’air américaine.
In memoriam En leur mémoire, plusieurs mémoriaux ont été érigés, dans des villes comme Berlin, Bruxelles, Lille ou encore Londres.
Des artistes se sont également attachés à mettre en avant le rôle joué par les animaux durant la guerre. Le peintre britannique Alfred James Munnings, passionné par les chevaux, a immortalisé des scènes de cavalerie.
Bien plus tardivement, en 1982, Michael Morpugo publie War Horse (« Cheval de guerre »). Ce livre destiné aux enfants raconte l’histoire de Joey, un cheval exceptionnel qui se retrouve emporté en plein cœur de la guerre.
En 2012, le roman a été porté à l’écran par Steven Spielberg, ce qui a contribué à raviver la mémoire du grand public sur le rôle joué par les animaux durant la Grande Guerre.
Enfin en 2013, avec Bêtes des tranchées, l’historien Eric Baratay nous invite à se repencher sur la guerre 14-18 du point de vue des animaux.
Les animaux ont largement contribué, bien malgré eux, à « l’effort de guerre ».
En ce jour où nous célébrons l’Armistice, ne les oublions pas.
En classe je devais faire un exposé, j’ai choisi de le faire sur les oursins:
Comment s’appellent-ils?
Les oursins ont différents noms:
-L’oursin
-L’échinide (ou l’échinidé)
-Hérisson de mer (on donne ce nom car l’oursin a des piquants comme l’hérisson)
-Châtaigne de mer (on donne ce nom car la châtaigne de mer à la même forme que la châtaigne)
Ils font parti de quelle famille?
Les oursins sont des invertébrés ( ils n’ont pas d’os). Ils sont couverts de piquants, ils font partie avec les étoiles de mer et les concombres de mer du groupes des échinodermes, qui signifie « peau piquante ».
Comment c’est un oursin?
Les oursins sont en forme de boule. Cette boule est recouverte de piquants, plus ou moins longs et ses piquants sont noirs (ou de couleurs sombres). Les oursins n’ont pas de veritables « cerveau », leur système nerveux est composé de 5 fibres qui sont placées à l’intérieur de la carapace.
Tête, yeux
Les oursins n’ont pas vraiment de « tête ». Leur bouche est située en-dessous d’eux. Ils n’ont pas non plus vraiment d’yeux et ils sont
remplacés par des cellules invisibles.
Comment se déplacent-ils?
Ils se déplacent avec leurs piquants articulés, mais ils ont également de petites ventouses appelées podias.
Où en trouver?
Des oursins, on peut en voir dans toutes les grandes mers du monde et à toutes les profondeurs.
Que mangent-ils?
Les oursins sont des herbivores qui broutent les algues avec leur bouche à 5 dents (nommée lanterne d’Aristote).
Sont-ils dangereux?
Les oursins ne sont pas agressifs parce qu’ils sont très lents. On peut les ramasser et les tenir en main si l’on fait bien attention, sans se blesser. Si on les laisse trop longtemps hors de l’eau, ils meurent et se mettent à pourrir (ça sent mauvais!).
ATTENTION, certaines espèces tropicales peuvent être venimeuses ( ce sont ces oursins que l’on a vus et ils sont très beaux, voir la photo).
Un peu d’histoire…
Les oursins sont très vieux! Ils sont apparus il y a plus de 450 millions d’années. Ils étaient nés avant les dinosaures et les animaux
terrestres! L’oursin vit de 4 à 20 ans.
Mais certaines espèces peuvent vivre plus de 100 ans!
Les prédateurs des oursins:
Les oursins se protègent avec leurs piquants mais quand ils s’abiment, les oursins deviennent le repas des homards, crabes, poissons balistes, loutre de mer, et des poissons loups.
Ça se mangent?
Certaines espèces sont comestibles, en tant que fruit de mer. Celles que l’on peut manger, on les récoltes à l’aide d’un crochet ou d’un simple couteau. La partie que l’on peut manger est l’ensemble des 5 organes reproducteurs appelé « corail ». On les mange principalement dans les pays meditérranéens et surtout le Japon. En France, ça coûte très cher.( 25€ à 75€ la douzaine )
Des photos des chats noirs et blancs ensemble.
Tout comme Yin et Yang, ils sont tout à fait opposés, mais se complètent parfaitement dans les photos.
# 1 regardant fixement
# 2 True Love
# 3 Yin, Yang et Quack
# 4 Purrrfect Yin Et Yang
# 5 Voisins
# 6 Ces magnifiques chats
# 7 Il est le Yin à son Yang
# 8 Doux câlins
# 9 Adorable Sleeping Kittens
# 10 Toki Et Doug
Les animaux sont si adorables qu'on leur pardonne bien des comportements !
Merci Cynthia de nous offrir cette tendre histoire
Elle, c'est Mojito, une jeune chienne de thérapie âgée de trois ans. Si avec sa bouille, on pourrait penser qu'elle ne pouvait pas être plus adorable, détrompez-vous. Mojito a un petit secret : elle adore collecter des jouets et doudous en tous genres pour dormir avec.
