Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
29/04/2016 - 11:01
Une compilation de mignons petits bébés animaux!

29/04/2016 - 09:24
DES RENARDS SAUVES PAR UN HOMME.


L'homme est Patsy Gibbons et ses deux acolytes adorables sont Grainne et Minnie. Gibbons a soigné les renards retour à la santé après avoir été trouvés abandonnés comme chiots, et bien que les animaux ont fait un
rétablissement complet et aurait pu retourné à l'état sauvage, il semble qu'ils ont décidé d'adopter leur sauveteur à la place! Un peu sans surprise, les trois d'entre eux reçoivent beaucoup d'attention des enfants locaux,
si bien que les écoles ont invité Grainne et Minnie à venir afin que les élèves puissent les voir de près.

 

Crédits image:  Clodagh Kilcoyne

Crédits image:  Clodagh Kilcoyne

Crédits image:  Clodagh Kilcoyne

Crédits image:  inesemjphotography

Crédits image:  inesemjphotography

Crédits image:  Clodagh Kilcoyne

Crédits image:  inesemjphotography

Crédits image:  Clodagh Kilcoyne


29/04/2016 - 08:54
Ce héron cendré lui rend visite depuis plus d’un an.


 
Gisela Minder, de Kreuzlingen, et le volatile ont noué une amitié
particulière. Depuis plusieurs mois, l’oiseau vient la voir
régulièrement.

«Elle arrive vers 7h30 et toque contre la fenêtre de ma cuisine avec son
bec», raconte Gisela Minder à la chaîne de télévision locale TVO. Depuis
un an et demi, la Thurgovienne de Kreuzlingen reçoit la visite d’une
femelle héron cendré, nommée Conchita.

«Quand Conchita se trouve devant ma fenêtre, je sais qu’elle veut manger
quelque chose. Je lui prépare alors des snacks à base de poisson»,
explique Gisela Minder. Une fois le ventre bien rempli, le volatile aime
se reposer sur le lit de son amie ou l’observe pendant qu’elle cuisine.
La plupart du temps, l’oiseau reste une demi-journée dans la maison de
la Thurgovienne avant de repartir.

Lorsque Conchita n’est pas chez Gisela Minder, elle passe son temps à la
station ornithologique de Kreuzlingen. La gérante, Elisabeth Eberle,
explique avoir recueilli le héron cendré il y a deux ans. Toutes les
tentatives pour relâcher la femelle dans la nature sont restées vaines.
Depuis, note Elisabeth Eberle, l’oiseau fait partie des meubles: «Nous
sommes très attachés à Conchita. Elle peut être un peu collante, mais
lorsqu’elle ne vient pas nous voir pendant deux jours, elle nous manque
énormément.» Tant Elisabeth Eberle que Gisela Minder ignorent pourquoi
le volatile fait autant confiance aux humains.

(Source :  20 Minutes)

CLIC ICI..............http://dai.ly/x47mxg7
 

29/04/2016 - 08:02
Bestiaire de Namibie


Bien que moins connue, la Namibie n’a rien à envier aux destinations stars
du safari photo que sont le Kenya,  la Tanzanie ou l’Afrique du Sud.
Aidée par la Communauté Routard pour les préparatifs, Émilie Cabot,
passionnée de photographie, s’y est rendue en décembre dernier.

Revenue avec  140 Go de photos et vidéos, elle nous présente quelques-uns de ses superbes portraits animaliers.
À lire également l'interview d'Émilie Cabot.

Jeu De Patience


Près d’Okaukuejo, Etosha. Nous avions repéré cet énorme éléphant en train de
prendre un bain dans un point d‘eau très loin de la route, alors nous
nous sommes postés là et avons attendu qu’il se rapproche.

Il a vraiment pris son temps pour nous rejoindre, plus d’une heure à se
jeter du sable et à grignoter en avançant doucement vers nous. Puis il a
traversé la route juste devant notre voiture et nous avons réalisé à
quel point il est massif !


Pause Après La Chasse


Première journée en self-drive à Etosha. Il avait plu la nuit précédente, alors
les trous d’eau  étaient désertés et nous avions peu d’espoir de voir
des animaux sauvages en dehors des “plain game” habituels (antilopes,
gnous, etc).

Soudain au détour d’un chemin ma copilote a aperçu une douzaine de vautours sur
une carcasse. Le temps que je prenne mon appareil et fasse la mise au
point, les vautours se sont envolés, pourchassés par une lionne ! Elle a
tiré la carcasse à l’abri sous un arbre, puis elle est venue sur la
route, juste devant nous, boire dans la flaque. Instant magique…


Rencontre Furtive


Voici l’antilope la plus petite au monde, la dénommée Damara Dik-Dik. Elle ne
dépasse pas les  40cm et est très craintive, je suis ravie d’avoir pu
la rencontrer dans la réserve d’Okonjima.


