Les chauves-souris vampires infligent une morsure à leurs victimes avec leurs incisives tranchantes pour boire leur sang. Grâce aux capteurs thermiques présents dans leur nez, ces chauves-souris sanguinivores repèrent à distance les sources d'hémoglobine.
Maltraité toute sa vie, ce taureau goûte finalement à la liberté.
Sa réaction ira vous chercher droit au coeur!
Bandit ne l'a pas eu facile...
Comme plusieurs autres espèces, ce taureau a passé la majorité de sa vie enchaînée. Cependant, un homme va complètement changer sa vie.
Cette homme, il s'appelle Christian. Il travaille pour un refuge d'animaux et l'homme a décidé de mettre fin à la misérable vie du taureau.
Rassurez-vous, il ne l'a pas achevé. Au contraire, il l'a littéralement délivré. Au départ, le taureau ne semblait pas faire confiance à Christian, mais lorsque ce dernier lui a montré qu'il ne voulait que lui donner de l'affection, les doutes de Bandit ont tous disparu soudainement.
Le plus touchant dans la vidéo ci-dessous est de voir la réaction du taureau lorsqu'il réalise qu'il est libre. Il n'y a pas de mot pour décrire cette scène...
Âme sensible s’abstenir Chine: ouverture sous tension du festival de viande de chien à Yulin. Un stand de viande de chien à l’ouverture du plus célèbre festival de viande de chien de Chine. Yulin, le 21 juin 2016. REUTERS/Kim Kyung-Hoon/File photo
Un rendez-vous culinaire peu appétissant a commencé ce mardi matin à Yulin, dans le sud de la Chine : le festival de la viande de chien. Chaque année, des milliers d’amateurs s’y rassemblent pour déguster des fondues de chien, une tradition vieille de 500 ans. Et comme chaque année, les militants chinois et internationaux s’y rendent pour crier au scandale. Des chiens tenus en cage qui attendent leur tour chez le boucher avant de passer dans la poêle ou sur le grill, un sort réservé à plus de 10 000 animaux lors du festival de Yulin. Peter Li, responsable de l’ONG américaine Humane Society International assiste à ce spectacle cruel, furieux et impuissant : « Ils traitent ces chiens de façon très brutale, on les tue devant les yeux des autres chiens. Beaucoup souffrent de maladies et ne sont donc pas propres à la consommation. Nous appelons le monde entier à leur secours, et nous avons déjà collecté 11 millions de signatures. Nous allons les envoyer au président chinois Xi Jinping en lui disant que ce festival et l’industrie de la viande de chien nuisent à l’image moderne de la Chine. Nous espérons être entendus. » Les autorités sont sous pression, car même s’il s’agit d’une tradition culinaire centenaire, les adeptes de la viande canine perdent du terrain face au lobby des 30 millions de Chinois qui vouent souvent un amour fou à leurs animaux de compagnie et qui s’insurgent contre le fait que près de 10 millions de chiens meurent tous les ans pour être mangés. (Source : RFI) IL FAUT DENONCER CES HORREURS...!!!!
Tout comme les chats domestiques! Le chat des sables appelé aussi chat du désert vit dans le désert.Le pauvre! Il vit dans les régions chaudes et il se comporte comme un chat domestique.On peut dire que c’est juste un chat dans la nature!
Etabli depuis juin 2015 dans une rue tranquille du XVe arrondissement de Paris, le Chat Mallow Café n’est pas un salon de thé comme les autres. Une douzaine de chats s’y faufilent entre les tasses, se frottent aux mollets des clients ou sommeillent sur des coussins. Ce jour-là, des étudiantes se sont réunies autour d’une table en forme de tête de matou. L’une d’elle, Aurélie, passe une main dans l’épaisse fourrure blanche de Jéricho, un british shorthair qui, ravi, ronronne à tout-va. «Ici, au bout d’un moment, je ne pense plus à rien, confie la jeune fille. À force de jouer avec les chats, de rire à leurs facéties et de les caresser, je lâche prise. Quand je sors, je suis de bonne humeur, comme regonflée !» A Tokyo, Paris ou New York, ce genre d’établissement fait florès. Tous vantent les bienfaits des félins et de leur relaxant ronron sur les humains. Ce doux son répétitif serait-il un médicament naturel, ou un placebo à la mode ? En sept questions, voici le point des connaissances actuelles.
Comment le ronronnement est-il produit ? Difficile de le dire, en l’état actuel de nos connaissances. Car si l’étude du comportement animal (l’éthologie) est née dans les années 1950, elle s’est d’abord focalisée sur les espèces sauvages, puis sur celles d’élevage, bétail et volailles. Ce n’est qu’au début de la décennie 1990, marquée par le «boom» des animaux de compagnie, que les scientifiques se sont intéressés à nos amis à quatre pattes. Ils découvrirent alors que le ronronnement est un murmure volontaire, que le chat émet la gueule ouverte ou fermée. Ils établirent aussi que la production de ce son n’est pas due à un organe particulier, mais qu’elle implique au moins le larynx (qui abrite les cordes vocales) et le diaphragme, ce muscle qui ferme le bas de la cage thoracique et qui expulse l’air des poumons. Les chercheurs crurent d’abord que le son provenait de la vibration des petits replis qui tapissent la muqueuse du larynx. Mais ils constatèrent que des matous pouvaient encore le déclencher après que cet organe leur avait été enlevé. Par la suite, leur attention se porta sur la chaîne hyoïde, une structure complexe située entre la langue et le larynx. Elle est composée de l’os hyoïde, qui flotte en travers de la gorge, et d’un faisceau de muscles et de ligaments qui relie celui-ci à divers éléments du squelette. Certains experts supposent que cette chaîne d’os et de muscles produirait le ronronnement en vibrant, peut être sous l’action de l’air qui passe dans la gorge de l’animal lorsque celui-ci respire. Un peu comme le vent fait bruire une corde à linge tendue entre deux piquets. Par ailleurs, les différences de consistance entre la chaîne hyoïde des petits félins tels que le chat, et celle des grands félins tels que le lion, pourraient expliquer pourquoi les premiers ronronnent et les seconds rugissent. Une autre hypothèse implique la veine cave (celle qui transporte le sang entre les organes et le cœur), que certains muscles feraient «palpiter». Cette pulsation, accentuée dans les bronches, la trachée et les sinus du chat, engendrerait le «trémolo » du chat. Bref, le mécanisme de cette drôle de vocalise demeure une énigme. Quels sont ses effets sur le félin ? Ils sont en premier lieu d’ordre psychique. Quelle que soit son origine, le ronronnement se traduit par une vibration. «Celle-ci est amplifiée dans les voies respiratoires de l’animal, et le fait résonner tout entier comme un instrument à cordes», révèle le vétérinaire toulousain Jean-Yves Gauchet, auteur du livre Mon chat et moi, on se soigne. Notre petit compagnon fonctionnerait ainsi comme une guitare ou un violoncelle, dont la caisse de résonance serait son propre corps. Mieux : le volume de son thorax module la tonalité du son. Plus le matou est gros, plus celui-ci est grave, et vice versa, si bien que chaque ronron est différent. Tous, cependant, sont émis à de très basses fréquences, comprises entre 20 et 140 Hertz (Hz), soit à peu près les mêmes que celles du ronflement humain (de 30 à 200 Hz). Or, ainsi que l’explique le docteur Jean-Marc Aimonetti, du Laboratoire de neurosciences intégratives