Des gens admirables à travers le monde qui sauvent des animaux au péril de leurs vies. Magnifique et émouvant.
En voyant ces images qui vont suivre, vous reprendrez espoir dans le genre humain. En fin de compte, il n y’a pas que des gens méchants qui abandonnent leurs animaux de compagnie dans la rue. Dans ce monde, existe encore des gens qui font tout pour sauver un animal en danger. De magnifiques images que nous avons là, qui nous montrent le dévouement de l’homme pour l’animal en danger et son courage pour essayer de le sauver. Des images émouvantes, impressionnantes et qui nous font dire que le monde ira sans doute bien tant que des gens comme ça, existent.
L’exemple de ces chercheurs en chine qui se déguisent en Koala, pour s’occuper de jeunes koalas qui ont perdu leurs parents. Ou encore ce biologiste qui assiste à une capture qui tourne mal. En effet, en voulant endormir un ours, pour l’attraper et le déplacer en toute sécurité, celui ci s’éloigne en direction de la mer où il a failli se noyer si cet homme n’avait pas plongé à son secours. Une femme s’occupe d’un oisillon en lui donnant à boire. Cette chinoise nourrit des chiens errants.
Un bénévole nourrit un petit phoque dans un centre de réadaptation. Ici, un pingouin, se demande ce qui se passe avec ce petit dauphin que des secouristes ont sauvé. Ici, un homme sauve des chatons de la noyade. Un autre sauve un marsouin bloqué dans des champs de riz après un tsunami. Ici cet homme a sauvé un Kangourou de la noyade. Ce policier aide cette cane et ses petits à traverser la ville.
L'image du Jour: Les papillons monarques migrent vers le sud. Inutile de comprendre l’espagnol pour savoir si l’on est bien arrivé dans la région du Michoacan Mexique (Centre-Ouest). Il suffit de suivre les papillons ocre et noir. L'automne marque le début d'un voyage de 3 000 milles pour ces monarques, qui migrent du sud du Canada vers leur habitat d'hivernage du centre du Mexique. Là, ils se regroupent dans des sapins, créant l’illusion d’un feuillage orange et flottant. Ils resteront dans leurs camps d’hiver jusqu’en mars, lorsque le voyage de retour vers le nord commence. Mais aucun monarque individuel ne terminera le voyage complet, ce qui dépassela durée de vie normale du monarque; Au lieu de cela, il faudra quatre générations de monarques pour effectuer la migration complète, chaque individu étant apparemment entraîné par un compas interne qui guide sa trajectoire de vol.
Ce commentaire a été modifié le 06/10/2018 à 16:13
Etabli depuis juin 2015 dans une rue tranquille du XVe arrondissement de Paris, le Chat Mallow Café n’est pas un salon de thé comme les autres. Une douzaine de chats s’y faufilent entre les tasses, se frottent aux mollets des clients ou sommeillent sur des coussins. Ce jour-là, des étudiantes se sont réunies autour d’une table en forme de tête de matou. L’une d’elle, Aurélie, passe une main dans l’épaisse fourrure blanche de Jéricho, un british shorthair qui, ravi, ronronne à tout-va. «Ici, au bout d’un moment, je ne pense plus à rien, confie la jeune fille. À force de jouer avec les chats, de rire à leurs facéties et de les caresser, je lâche prise. Quand je sors, je suis de bonne humeur, comme regonflée !» A Tokyo, Paris ou New York, ce genre d’établissement fait florès.Tous vantent les bienfaits des félins et de leur relaxant ronron sur les humains. Ce doux son répétitif serait-il un médicament naturel, ou un placebo à la mode ? En sept questions, voici le point des connaissances actuelles.
Comment le ronronnement est-il produit ? Difficile de le dire, en l’état actuel de nos connaissances. Car si l’étude du comportement animal (l’éthologie) est née dans les années 1950, elle s’est d’abord...Focalisée sur les espèces sauvages, puis sur celles d’élevage, bétail et volailles. Ce n’est qu’au début de la décennie 1990, marquée par le «boom» des animaux de compagnie...Que les scientifiques se sont intéressés à nos amis à quatre pattes. Ils découvrirent alors que le ronronnement est un murmure volontaire, que le chat émet la gueule ouverte ou fermée. Ils établirent aussi que la production de ce son n’est pas due à un organe particulier, mais qu’elle implique au moins...Le larynx (qui abrite les cordes vocales) et le diaphragme, ce muscle qui ferme le bas de la cage thoracique et qui expulse l’air des poumons. Les chercheurs crurent d’abord que le son provenait de la vibration des petits replis qui tapissent la muqueuse du larynx. Mais ils constatèrent que des matous pouvaient encore le déclencher après que cet organe leur avait été enlevé. Par la suite, leur attention se porta sur la chaîne hyoïde, une structure complexe située entre la langue et le larynx. Elle est composée de l’os hyoïde, qui flotte en travers de la gorge, et d’un faisceau de muscles et de ligaments qui relie celui-ci à divers éléments du squelette. Certains experts supposent que cette chaîne d’os et de muscles produirait le ronronnement en vibrant...Peut être sous l’action de l’air qui passe dans la gorge de l’animal lorsque celui-ci respire. Un peu comme le vent fait bruire une corde à linge tendue entre deux piquets. Par ailleurs, les différences de consistance entre la chaîne hyoïde des petits félins tels que le chat....Et celle des grands félins tels que le lion, pourraient expliquer pourquoi les premiers ronronnent et les seconds rugissent. Une autre hypothèse implique la veine cave (celle qui transporte le sang entre les organes et le cœur).Que certains muscles feraient «palpiter». Cette pulsation, accentuée dans les bronches, la trachée et les sinus du chat, engendrerait le «trémolo » du chat. Bref, le mécanisme de cette drôle de vocalise demeure une énigme.
Quels sont ses effets sur le félin ? Ils sont en premier lieu d’ordre psychique. Quelle que soit son origine, le ronronnement se traduit par une vibration. «Celle-ci est amplifiée dans les voies respiratoires de l’animal, et le fait résonner tout entier comme un instrument à cordes».Révèle le vétérinaire toulousain Jean-Yves Gauchet, auteur du livre Mon chat et moi, on se soigne. Notre petit compagnon fonctionnerait ainsi comme une guitare ou un violoncelle...Dont la caisse de résonance serait son propre corps. Mieux : le volume de son thorax module la tonalité du son. Plus le matou est gros, plus celui-ci est grave, et vice versa...Si bien que chaque ronron est différent. Tous, cependant, sont émis à de très basses fréquences, comprises entre 20 et 140 Hertz (Hz).Soit à peu près les mêmes que celles du ronflement humain (de 30 à 200 Hz). Or, ainsi que l’explique le docteur Jean-Marc Aimonetti, du Laboratoire de neurosciences intégratives et adaptatives de l’université d’Aix-Marseille...«Le chat, comme tous les mammifères, perçoit les basses fréquences grâce à des capteurs situés dans sa peau, appelés corpuscules de Pacini.Ces détecteurs transforment les vibrations félines en impulsions électriques...Et les transmettent au cerveau, lequel y répond en secrétant des endorphines ». Plus connus sous le nom populaire d’«hormones du bonheur », ces opiacés aux propriétés analgésiques semblables... À celles de la morphine procurent une sensation de bien-être, de plaisir, voire d’euphorie, et atténuent la douleur. Nous-mêmes les produisons dans des moments d’efforts physiques, d’excitation intense et lors de l’orgasme. Chez le chat, ce mécanisme entraînerait également la sécrétion d’ocytocine, une substance qui favorise (entre autres). L’activité sexuelle et la confiance en soi, et de sérotonine, qui améliore la qualité du sommeil et de l’humeur. Alors, les matous lanceraient-ils leur étrange vocalise pour se faire du bien ? Possible, car les chatons le font dès leur première tétée, un instant, pour eux, de félicité absolue. En sécurité, lovés contre leur mère qui elle-même ronronne,ils associent vite ce «trémolo ». À l’allaitement et à la notion de plaisir, renforçant ainsi leur attachement à leur «maman». Les autres petits félins (guépard, puma, lynx…) en font autant au début de leur vie. Mais ce qui se passe ensuite est proprement stupéfiant : «À l’âge adulte, tous arrêtent de “vibrer”, même le chat de gouttière, révèle Thierry Bedossa, comportementaliste et vétérinaire à Neuilly.Seul celui qui vit avec l’homme perpétue cette action !» La démonstration vivante de cette bizarrerie se frotte aux jambes du praticien : «Quand Félix a débarqué chez moi, il venait de la rue et ne ronronnait pas. Mais au bout de quelques semaines, quand il s’est senti en confiance et dansun milieu familier, il a commencé à le faire… et n’a plus jamais cessé !»