Séance câlins dans le Pan


Nous roulions près du Pan d’Etosha, et ne voyions qu’une étendue plate et
argileuse à perte de vue… En regardant bien, ce joli couple d’otocyons
faisait tranquillement la sieste et se câlinait. En nous voyant le mâle
s’est levé et nous a regardé, protecteur envers sa belle

Kudu mâle à Okonjima


On reconnait facilement un kudu mâle à ses longues cornes en tire-bouchon.
Il peut faire des bonds de plus de 2m de haut ! Le kudu est aussi un
gibier délicieux


Les reptiles prennent la pose


Vus à Etosha, ce couple de lézards avait l’air de vouloir poser pour
l’objectif ! Je ne sais pas de quelle espèce il s’agit, mais le mâle est
celui qui a la tête colorée, et il est vraiment canon.


Sieste d’un super-prédateur


Le Lycaon est une espèce à part, bien qu’on l’a souvent confondu avec un
loup ou une hyène. Ce sont des chasseurs hors-pair, avec un taux de
réussite qui s’élève à 80% contre 10% pour les lions. Ils sont capables
de traquer leurs proies sur des kilomètres.

Pourtant, cette espère est menacée d’extinction. J’ai croisé celui-ci
tranquillement couché au bord de la piste à Okonjima, en train de faire
la sieste avec ses congénères.


Après-midi détente


Après-midi pluvieux à Halali (Etosha). Nous attendons au point d’eau qui reste
désert, jusqu’au moment où un énorme rhinocéros arrive, tranquillement,
pour  se désaltérer.

Il a passé 1h à alterner entre boire, se frotter les cornes contre une
souche et nous observer, avant de disparaitre à nouveau dans le bush…


Jeune effronté et sa mère


Le soleil se lève tout juste sur la réserve d’Okonjima. Notre guide nous
emmène traquer les léopards, mais notre première rencontre matinale se
fait avec un bébé springbok, qui a moins de 15 jours, et sa maman. Le
petit nous observe, curieux.


Rafraichissement après la pluie


Première rencontre avec des guépards, une fratrie de trois dont celui-ci se
désaltère dans une flaque fraîchement créée. Il a le pelage tout trempé
par la première pluie de l’année qui vient de tomber sur la réserve
privée d’Okonjima / Africat.


Chevauchée fantastique


Nous avons vu beaucoup de zèbres à Etosha, et ils sont vraiment très
photogéniques. Pour une fois au lieu de boire dans les flaques, en voilà
un qui s’est mis à faire un sprint et nous avons voulu “faire la
course” avec lui : résultat env. 50km/h au compteur, pas mal !


Chasse à l'aube


Croisé à l’aube à Etosha, aux alentours d’Okaukuejo, ce chacal farfouillait le bush
à la recherche de son petit-déjeuner.

Nous l’avons suivi un moment jusqu’à ce qu’il retrouve ses congénères pour
un festin matinal, à partager une énorme carcasse avec une hyène.
Mémorable !


Festin matinal


Une meute de chacals festoyait d’une grosse carcasse au petit matin, quand
une hyène est arrivée. Nous l’avons repérée de loin et elle s’est
approchée, le cou tendu avec cette démarche si caractéristique.

A son approche les chacals ont commencé par se disperser, effrayés,
puis peu à peu sont revenus partager le repas avec la hyène est ses
puissantes mâchoires...

Ecureuil à l’affut


C’est dans le magnifique paysage désertique de Palmwag, fait de roches rouges
et d’euphorbias verts, que nous avons croisé cet écureuil, à l’affut
sous un soleil de plomb (+45°C).


Portrait haut perché


Nous avons rencontré nos premières girafes en arrivant à Okonjima. Il y
avait là toute une famille avec des petits, et celle-ci était la plus
haute des girafes.

J’adore les regarder courir, façon “slow-motion”. On ne se rend pas toujours
compte, avant d’en voir de près, à quel point elles sont immenses.


T’as de beaux yeux tu sais


Incontestablement mon antilope naine préférée. Le Steenbok mesure entre  40 et 60cm de
haut, et se distingue du Dik-dik par ses grandes oreilles.

Je suis sûre que son regard doux est à l’origine de l’expression “avoir des yeux de biche” ! Vu à Okonjima.

Le vrai visage de Pumba


"J’étais jeune pahcochèèèèreuh”. La première réaction de tous les européens
devant un phacochère est la référence au Roi Lion : “PUMBAAAA !!!”.
Autant je trouve que les animaux du dessin animé ont tous été dessinés
de façon réaliste, autant Pumba a subi un profond lifting, car le pauvre
est vraiment très moche en vrai.

Ça ne l’empêche pas d’être très drôle quand il court, avec sa queue
relevée, droite comme un i. Croisé un peu partout en Namibie, ici à
Okonjima.


Sur la piste du léopard


Okonjima / Africat. Après plusieurs heures à chercher des léopards, toujours
rien, ce prédateur est décidément farouche. Enfin, notre guide capte son
signal, il est à moins de 200m !