et adaptatives de l’université d’Aix-Marseille, «le chat, comme tous les mammifères, perçoit les basses fréquences grâce à des capteurs situés dans sa peau, appelés corpuscules de Pacini. Ces détecteurs transforment les vibrations félines en impulsions électriques et les transmettent au cerveau, lequel y répond en secrétant des endorphines ». Plus connus sous le nom populaire d’«hormones du bonheur », ces opiacés aux propriétés analgésiques semblables à celles de la morphine procurent une sensation de bien-être, de plaisir, voire d’euphorie, et atténuent la douleur. Nous-mêmes les produisons dans des moments d’efforts physiques, d’excitation intense et lors de l’orgasme. Chez le chat, ce mécanisme entraînerait également la sécrétion d’ocytocine, une substance qui favorise (entre autres) l’activité sexuelle et la confiance en soi, et de sérotonine, qui améliore la qualité du sommeil et de l’humeur. Alors, les matous lanceraient-ils leur étrange vocalise pour se faire du bien ? Possible, car les chatons le font dès leur première tétée, un instant, pour eux, de félicité absolue. En sécurité, lovés contre leur mère qui elle-même ronronne, ils associent vite ce «trémolo » à l’allaitement et à la notion de plaisir, renforçant ainsi leur attachement à leur «maman». Les autres petits félins (guépard, puma, lynx…) en font autant au début de leur vie. Mais ce qui se passe ensuite est proprement stupéfiant : «À l’âge adulte, tous arrêtent de “vibrer”, même le chat de gouttière, révèle Thierry Bedossa, comportementaliste et vétérinaire à Neuilly. Seul celui qui vit avec l’homme perpétue cette action !» La démonstration vivante de cette bizarrerie se frotte aux jambes du praticien : «Quand Félix a débarqué chez moi, il venait de la rue et ne ronronnait pas. Mais au bout de quelques semaines, quand il s’est senti en confiance et dans un milieu familier, il a commencé à le faire… et n’a plus jamais cessé !» Ce son est-il émis dans des circonstances précises ? Tout à fait. Le chat domestique ne ronronne pas quand il est seul, ni en présence d’un congénère ou de tout autre animal. Il ne le produit qu’en compagnie d’un humain. «Il communique avec nous, s’exclame Thierry Bedossa. J’ai la conviction que lorsqu’il éprouve du contentement, il veut que nous le sachions. Même si nous lui avons fabriqué le plus altéré des environnements – il est le plus souvent stérilisé, mange des croquettes, ne chasse plus, vit parfois en appartement –, il est capable de retrouver des sensations liées aux premiers jours de sa vie, synonymes de plaisir et de quiétude extrêmes.» D’une certaine façon, nous nous substituerions à sa mère en lui procurant gîte et couvert et en l’infantilisant. D’autant que l’ocytocine que son cerveau secrète alors favorise, chez les «mamans» chats, l’éjection du lait, suite à la tétée de leur bébé. Autrement dit, notre matou retomberait en enfance. Et il nous dirait, à travers son «vibrato » : «Je suis petit, j’ai besoin d’être protégé.» Etrangement, ce son se manifeste aussi dans des situations de souffrance. Les chercheurs du Fauna Communications Research Institute (Caroline du Nord) l’ont établi, et les vétérinaires l’observent au quotidien. «Beaucoup de chats ronronnent lorsqu’ils sont stressés ou malades, raconte Thierry Bedossa. Mais aussi pendant un accouchement difficile, et même à l’agonie, dans l’heure qui précède la mort.» Amplifié par le stéthoscope, ce bruit de fond peut empêcher le médecin de discerner la respiration et les battements de cœur de l’animal qu’il ausculte. Au point qu’en 2014, une équipe de vétérinaires de l’université britannique de Cambridge a publié dans le Journal of Small Animal Practice un article très sérieux intitulé... «Comment empêcher les chats de ronronner en consultation ?». Explication : cette réaction permettrait aux matous de secréter des endorphines qui atténueraient leur angoisse et leur douleur. Serait-ce, pour l’animal, un moyen de se soigner ? Incroyable, mais (peut-être) vrai ! Il semblerait que ses vibrations l’aideraient à réparer ses tissus lésés : muscles, tendons, articulations ou os fracturé. Plusieurs études scientiques en ont fait le constat, sans pour autant l’expliquer. Thierry Bedossa les résume ainsi : «Les chats se rétablissent bien plus vite et avec moins de séquelles que les chiens, par exemple.» Les Anglo-Saxons appellent ce mécanisme «high rise syndrome» («syndrome de la chute haute»). Il a été mentionné pour la première fois en 1976 par le Dr Robinson, un vétérinaire du Memorial Hospital de New York, qui traitait chaque année quelque cent cinquante félins auteurs d’une «cascade» involontaire depuis un lieu très élevé. Puis en 1987, le Dr Wayne O. Whitney en fit l’objet d’une publication dans le Journal of the American Veterinary Medical Association. Après avoir examiné 132 «chats volants», ce chercheur a établi qu’un matou qui tombe d’une hauteur moyenne d’un cinquième étage a 90 % de chances de s’en sortir vivant et de guérir de ses éventuelles blessures.
Ce «miracle» serait dû, entre autres, a son ossature particulièrement résistante, que le ronron conforterait encore. Syndrome ou pas, nos compagnons préférés ne contractent, d’une façon générale, que très peu de fractures. Beaucoup moins que les chiens, mais aussi que les lions ou les tigres, c’est-à-dire des félins… qui ne ronronnent pas. Un autre argument en faveur d’un effet réel de cette vibration sur ce genre de lésions. Même le cancer des os serait concerné. Chez le chien, il est très agressif, et nécessite une opération chirurgicale suivie d’une chimiothérapie. Chez le chat, en revanche, il est rare, et bénin dans un tiers des cas, et si tumeur il y a, elle n’est guère virulente. «L’ostéoporose, la perte de masse osseuse qui touche toutes les femelles de mammifères à la ménopause, affecte très peu cette espèce en comparaison des autres», note encore Thierry Bedossa. Finalement, tout se passe comme si le ronronnement agissait sur le tissu osseux de l’animal : Pour en fabriquer, en prévenir la disparition ou le préserver des maladies. Par quelles actions physiologiques ? Le mystère reste entier. Le ronronnement a-t-il les mêmes effets sur l’homme Il semble bien, à en croire le Dr Jean Marc Aimonetti : «Comme celle du chat, notre peau contient des corpuscules de Pacini. Et ces récepteurs captent pareillement les vibrations du ronronnement. Il n’y a donc aucune raison pour qu’elles ne déclenchent pas dans notre cerveau la production d’endorphines, d’ocytocine et de sérotonine, avec les mêmes effets bienfaisants sur notre psychisme. Outre, ces basses fréquences sont les seules qui traversent le ventre de la femme enceinte et le placenta, si bien que le bébé les perçoit. » On peut ainsi penser que le ronron du chat évoque chez l’homme adulte cette période de bonheur total qu’il a vécue in utero, ou d’agréables sensations de son enfance avec, à la clé, un sentiment de sérénité. «Ce son jouerait un peu le rôle de la madeleine de Proust, sauf, bien sûr, si vous restez traumatisé par un matou qui vous a griffé quand vous aviez 6 ans», plaisante le scientifique. Même raisonnement pour l’action réparatrice des vibrations félines sur nos tissus osseux ou musculaires. Certes, les effets des très basses fréquences sur l’homme sont avérés.