Ce son est-il émis dans des circonstances précises ? Tout à fait. Le chat domestique ne ronronne pas quand il est seul, ni en présence d’un congénère ou de tout autre animal. Il ne le produit qu’en compagnie d’un humain. «Il communique avec nous, s’exclame Thierry Bedossa. J’ai la conviction que lorsqu’il éprouve du contentement, il veut que nous le sachions. Même si nous lui avons fabriqué le plus altéré des environnements – il est le plus souvent stérilisé, mange des croquettes.Ne chasse plus, vit parfois en appartement –, il est capable de retrouver des sensations...Liées aux premiers jours de sa vie, synonymes de plaisir et de quiétude extrêmes.» D’une certaine façon, nous nous substituerions à sa mère en lui procurant gîte et couvert et en l’infantilisant. D’autant que l’ocytocine que son cerveau secrète alors favorise, chez les «mamans» chats...L’éjection du lait, suite à la tétée de leur bébé.Autrement dit, notre matou retomberait en enfance. Et il nous dirait, à travers son «vibrato » : «Je suis petit, j’ai besoin d’être protégé.» Etrangement, ce son se manifeste aussi dans des situations de souffrance. Les chercheurs du Fauna Communications Research Institute (Caroline du Nord)...L’ont établi, et les vétérinaires l’observent au quotidien. «Beaucoup de chats ronronnent lorsqu’ils sont stressés ou malades, raconte Thierry Bedossa. Mais aussi pendant un accouchement difficile, et même à l’agonie, dans l’heure qui précède la mort.» Amplifié par le stéthoscope, ce bruit de fond peut empêcher le médecin de discerner...La respiration et les battements de cœur de l’animal qu’il ausculte. Au point qu’en 2014, une équipe de vétérinaires de l’université britannique de Cambridge...A publié dans le Journal of Small Animal Practice un article très sérieux intitulé...«Comment empêcher les chats de ronronner en consultation ?». Explication : cette réaction permettrait aux matous de secréter des endorphines...Qui atténueraient leur angoisse et leur douleur.
Serait-ce, pour l’animal, un moyen de se soigner ? Incroyable, mais (peut-être) vrai ! Il semblerait que ses vibrations l’aideraient à réparer ses tissus lésés : muscles, tendons, articulations ou os fracturé. Plusieurs études scientiques en ont fait le constat, sans pour autant l’expliquer. Thierry Bedossa les résume ainsi : «Les chats se rétablissent bien plus vite et avec moins de séquelles que les chiens, par exemple.» Les Anglo-Saxons appellent ce mécanisme «high rise syndrome» («syndrome de la chute haute»). Il a été mentionné pour la première fois en 1976 par le Dr Robinson, un vétérinaire du Memorial Hospital de New York...Qui traitait chaque année quelque cent cinquante félins auteurs d’une «cascade» involontaire depuis un lieu très élevé. Puis en 1987, le Dr Wayne O. Whitney en fit l’objet d’une publication dans le Journal of the American Veterinary Medical Association. Après avoir examiné 132 «chats volants», ce chercheur a établi qu’un matou qui tombe...D’une hauteur moyenne d’un cinquième étage a 90 % de chances de s’en sortir vivant et de guérir de ses éventuelles blessures. Ce «miracle» serait dû, entre autres, a son ossature particulièrement résistante, que le ronron conforterait encore. Syndrome ou pas, nos compagnons préférés ne contractent, d’une façon générale, que très peu de fractures. Beaucoup moins que les chiens, mais aussi que les lions ou les tigres, c’est-à-dire des félins… qui ne ronronnent pas. Un autre argument en faveur d’un effet réel de cette vibration sur ce genre de lésions. Même le cancer des os serait concerné. Chez le chien, il est très agressif...Et nécessite une opération chirurgicale suivie d’une chimiothérapie. Chez le chat, en revanche, il est rare, et bénin dans un tiers des cas, et si tumeur il y a, elle n’est guère virulente. «L’ostéoporose, la perte de masse osseuse qui touche toutes les femelles de mammifères à la ménopause...Affecte très peu cette espèce en comparaison des autres», note encore Thierry Bedossa. Finalement, tout se passe comme si le ronronnement agissait sur le tissu osseux de l’animal : Pour en fabriquer, en prévenir la disparition ou le préserver des maladies. Par quelles actions physiologiques ? Le mystère reste entier.
Le ronronnement a-t-Il les mêmes effets sur l’homme Il semble bien, à en croire le Dr Jean Marc Aimonetti : «Comme celle du chat, notre peau contient des corpuscules de Pacini. Et ces récepteurs captent pareillement les vibrations du ronronnement. Il n’y a donc aucune raison pour qu’elles ne déclenchent pas dans notre cerveau la production d’endorphines...D’ocytocine et de sérotonine, avec les mêmes effets bienfaisants sur notre psychisme. Outre, ces basses fréquences sont les seules qui traversent le ventre de la femme enceinte et le placenta, si bien que le bébé les perçoit. » On peut ainsi penser que le ronron du chat évoque chez l’homme adulte cette période de bonheur total...Qu’il a vécue in utero, ou d’agréables sensations de son enfance avec, à la clé, un sentiment de sérénité. «Ce son jouerait un peu le rôle de la madeleine de Proust, sauf, bien sûr, si vous restez traumatisé...Par un matou qui vous a griffé quand vous aviez 6 ans», plaisante le scientifique. Même raisonnement pour l’action réparatrice des vibrations félines sur nos tissus osseux ou musculaires. Certes, les effets des très basses fréquences sur l’homme sont avérés. Les kinésithérapeutes et les médecins du sport s’en servent avec succès...Pour consolider des fractures ou traiter des arthroses et des tendinites. Nul ne connaît le processus, probablement hormonal, qui permet de tels résultats. Et prouver que le ronron nous soigne par une expérience scientifique qui utiliserait des chats vivants est exclu. Cela supposerait que l’on place, par exemple, un félin qui l’émet sur la jambe cassée d’un patient...Et un qui ne le fait pas sur un autre malade atteint d’une lésion parfaitement identique. Puis répéter l’opération suffisamment de fois pour que l’essai soit crédible… Irréalisable ! Jean-Marc Aimonetti s’est donc résolu à jouer au cobaye. «Je me suis injecté de l’eau dans un muscle, raconte-t-il.Ensuite, j’ai testé différentes vibrations et les ai combinées entre elles...En évaluant l’intensité de la douleur que je ressentais sur une réglette graduée de 0 à 10. Or, les fréquences qui correspondaient à celles du ronronnement calmaient ma souffrance…» Fortes présomptions, déductions, faisceaux d’observations convergentes : C’est, à ce jour, tout ce que nous avons sur les effets de ce son animal sur l’homme. De récentes études, telle que celle menée en 2013 à l’université de Daegu (Corée du Sud) suggèrent ainsi...Qu’un individu soumis quelques minutes par jour à une vibration de 20 Hz verrait diminuer sa fatigue musculaire, et retrouverait plus rapidement du tonus. Plusieurs équipes américaines avancent aussi que les propriétaires de chats seraient moins sujets...À l’hypertension et aux complications cardiovasculaires de type infarctus que le reste de la population. En 2002, au terme d’une étude de sept ans, le chercheur Dennis Ownby, de l’université de Géorgie (USA).Affirmait pour sa part que le contact quotidien d’un chat boosterait...Notre système immunitaire et diminuerait le risque d’asthme et d’allergie. «Je ne crois pas à une action spécifique directe des vibrations sur le cœur...L’immunité ou la tension, nuance le Dr Jean-Marc Aimonetti.Mais si l’on admet que beaucoup de nos maladies sont liées au stress, on peut penser...Que sa réduction par le ronronnement ait une influence bénéfique sur ces pathologies.»