Nous nous lançons à sa recherche, mais notre véhicule s’embourbe alors dans
une grosse ornière. Il va nous falloir sortir du véhicule et nous
démener comme des fous pour le sortir de là, en espérant que le léopard
du coin n’en profite pas pour goûter à la viande de touriste !

Peu après le sauvetage du véhicule, le voilà enfin, majestueux. Bien que brève, cette rencontre est incroyable...

Questions à Émilie Cabot
Routard : Aviez-vous envie de découvrir la Namibie depuis longtemps, pourquoi cette destination ?
Émilie Cabot : Cela faisait en effet plusieurs années que je rêvais de
découvrir la Namibie, pour ses grands espaces, la variété de paysages
qu’on peut découvrir littéralement d’une minute à l’autre, et sa faune
incroyable.

C’est en outre un paradis pour la photographie, tant en termes de
paysages que de lumières. Je croyais que cette destination était
réservée à quelques chanceux au portefeuille bien garni, mais finalement
grâce à des conseils d’autres voyageurs ayant fait le voyage j’ai
réalisé qu’en mode self-drive et camping c’est tout à fait raisonnable.

A ce propos la communauté du Routard s’est révélée une aide précieuse pour les préparatifs du voyage,
je les en remercie encore.

Le Routard : La photo semble prendre une place importante dans vos voyages…
Émilie Cabot : Je suis passionnée de photographie, au point que c’est devenu un
facteur déterminant dans le choix de mes destinations de voyage.
J’essaye d’organiser mon voyage en fonction des opportunités de photos
que je peux rencontrer (ce qui, pour les compagnons de voyage
non-photographes, peut se révéler fatigant j’en conviens !).

Que ce soit un hybride pour un weekend “city-break” ou toute la panoplie
photo pour un voyage comme celui-ci, j'emporte toujours un appareil
photo dans ma valise.

La photo représente l’occasion pour moi de graver dans ma mémoire un moment, une rencontre, un lieu…
qui m’ont marquée.

A posteriori quand je regarde une photo, c’est comme une madeleine de
Proust, je suis transportée dans cet endroit, je revis ce moment,
l’émotion vécue. Certains préfèrent rédiger un journal de voyage, moi je
prends des photos...

Découvrez les autres photos d’Émilie, notamment les paysages namibiens, sur ses comptes Instagram et Flickr.
Pour en savoir plus sur son voyage et préparer le vôtre, lire son compte-rendu dans le forum Namibie ainsi que notre guide pratique Namibie
À lire également, notre reportage Etosha, paradis du roi lion.
Enfin, impossible de clore ce portfolio sans vous présenter le magnifique
light painting réalisé par Émilie en hommage à la Namibie. Impressionnant !




Après une journée dans le désert de NamibRand, nous avons profité des
températures plus supportables du soir pour faire un feu et nous essayer au lightpainting.

Le coeur rouge a été fait grâce à une braise tirée du feu.
Beaucoup d’essais ont été nécessaires pour réussir cette photo !

29/04/2016 - 07:43
Ce petit félin est le plus grand des grimpeurs
De petite taille, le margay possède une technique et un physique pour réaliser des prouesses dans les arbres. Le margay est un félin de petite taille. Mais à l'aide de chevilles
pivotantes, il est un excellent grimpeur et est capable de se déplacer
très facilement dans les cimes des arbres.(Tailles des lettres impossible à maîtriser!)
28/04/2016 - 14:31
Visite de L'Aquarium De Lyon...


C'est une sortie familiale qui fait plaisir aux petits et instruit aussi les grands !

Il y a plusieurs animations qui enrichissent la visite:
- Avec la présentation du bassin des requins, haut de 8 mètres, j'ai appris à distinguer les mâles des femelles !

- Durant les nourissages des poissons: une animatrice explique chaque bassin et certains poissons sortent de leur cachette.

Les autres salles permettent de voir des poissons du monde entier, de
toutes les eaux, de toutes les tailles! C'est aussi l'occasion de faire
connaissance avec la Silure, notre pas très ragoutant occupant du Rhone !


Le bassin tactile qui permet de toucher les étoiles de mer et un poisson plat gluant amuse beaucoup les enfants...

Une visite annuelle me suffit cependant: c'est un peu cher (15€ par adulte), il y a une nouveauté par an
(j'ai découvert la raie qui va continuer de grandir).


Le gros point à améliorer c'est le snack, peu convivial, à l'odeur insistante de friture et des gateaux décongelés.



Quelques coups de nageoires séparent Lyon des océans. Dans un cadre unique en
Rhône-Alpes, venez découvrir des poissons du monde entier, depuis les
fleuves européens jusqu’à l’océan Indien, de l’Atlantique au Pacifique,
en passant par les lacs africains.

Plus de 5 000 poissons, 47 aquariums pour près de 300 espèces venues des
eaux douces et salées de toute la planète, de quoi faire tourner la tête
des spectateurs. Une découverte ludique et très pédagogique,
naturellement captivante.