Les kinésithérapeutes et les médecins du sport s’en servent avec succès pour consolider des fractures ou traiter des arthroses et des tendinites. Nul ne connaît le processus, probablement hormonal, qui permet de tels résultats. Et prouver que le ronron nous soigne par une expérience scientifique qui utiliserait des chats vivants est exclu. Cela supposerait que l’on place, par exemple, un félin qui l’émet sur la jambe cassée d’un patient, et un qui ne le fait pas sur un autre malade atteint d’une lésion parfaitement identique. Puis répéter l’opération suffisamment de fois pour que l’essai soit crédible… Irréalisable ! Jean-Marc Aimonetti s’est donc résolu à jouer au cobaye. «Je me suis injecté de l’eau dans un muscle, raconte-t-il. Ensuite, j’ai testé différentes vibrations et les ai combinées entre elles, en évaluant l’intensité de la douleur que je ressentais sur une réglette graduée de 0 à 10. Or, les fréquences qui correspondaient à celles du ronronnement calmaient ma souffrance…» Fortes présomptions, déductions, faisceaux d’observations convergentes : c’est, à ce jour, tout ce que nous avons sur les effets de ce son animal sur l’homme.
De récentes études, telle que celle menée en 2013 à l’université de Daegu (Corée du Sud) suggèrent ainsi qu’un individu soumis quelques minutes par jour à une vibration de 20 Hz verrait diminuer sa fatigue musculaire, et retrouverait plus rapidement du tonus. Plusieurs équipes américaines avancent aussi que les propriétaires de chats seraient moins sujets à l’hypertension et aux complications cardiovasculaires de type infarctus que le reste de la population. En 2002, au terme d’une étude de sept ans, le chercheur Dennis Ownby, de l’université de Géorgie (USA), affirmait pour sa part que le contact quotidien d’un chat boosterait notre système immunitaire et diminuerait le risque d’asthme et d’allergie. «Je ne crois pas à une action spécifique directe des vibrations sur le cœur, l’immunité ou la tension, nuance le Dr Jean-Marc Aimonetti. Mais si l’on admet que beaucoup de nos maladies sont liées au stress, on peut penser que sa réduction par le ronronnement ait une influence bénéfique sur ces pathologies.» Mais cette action est-elle volontaire ?Est-ce à dire que notre petit compagnon vocalise pour nous soigner ? «Ne rêvons pas, tempère Bertrand Deputte, professeur émérite d’éthologie à l’école vétérinaire d’Alfort : «Le chat “vibre” avant tout pour son propre bien-être et sa santé. Cela lui demande une grande dépense d’énergie. Or, la nature est économe. Le métabolisme du félin, c’est son carburant : il doit en disposer jusqu’à sa mort. Il ne peut pas le gaspiller à faire des choses inutiles pour lui.» Cet animal domestique, qui vit souvent dans un espace réduit et dort seize heures par jour en moyenne (soit les deux tiers de sa vie), pourrait ainsi se servir du ronronnement comme exercice physique. Il lui suffirait de résonner telle un instrument à cordes pour rester en bonne santé, préserver ses os, ses muscles et son souffle, là ou d’autres bêtes courent avec leur maître. «Si un chat se met à “vibrer” quand je le caresse, ce n’est pas par altruisme, insiste le Dr Aimonetti. Il y trouve un avantage : cela m’incite à lui faire d’autres câlins. Ce qui lui est profitable, car ce son active ses récepteurs épidermiques et, par conséquent, la production d’hormones apaisantes et régénératrices.
En l’émettant, il se fait d’abord du bien, mais nous le percevons aussi, au passage, à travers notre peau.» Dans ce contact qui active leurs fibres tactiles respectives, chacun des protagonistes serait donc gagnant. «N’oublions pas, conclut le chercheur, que le toucher est le seul sens qui soit réciproque. La caresse se fait à deux. Chez les humains, cela va de soi, mais c’est le secret du double bénéfice du ronron, à la fois pour nous et pour notre animal. Alors, bientôt une ronronthérapie ?En fait, cette vibration est déjà employée depuis longtemps à des fins curatives. En 2002, le vétérinaire Jean-Yves Gaucher a ainsi gravé 30 minutes de ronrons sur un CD intitulé Détendez-vous avec Rouky. Les 250 personnes qui l’ont testé ont éprouvé du bien-être, de la sérénité et une plus grande facilité à s’endormir. Sept ans plus tard, le même chercheur a conçu, en collaboration avec Apple, une application pour iPhone baptisée iJetlag, qui vise à réduire la fatigue liée au décalage horaire. Elle comprend des enregistrements de ronronnements qui entraîneraient la production de mélatonine, une hormone favorisant le sommeil.
Certains hôpitaux, comme celui de Charles-Foix à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), se servent encore de l’effet apaisant des chats – mais aussi des chiens – sur les personnes âgées et les handicapés moteur. D’autres scientifiques, subventionnés par la Nasa, planchent sur la possibilité d’utiliser des vibrations à basses fréquences pour enrayer la perte de densité osseuse que subissent les astronautes (2 % par mois dans l’espace). Envoyer un chat en orbite serait le meilleur moyen de vérifier cette hypothèse. Mais il n’en est pas question : en 1963, le premier vol d’un félin au-delà de notre atmosphère (une femelle «française» du nom de Félicette) s’est soldé par un tollé mémorable au sein des associations de protection animale. Mais sur Terre, la ronronthérapie a de beaux jours devant elle. Le chat, mélomane et compositeurDes bruits de tétée, ceux d’une chatte qui fait sa toilette, des gazouillis d’oiseaux, et bien sûr des ronronnements… Voici quelques-uns des motifs qui forment les airs que l’Américain David Teie a composés à l’intention spécifique des matous. Le violoncelliste, chef d’orchestre et musicologue à l’université du Maryland est parti de l’idée que ces animaux sont attirés par les sons qu’ils ont perçus dans les premiers jours de leur vie. Pour vérifier cette hypothèse, il s’est adressé à un confrère, Charles Snowdon, du département de psychologie de l’université du Wisconsin. Trois mélodies «félines» et deux «humaines» ont ainsi été testées sur 47 chats domestiques. Le résultat, publié en mai 2015 : 38 % d’entre eux ont été sensibles à Bach et Fauré, alors que 77 % l’ont été à l’écoute de «leur» musique. Ils se sont apaisés et ont frotté leur tête (signe de fort plaisir) contre les hauts-parleurs ! L’affaire a fait grand bruit dans la presse anglo-saxonne. Au point que les deux chercheurs ont édité un CD de 40 minutes intitulé Music for cats (on peut le commander sur le site Internet éponyme, ou écouter des extraits en ligne). La Ballade de Rusty ou L’Air de Cosmoz s’y révèlent un entrelacs de violoncelle, de miaulements et de ronrons des plus planants…. Les pouvoirs thérapeutiques du ronron. Le ronron génère des vibrations entre 20 et 140 Hertz. Ces basses fréquences pourraient soigner certaines pathologies. Diminution Du StressEtre en présence d’un chat qui ronronne réduirait l’anxiété. Difficultés RespiratoiresLe ronron restreindrait leurs symptômes, chez le félin comme chez l’homme. Baisse De La TensionElle se produirait lorsque nous interagissons avec le chat.