Mais cette action est-elle volontaire ?Est-ce à dire que notre petit compagnon vocalise pour nous soigner ? «Ne rêvons pas, tempère Bertrand Deputte, professeur émérite d’éthologie à l’école vétérinaire d’Alfort : «Le chat “vibre” avant tout pour son propre bien-être et sa santé. Cela lui demande une grande dépense d’énergie.Or, la nature est économe. Le métabolisme du félin, c’est son carburant : il doit en disposer jusqu’à sa mort. Il ne peut pas le gaspiller à faire des choses inutiles pour lui.» Cet animal domestique, qui vit souvent dans un espace réduit et dort seize heures par jour en moyenne...(Soit les deux tiers de sa vie), pourrait ainsi se servir du ronronnement comme exercice physique. Il lui suffirait de résonner telle un instrument à cordes pour rester en bonne santé, préserver ses os...Ses muscles et son souffle, là ou d’autres bêtes courent avec leur maître. «Si un chat se met à “vibrer” quand je le caresse, ce n’est pas par altruisme, insiste le Dr Aimonetti.Il y trouve un avantage : cela m’incite à lui faire d’autres câlins. Ce qui lui est profitable, car ce son active ses récepteurs épidermiques et, par conséquent...La production d’hormones apaisantes et régénératrices. En l’émettant, il se fait d’abord du bien, mais nous le percevons aussi, au passage, à travers notre peau.» Dans ce contact qui active leurs fibres tactiles respectives, chacun des protagonistes serait donc gagnant. «N’oublions pas, conclut le chercheur, que le toucher est le seul sens qui soit réciproque. La caresse se fait à deux. Chez les humains, cela va de soi, mais c’est le secret...Du double bénéfice du ronron, à la fois pour nous et pour notre animal. Alors, bientôt une ronronthérapie ?En fait, cette vibration est déjà employée depuis longtemps à des fins curatives. En 2002, le vétérinaire Jean-Yves Gaucher a ainsi gravé 30 minutes de ronrons...Sur un CD intitulé Détendez-vous avec Rouky. Les 250 personnes qui l’ont testé ont éprouvé du bien-être...Et de la sérénité et une plus grande facilité à s’endormir. Sept ans plus tard, le même chercheur a conçu, en collaboration avec Apple, une application...pour iPhone baptisée iJetlag, qui vise à réduire la fatigue liée au décalage horaire. Elle comprend des enregistrements de ronronnements qui entraîneraient...la production de mélatonine, une hormone favorisant le sommeil. Certains hôpitaux, comme celui de Charles-Foix à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne)...Se servent encore de l’effet apaisant des chats – mais aussi des chiens – sur les personnes âgées et les handicapés moteur. D’autres scientifiques, subventionnés par la Nasa, planchent sur la possibilité d’utiliser... Des vibrations à basses fréquences pour enrayer la perte de densité osseuse que subissent les astronautes (2 % par mois dans l’espace). Envoyer un chat en orbite serait le meilleur moyen de vérifier cette hypothèse. Mais il n’en est pas question : en 1963, le premier vol d’un félin au-delà de notre atmosphère (une femelle «française». Du nom de Félicette) s’est soldé par un tollé mémorable au sein des associations de protection animale. Mais sur Terre, la ronronthérapie a de beaux jours devant elle. Le chat, mélomane et compositeurDes bruits de tétée, ceux d’une chatte qui fait sa toilette, des gazouillis d’oiseaux, et bien sûr des ronronnements… Voici quelques-uns des motifs qui forment les airs que l’Américain David Teie a composés à l’intention spécifique des matous. Le violoncelliste, chef d’orchestre et musicologue à l’université du Maryland est parti de l’idée...Que ces animaux sont attirés par les sons qu’ils ont perçus dans les premiers jours de leur vie. Pour vérifier cette hypothèse, il s’est adressé à un confrère, Charles Snowdon... Du département de psychologie de l’université du Wisconsin. Trois mélodies «félines» et deux «humaines» ont ainsi été testées sur 47 chats domestiques. Le résultat, publié en mai 2015 : 38 % d’entre eux ont été sensibles à Bach et Fauré...Alors que 77 % l’ont été à l’écoute de «leur» musique. Ils se sont apaisés et ont frotté leur tête (signe de fort plaisir) contre les hauts-parleurs ! L’affaire a fait grand bruit dans la presse anglo-saxonne. Au point que les deux chercheurs ont édité un CD de 40 minutes intitulé Music for cats...(On peut le commander sur le site Internet éponyme, ou écouter des extraits en ligne). La Ballade de Rusty ou L’Air de Cosmoz s’y révèlent un entrelacs de violoncelle, de miaulements et de ronrons des plus planants…. Les pouvoirs thérapeutiques du ronron. Le ronron génère des vibrations entre 20 et 140 Hertz. Ces basses fréquences pourraient soigner certaines pathologies. Diminution Du StressEtre en présence d’un chat qui ronronne réduirait l’anxiété. Difficultés RespiratoiresLe ronron restreindrait leurs symptômes, chez le félin comme chez l’homme. Baisse de la tensionelle se produirait lorsque nous interagissons avec le chat.
Réparation des os . Les fréquences comprises entre 25 et 50 Hz, ainsi que celles...Comprises entre 100 et 200 Hz, soit celles du ronron, les consolident. Risques d'infractus. Une étude américaine de 2009* avance que les propriétaires de chats en auraient 40 % en moins.
Immunité. Les vibrations émises par le félin l’augmenteraient. Lésions Des Tissus MousLe ronron favoriserait la guérison des affections musculaires, tendineuses et ligamentaires. «Journal of Vascular and Interventional Neurology». (Zeenat Qureshi Stroke Research Center), janvier 2009.
Agissant comme un antidépresseur naturel, le ronronnement du chat serait bénéfique...Sur plusieurs pathologies, comme le stress, l'hypertension ou les troubles cardiovasculaires.
Ce commentaire a été modifié le 06/10/2018 à 07:53
Pas pour les âmes sensibles : un zoo inversé où les gens sont dans des cages et où les animaux sont libres.
La majorité d’entre nous ont probablement déjà visité un zoo au moins une fois dans leur vie. De beaux oiseaux, de charmants herbivores et de redoutables prédateurs que nous n’avions vus qu’à la télévision peuvent alors être admirés dans la vie réelle. Cependant, certaines personnes préfèreraient voir les animaux d’encore plus près. À Rancagua, au Chili, il existe un premier zoo de ce type en Amérique latine. Il s’appelle Parque Safari et ce ne sont pas les animaux qui sont dans les cages, mais plutôt les visiteurs. L’idée derrière un zoo si étrange est que les gens aient la chance de voir des animaux dans leur habitat naturel. Tous les visiteurs peuvent se trouver à quelques centimètres seulement des lions et faire le tour de la zone en autobus à l’intérieur d’une cage en métal. Cette cage est le seul obstacle entre les animaux et les visiteurs curieux. Les visiteurs peuvent prendre des morceaux de viande fraîche pour attirer l’attention des félins sauvages. Une fois qu’ils le sentent, ils n’hésitent pas à sauter sur l’autobus, à marcher dessus et à regarder les gens avec intérêt. Les visiteurs ne peuvent pas nourrir les animaux àtravers la cage, mais ils peuvent prendre des photos et peuvent même les toucher. Mais c’est une chose que seuls les visiteurs les plus courageux peuvent faire, car les animaux de Parque Safari se sentent absolument libres et leur comportement est totalement imprévisible. L’idée derrière un zoo si étrange est que les gens aient la chance de voir des animaux dans leur habitat naturel. Tous les visiteurs peuvent se trouver à quelques centimètres seulement des lions et faire le tour de la zone en autobus à l’intérieur d’une cage en métal.
Cette cage est le seul obstacle entre les animaux et les visiteurs curieux. Les visiteurs peuvent prendre des morceaux de viande fraîche pour attirer l’attention des félins sauvages. Les visiteurs ne peuvent pas nourrir les animaux à travers la cage, mais ils peuvent prendre des photos et peuvent même les toucher. Mais c’est une chose que seuls les visiteurs les plus courageux peuvent faire, car les animaux de Parque Safari se sentent absolument libres et leur comportement est totalement imprévisible.