Kim Downie, sa maîtresse, a raconté : "Mojito a plein de jouets... Beaucoup trop. Elle insiste pour en choisir un à
chaque fois que nous allons au magasin, et en plus, BARK (un abonnement mensuel à une Box remplie de surprises pour les chiens) lui en envoie de nouveaux jouets tous les mois".
Voici donc Mojito, 3 ans, collectionneuse endurcie de jouets et doudous en tous genres
Depuis un an et demi, son rituel avant d'aller dormir dans sa chambre est d'emporter avec elle un jouet différent
Un doudou différent par soir !
Kim, sa maîtresse, raconte : "elle peut chercher dans toute la maison et vider sa boîte à jouets jusqu'à ce qu'elle
trouve celui qu'elle veut"
"Si on les transporte au rez-de-chaussée, elle les ramène à l'étage"
Et toute la journée, elle ne fait que jouer avec
Ça lui arrive aussi de partager avec le chat de la famille, Vader
Au final, elle en a finalement un sacré paquet !
Un animal peut-il être casse-cou ? La réponse est oui. Incontestablement. Et un animal en particulier : la chèvre de montagne.
Casse-cou, d'une part, mais surtout très habile, puisque l'animal est capable de gravir des rochers à pente très abrupte sans s'affoler pour autant.
Un équilibriste de talent au coeur des montagnes Rocheuses
Si vous envisager de vous lancer dans un numéro d'équilibrisme, prenez exemple sur LES CHÈVRES DES MONTAGNES
ROCHEUSES. Ces bêtes à poil disposent d'une stabilité à toute épreuve, et font preuve d'une témérité inégalée lorsqu'il s'agit de grimper à flanc de falaise.
De nombreux photographes rapportent ainsi des clichés étonnants, où l'on peut admirer ces ruminants escalader des montagnes sans aucune crainte, où bon nombre d'entre nous se seraient rétamés depuis belle lurette.
Découvrez notre sélection de photos insolites ci-dessous :
Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais on lit beaucoup de choses dernièrement à propos d'humains qui jugent d'autres humains pour leur apparence, leur couleur de peau, leur classe sociale, leur sexe ou encore leur religion. Si cela vous déprime un peu, ne vous en faites pas: le monde n'est pas encore tout à fait foutu ! Les animaux, par exemple, peuvent nous donner un exemple édifiant de ce qu'est l'amitié et l'amour sans concession. Ces animaux sont peut-être d'espèces différentes... mais ils sont meilleurs amis du monde ! Allez, voilà un peu de baume au cœur pour finir la journée, c'est cadeau :
Il est acquis de beaucoup que seules les moustiques femelles piquent. Elles ont besoin de sang pour assurer le
développement de leurs oeufs. Non pas que le fait de reconnaître le sexe
d'un moustique nous empêche de dormir, mais sachez qu'il est possible de le savoir sans se faire piquer (et avant de les écraser).
Au delà d’être horripilants et de causer de désagréables démangeaisons,
les moustiques ont aussi une vie (à défaut de nous pomper
la nôtre). Et comme tout animal, la bestiole vrombissante est
sexuée. La différence entre mâle et femelle est un impondérable. En
l’occurrence pour cette espèce, ce sont les antennes qui vont nous
fournir ce renseignement.
Avez-vous déjà remarque que les moustiques s'en prennent plus à certaines personnes qu'à d'autres ?
C'est d'autant plus vrai lorsque vos dormez avec quelqu'un. Vous vous réveillez le matin et constatez que vous êtes rempli de piqûres de moustique. Pendant que l'autre d'à côté n'a rien, ou juste une ou deux… Plutôt rageant ?
Mais il y a une explication scientifique à cela.
Alors ceux que j'entends dire que c'est parce qu'ils ont le sang sucré peuvent aller se coucher. C'est en vérité une
question de température corporelle. C'est également dû aux odeurs (pas forcément mauvaises) de notre corps. Et enfin, c'est aussi la
conséquence du CO2 que notre corps dégage, d'après Grégory L’Ambert, entomologiste.
Voilà qui explique en partie pourquoi vous vous ferez plus piqué durant une séance de jogging qu'après un bain, entre autres. Aussi, les personnes en surpoids et les femmes enceintes rejettent plus de CO2, ce qui explique en partie qu'elles soient plus sujettes aux piqûres de moustiques.
Le moustique est sensible à environ 150 molécules différentes. À noter également qu'une étude (tout ce qu'il y a de plus sérieux) a démontré quelque chose de fâcheux. La consommation d'alcool n'arrangera pas votre cas. Cela dilate les vaisseaux sanguins, votre corps augmente donc son métabolisme et dégage plus d'odeurs. Dommage...
Le saviez-vous ? Seules les moustiques femelles piquent.