Réparation Des Os. Les fréquences comprises entre 25 et 50 Hz, ainsi que celles comprises entre 100 et 200 Hz, soit celles du ronron, les consolident. Risques d'infractusUne étude américaine de 2009* avance que les propriétaires de chats en auraient 40 % en moins. Immunité. Les vibrations émises par le félin l’augmenteraient. Lésions Des Tissus MousLe ronron favoriserait la guérison des affections musculaires, tendineuses et ligamentaires. * «Journal of Vascular and Interventional Neurology» (Zeenat Qureshi Stroke Research Center), janvier 2009. Cet article est paru dans le magazine GEO Extra "Le Chat" (n°5)
Le photographe Andrew Fladeboe a voyagé de pays en pays pour prendre les photos de ces chiens si particuliers. Ces clichés montrent des tas de chiens qui aident les humains à faire un travail quelconque ou qui sont là juste pour leur tenir compagnie.
Les chiens du berger ont depuis toujours été là pour aider le berger et s’occuper du troupeau.
Les chiens d’assistance ont vu le jour pour aider les personnes dans le besoin.
Les chiens de recherche et de sauvetage font un travail digne de ce nom.
Les chiens qui aident les personnes malades ou handicapées sont cités aussi.
Il y’ a des chiens spécialisés dans l’élevage de certains animaux. Ce sont des chiens de troupeau!
Les chiens-policiers font de l’excellent travail aussi!
Les chiens de sauvetage urbain pour les besoins de chaque situation.
En dernier, les chiens de thérapie sont là pour apporter le réconfort aux personnes dans le besoin comme les malades ou les personnes qui souffrent de solitude!
Top 16 des chats aux taches insolites, quand la nature fait des blagues.
Et oui, encore eux. LES CHATS. Cela fait quelques temps qu'ils commencent à s'humaniser dangereusement, on le sait... Mais voilà maintenant qu'ils se mettent à communiquer via leurs fourrures. Certaines taches ne trompent pas, ils évoluent. Un chat mignon arbore un grand cœur sur son pelage car il a COMPRIS que sa mignonitude était une arme de conquête planétaire. Darwinvous le dira. Depuis quand les chats sont-ils fans de Batman et portent des moustaches de hipsters ? Depuis qu'ils savent. Leur invasion se poursuit :
Qui paraît-il n'est pas super pote avec :Double-face cat
Ainsi qu'avec le... Riddler Cat Source photo : daily treat Chat à moustache de gentleman Source photo : Bored Panda Le chat avec une marque en forme de chat Un bel exemple de mise en abyme.
Qu'il est mignon ! gouzigouzi. Avec le coeur sur la machoire. Source photo : Bored Panda Le chat qui se faisait câliner par sa tâche en forme de singe.
Source photo : cats parella Le chat tatoué "cat" Drôle d'idée qui équivaut à se tatouer "humain" sur une côte.
Source photo : live door Le chat psychédélique Source photo : berkano-koty(bonus) Les chat-léopards du Bengal Une race de chat à part entière. Malheureusement, on ne la trouve que dans les pays asiatiques et dans l'extême orient russe... Source photo : healthclubschicago Source photo : healthclubschicago Mais ne vous en faites pas, il existe chez nous une race, le "Bengal", hybride de chat-léopard avec un chat ordinaire.
Un Chaton Fait 500 Kilomètres... Accroché Au Pare-Chocs... D'une Voiture.. ....
Les animaux sont décidément d’humeur voyageuse ces derniers temps... Après Monique la poule qui traverse la planète en compagnie d’un jeune Breton, c’est un petit chaton qui s’est fait remarquer pour son périple hors du commun. Alors qu’il venait de récupérer sa voiture à la sortie de l’aéroport de Birmingham en Angleterre, Nick Grimmer, pilote d’hélicoptère Britannique de la Royal Naval Air Station, se dirige vers sa base. Il parcourt ainsi 500 kilomètres en roulant jusqu’à Helston en Cornouailles s’en se rendre compte qu’un deuxième passager s’était glissé à bord du véhicule. Une présence qu’il a découvert à son arrivé en entendant un « miaulement discret » en provenance de son pare-choc. « J’ai regardé dans le coffre, sous le capot et grimpé au-dessus et dessous et je ne trouvais toujours pas ce qui faisait ce bruit », explique-t-il au Mirror.
Le lieutenant explique avoir fait appel à « quelques ingénieurs […] pour mettre en pièces » sa voiture et découvrir enfin l’animal qui venait de faire un long trajet cramponné à cet endroit. Le petit matou tigré a très vite été adopté par Nick Grimmer obligé de l’emporter à la base avec lui pour être à l’heure à son travail. Rebaptisé « Tiger », « du nom de leur escadron « Flying Tigers », il a également été accueilli par les autres pilotes de la base qui « s’occupent de lui ». « Nous serions très heureux que Tiger soit notre mascotte ; après tout, c’est la tradition pour les unités de la Royal Naval d’avoir des chats à bord » explique Brendan Spoors, commandant en chef. Et le chat semble être d’accord avec cette idée, « l’endroit où il se sent le plus à l’aise c’est dans mon casque de vol, c’est le seul endroit où il est capable de dormir », rajoute Nick Grimmer. Mais avant de l’adopter, l’escadron souhaitait rechercher les éventuels propriétaires du chaton. Brandon Spoors ajoute avoir décidé de lancer « L’opération Tiger le Minou » sur les réseaux sociaux pour espérer retrouver sa famille. Mais devant l’incapacité à mettre lamain dessus, l’escadron a annoncé hier sur sa page Facebook que Tiger avait finalement été adopté par Brendan Spoors lui-même. Ph. Royal Naval Air Station Culdrose source: Rédaction en ligneanimalGB
Quand La Faune & La Flore Guérissent Les Hommes...
Des Vidéos Fascinantes & Remarquables !Au contact des animaux & des insectes, l'homme peut guérir et s'améliorer... Telle est la superbe leçon enseignée par ces magnifiques vidéos...
France TV a récemment consacré un merveilleux reportage sur le sujet. On y observe à quel point les bêtes & les insectes sont indispensables à nos vies. Certaines images sont même bouleversantes... Les animaux ont un pouvoir :Celui de guérir nos peines ! Saviez-vous par exemple que certains médecins prescrivent la présence de chiens sur ordonnance ? En maison de retraite, en hôpital psychiatrique, dans un service pédiatrique et, même, dans une prison ! Voyez le résultat. C’ets à la fois, surprenant, instructif… et particulièrement émouvant !
infligent une morsure à leurs victimes avec leurs incisives tranchantes pour boire leur sang.
Grâce aux capteurs thermiques présents dans leur nez, ces chauves-souris
sanguinivores repèrent à distance les sources d'hémoglobine.
Sa réaction ira vous chercher droit au coeur!
Bandit ne l'a pas eu facile...
Comme plusieurs autres espèces, ce taureau a passé la majorité de sa vie enchaînée.
Cependant, un homme va complètement changer sa vie.
Cette homme, il s'appelle Christian. Il travaille pour un refuge d'animaux et l'homme a
décidé de mettre fin à la misérable vie du taureau.
Rassurez-vous, il ne l'a pas achevé. Au contraire, il l'a littéralement délivré.
Au départ, le taureau ne semblait pas faire confiance à Christian, mais
lorsque ce dernier lui a montré qu'il ne voulait que lui donner de
l'affection, les doutes de Bandit ont tous disparu soudainement.