Opération nettoyage sur les plages de Marseille avec l'aide de « chiens éboueurs ». Des chiens qui jouent les éboueurs des mers. Tel est l'incroyable spectacleauquel on pouvait assister sur la base nautique de Corbières, à Marseille, ce dimanche, rapporte La Provence. Quelles que soient les circonstances, notre allié répond toujours présent quand on a besoin de lui. Et même lorsqu'il s'agit de préserver l'environnement, l'animal à quatre pattes a un rôle déterminant à jouer. Une vingtaine de chiens, la plupart des terre-neuve mais aussi des bouviersbernois, labradors golden et chiens d'eau espagnols, se sont ainsi retrouvés sur la plage aux côtés de sauveteurs. L'objectif : aider plongeurs et bénévoles à nettoyer le sable et les fonds marins gorgés dedéchets accumulés tout au long de l'été. Une opération organisée tous les ans par le club des Maîtres-Chiens Sauveteurs aquatiques dans le cadre de « Septembre en mer », qui fédère pendant tout le mois des manifestations autour des thématiques maritimes. Il s'agit ainsi de « participer à la préservation de ce site exceptionnel » et « montrer le travail de nos chiens », explique au quotidien régional Sylvie Le Meur, vice-présidente de cette association qui réunit chaque dimanche les chiens et leurs maîtres pour des entraînements de sauvetageen mer. Cette fois-ci, ce ne sont pas des noyés que les bêtes poilues ont ramassés mais bel et bien des déchets. Bouteilles en plastique ou en verre, canettes, et autres détritus ont ainsi été extraits des fonds marins par les plongeurs que ces toutous nettoyeurs étaient chargés de ramener à terre. « Ce qu'on remonte est gorgé d'eau et pèse très lourd. Heureusement, les chiens sont là pour nous aider à évacuer tout ça », confie une ramasseuse présente ce jour-là. Avec ce type d'actions, l'association espère faire prendre conscience de l'utilité des chiens, qui ne sont pas utilisés à leur juste valeur dans la cité phocéenne. « Ici, le chien a mauvaise image. Toutes les plages lui sont interdites. Ils ne sont pas employés pour la surveillance des plages, comme cela se fait à Bandol ou dans certaines communes bretonnes », regrette Sylvie Le Meur. Toute la matinée, les bêtes ont récupéré des kilos de déchets laissés par l'homme dans la nature, montrant ainsi à quel point l'animal est capablede bien plus de civisme que son maître
Pourquoi ces moutons écossais mangent des algues (vidéo)
Bienvenue dans le pittoresque North Ronaldsay. Cette île reculée, située au nord de l’Ecosse, abrite 50 personnes et des moutons très spéciaux. Afin de libérer des herbages pour le bétail, les humains du début du 19ème siècle ont confiné le troupeau, trouvé entre la terre et le rivage. L’avenir des rares moutons mangeurs d’algues qui ont prospéré sur la petite île de North Ronaldsay, la plus septentrionale de l’archipel des Orcades, semble assuré depuis le néolithique. La Fondation Orkney Sheep (OSF) vise à protéger la race North Ronaldsay, célèbre pour sa vie exclusivement au bord de la mer, sauf pendant la saison d’agnelage, lorsque les brebis sont amenées à l’intérieur des terres. La digestion des animaux est tellement habituée à un régime de varech qu’ils doivent être gardés sur le rivage par un mur de pierres sèches (digue de mouton) construit en 1832 qui entoure l’île, sinon ils risquent de s’empoisonner de trop d’herbe à l’intérieur des terres. Les moutons n’ont d’autre choix que de se nourrir d’algues, ce qui en fait l’un des deux seuls animaux capables de survivre sur des choses glissantes.
10 moments de tendresse entre un chaton et un chat adulte
Quoi de plus adorable que des petits chatons pleins de vie ? Aussi farceurs qu’intrépides, ils ne manquent pas de nous faire craquer… à l’instar de ces mamans chats !
Comme les Hommes, les animaux entretiennent des rapports très fusionnels avec leurs progénitures. Les chats font d’ailleurs partie de ces mammifères qui ont un instinct parental très développé. En effet, les chattes sont très courageuses et particulièrement protectrices en ce qui concerne leurs petits. Cela commence dès la mise-bas, lorsque la future maman se cache dans un endroit calme pour mettre au monde ses chatons.
De l’affection pour l’équilibre Néanmoins, la relation ne s’arrête pas seulement à la mise au monde des petits, bien au contraire… les chattes sont des mamans très efficaces et prévenantes qui vont éduquer leurs progénitures avec amour et rigueur. Ces mères ne quitteront pas leurs enfants avant d’être sûres qu’ils soient parfaitement équilibrés, robustes et sereins… le chaton a besoin naturellement de sa mère pendant 8 semaines au moins. Une façon pour elle de lui permettre d’être dégourdi, sociable et moins peureux.
Voici d’ailleurs des photos qui témoignent de l’affection que porte les mères à leurs petits et ce, bien que certains de ces chenapans soient parfoisturbulents…
1. Un coup de langue et la journée peut commencer !
2. "Ca, mon fils, c'est ton nouveau territoire !"
3. Cette mère veille sur son chaton.
4. Même la sieste se fait l'un à côté de l'autre...
5. "Pour te purger, c'est parfait !"
6. A l'heure du repas, on partage !
7. Moment d'affection privilégié entre ce chaton et sa mère.
8. Opération camouflage dans la fourrure de sa maman.
9. "Euh, tu es petit, mais tu pèses lourd !"
10. Une communion parfaite...
Ce commentaire a été modifié le 01/10/2018 à 14:32
Un Bébé Raton Laveur Cherche Une Main Réconfortante... Le raton laveur, ou plus exactement le raton laveur commun (Procyon lotorLinnaeus, 1758), est une espèce de mammifèresomnivores de l'ordre des carnivores. Originaire d’Amérique, cette espèce a été introduite pour la dernière fois en Europe dans les années 1930 (après la disparition un siècle plus tôt de la dernière population introduite). Il doit son nom à son habitude, plus ou moins réelle, de tremper ses aliments dans l’eau avant de les manger. L’animal, de la famille des procyonidae, est essentiellement nocturne et grimpe facilement aux arbres grâce à ses doigts agiles et à ses griffes acérées. Il a le pelage poivre et sel avec de légères teintes de roux. On le reconnaît facilement à son masque noir bordé de blanc autour des yeux et à sa queue rayée de blanc et de noir. Le raton laveur s’adapte à de nombreux milieux naturels. Opportuniste et facile à apprivoiser, il s’aventure également dans les villes nord-américaines (Canada, États-Unis d'Amérique). Son comportement varie selon le sexe et la région où il vit. Il est toujours chassé pour sa fourrure mais ne constitue pas une espèce en danger, ni même menacée. Aussi ne fait-il l'objet d'aucune mesure de protection, ni en Amérique, ni en Eurasie. Comportement. Les jeunes se laissent facilement apprivoiser par les hommes. À l’âge adulte, les mâles deviennent agressifs et reviennent facilement à la vie sauvage après un temps de captivité. Le raton laveur est un bon grimpeur et un bon nageur. Sur terre, il se déplace assez lentement, ce qui le rend vulnérable. Il peut descendre d’un tronc la tête la première, en tournant ses pieds de derrière à 180°. Animal curieux et intelligent21, il sort de sa tanière surtout la nuit, sauf pendant la période de reproduction et en ville. Le raton laveur émet des grognements lorsqu’il est en danger. En été et en automne, il emmagasine des réserves de graisse pour la mauvaise saison et peut gagner jusqu’à deux fois son poids d’origine. L’épaisseur de la couche de graisse peut atteindre 2,5 cm sur le dos. En hiver, le raton laveur n’hiberne pas mais entre dans une période d’inactivité et de dormance, sauf dans les régions du Sud où l’animal continue d’être actif. Légendes De CroisementPlusieurs légendes décrivent les origines de la race de chats Maine coon. La plus répandue raconte que le maine coon est le fruit d'un croisement entre des chats et des ratons laveurs (familièrement coon en anglais, abrégé de racoon), ce qui expliquerait leur couleur (la plus répandue est le brown tabby. C'est-à-dire tigré brun) et leur queue très touffue. Bien sûr, il est génétiquement impossible de réaliser un tel hybride, mais la race garde de cette légende son nom. Article raton laveur sur l’encyclopédie canadienne (fr) [PDF] Institut de la fourrure du Canada (fr) Faune et flore du pays (fr) « Le raton laveur » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [url=https://commons.wikimedia.org/wiki/Category[img]]rocyon_lotor?uselang=fr">raton[/img], sur Wikimedia Commons Raton laveur, sur Wikispecies raton laveur, sur le Wiktionnaire CLIC........................Zooville : le raton laveur - Bande-annonce from Association Science Télévision on Vimeo. CLIC........................WWCC ratons laveurs from My Bubbles World on Vimeo.
Ce golden retriever a surpris sa propriétaire avec un bébé koala qu’il venait juste de sauver d’une mort certaine.