Fêter son anniversaire
Nos animations
Cinéma et quizz
Pour les enfants de 6 à 12 ans, l’Aquarium vous propose de venir fêter votre
anniversaire au milieu des poissons. Naturellement original, le cadre
offre aux enfants une découverte ludique, parfaite pour un moment de
partage entre amis, encadrée par nos animateurs scientifiques.


invitation


anniversaires

Cette année, l'Aquarium de Lyon ouvrira ses portes 7j/7 jusqu'au lundi 31
août INCLUS avec des animations tous les jours (nourrissage des
poissons, rencontre avec un animateur, plongée commentée dans la fosse aux requins...)




L’axolotl (Ambystoma mexicanum) Quezaco ?

Cet étrange animal n’est pas un poisson mais un amphibien; ses branchies
externes roses peuvent faire penser à des antennes d’extraterrestre !

Originaire du Mexique, on le retrouve généralement dans les étangs. Longtemps
chassé pour être mangé, il est aujourd’hui menacé - en partie à cause de
la pollution agricole.

Son superpouvoir : comme le lézard ou la salamandre il peut faire repousser
sa queue et ses pattes. Mais lui va plus loin, en effet il peut
reconstituer quasiment toutes les parties de son corps.

Mais également certaines parties de son cerveau, carrément ! Ce qui lui vaut
d’être étudié en laboratoire, ce qui bien sûr, ne joue pas en sa faveur.

Pouvant atteindre 30 cm, et existant en 9 couleurs ; ce petit carnivore n’a pas
fini de vous surprendre… Venez le retrouver sous la Terre du Mexique,
parmi nos tétras aveugles de la Salle des Eaux douces tropicales !




 Depuis quelques jours, l’aquarium de Lyon héberge une nouvelle espèce à
l’allure générale de soucoupe volante… De quoi être médusé

Il s’agit de la méduse lune ou méduse commune (Aurelia aurita), espèce
cosmopolite que l’on rencontre a priori dans toutes les mers du globe.

Milieu de vie : espèce que l’on rencontre quasiment toujours à très faible
profondeur. La phase polype se rencontre le plus souvent en milieu
saumâtre, estuaire ou zone portuaire, le plus souvent sous de petits surplombs.

Description : il s’agit d’une élégante méduse translucide aux courts mais nombreux
tentacules, teintée de blanc ou de bleu. Elle est très reconnaissable à
ses 4 gonades (appareils reproducteurs) qui, disposées autour de
l’estomac et visibles sur le dessus de l’ombrelle, évoquent la forme
d’un trèfle à 4 feuilles.



Voir la méduse commune sur http://www.arkive.org/common-j…/aurelia-aurita/video-00.html

Origine du nom scientifique : Aurelia vient du latin [aurum] qui signifie « or »,
à cause de la couleur éclatante de l’ombrelle ; et aurita vient du
latin [auris] qui signifie « oreille », ce qui évoque la forme de chaque gonade.

Alimentation : à l’état juvénile, l’Aurélie peut consommer jusqu’à 60 larves de
hareng par jour !!!  Lorsque sa taille devient plus importante, elle
devient microphage et consomme des proies microscopiques comme le
zooplancton. Sa bouche est l’unique orifice digestif, elle lui sert
aussi d’anus.

Cycle de vie : il se déroule en 2 étapes. Le premier stade est celui d’un
organisme fixé, comme les coraux, sur le fond : l’organisme est appelé «
polype ».

Le deuxième stade est atteint quand cet organisme devient sexué et nage
librement, l’individu est alors appelé « méduse ». La reproduction de la
méduse Aurélie commence donc par une fécondation externe, dans l’eau,
où les spermatozoïdes du mâle fécondent les ovules de la femelle, après
la ponte.

Le résultat de cette union donne alors naissance à une larve planula qui
peut nager et se fixer sur un substrat (rocher, algues…). Rapidement, la
planula immobile se transforme en polype fixé, qui, à un certain stade,
produira des « assiettes » empilées les unes sur les autres.

Au bout de quelques semaines, ces assiettes se détacheront du polype,
l'une après l'autre pour donner vie à une jeune méduse capable de nager
librement dans l’eau. Et le cycle recommence…

Astuce du soigneur : en aquarium, on prend garde d’élever seulement des
individus mâles pour éviter la reproduction donnant des larves qui se
fixeraient un peu partout dans les bassins, et pour éviter les
pollutions que les femelles pourraient induire avec le vitellus de leurs
gamètes.

Si vous êtes intéressés par les méduses, n’hésitez plus une seule seconde
et venez les observer dans le bassin prévu à cet effet à l’aquarium de
Lyon !! Une équipe d’animateurs sera là pour répondre à toutes vos
questions concernant ces mystérieux animaux.

A bientôt !!!