Le plus touchant dans la vidéo ci-dessous est de voir la réaction du taureau
lorsqu'il réalise qu'il est libre. Il n'y a pas de mot pour décrire cette scène...
Voyez par vous-mêmes!
Âme sensible s’abstenir
Chine: ouverture sous tension du festival
de viande de chien à Yulin.
Un stand de viande de chien à l’ouverture du plus célèbre festival de
viande de chien de Chine. Yulin, le 21 juin 2016. REUTERS/Kim
Kyung-Hoon/File photo
Un rendez-vous culinaire peu appétissant a commencé ce mardi matin à
Yulin, dans le sud de la Chine : le festival de la viande de chien.
Chaque année, des milliers d’amateurs s’y rassemblent pour déguster des
fondues de chien, une tradition vieille de 500 ans. Et comme chaque
année, les militants chinois et internationaux s’y rendent pour crier au
scandale.
Des chiens tenus en cage qui attendent leur tour chez le boucher avant de
passer dans la poêle ou sur le grill, un sort réservé à plus de 10 000
animaux lors du festival de Yulin.
Peter Li, responsable de l’ONG américaine Humane Society International
assiste à ce spectacle cruel, furieux et impuissant :
« Ils traitent ces chiens de façon très brutale, on les tue devant les yeux
des autres chiens. Beaucoup souffrent de maladies et ne sont donc pas
propres à la consommation. Nous appelons le monde entier à leur secours,
et nous avons déjà collecté 11 millions de signatures. Nous allons les
envoyer au président chinois Xi Jinping en lui disant que ce festival et
l’industrie de la viande de chien nuisent à l’image moderne de la Chine.
Nous espérons être entendus. »
Les autorités sont sous pression, car même s’il s’agit d’une tradition
culinaire centenaire, les adeptes de la viande canine perdent du terrain
face au lobby des 30 millions de Chinois qui vouent souvent un amour
fou à leurs animaux de compagnie et qui s’insurgent contre le fait que
près de 10 millions de chiens meurent tous les ans pour être mangés.
(Source : RFI)
IL FAUT DENONCER CES HORREURS...!!!!
Tout comme les chats domestiques!
Le chat des sables appelé aussi chat du désert vit dans le désert.Le pauvre!
Il vit dans les régions chaudes et il se comporte comme un chat domestique.On peut dire que c’est juste un chat dans la nature!
Sylvie Buy et Jean-Yves Durand / GEO Extra - Photos Reportages GEO
Antistress et antidouleur pour le chat, le ronronnement serait aussi source de bienfaits pour l'homme.
/ © Poliphilia / CC Flickr
Il agirait sur le chat telle une thérapie. Antistress et antidouleur, il lui procurerait bien-être et sommeil, soignerait ses muscles et ses os…
Mieux : le ronronnement aurait une action bienfaisante pour l’homme.
Mais de quelle façon ?
Etabli depuis juin 2015 dans une rue tranquille du XVe arrondissement de Paris, le Chat Mallow Café n’est pas un salon de thé comme les autres. Une douzaine de chats s’y
faufilent entre les tasses, se frottent aux mollets des clients ou sommeillent sur des coussins.
Ce jour-là, des étudiantes se sont réunies autour d’une table en forme de
tête de matou. L’une d’elle, Aurélie, passe une main dans l’épaisse
fourrure blanche de Jéricho, un british shorthair qui, ravi, ronronne à
tout-va. «Ici, au bout d’un moment, je ne pense plus à rien, confie la
jeune fille.
À force de jouer avec les chats, de rire à leurs facéties et de les
caresser, je lâche prise. Quand je sors, je suis de bonne humeur, comme
regonflée !» A Tokyo, Paris ou New York, ce genre d’établissement fait florès.
Tous vantent les bienfaits des félins et de leur relaxant ronron sur
les humains. Ce doux son répétitif serait-il un médicament naturel, ou
un placebo à la mode ? En sept questions, voici le point des
connaissances actuelles.
Comment le ronronnement est-il produit ?
Difficile de le dire, en l’état actuel de nos connaissances. Car si l’étude du
comportement animal (l’éthologie) est née dans les années 1950, elle
s’est d’abord focalisée sur les espèces sauvages, puis sur celles
d’élevage, bétail et volailles.
Ce n’est qu’au début de la décennie 1990, marquée par le «boom» des
animaux de compagnie, que les scientifiques se sont intéressés à nos
amis à quatre pattes.
Ils découvrirent alors que le ronronnement est un murmure volontaire,
que le chat émet la gueule ouverte ou fermée.
Ils établirent aussi que la production de ce son n’est pas due à un
organe particulier, mais qu’elle implique au moins le larynx (qui abrite
les cordes vocales) et le diaphragme, ce muscle qui ferme le bas de la
cage thoracique et qui expulse l’air des poumons.
Les chercheurs crurent d’abord que le son provenait de la vibration des
petits replis qui tapissent la muqueuse du larynx. Mais ils constatèrent
que des matous pouvaient encore le déclencher après que cet organe leur
avait été enlevé.
Par la suite, leur attention se porta sur la chaîne hyoïde, une
structure complexe située entre la langue et le larynx. Elle est
composée de l’os hyoïde, qui flotte en travers de la gorge, et d’un
faisceau de muscles et de ligaments qui relie celui-ci à divers éléments
du squelette.
Certains experts supposent que cette chaîne d’os et de muscles produirait le
ronronnement en vibrant, peut être sous l’action de l’air qui passe dans
la gorge de l’animal lorsque celui-ci respire.
Un peu comme le vent fait bruire une corde à linge tendue entre deux
piquets. Par ailleurs, les différences de consistance entre la chaîne
hyoïde des petits félins tels que le chat, et celle des grands félins
tels que le lion, pourraient expliquer pourquoi les premiers ronronnent
et les seconds rugissent.
Une autre hypothèse implique la veine cave (celle qui transporte le
sang entre les organes et le cœur), que certains muscles feraient «palpiter».
Cette pulsation, accentuée dans les bronches, la trachée et les sinus du
chat, engendrerait le «trémolo » du chat. Bref, le mécanisme de cette
drôle de vocalise demeure une énigme.
Quels sont ses effets sur le félin ?
Ils sont en premier lieu d’ordre psychique. Quelle que soit son origine, le
ronronnement se traduit par une vibration. «Celle-ci est amplifiée dans
les voies respiratoires de l’animal, et le fait résonner tout entier
comme un instrument à cordes», révèle le vétérinaire toulousain
Jean-Yves Gauchet, auteur du livre Mon chat et moi, on se soigne.
Notre petit compagnon fonctionnerait ainsi comme une guitare ou un
violoncelle, dont la caisse de résonance serait son propre corps.
Mieux : le volume de son thorax module la tonalité du son. Plus le
matou est gros, plus celui-ci est grave, et vice versa, si bien que
chaque ronron est différent.
Tous, cependant, sont émis à de très basses fréquences, comprises entre 20 et
140 Hertz (Hz), soit à peu près les mêmes que celles du ronflement
humain (de 30 à 200 Hz).
Or, ainsi que l’explique le docteur Jean-Marc Aimonetti, du Laboratoire de
neurosciences intégratives et adaptatives de l’université
d’Aix-Marseille, «le chat, comme tous les mammifères, perçoit les basses
fréquences grâce à des capteurs situés dans sa peau, appelés
corpuscules de Pacini.
Ces détecteurs transforment les vibrations félines en impulsions
électriques et les transmettent au cerveau, lequel y répond en secrétant
des endorphines ».