L’Australie n’est jamais ennuyeuse. Récemment, Kerry McKinnon de Strathdownie, dans l’ouest de Victoria, a reçu une surprise unique de son golden retriever Asha. Vous voyez, les températures dans la région chutent parfois à 5 °C au petit matin et lesanimaux n’ont pas tous un manteau de fourrure aussi épais et chaud qu’Asha. « Il était très tôt le matin et mon mari m’a crié de venir voirquelque chose », a déclaré Kerry, âgée de 45 ans, à News.com.au. « Je ne savais pas de quoi il parlait au début, mais ensuite j’ai vu ce minuscule koala blotti contre Asha. » Kerry a admis que le moment l’avait prise complètement au dépourvu et qu’ellene savait pas trop comment réagir à l’héroïsme de sa chienne. « J’ai simplement éclaté de rire. La pauvre Asha ne savait pas quoi penser, alors elle continuait à me regarder avec un air déconcerté », a ajouté McKinnon.«On dirait qu’elle se sentait un peu coupable quand je suis sortie pour voir ce qui se passait. Son expression était hilarante. Ellen’arrêtait pas de se tourner la tête pour regarder le koala, mais elle n’essayait pas pour autant de le faire descendre. Elle était heureuse dele laisser se blottir contre elle. » On ne saura jamais pourquoi le koala a fini par s’accrocher à Asha. L’explication la plus plausible est que la créature adorable a été séparée de sa mère puisqu’elle était encore assez jeune pour vivre avec elle. « Je pense que le bébé koala est tombé de la poche de sa mère et ne savait pas quoi faire, alors il aurait simplement erré sur notre terrasse arrière. Lorsqu’il a aperçu les chiens dans leurs lits, il a probablement décidé de se blottir dans la fourrure d’Asha parce qu’elle semblait chaude et douillette. « Asha a définitivement sauvé la vie du koala en le maintenant au chaud. Il serait probablement mort gelé s’il était resté seul toute la nuit. Il aurait pu aussi se faire attaquer parun renard ou un prédateur quelconque. » La femme a dit que le petit koala allait bien. Après avoir été évalué par un vétérinaire, un soignant local l’a pris sous sa garde jusqu’à ce qu’il puisse être relâché dans la nature. « Je pense que les chiens ont cet instinct protecteur. Le koala ne voulait pas quitter Asha. Lorsque nous avons pris le koala pour l’envelopper dans une couverture, il a simplement sifflé et s’est laissé faire. »
« Il était très tôt le matin et mon mari m’a crié de venir voir quelque chose. »
« Je ne savais pas de quoi il parlait au début, mais ensuite j’ai vu ce minuscule koala blotti contre Asha. »
« Je pense que le bébé koala est tombé de la poche de sa mère et ne savait pas quoi faire. » « Il serait probablement mort gelé s’il était resté seul toute la nuit. Il aurait pu aussi se faire attaquer par un renard ou un prédateur quelconque. » Après avoir été évalué par un vétérinaire, un soignant local a pris le bébé sous sa garde jusqu’à ce qu’il puisse être relâché dans la nature.
En voyant ces images qui vont suivre, vous reprendrez espoir dans le genre humain. En fin de compte, il n y’a pas que des gens méchants qui abandonnent leurs animaux de compagnie dans la rue.
Dans ce monde, existe encore des gens qui font tout pour sauver un animal en danger.
De magnifiques images que nous avons là, qui nous montrent le dévouement de l’homme pour l’animal en danger et son courage pour essayer de le sauver.
Des images émouvantes, impressionnantes et qui nous font dire que le monde ira sans doute bien tant que des gens comme ça, existent.
L’exemple de ces chercheurs en chine qui se déguisent en Koala, pour s’occuper de jeunes koalas qui ont perdu leurs parents.
Ou encore ce biologiste qui assiste à une capture qui tourne mal. En
effet, en voulant endormir un ours, pour l’attraper et le déplacer en
toute sécurité, celui ci s’éloigne en direction de la mer où il a failli
se noyer si cet homme n’avait pas plongé à son secours.
Une femme s’occupe d’un oisillon en lui donnant à boire.
Cette chinoise nourrit des chiens errants.
Un bénévole nourrit un petit phoque dans un centre de réadaptation.
Ici, un pingouin, se demande ce qui se passe avec ce petit dauphin que des secouristes ont sauvé.
Ici, un homme sauve des chatons de la noyade.
Un autre sauve un marsouin bloqué dans des champs de riz après un tsunami.
Ici cet homme a sauvé un Kangourou de la noyade.
Ce policier aide cette cane et ses petits à traverser la ville.
Inutile de comprendre l’espagnol pour savoir si l’on est bien arrivé dans la région du Michoacan Mexique (Centre-Ouest). Il suffit de suivre les papillons ocre et noir.
L'automne marque le début d'un voyage de 3 000 milles pour ces monarques, qui migrent du sud du Canada vers leur habitat d'hivernage du centre du Mexique. Là, ils se regroupent dans des sapins, créant l’illusion d’un feuillage orange et flottant. Ils resteront dans leurs camps d’hiver jusqu’en mars, lorsque le voyage de retour vers le nord commence. Mais aucun monarque individuel ne terminera le voyage complet, ce qui dépassela durée de vie normale du monarque; Au lieu de cela, il faudra quatre générations de monarques pour effectuer la migration complète, chaque individu étant apparemment entraîné par un compas interne qui guide sa trajectoire de vol.
Sylvie Buy et Jean-Yves Durand / GEO Extra -
Photos Reportages GEO
/ © Poliphilia / CC Flickr
Antistress et antidouleur pour le chat, le ronronnement serait aussi source de bienfaits pour l'homme.
Il agirait sur le chat telle une thérapie. Antistress et antidouleur, il lui procurerait bien-être et sommeil, soignerait ses muscles et ses os… Mieux : le ronronnement aurait une action bienfaisante pour l’homme. Mais de quelle façon ?
Etabli depuis juin 2015 dans une rue tranquille du XVe arrondissement de Paris, le Chat Mallow Café n’est pas un salon de thé comme les autres.
Une douzaine de chats s’y faufilent entre les tasses, se frottent aux mollets des clients ou sommeillent sur des coussins.
Ce jour-là, des étudiantes se sont réunies autour d’une table en forme de tête de matou.
L’une d’elle, Aurélie, passe une main dans l’épaisse fourrure blanche de Jéricho, un british shorthair qui, ravi, ronronne à tout-va.
«Ici, au bout d’un moment, je ne pense plus à rien, confie la jeune fille.
À force de jouer avec les chats, de rire à leurs facéties et de les caresser, je lâche prise.
Quand je sors, je suis de bonne humeur, comme regonflée !» A Tokyo, Paris ou New York, ce genre d’établissement fait florès.Tous vantent les bienfaits des félins et de leur relaxant ronron sur les humains.
Ce doux son répétitif serait-il un médicament naturel, ou un placebo à la mode ?
En sept questions, voici le point des connaissances actuelles.
Comment le ronronnement est-il produit ?
Difficile de le dire, en l’état actuel de nos connaissances.
Car si l’étude du comportement animal (l’éthologie) est née dans les années 1950, elle s’est d’abord...Focalisée sur les espèces sauvages, puis sur celles d’élevage, bétail et volailles.
Ce n’est qu’au début de la décennie 1990, marquée par le «boom» des animaux de compagnie...Que les scientifiques se sont intéressés à nos amis à quatre pattes.
Ils découvrirent alors que le ronronnement est un murmure volontaire, que le chat émet la gueule ouverte ou fermée.
Ils établirent aussi que la production de ce son n’est pas due à un organe particulier, mais qu’elle implique au moins...Le larynx (qui abrite les cordes vocales) et le diaphragme, ce muscle qui ferme le bas de la cage thoracique et qui expulse l’air des poumons.
Les chercheurs crurent d’abord que le son provenait de la vibration des petits replis qui tapissent la muqueuse du larynx.
Mais ils constatèrent que des matous pouvaient encore le déclencher après que cet organe leur avait été enlevé.
Par la suite, leur attention se porta sur la chaîne hyoïde, une structure complexe située entre la langue et le larynx.
Elle est composée de l’os hyoïde, qui flotte en travers de la gorge, et d’un faisceau de muscles et de ligaments qui relie celui-ci à divers éléments du squelette.
Certains experts supposent que cette chaîne d’os et de muscles produirait le ronronnement en vibrant...Peut être sous l’action de l’air qui passe dans la gorge de l’animal lorsque celui-ci respire.
Un peu comme le vent fait bruire une corde à linge tendue entre deux piquets.
Par ailleurs, les différences de consistance entre la chaîne hyoïde des petits félins tels que le chat....Et celle des grands félins tels que le lion, pourraient expliquer pourquoi les premiers ronronnent et les seconds rugissent.
Une autre hypothèse implique la veine cave (celle qui transporte le sang entre les organes et le cœur).Que certains muscles feraient «palpiter». Cette pulsation, accentuée dans les bronches, la trachée et les sinus du chat, engendrerait le «trémolo » du chat.
Bref, le mécanisme de cette drôle de vocalise demeure une énigme.
Quels sont ses effets sur le félin ?
Ils sont en premier lieu d’ordre psychique. Quelle que soit son origine, le ronronnement se traduit par une vibration.
«Celle-ci est amplifiée dans les voies respiratoires de l’animal, et le fait résonner tout entier comme un instrument à cordes».Révèle le vétérinaire toulousain Jean-Yves Gauchet, auteur du livre Mon chat et moi, on se soigne.
Notre petit compagnon fonctionnerait ainsi comme une guitare ou un violoncelle...Dont la caisse de résonance serait son propre corps.
Mieux : le volume de son thorax module la tonalité du son.
Plus le matou est gros, plus celui-ci est grave, et vice versa...Si bien que chaque ronron est différent.