Tarifs

Adultes : 14,50 €
Étudiants : 11,50 €
Enfants (5 à 10 ans inclus) : 11 € Enfants 3-4 ans : 4 €
Gratuit pour les enfants de 0 à 3 ans.
Pack Famille (2 adultes + 2 enfants) : 47 € 

Horaires Fermeture des caisses à 18h
- (hors vacances scolaires) ouvert du mercredi au dimanche : de 11h à 19h
- pendant les vacances scolaires (zone A), tous les jours : de 11h à 19h
- pendant les vacances scolaires d'été, ouvert tous les jours : de 11h à 19h
Fermeture Exceptionnelle
L'Aquarium est ouvert pendant les jours fériés, sauf le 25 décembre et le 1er janvier.


28/04/2016 - 09:40
Une Japonaise découvre un insecte monstrueux dans son armoire.



En allant dans son dressing, une Japonaise a eu une surprise plutôt
désagréable. Accroché sur un pull, se trouvait un énorme insecte volant.
Si sa taille a de quoi effrayer, elle n’a rien d’inhabituel pour
l’espèce : le frelon géant japonais.
 
Si les guêpes vous effraient, cet insecte va sans doute vous terrifier.
C’est une Japonaise qui l’a découvert dans son dressing accroché à l’un
de ses pulls. Heureusement, elle a réussi à garder son sang froid et à
écarter la créature de quelque 6 centimètres de long, sans que celle-ci
ne bouge ou même ne la pique.

A peine postées sur Twitter, les photos de l’insecte sont rapidement
devenues virales. Mais si sa taille peut impressionner, elle n’est pas
si exceptionnelle. Le spécimen est un Vespa mandarinia ou frelon géant
asiatique. Une espèce qui comme son nom le suggère, présente souvent une
taille record.

La plus grosse espèce de frelon au monde
C’est même la plus grosse espèce de frelon au monde avec une longueur souvent
supérieure à 4,5 centimètres pour une envergure de 7 centimètres. Côté
dard, l’insecte n’est pas en reste non plus puisqu’il mesure
généralement quelque 6 millimètres. De quoi infliger des piqûres très
douloureuses.

Le frelon géant est originaire d’Asie de l’est mais le Japon présente sa
propre sous-espèce : Vespa mandarinia japonica, surnommée
« ?suzumebachi » et reconnaissable notamment à sa large tête jaune. Cet
insecte peut se montrer très agressif et n’hésite pas à attaquer
lorsqu’il se sent menacé.

« Comme un clou brûlant planté dans ma jambe »
Selon Masato Ono, un entomologiste de l’Université Tamagawa, se faire piquer
par un frelon géant lui a donné la sensation d’un « clou brûlant planté
dans sa jambe ».

Les piqûres ne sont le plus souvent pas mortelles mais le venin est tout de
même redoutable et va notamment s’attaquer aux tissus de la victime.

Bien qu’il soit moins puissant que celui d’une abeille, le venin est injecté
en plus grande quantité. D’où le danger. Chez certaines personnes, une
piqûre peut déclencher un choc anaphylactique, pouvant conduire à la
mort sans intervention.

Une menace pour les abeilles
Néanmoins, ce n’est pas l’homme qui est le plus menacé par le frelon géant
asiatique. Ce sont les abeilles et plus particulièrement les abeilles
européennes. Cinq fois plus gros que ces insectes, le frelon est en
effet un vrai fléau pour eux.

Selon les estimations, un individu seul peut tuer près de quarante abeilles
en une seule minute. Un groupe de 30 frelons peut lui éradiquer une
ruche entière de 30.000 abeilles en à peine trois heures.

(Source : Maxi Sciences)


Clic ici......http://dai.ly/x471f29
 
26/04/2016 - 16:04
Rencontrez le Labbe antarctique,
Cet oiseau physionomiste capable de distinguer n’importe quel visage humain. 


L’Homme a bien souvent tendance à penser qu’il est la seule espèce intelligente
vivant sur Terre. Mais au fur et à mesure que la science avance, elle
semble nous démontrer le contraire, comme avec l’exemple du Labbe
antarctique, une espèce d’oiseau qui semble capable de différencier
plusieurs individus à partir de leur visage. SooCurious vous présente ce
curieux animal.
Le Labbe antarctique est un oiseau vivant dans l’Antarctique et notamment
sur l’île du Roi-George, entre l’Amérique du Sud et l’Antarctique. Là,
l’Homme s’aventure très peu, sauf pour d’éventuelles missions
scientifiques, ce qui implique que le volatile n’a, a priori, pas appris
à reconnaitre notre espèce au cours de son évolution. Une équipe de
scientifiques coréens a pourtant découvert que l’animal était capable de
reconnaitre les visages humains.
A l’origine, le docteur Won Young Lee et son équipe de chercheurs ont
résidé sur l’île du Roi-George afin de surveiller le développement des
oeufs et des poussins des Labbes antarctiques durant la période
d’éclosion annuelle. Mais au cours de leur étude, les scientifiques ont
pu constater que les oiseaux devenaient de plus en plus agressifs
vis-à-vis des visiteurs les plus réguliers. L’équipe a donc décidé de
mener une expérience pour déterminer si les volatiles étaient capables
de différencier un homme d’un autre.