Plus connus sous le nom populaire d’«hormones du bonheur », ces opiacés aux
propriétés analgésiques semblables à celles de la morphine procurent une
sensation de bien-être, de plaisir, voire d’euphorie, et atténuent la douleur.
Nous-mêmes les produisons dans des moments d’efforts physiques, d’excitation intense et lors de l’orgasme.
Chez le chat, ce mécanisme entraînerait également la sécrétion
d’ocytocine, une substance qui favorise (entre autres) l’activité
sexuelle et la confiance en soi, et de sérotonine, qui améliore la
qualité du sommeil et de l’humeur.
Alors, les matous lanceraient-ils leur étrange vocalise pour se faire du bien ?
Possible, car les chatons le font dès leur première tétée, un instant,
pour eux, de félicité absolue.
En sécurité, lovés contre leur mère qui elle-même ronronne, ils
associent vite ce «trémolo » à l’allaitement et à la notion de plaisir,
renforçant ainsi leur attachement à leur «maman».
Les autres petits félins (guépard, puma, lynx…) en font autant au début
de leur vie. Mais ce qui se passe ensuite est proprement stupéfiant :
«À l’âge adulte, tous arrêtent de “vibrer”, même le chat de gouttière,
révèle Thierry Bedossa, comportementaliste et vétérinaire à Neuilly.
Seul celui qui vit avec l’homme perpétue cette action !»
La démonstration vivante de cette bizarrerie se frotte aux jambes du
praticien :
«Quand Félix a débarqué chez moi, il venait de la rue et ne ronronnait
pas. Mais au bout de quelques semaines, quand il s’est senti en
confiance et dans un milieu familier, il a commencé à le faire… et n’a
plus jamais cessé !»
Ce son est-il émis dans des circonstances précises ?
Tout à fait. Le chat domestique ne ronronne pas quand il est seul, ni en
présence d’un congénère ou de tout autre animal. Il ne le produit qu’en
compagnie d’un humain.
«Il communique avec nous, s’exclame Thierry Bedossa. J’ai la conviction que
lorsqu’il éprouve du contentement, il veut que nous le sachions. Même
si nous lui avons fabriqué le plus altéré des environnements – il est le
plus souvent stérilisé, mange des croquettes, ne chasse plus, vit
parfois en appartement –, il est capable de retrouver des sensations
liées aux premiers jours de sa vie, synonymes de plaisir et de quiétude
extrêmes.»
D’une certaine façon, nous nous substituerions à sa mère en lui
procurant gîte et couvert et en l’infantilisant. D’autant que
l’ocytocine que son cerveau secrète alors favorise, chez les «mamans»
chats, l’éjection du lait, suite à la tétée de leur bébé.
Autrement dit, notre matou retomberait en enfance. Et il nous dirait, à
travers son «vibrato » : «Je suis petit, j’ai besoin d’être protégé.»
Etrangement, ce son se manifeste aussi dans des situations de souffrance. Les
chercheurs du Fauna Communications Research Institute (Caroline du Nord)
l’ont établi, et les vétérinaires l’observent au quotidien.
«Beaucoup de chats ronronnent lorsqu’ils sont stressés ou malades,
raconte Thierry Bedossa. Mais aussi pendant un accouchement difficile,
et même à l’agonie, dans l’heure qui précède la mort.»
Amplifié par le stéthoscope, ce bruit de fond peut empêcher le médecin
de discerner la respiration et les battements de cœur de l’animal qu’il ausculte.
Au point qu’en 2014, une équipe de vétérinaires de l’université
britannique de Cambridge a publié dans le Journal of Small Animal
Practice un article très sérieux intitulé...
«Comment empêcher les chats de ronronner en consultation ?».
Explication : cette réaction permettrait aux matous de secréter des
endorphines qui atténueraient leur angoisse et leur douleur.
Serait-ce, pour l’animal, un moyen de se soigner ?
Incroyable, mais (peut-être) vrai ! Il semblerait que ses vibrations l’aideraient à
réparer ses tissus lésés : muscles, tendons, articulations ou os fracturé.
Plusieurs études scientiques en ont fait le constat, sans pour autant l’expliquer. Thierry Bedossa les résume ainsi :
«Les chats se rétablissent bien plus vite et avec moins de séquelles que les
chiens, par exemple.» Les Anglo-Saxons appellent ce mécanisme «high
rise syndrome» («syndrome de la chute haute»).
Il a été mentionné pour la première fois en 1976 par le Dr Robinson, un
vétérinaire du Memorial Hospital de New York, qui traitait chaque année
quelque cent cinquante félins auteurs d’une «cascade» involontaire
depuis un lieu très élevé.
Puis en 1987, le Dr Wayne O. Whitney en fit l’objet d’une publication dans
le Journal of the American Veterinary Medical Association.
Après avoir examiné 132 «chats volants», ce chercheur a établi qu’un matou
qui tombe d’une hauteur moyenne d’un cinquième étage a 90 % de chances
de s’en sortir vivant et de guérir de ses éventuelles blessures.
Ce «miracle» serait dû, entre autres, a son ossature particulièrement résistante, que le ronron conforterait encore.
Syndrome ou pas, nos compagnons préférés ne contractent, d’une façon générale,
que très peu de fractures. Beaucoup moins que les chiens, mais aussi que
les lions ou les tigres, c’est-à-dire des félins… qui ne ronronnent pas.
Un autre argument en faveur d’un effet réel de cette vibration sur ce
genre de lésions. Même le cancer des os serait concerné. Chez le chien,
il est très agressif, et nécessite une opération chirurgicale suivie
d’une chimiothérapie.
Chez le chat, en revanche, il est rare, et bénin dans un tiers des cas, et
si tumeur il y a, elle n’est guère virulente. «L’ostéoporose, la perte
de masse osseuse qui touche toutes les femelles de mammifères à la
ménopause, affecte très peu cette espèce en comparaison des autres»,
note encore Thierry Bedossa.
Finalement, tout se passe comme si le ronronnement agissait sur le tissu osseux de l’animal :
Pour en fabriquer, en prévenir la disparition ou le préserver des maladies.
Par quelles actions physiologiques ? Le mystère reste entier.
Le ronronnement a-t-il les mêmes effets sur l’homme
Il semble bien, à en croire le Dr Jean Marc Aimonetti :
«Comme celle du chat, notre peau contient des corpuscules de Pacini. Et ces
récepteurs captent pareillement les vibrations du ronronnement.
Il n’y a donc aucune raison pour qu’elles ne déclenchent pas dans notre
cerveau la production d’endorphines, d’ocytocine et de sérotonine, avec
les mêmes effets bienfaisants sur notre psychisme.
Outre, ces basses fréquences sont les seules qui traversent le ventre de la
femme enceinte et le placenta, si bien que le bébé les perçoit. »
On peut ainsi penser que le ronron du chat évoque chez l’homme adulte
cette période de bonheur total qu’il a vécue in utero, ou d’agréables
sensations de son enfance avec, à la clé, un sentiment de sérénité.
«Ce son jouerait un peu le rôle de la madeleine de Proust, sauf, bien sûr,
si vous restez traumatisé par un matou qui vous a griffé quand vous
aviez 6 ans», plaisante le scientifique.
Même raisonnement pour l’action réparatrice des vibrations félines sur nos
tissus osseux ou musculaires. Certes, les effets des très basses
fréquences sur l’homme sont avérés.