Tous, cependant, sont émis à de très basses fréquences, comprises entre 20 et 140 Hertz (Hz).Soit à peu près les mêmes que celles du ronflement humain (de 30 à 200 Hz).
Or, ainsi que l’explique le docteur Jean-Marc Aimonetti, du Laboratoire de neurosciences intégratives et adaptatives de l’université d’Aix-Marseille...«Le chat, comme tous les mammifères, perçoit les basses fréquences grâce à des capteurs situés dans sa peau, appelés corpuscules de Pacini.Ces détecteurs transforment les vibrations félines en impulsions électriques...Et les transmettent au cerveau, lequel y répond en secrétant des endorphines ».
Plus connus sous le nom populaire d’«hormones du bonheur », ces opiacés aux propriétés analgésiques semblables...
À celles de la morphine procurent une sensation de bien-être, de plaisir, voire d’euphorie, et atténuent la douleur.
Nous-mêmes les produisons dans des moments d’efforts physiques, d’excitation intense et lors de l’orgasme.
Chez le chat, ce mécanisme entraînerait également la sécrétion d’ocytocine, une substance qui favorise (entre autres).
L’activité sexuelle et la confiance en soi, et de sérotonine, qui améliore la qualité du sommeil et de l’humeur.
Alors, les matous lanceraient-ils leur étrange vocalise pour se faire du bien ?
Possible, car les chatons le font dès leur première tétée, un instant, pour eux, de félicité absolue.
En sécurité, lovés contre leur mère qui elle-même ronronne,ils associent vite ce «trémolo ».
À l’allaitement et à la notion de plaisir, renforçant ainsi leur attachement à leur «maman».
Les autres petits félins (guépard, puma, lynx…) en font autant au début de leur vie. Mais ce qui se passe ensuite est proprement stupéfiant :
«À l’âge adulte, tous arrêtent de “vibrer”, même le chat de gouttière, révèle Thierry Bedossa, comportementaliste et vétérinaire à Neuilly.Seul celui qui vit avec l’homme perpétue cette action !»
La démonstration vivante de cette bizarrerie se frotte aux jambes du praticien :
«Quand Félix a débarqué chez moi, il venait de la rue et ne ronronnait pas. Mais au bout de quelques semaines, quand il s’est senti en confiance et dansun milieu familier, il a commencé à le faire… et n’a plus jamais cessé !»
Ce son est-il émis dans des circonstances précises ?
Tout à fait. Le chat domestique ne ronronne pas quand il est seul, ni en présence d’un congénère ou de tout autre animal.
Il ne le produit qu’en compagnie d’un humain.
«Il communique avec nous, s’exclame Thierry Bedossa. J’ai la conviction que lorsqu’il éprouve du contentement, il veut que nous le sachions.
Même si nous lui avons fabriqué le plus altéré des environnements – il est le plus souvent stérilisé, mange des croquettes.Ne chasse plus, vit parfois en appartement –, il est capable de retrouver des sensations...Liées aux premiers jours de sa vie, synonymes de plaisir et de quiétude extrêmes.»
D’une certaine façon, nous nous substituerions à sa mère en lui procurant gîte et couvert et en l’infantilisant.
D’autant que l’ocytocine que son cerveau secrète alors favorise, chez les «mamans» chats...L’éjection du lait, suite à la tétée de leur bébé.Autrement dit, notre matou retomberait en enfance.
Et il nous dirait, à travers son «vibrato » : «Je suis petit, j’ai besoin d’être protégé.»
Etrangement, ce son se manifeste aussi dans des situations de souffrance.
Les chercheurs du Fauna Communications Research Institute (Caroline du Nord)...L’ont établi, et les vétérinaires l’observent au quotidien.
«Beaucoup de chats ronronnent lorsqu’ils sont stressés ou malades, raconte Thierry Bedossa. Mais aussi pendant un accouchement difficile, et même à l’agonie, dans l’heure qui précède la mort.»
Amplifié par le stéthoscope, ce bruit de fond peut empêcher le médecin de discerner...La respiration et les battements de cœur de l’animal qu’il ausculte.
Au point qu’en 2014, une équipe de vétérinaires de l’université britannique de Cambridge...A publié dans le Journal of Small Animal Practice un article très sérieux intitulé...«Comment empêcher les chats de ronronner en consultation ?».
Explication : cette réaction permettrait aux matous de secréter des endorphines...Qui atténueraient leur angoisse et leur douleur.
Serait-ce, pour l’animal, un moyen de se soigner ?
Incroyable, mais (peut-être) vrai !
Il semblerait que ses vibrations l’aideraient à réparer ses tissus lésés : muscles, tendons, articulations ou os fracturé.
Plusieurs études scientiques en ont fait le constat, sans pour autant l’expliquer. Thierry Bedossa les résume ainsi :
«Les chats se rétablissent bien plus vite et avec moins de séquelles que les chiens, par exemple.»
Les Anglo-Saxons appellent ce mécanisme «high rise syndrome» («syndrome de la chute haute»).
Il a été mentionné pour la première fois en 1976 par le Dr Robinson, un vétérinaire du Memorial Hospital de New York...Qui traitait chaque année quelque cent cinquante félins auteurs d’une «cascade» involontaire depuis un lieu très élevé.
Puis en 1987, le Dr Wayne O. Whitney en fit l’objet d’une publication dans le Journal of the American Veterinary Medical Association.
Après avoir examiné 132 «chats volants», ce chercheur a établi qu’un matou qui tombe...D’une hauteur moyenne d’un cinquième étage a 90 % de chances de s’en sortir vivant et de guérir de ses éventuelles blessures.
Ce «miracle» serait dû, entre autres, a son ossature particulièrement résistante, que le ronron conforterait encore.
Syndrome ou pas, nos compagnons préférés ne contractent, d’une façon générale, que très peu de fractures.
Beaucoup moins que les chiens, mais aussi que les lions ou les tigres, c’est-à-dire des félins… qui ne ronronnent pas.
Un autre argument en faveur d’un effet réel de cette vibration sur ce genre de lésions. Même le cancer des os serait concerné. Chez le chien, il est très agressif...Et nécessite une opération chirurgicale suivie d’une chimiothérapie.
Chez le chat, en revanche, il est rare, et bénin dans un tiers des cas, et si tumeur il y a, elle n’est guère virulente.
«L’ostéoporose, la perte de masse osseuse qui touche toutes les femelles de mammifères à la ménopause...Affecte très peu cette espèce en comparaison des autres», note encore Thierry Bedossa.
Finalement, tout se passe comme si le ronronnement agissait sur le tissu osseux de l’animal : Pour en fabriquer, en prévenir la disparition ou le préserver des maladies.
Par quelles actions physiologiques ? Le mystère reste entier.
Le ronronnement a-t-Il les mêmes effets sur l’homme
Il semble bien, à en croire le Dr Jean Marc Aimonetti : «Comme celle du chat, notre peau contient des corpuscules de Pacini. Et ces récepteurs captent pareillement les vibrations du ronronnement.
Il n’y a donc aucune raison pour qu’elles ne déclenchent pas dans notre cerveau la production d’endorphines...D’ocytocine et de sérotonine, avec les mêmes effets bienfaisants sur notre psychisme.
Outre, ces basses fréquences sont les seules qui traversent le ventre de la femme enceinte et le placenta, si bien que le bébé les perçoit. »
On peut ainsi penser que le ronron du chat évoque chez l’homme adulte cette période de bonheur total...Qu’il a vécue in utero, ou d’agréables sensations de son enfance avec, à la clé, un sentiment de sérénité.
«Ce son jouerait un peu le rôle de la madeleine de Proust, sauf, bien sûr, si vous restez traumatisé...Par un matou qui vous a griffé quand vous aviez 6 ans», plaisante le scientifique.
Même raisonnement pour l’action réparatrice des vibrations félines sur nos tissus osseux ou musculaires.
Certes, les effets des très basses fréquences sur l’homme sont avérés.
Les kinésithérapeutes et les médecins du sport s’en servent avec succès...Pour consolider des fractures ou traiter des arthroses et des tendinites.
Nul ne connaît le processus, probablement hormonal, qui permet de tels résultats.
Et prouver que le ronron nous soigne par une expérience scientifique qui utiliserait des chats vivants est exclu.
Cela supposerait que l’on place, par exemple, un félin qui l’émet sur la jambe cassée d’un patient...Et un qui ne le fait pas sur un autre malade atteint d’une lésion parfaitement identique.
Puis répéter l’opération suffisamment de fois pour que l’essai soit crédible… Irréalisable ! Jean-Marc Aimonetti s’est donc résolu à jouer au cobaye.