Pour leur nouvelle étude, les chercheurs ont rendu visite à leurs hôtes par paires, chacune étant composée d’un
« intrus », c’est-à-dire une personne ayant déjà accédé au nid d’un
Labbe antarctique, et d’une personne « neutre » qui n’y était jamais
allée. Et pour rendre l’expérience plus valable, les deux individus
étaient systématiquement habillés de la même manière.


Etonnamment, l’équipe de chercheurs a pu observer que les oiseaux attaquaient
inévitablement l’intrus, ne montrant aucun intérêt pour la personne
« neutre ». Cela suggérait donc que les volatiles reconnaissaient les
humains ayant perturbé leur nid et se sentaient obligés de les chasser.
Et comme les vêtements des deux scientifiques étaient similaires, et que
le vent de l’Antarctique ne permet pas de distinguer facilement les
odeurs, l’équipe du docteur Won Young Lee en a déduit que c’est par le
visage que les oiseaux différenciaient les deux visiteurs.
Surtout, de précédentes études avaient déjà montré que les corbeaux sont
également capables de reconnaitre des visages humains, suggérant que les
oiseaux avec de grandes capacités cognitives disposaient d’un telle compétence.


Reste que les Labbes antarctiques ont démontré cette capacité après seulement
quelques intrusions, ce qui semble signifier, selon les auteurs de
l’étude, que ces volatiles sont dotés d’une grande intelligence. Ainsi,
les chercheurs ont pu constater, chez le même animal, d’autres signes
pointant vers de grandes capacités cognitives. Par exemple, les Labbes
antarctiques ont montré qu’ils étaient capables de voler de la
nourriture à d’autres espèces d’oiseaux, ou encore de voler le lait des
femelles éléphants de mer lorsqu’elles allaitaient.

Un Labbe antarctique via Shutterstock
Ces oiseaux sont dotés d’incroyables capacités qui semblent indiquer une
grande intelligence. En plus de nous en apprendre davantage sur cette
espèce, cette étude nous donne également une leçon d’humilité, nous
apprenant que beaucoup d’animaux sont plus malins qu’on ne pourrait le
croire.


26/04/2016 - 07:29
La véritable histoire du Dodo
Le Dodo ou Solitaire de la Réunion


Le dodo, ou dronte (Raphus cucullatus), est un oiseau qui est aujourd’hui disparu. Cette espèce, vivait
autrefois  dans l’archipel des Mascareignes, où, du fait de l’absence de
prédateurs, elle avait perdu son aptitude au vol. De la taille d’un
dindon et incroyablement maladroit dans ses mouvements, le dodo grattait
le sol des forêts à la recherche de fruits, feuilles, baies et graines
qui constituaient son alimentation. Il pesait une douzaine de kilos et
portait un plumage gris et noirâtre. Le premier renseignement sur le
Dodo de l’île de la Réunion est donné par le capitaine Castelon qui y
aborda en 1613. Dans le récit de son voyage, il dit que l’île était
couverte d’oiseaux, au milieu desquels se trouvait :
«  Un grand oiseau de la taille d’un dindon, très gras, et avec des ailes si
courtes qu’il ne pouvait pas voler ; nos hommes le tuaient avec des
bâtons et des pierres. Dix hommes purent en prendre assez pour nourrir
quarante hommes pour un jour ».




En 1618, Bentekoe, voyageur hollandais, séjourna à Bourbon 21 jours, il raconte dans son journal :
 » Il s’y trouvait aussi, dit-il, des Dod-Ersen qui avaient des petites
ailes, et loin de pouvoir voler, ils étaient si gras qu’ils pouvaient à
peine marcher et quand ils cherchaient à courir ils roulaient par terre
. »


Carré, qui vint à Bourbon en 1608, a laissé des renseignements plus précis. Il
le distingue pour la première fois sous le nom de Solitaire qui lui est
resté.
 » J’ai vu dans ce lieu une sorte d’oiseau que je n’ai point trouvé ailleurs c’est celui que les habitants ont
nommé l’oiseau solitaire parce qu’effectivement il aime la solitude, et ne se plait que
dans que dans les endroits les plus écartés ; on en a jamais vu deux ni
plusieurs ensemble ; il est toujours seul. Il ne ressemblerait pas mal à
un Coq d’Inde, s’il n’avait point les jambes plus hautes. La beauté de
son plumage fait plaisir à voir. »
La disparition du Dodo doit être attribuée aux premiers colons qui le chassèrent. Il est aussi très
probable que les chiens, les chats, les cochons , qui accompagnaient les
premiers habitants et qui devinrent bientôt sauvages dans l’île, durent
contribuer à la perte de l’espèce en chassant cet animal incapable de
fuir,  en dévorant ses petits et en se nourrissant de ses oeufs. D’après
les documents des archives de la colonie, il y avait encore des Dodos
dans l’île du temps de La Bourdonnais ( 1735 à 1746 ).