Les kinésithérapeutes et les médecins du sport s’en servent avec succès
pour consolider des fractures ou traiter des arthroses et des tendinites.
Nul ne connaît le processus, probablement hormonal, qui permet de tels
résultats. Et prouver que le ronron nous soigne par une expérience
scientifique qui utiliserait des chats vivants est exclu.
Cela supposerait que l’on place, par exemple, un félin qui l’émet sur la
jambe cassée d’un patient, et un qui ne le fait pas sur un autre malade
atteint d’une lésion parfaitement identique.
Puis répéter l’opération suffisamment de fois pour que l’essai soit crédible…
Irréalisable ! Jean-Marc Aimonetti s’est donc résolu à jouer au cobaye. «Je me suis
injecté de l’eau dans un muscle, raconte-t-il.
Ensuite, j’ai testé différentes vibrations et les ai combinées entre
elles, en évaluant l’intensité de la douleur que je ressentais sur une
réglette graduée de 0 à 10. Or, les fréquences qui correspondaient à
celles du ronronnement calmaient ma souffrance…»
Fortes présomptions, déductions, faisceaux d’observations convergentes :
c’est, à ce jour, tout ce que nous avons sur les effets de ce son animal sur l’homme.
De récentes études, telle que celle menée en 2013 à l’université de Daegu
(Corée du Sud) suggèrent ainsi qu’un individu soumis quelques minutes
par jour à une vibration de 20 Hz verrait diminuer sa fatigue
musculaire, et retrouverait plus rapidement du tonus.
Plusieurs équipes américaines avancent aussi que les propriétaires de chats
seraient moins sujets à l’hypertension et aux complications
cardiovasculaires de type infarctus que le reste de la population.
En 2002, au terme d’une étude de sept ans, le chercheur Dennis Ownby,
de l’université de Géorgie (USA), affirmait pour sa part que le contact
quotidien d’un chat boosterait notre système immunitaire et diminuerait
le risque d’asthme et d’allergie.
«Je ne crois pas à une action spécifique directe des vibrations sur le
cœur, l’immunité ou la tension, nuance le Dr Jean-Marc Aimonetti.
Mais si l’on admet que beaucoup de nos maladies sont liées au stress,
on peut penser que sa réduction par le ronronnement ait une influence
bénéfique sur ces pathologies.»
Mais cette action est-elle volontaire ? Est-ce à dire que notre petit compagnon vocalise pour nous soigner ?
«Ne rêvons pas, tempère Bertrand Deputte, professeur émérite d’éthologie à
l’école vétérinaire d’Alfort : «Le chat “vibre” avant tout pour son
propre bien-être et sa santé.
Cela lui demande une grande dépense d’énergie. Or, la nature est économe. Le
métabolisme du félin, c’est son carburant : il doit en disposer jusqu’à
sa mort.
Il ne peut pas le gaspiller à faire des choses inutiles pour lui.» Cet
animal domestique, qui vit souvent dans un espace réduit et dort seize
heures par jour en moyenne (soit les deux tiers de sa vie), pourrait
ainsi se servir du ronronnement comme exercice physique.
Il lui suffirait de résonner telle un instrument à cordes pour rester
en bonne santé, préserver ses os, ses muscles et son souffle, là ou
d’autres bêtes courent avec leur maître.
«Si un chat se met à “vibrer” quand je le caresse, ce n’est pas par
altruisme, insiste le Dr Aimonetti. Il y trouve un avantage : cela
m’incite à lui faire d’autres câlins.
Ce qui lui est profitable, car ce son active ses récepteurs épidermiques
et, par conséquent, la production d’hormones apaisantes et régénératrices.
En l’émettant, il se fait d’abord du bien, mais nous le percevons aussi,
au passage, à travers notre peau.» Dans ce contact qui active leurs
fibres tactiles respectives, chacun des protagonistes serait donc gagnant.
«N’oublions pas, conclut le chercheur, que le toucher est le seul sens qui soit
réciproque. La caresse se fait à deux. Chez les humains, cela va de soi,
mais c’est le secret du double bénéfice du ronron, à la fois pour nous
et pour notre animal.
Alors, bientôt une ronronthérapie ? En fait, cette vibration est déjà employée depuis longtemps à des fins curatives. En 2002, le vétérinaire Jean-Yves Gaucher a ainsi gravé
30 minutes de ronrons sur un CD intitulé Détendez-vous avec Rouky.
Les 250 personnes qui l’ont testé ont éprouvé du bien-être, de la sérénité
et une plus grande facilité à s’endormir. Sept ans plus tard, le même
chercheur a conçu, en collaboration avec Apple, une application pour
iPhone baptisée iJetlag, qui vise à réduire la fatigue liée au décalage horaire.
Elle comprend des enregistrements de ronronnements qui entraîneraient la
production de mélatonine, une hormone favorisant le sommeil.
Certains hôpitaux, comme celui de Charles-Foix à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne),
se servent encore de l’effet apaisant des chats – mais aussi des chiens –
sur les personnes âgées et les handicapés moteur.
D’autres scientifiques, subventionnés par la Nasa, planchent sur la possibilité
d’utiliser des vibrations à basses fréquences pour enrayer la perte de
densité osseuse que subissent les astronautes (2 % par mois dans
l’espace).
Envoyer un chat en orbite serait le meilleur moyen de vérifier cette hypothèse.
Mais il n’en est pas question : en 1963, le premier vol d’un félin
au-delà de notre atmosphère (une femelle «française» du nom de
Félicette) s’est soldé par un tollé mémorable au sein des associations
de protection animale.
Mais sur Terre, la ronronthérapie a de beaux jours devant elle.
Le chat, mélomane et compositeur Des bruits de tétée, ceux d’une chatte qui fait sa toilette,
des gazouillis d’oiseaux, et bien sûr des ronronnements…
Voici quelques-uns des motifs qui forment les airs que l’Américain David Teie
a composés à l’intention spécifique des matous. Le violoncelliste, chef
d’orchestre et musicologue à l’université du Maryland est parti de
l’idée que ces animaux sont attirés par les sons qu’ils ont perçus dans
les premiers jours de leur vie.
Pour vérifier cette hypothèse, il s’est adressé à un confrère, Charles
Snowdon, du département de psychologie de l’université du Wisconsin.
Trois mélodies «félines» et deux «humaines» ont ainsi été testées sur 47
chats domestiques.
Le résultat, publié en mai 2015 : 38 % d’entre eux ont été sensibles à
Bach et Fauré, alors que 77 % l’ont été à l’écoute de «leur» musique.
Ils se sont apaisés et ont frotté leur tête (signe de fort plaisir) contre
les hauts-parleurs ! L’affaire a fait grand bruit dans la presse
anglo-saxonne. Au point que les deux chercheurs ont édité un CD de 40
minutes intitulé Music for cats (on peut le commander sur le site
Internet éponyme, ou écouter des extraits en ligne).
La Ballade de Rusty ou L’Air de Cosmoz s’y révèlent un entrelacs de
violoncelle, de miaulements et de ronrons des plus planants….
Les pouvoirs thérapeutiques du ronron.
Le ronron génère des vibrations entre 20 et 140 Hertz. Ces basses fréquences pourraient soigner certaines pathologies.
Diminution Du Stress Etre en présence d’un chat qui ronronne réduirait l’anxiété.
Difficultés Respiratoires Le ronron restreindrait leurs symptômes, chez le félin comme chez l’homme.