«Je me suis injecté de l’eau dans un muscle, raconte-t-il.Ensuite, j’ai testé différentes vibrations et les ai combinées entre elles...En évaluant l’intensité de la douleur que je ressentais sur une réglette graduée de 0 à 10. Or, les fréquences qui correspondaient à celles du ronronnement calmaient ma souffrance…»
Fortes présomptions, déductions, faisceaux d’observations convergentes : C’est, à ce jour, tout ce que nous avons sur les effets de ce son animal sur l’homme.
De récentes études, telle que celle menée en 2013 à l’université de Daegu (Corée du Sud) suggèrent ainsi...Qu’un individu soumis quelques minutes par jour à une vibration de 20 Hz verrait diminuer sa fatigue musculaire, et retrouverait plus rapidement du tonus.
Plusieurs équipes américaines avancent aussi que les propriétaires de chats seraient moins sujets...À l’hypertension et aux complications cardiovasculaires de type infarctus que le reste de la population.
En 2002, au terme d’une étude de sept ans, le chercheur Dennis Ownby, de l’université de Géorgie (USA).Affirmait pour sa part que le contact quotidien d’un chat boosterait...Notre système immunitaire et diminuerait le risque d’asthme et d’allergie.
«Je ne crois pas à une action spécifique directe des vibrations sur le cœur...L’immunité ou la tension, nuance le Dr Jean-Marc Aimonetti.Mais si l’on admet que beaucoup de nos maladies sont liées au stress, on peut penser...Que sa réduction par le ronronnement ait une influence bénéfique sur ces pathologies.»
Mais cette action est-elle volontaire ? Est-ce à dire que notre petit compagnon vocalise pour nous soigner ?
«Ne rêvons pas, tempère Bertrand Deputte, professeur émérite d’éthologie à l’école vétérinaire d’Alfort : «Le chat “vibre” avant tout pour son propre bien-être et sa santé. Cela lui demande une grande dépense d’énergie.Or, la nature est économe. Le métabolisme du félin, c’est son carburant : il doit en disposer jusqu’à sa mort. Il ne peut pas le gaspiller à faire des choses inutiles pour lui.»
Cet animal domestique, qui vit souvent dans un espace réduit et dort seize heures par jour en moyenne...(Soit les deux tiers de sa vie), pourrait ainsi se servir du ronronnement comme exercice physique.
Il lui suffirait de résonner telle un instrument à cordes pour rester en bonne santé, préserver ses os...Ses muscles et son souffle, là ou d’autres bêtes courent avec leur maître.
«Si un chat se met à “vibrer” quand je le caresse, ce n’est pas par altruisme, insiste le Dr Aimonetti.Il y trouve un avantage : cela m’incite à lui faire d’autres câlins. Ce qui lui est profitable, car ce son active ses récepteurs épidermiques et, par conséquent...La production d’hormones apaisantes et régénératrices.
En l’émettant, il se fait d’abord du bien, mais nous le percevons aussi, au passage, à travers notre peau.»
Dans ce contact qui active leurs fibres tactiles respectives, chacun des protagonistes serait donc gagnant.
«N’oublions pas, conclut le chercheur, que le toucher est le seul sens qui soit réciproque. La caresse se fait à deux. Chez les humains, cela va de soi, mais c’est le secret...Du double bénéfice du ronron, à la fois pour nous et pour notre animal.
Alors, bientôt une ronronthérapie ? En fait, cette vibration est déjà employée depuis longtemps à des fins curatives.
En 2002, le vétérinaire Jean-Yves Gaucher a ainsi gravé 30 minutes de ronrons...Sur un CD intitulé Détendez-vous avec Rouky.
Les 250 personnes qui l’ont testé ont éprouvé du bien-être...Et de la sérénité et une plus grande facilité à s’endormir.
Sept ans plus tard, le même chercheur a conçu, en collaboration avec Apple, une application...pour iPhone baptisée iJetlag, qui vise à réduire la fatigue liée au décalage horaire. Elle comprend des enregistrements de ronronnements qui entraîneraient...la production de mélatonine, une hormone favorisant le sommeil.
Certains hôpitaux, comme celui de Charles-Foix à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne)...Se servent encore de l’effet apaisant des chats – mais aussi des chiens – sur les personnes âgées et les handicapés moteur.
D’autres scientifiques, subventionnés par la Nasa, planchent sur la possibilité d’utiliser...
Des vibrations à basses fréquences pour enrayer la perte de densité osseuse que subissent les astronautes (2 % par mois dans l’espace).
Envoyer un chat en orbite serait le meilleur moyen de vérifier cette hypothèse.
Mais il n’en est pas question : en 1963, le premier vol d’un félin au-delà de notre atmosphère (une femelle «française».
Du nom de Félicette) s’est soldé par un tollé mémorable au sein des associations de protection animale.
Mais sur Terre, la ronronthérapie a de beaux jours devant elle.
Le chat, mélomane et compositeur Des bruits de tétée, ceux d’une chatte qui fait sa toilette, des gazouillis d’oiseaux, et bien sûr des ronronnements…
Voici quelques-uns des motifs qui forment les airs que l’Américain David Teie a composés à l’intention spécifique des matous.
Le violoncelliste, chef d’orchestre et musicologue à l’université du Maryland est parti de l’idée...Que ces animaux sont attirés par les sons qu’ils ont perçus dans les premiers jours de leur vie. Pour vérifier cette hypothèse, il s’est adressé à un confrère, Charles Snowdon...
Du département de psychologie de l’université du Wisconsin.
Trois mélodies «félines» et deux «humaines» ont ainsi été testées sur 47 chats domestiques.
Le résultat, publié en mai 2015 : 38 % d’entre eux ont été sensibles à Bach et Fauré...Alors que 77 % l’ont été à l’écoute de «leur» musique. Ils se sont apaisés et ont frotté leur tête (signe de fort plaisir) contre les hauts-parleurs !
L’affaire a fait grand bruit dans la presse anglo-saxonne.
Au point que les deux chercheurs ont édité un CD de 40 minutes intitulé Music for cats...(On peut le commander sur le site Internet éponyme, ou écouter des extraits en ligne).
La Ballade de Rusty ou L’Air de Cosmoz s’y révèlent un entrelacs de violoncelle, de miaulements et de ronrons des plus planants….
Les pouvoirs thérapeutiques du ronron.
Le ronron génère des vibrations entre 20 et 140 Hertz.
Ces basses fréquences pourraient soigner certaines pathologies.
Diminution Du Stress Etre en présence d’un chat qui ronronne réduirait l’anxiété.
Difficultés Respiratoires Le ronron restreindrait leurs symptômes, chez le félin comme chez l’homme.
Baisse de la tension elle se produirait lorsque nous interagissons avec le chat.
Réparation des os .
Les fréquences comprises entre 25 et 50 Hz, ainsi que celles...Comprises entre 100 et 200 Hz, soit celles du ronron, les consolident.
Risques d'infractus.
Une étude américaine de 2009* avance que les propriétaires de chats en auraient 40 % en moins.
Immunité.
Les vibrations émises par le félin l’augmenteraient.
Lésions Des Tissus Mous Le ronron favoriserait la guérison des affections musculaires, tendineuses et ligamentaires.
«Journal of Vascular and Interventional Neurology».
(Zeenat Qureshi Stroke Research Center), janvier 2009.
Agissant comme un antidépresseur naturel, le ronronnement du chat serait bénéfique...Sur plusieurs pathologies, comme le stress, l'hypertension ou les troubles cardiovasculaires.
La majorité d’entre nous ont probablement déjà visité un zoo au moins une fois dans leur vie. De beaux oiseaux, de charmants herbivores et de redoutables prédateurs que nous n’avions vus qu’à la télévision peuvent alors être admirés dans la vie réelle. Cependant, certaines personnes préfèreraient voir les animaux d’encore plus près.
À Rancagua, au Chili, il existe un premier zoo de ce type en Amérique latine. Il s’appelle Parque Safari et ce ne sont pas les animaux qui sont dans les cages, mais plutôt les visiteurs. L’idée derrière un zoo si étrange est que les gens aient la
chance de voir des animaux dans leur habitat naturel. Tous les visiteurs peuvent se trouver à quelques centimètres seulement des lions et faire le tour de la zone en autobus à l’intérieur d’une cage en métal. Cette cage est le seul obstacle entre les animaux et les visiteurs curieux.
Les visiteurs peuvent prendre des morceaux de viande fraîche pour attirer l’attention des félins sauvages. Une fois qu’ils le sentent, ils n’hésitent pas à sauter sur l’autobus, à marcher dessus et à regarder les gens avec intérêt. Les visiteurs ne peuvent pas nourrir les animaux àtravers la cage, mais ils peuvent prendre des photos et peuvent même
les toucher. Mais c’est une chose que seuls les visiteurs les plus courageux peuvent faire, car les animaux de Parque Safari se sentent absolument libres et leur comportement est totalement imprévisible.