 
Une réputation peu flatteuse…
Représentez-vous un corps massif et presque cubique, à peine soutenu par 2 piliers très
gros et très courts.



La grosseur qui, dans les animaux, suppose la force, ne
produit ici que la pesanteur. L’autruche, le touyou, le casoar, ne sont
pas plus en état de voler que le dronte ; mais du moins ils vont très
vite à la course, au lieu que le dronte paraît accablé par son propre
poids, et avoir à peine la force de se traîner : c’est dans les oiseaux
ce que le paresseux est dans les quadrupèdes ; on dirait qu’il est
composé d’une matière brute, inactive, où les molécules vivantes ont été
trop épargnées. Il a des ailes, mais ses ailes sont trop courtes et
trop faibles pour l’élancer dans les airs ; il a une queue, mais cette
queue est disproportionnée et hors de sa place : on le prendrait pour
une tortue qui se serait affublée de la dépouille d’un oiseau ; et la
nature, en lui accordant ces ornements inutiles, semble avoir voulu
ajouter l’embarras à la pesanteur, la gaucherie des mouvements à
l’inertie de la masse, et rendre sa lourde épaisseur encore plus
choquante, en faisant souvenir qu’il est un oiseau. »

(Source : BUFFON, Histoire Naturelle des oiseaux (Montbard, 1707 – Paris, 1788)).
De l’ADN a été prélevé sur un Dodo naturalisé. Son analyse a confirmé la
parenté du Dronte ou Dodo avec les pigeons, les colombes et le Solitaire
de la Réunion (Sciences et Vie n° 106, mai 2002).
Nb. Les pigeons ne sont pas des animaux si stupides qu’il n’y paraît et le Dodo
malgré une apparence un peu « cartoon » n’était certainement pas si
idiot que cela. Il a surtout eu la malchance d’assister à la disparition
brutale de son habitat.




« Sa tête, en partie nue, était coiffée d’un capuchon noir et le puissant bec, jaunâtre, était allongé et recourbé. » (Wikipédia)

« Son grand bec pouvait infliger « une morsure effrayante » à l’occasion
d’une menace pour lui-même ou pour ses petits et les Dodos ont également
été décrits comme des chasseurs forts et avides« .

(Strickland et Melville, 1848 ; Fuller, 1987)



Récit de voyage de Leguat (1691) à propos de Dodo :
« Ils n’ont presque point de queue, et leur derrière couvert de plumes est
arrondi comme une croupe de cheval. Ils sont plus hauts montés que les
coqs d’Inde (famille du dindon, Ndt) et ont le cou droit, un peu plus
long à proportion que ne l’a cet oiseau quand il lève la tête. L’œil
noir est vif, et la tête sans crête ni houppe. »

« Ils ne volent point, leurs ailes sont trop petites pour soutenir le poids de
leur corps. Ils ne s’en servent que pour se battre et faire des
moulinets quand ils veulent s’appeler l’un l’autre. Ils font avec
vitesse 20 ou 30 pirouettes tout de suite du même côté, pendant 4 à 5
minutes ; le mouvement de leurs ailes fait alors un bruit qui approche
celui d’une crécelle, et on l’entend de plus de 200 pas. »

(Source : Album de la Réunion, Antoine Roussin.)



Depuis 2002, on sait avec certitude ce que l’illustre naturaliste M. Cuvier
avait compris en 1930 à l’examen des os du Dodo : leurs ancêtres sont
des pigeons d’origine du Sud-Est asiatique qui ont dû voler une centaine
d’heures (quatre jours !), pour arriver dans ce biotope
« paradisiaque », il y a 8 millions d’années.

L’Extinction de l’Holocène est le nom donné habituellement à l’extinction massive d’espèces
observée depuis la fin de la dernière glaciation (10.000 ans) jusqu’à
l’époque contemporaine.
Ces extinctions concernent de nombreuses familles de plantes et d’animaux. Depuis le début du XIXème siècle, et
de manière très accélérée depuis les années 1950, celles-ci ont surtout
eu lieu dans les forêts tropicales humides. (Wikipédia).
« Dodo. The Bird behind the Legend » par Alan Grihault rend hommage à l’oiseau universellement associé à
l’Île Maurice, mais aussi à la question de la sauvegarde des espèces
menacées. De par le monde, le Dodo demeure l’exemple le plus connu d’espèce disparue et devient
par là-même l’icône des défenseurs de la bio-diversité et de la sauvegarde des espèces en voie d’extinction
.ùù



« Le Dodo, cher au « pays des merveilles » de Lewis Carroll, n’appartient
plus qu’à un passé révolu. Il aura suffi d’un peu plus de 200 ans (?)
pour que disparaisse l’un des oiseaux les plus étranges que notre
planète ait porté et pour qu’il devienne le symbole des oiseaux disparus
« .
(BALOUET (J.C.) et ALIBERT (E), 1989. – Le grand livre des espèces disparues. Ed. Ouest-France. p. 42).