Baisse De La Tension Elle se produirait lorsque nous interagissons avec le chat.
Réparation Des Os.
Les fréquences comprises entre 25 et 50 Hz, ainsi que celles comprises
entre 100 et 200 Hz, soit celles du ronron, les consolident.
Risques d'infractus Une étude américaine de 2009* avance que les propriétaires de chats en auraient 40 % en moins.
Immunité.
Les vibrations émises par le félin l’augmenteraient.
Lésions Des Tissus Mous Le ronron favoriserait la guérison des affections musculaires, tendineuses et ligamentaires.
* «Journal of Vascular and Interventional Neurology» (Zeenat Qureshi Stroke Research Center), janvier 2009.
Cet article est paru dans le magazine GEO Extra "Le Chat" (n°5)
Le photographe Andrew Fladeboe a voyagé de pays en pays pour prendre les photos de ces chiens si particuliers.
Ces clichés montrent des tas de chiens qui aident les humains à faire un travail quelconque ou qui sont là juste
pour leur tenir compagnie.
Les chiens du berger ont depuis toujours été là pour aider le berger et s’occuper du troupeau.
Les chiens d’assistance ont vu le jour pour aider les personnes dans le besoin.
Les chiens de recherche et de sauvetage font un travail digne de ce nom.
Les chiens qui aident les personnes malades ou handicapées sont cités aussi.
Il y’ a des chiens spécialisés dans l’élevage de certains animaux. Ce sont des chiens de troupeau!
Les chiens-policiers font de l’excellent travail aussi!
Les chiens de sauvetage urbain pour les besoins de chaque situation.
En dernier, les chiens de thérapie sont là pour apporter le réconfort aux
personnes dans le besoin comme les malades ou les personnes qui
souffrent de solitude!
quand la nature fait des blagues.
Et oui, encore eux. LES CHATS. Cela fait quelques temps qu'ils commencent
à s'humaniser dangereusement, on le sait... Mais voilà maintenant qu'ils se mettent à
communiquer via leurs fourrures. Certaines taches ne trompent pas, ils évoluent.
Un chat mignon arbore un grand cœur sur son pelage car il a COMPRIS que sa mignonitude
était une arme de conquête planétaire. Darwinvous le dira. Depuis quand les chats sont-ils
fans de Batman et portent des moustaches de hipsters ? Depuis qu'ils savent. Leur invasion se poursuit :
Sam, le chat soucieux
Source photo : love meow
Qui paraît-il n'est pas super pote avec :Double-face cat
Ainsi qu'avec le...
Riddler Cat
Source photo : daily treat
Chat à moustache de gentleman
Source photo : Bored Panda
Le chat avec une marque en forme de chat
Un bel exemple de mise en abyme.
Qu'il est mignon ! gouzigouzi.
Avec le coeur sur la machoire.
Source photo : Bored Panda
Le chat qui se faisait câliner par sa tâche en forme de singe.
Source photo : Bored Panda
Le chat Gorbatchev
Source photo : cats parella
Le chat tatoué "cat"
Drôle d'idée qui équivaut à se tatouer "humain" sur une côte.
Source photo : live door
Le chat psychédélique
Source photo : berkano-koty(bonus)
Les chat-léopards du Bengal
Une race de chat à part entière. Malheureusement, on ne la trouve que dans les pays asiatiques et dans l'extême orient russe...
Source photo : healthclubschicago
Source photo : healthclubschicago
Mais ne vous en faites pas, il existe chez nous une race, le "Bengal", hybride de chat-léopard avec un chat ordinaire.
par Laurens De Haas
Vous rêvez de grands rêves
Fox Shy
Mère et enfant retrouvailles
Fox portrait
Narcissus, le renard "regarder" son reflet sur un étang gelé
Mère et fils portrait
Fox silhouette
Jeune renard en profitant du soleil du soir
Relaxant encore prudent
Fox à l'affût
Fox assoiffé.
Jeune renard joueur
La dispute
Renard en chasse d'une jeune grenouille
fox rire
Fox presque volant
Doute
Le rêveur
Renardière
Boire renard sur la glace
Fox dans la neige
Envie de jouer?
Verrouillé sur une proie
Le bâillement
Famille Fox séance de toilettage
Les animaux sont décidément d’humeur voyageuse ces derniers temps...
Après Monique la poule qui traverse la planète en compagnie d’un jeune Breton, c’est un petit
chaton qui s’est fait remarquer pour son périple hors du commun.
Alors qu’il venait de récupérer sa voiture à la sortie de l’aéroport de
Birmingham en Angleterre, Nick Grimmer, pilote d’hélicoptère Britannique
de la Royal Naval Air Station, se dirige vers sa base.
Il parcourt ainsi 500 kilomètres en roulant jusqu’à Helston en
Cornouailles s’en se rendre compte qu’un deuxième passager s’était
glissé à bord du véhicule.
Une présence qu’il a découvert à son arrivé en entendant un « miaulement
discret » en provenance de son pare-choc. « J’ai regardé dans le coffre,
sous le capot et grimpé au-dessus et dessous et je ne trouvais toujours
pas ce qui faisait ce bruit », explique-t-il au Mirror.
Le lieutenant explique avoir fait appel à « quelques ingénieurs […] pour
mettre en pièces » sa voiture et découvrir enfin l’animal qui venait de
faire un long trajet cramponné à cet endroit.
Le petit matou tigré a très vite été adopté par Nick Grimmer obligé de
l’emporter à la base avec lui pour être à l’heure à son travail.
Rebaptisé « Tiger », « du nom de leur escadron « Flying Tigers », il a également
été accueilli par les autres pilotes de la base qui « s’occupent de lui ».
« Nous serions très heureux que Tiger soit notre mascotte ; après tout, c’est
la tradition pour les unités de la Royal Naval d’avoir des chats à
bord » explique Brendan Spoors, commandant en chef.
Et le chat semble être d’accord avec cette idée, « l’endroit où il se
sent le plus à l’aise c’est dans mon casque de vol, c’est le seul
endroit où il est capable de dormir », rajoute Nick Grimmer.
Mais avant de l’adopter, l’escadron souhaitait rechercher les éventuels
propriétaires du chaton. Brandon Spoors ajoute avoir décidé de lancer «
L’opération Tiger le Minou » sur les réseaux sociaux pour espérer retrouver sa famille.
Mais devant l’incapacité à mettre lamain dessus, l’escadron a annoncé hier sur sa page Facebook que Tiger
avait finalement été adopté par Brendan Spoors lui-même.
Ph. Royal Naval Air Station Culdrose
source: Rédaction en ligneanimalGB
Quand La Faune & La Flore Guérissent Les Hommes...
Des Vidéos Fascinantes & Remarquables ! Au contact des animaux & des insectes, l'homme
peut guérir et s'améliorer...
Telle est la superbe leçon enseignée par ces magnifiques vidéos...
France TV a récemment consacré un merveilleux reportage sur le sujet.
On y observe à quel point les bêtes & les insectes sont indispensables à nos vies.
Certaines images sont même bouleversantes...
Les animaux ont un pouvoir :Celui de guérir nos peines !
Saviez-vous par exemple que certains médecins prescrivent la présence de chiens sur ordonnance ?
En maison de retraite, en hôpital psychiatrique, dans un service pédiatrique et, même, dans une prison !
Voyez le résultat. C’ets à la fois, surprenant, instructif… et particulièrement émouvant !