Les Dodos dans le film d’animation de Pixar: « l’Âge de Glace »


24/04/2016 - 15:10
10 grenouilles à la beauté surprenante  
 
Une magnifique grenouille à la tête orange via Shutterstock

Comme beaucoup d’autres animaux, les grenouilles sont réparties en
sous-espèces, chacune disposant de caractéristiques propres, mais aussi
d’une apparence distincte. Certaines, même, revêtent des couleurs
chatoyantes qui les rendent magnifiques. SooCurious vous présente 10 de
ces superbes amphibiens.

Au cours des millions d’années d’existence de la vie, celle-ci a appris à
évoluer en fonction de son environnement, afin de s’y adapter au mieux.
En résultent des différences entre espèces, mais aussi entre
sous-espèces, que les grenouilles illustrent à merveille, notamment au
travers des extraordinaires mélanges de couleurs qu’arborent certaines
d’entre elles.
 
Phyllobates terribilis
Une Phyllobates terribilis via Shutterstock

Phyllobates terribilis
est une grenouille de l’ordre des anoures. On la trouve dans les forêts tropicales humides du département colombien du Cauca, où elle vit dans des groupes comprenant jusqu’à 6 individus. Et malgré
sa couleur chatoyante, tout contact avec elle peut causer à un humain
une sensation de brûlure durant plusieurs heures.
 
Dendrobates auratus
Une Dendrobates auratus via Shutterstock

Vivant dans les forêts du sud du Nicaragua, du Costa Rica, duPanama et du bassin colombien du Río Atrato, Dendrobates auratus appartient à la famille des dendrobatidae et se nourrit de petits arthropodes, tels que les fourmis ou les acariens.
 
Aquixalus gracilipes
Une grenouille via Shutterstock

Aquixalus gracilipes
se rencontre dans le nord du Viêt Nam, au Laos, dans le nord-ouest de la Thaïlande et dans les régions chinoises du Yannan et du Guangxi. Particulièrement petite (en moyenne 22 mm pour les mâles et 39 mm pour
les femelles), elle peuple essentiellement les forêts de bambous.
 
Ranitomeya amazonica
Une Ranitomeya amazonica via Shutterstock

D’une taille comprise entre 16 et 19 mm, Ranitomeya amazonica se rencontre au Pérou, en Colombie, au Guyana, enGuyane et au Brésil et appartient à la famille des dendrobatidae.
 
Oophaga pumilio
Une Oophaga pumilio via Shutterstock

La grenouille des fraises, ou Oophaga pumilio, vit dans les forêts tropicales humides – dans les bosquets naturels de bananes ou de cacao – du Nicaragua, du Costa Rica et duPanama. Longue de 17 à 24 mm, sa forme et sa couleur peuvent varier d’un
spécimen à l’autre. Surtout, l’espèce se distingue par une particularité
étonnante : le mâle séduit sa partenaire en poussant de petits cris
avant que la femelle ne choisisse le meilleur crieur.
 
Ranitomeya imitator
Une Ranitomeya imitator via Shutterstock

Ranitomeya imitator
est dotée d’un camouflage particulièrement utile compte tenu de son
habitat : elle vit essentiellement dans les zones forestières du Pérou, dans les régions de Loreto et de San Martin.
 
Dendrobates azures
Une Dendrobates azures via Shutterstock

Tirant son nom de sa couleur bleu azur, Dendrobates azures vit en Amérique du Sud, notamment dans la région du Sipaliwini, au Suriname. Et pour se protéger de ses prédateurs potentiels, elles produit un
poison capable de paralyser, voire d’immobiliser un agresseur.
 
Ameerega trivittatus
Une Ameerega trivittatus via Shutterstock

Ameerega trivittatus
appartient à la famille des dendrobatidae et vit en Amérique du Sud, notamment dans le nord du Brésilou à l’est du Pérou. La couleur de ses bandes varie selon les spécimens, du vert au jaune,
en passant par le orange. Et comme certaines de ses congénères, elle se
défend de ses prédateurs en sécrétant un poison.
 
Agalychnis callidryas



Agalychnis callidryas
, ou rainette aux yeux rouges, vit enAmérique centrale. Et à l’inverse de beaucoup de ses congénères, elle ne se protège pas
grâce à un poison, mais via le camouflage, sa couleur correspondant à
celle de son habitat, puisqu’elle vit essentiellement en forêt.
 
Dendrobates tinctorius


D’une longueur oscillant entre 40 et 60 mm, Dendrobates tinctorius vit sur les sols d’Amérique du Sud et
près des cours d’eau, même si elle peut parfois s’aventurer dans les
arbres jusqu’à 5 m de hauteur. Pour se protéger des prédateurs, elle
est dotée d’un poison très toxique qui a fait sa réputation auprès des
habitants de Guyane, du Suriname, du Guyana et du Brésil.
Ces grenouilles sont splendides. Et si elles doivent leur allure à leur
évolution, leur apparence illustre aussi toute la beauté dont la nature
est capable.