L’idée derrière un zoo si étrange est que les gens aient la chance de voir des animaux dans leur habitat naturel.
Tous les visiteurs peuvent se trouver à quelques centimètres seulement des lions et faire le tour de la zone en autobus à l’intérieur d’une cage en métal.
Cette cage est le seul obstacle entre les animaux et les visiteurs curieux.
Les visiteurs peuvent prendre des morceaux de viande fraîche pour attirer l’attention des félins sauvages.
Les visiteurs ne peuvent pas nourrir les animaux à travers la cage, mais ils peuvent prendre des photos et peuvent même les toucher.
Mais c’est une chose que seuls les visiteurs les plus courageux peuvent faire, car les animaux de Parque Safari se sentent absolument libres et leur comportement est totalement imprévisible.
Mettez du volume au son......
CLIC..............http://volkerpannes.de/portfolio/bird-song-opera/
Des chiens qui jouent les éboueurs des mers. Tel est l'incroyable spectacleauquel on pouvait assister sur la base nautique de Corbières, à Marseille, ce dimanche, rapporte La Provence.
Quelles que soient les circonstances, notre allié répond toujours présent quand on a besoin de lui. Et même lorsqu'il s'agit de préserver l'environnement, l'animal à quatre pattes a un rôle déterminant à jouer.
Une vingtaine de chiens, la plupart des terre-neuve mais aussi des bouviersbernois, labradors golden et chiens d'eau espagnols, se sont ainsi retrouvés sur la plage aux côtés de sauveteurs. L'objectif : aider plongeurs et bénévoles à nettoyer le sable et les fonds marins gorgés dedéchets accumulés tout au long de l'été.
Une opération organisée tous les ans par le club des Maîtres-Chiens Sauveteurs aquatiques dans le cadre de « Septembre en mer », qui fédère pendant tout le mois des manifestations autour des thématiques maritimes.
Il s'agit ainsi de « participer à la préservation de ce site exceptionnel » et « montrer le travail de nos chiens », explique au quotidien régional Sylvie Le Meur, vice-présidente de cette association qui réunit chaque dimanche les chiens et leurs maîtres pour des entraînements de sauvetageen mer.
Cette fois-ci, ce ne sont pas des noyés que les bêtes poilues ont ramassés mais bel et bien des déchets. Bouteilles en plastique ou en verre, canettes, et autres détritus ont ainsi été extraits des fonds marins par les plongeurs que ces toutous nettoyeurs étaient chargés de ramener à terre. « Ce qu'on remonte est gorgé d'eau et pèse très lourd. Heureusement, les chiens sont là pour nous aider à évacuer tout ça », confie une ramasseuse présente ce jour-là.
Avec ce type d'actions, l'association espère faire prendre conscience de l'utilité des chiens, qui ne sont pas utilisés à leur juste valeur dans la cité phocéenne. « Ici, le chien a mauvaise image. Toutes les plages lui sont interdites. Ils ne sont pas employés pour la surveillance des plages, comme cela se fait à Bandol ou dans certaines communes bretonnes », regrette Sylvie Le Meur.
Toute la matinée, les bêtes ont récupéré des kilos de déchets laissés par l'homme dans la nature, montrant ainsi à quel point l'animal est capablede bien plus de civisme que son maître
Bienvenue dans le pittoresque North Ronaldsay. Cette île reculée, située au nord de l’Ecosse, abrite 50 personnes et des moutons très spéciaux.
Afin de libérer des herbages pour le bétail, les humains du début du 19ème siècle ont confiné le troupeau, trouvé entre la terre et le rivage.
L’avenir des rares moutons mangeurs d’algues qui ont prospéré sur la petite île de North Ronaldsay, la plus septentrionale de l’archipel des Orcades, semble assuré depuis le néolithique.
La Fondation Orkney Sheep (OSF) vise à protéger la race North Ronaldsay, célèbre pour sa vie exclusivement au bord de la mer, sauf pendant la saison d’agnelage, lorsque les brebis sont amenées à l’intérieur des terres.
La digestion des animaux est tellement habituée à un régime de varech qu’ils doivent être gardés sur le rivage par un mur de pierres sèches (digue de mouton) construit en 1832 qui entoure l’île, sinon ils risquent de s’empoisonner de trop d’herbe à l’intérieur des terres.
Les moutons n’ont d’autre choix que de se nourrir d’algues, ce qui en fait l’un des deux seuls animaux capables de survivre sur des choses glissantes.
Quoi de plus adorable que des petits chatons pleins de vie ? Aussi farceurs qu’intrépides, ils ne manquent pas de nous faire craquer… à l’instar de ces mamans chats !
Comme les Hommes, les animaux entretiennent des rapports très fusionnels avec leurs progénitures. Les chats font d’ailleurs partie de ces mammifères qui ont un instinct parental très développé. En effet, les chattes sont très courageuses et particulièrement protectrices en ce qui concerne leurs petits. Cela commence dès la mise-bas, lorsque la future maman se cache dans un
endroit calme pour mettre au monde ses chatons.
De l’affection pour l’équilibre
Néanmoins, la relation ne s’arrête pas seulement à la mise au monde des petits, bien au contraire… les chattes sont des mamans très efficaces et prévenantes qui vont éduquer leurs progénitures avec amour et rigueur. Ces mères ne quitteront pas leurs enfants avant d’être sûres qu’ils soient parfaitement équilibrés, robustes et sereins… le chaton a besoin naturellement de sa mère pendant 8 semaines au moins. Une façon pour elle de lui permettre d’être dégourdi, sociable et moins peureux.
Voici d’ailleurs des photos qui témoignent de l’affection que porte les mères à leurs petits et ce, bien que certains de ces chenapans soient parfoisturbulents…
1. Un coup de langue et la journée peut commencer !
2. "Ca, mon fils, c'est ton nouveau territoire !"
3. Cette mère veille sur son chaton.
4. Même la sieste se fait l'un à côté de l'autre...
5. "Pour te purger, c'est parfait !"
6. A l'heure du repas, on partage !
7. Moment d'affection privilégié entre ce chaton et sa mère.
8. Opération camouflage dans la fourrure de sa maman.
9. "Euh, tu es petit, mais tu pèses lourd !"
10. Une communion parfaite...
Le raton laveur, ou plus exactement le raton laveur commun (Procyon lotor Linnaeus, 1758), est une espèce de mammifères omnivores de l'ordre des carnivores.
Originaire d’Amérique, cette espèce a été introduite pour la dernière fois en Europe dans les années 1930 (après la disparition un siècle plus tôt de la dernière population introduite).
Il doit son nom à son habitude, plus ou moins réelle, de tremper ses aliments dans l’eau avant de les manger.
L’animal, de la famille des procyonidae, est essentiellement nocturne et grimpe facilement aux arbres grâce à ses doigts agiles et à ses griffes acérées. Il a le pelage poivre et sel avec de légères teintes de roux.
On le reconnaît facilement à son masque noir bordé de blanc autour des yeux et à sa queue rayée de blanc et de noir.
Le raton laveur s’adapte à de nombreux milieux naturels.
Opportuniste et facile à apprivoiser, il s’aventure également dans les villes nord-américaines (Canada, États-Unis d'Amérique).
Son comportement varie selon le sexe et la région où il vit. Il est toujours chassé pour sa fourrure mais ne constitue pas une espèce en danger, ni même menacée.
Aussi ne fait-il l'objet d'aucune mesure de protection, ni en Amérique, ni en Eurasie.
Comportement.
Les jeunes se laissent facilement apprivoiser par les hommes.
À l’âge adulte, les mâles deviennent agressifs et reviennent facilement à la vie sauvage après un temps de captivité.
Le raton laveur est un bon grimpeur et un bon nageur. Sur terre, il se déplace assez lentement, ce qui le rend vulnérable.
Il peut descendre d’un tronc la tête la première, en tournant ses pieds de derrière à 180°.
Animal curieux et intelligent21, il sort de sa tanière surtout la nuit, sauf pendant la période de reproduction et en ville.
Le raton laveur émet des grognements lorsqu’il est en danger.
En été et en automne, il emmagasine des réserves de graisse pour la mauvaise saison et peut gagner jusqu’à deux fois son poids d’origine.
L’épaisseur de la couche de graisse peut atteindre 2,5 cm sur le dos.
En hiver, le raton laveur n’hiberne pas mais entre dans une période d’inactivité et de dormance, sauf dans les régions du Sud où l’animal continue d’être actif.
Légendes De Croisement Plusieurs légendes décrivent les origines de la race de chats Maine coon.
La plus répandue raconte que le maine coon est le fruit d'un croisement entre des chats et des ratons laveurs (familièrement coon en anglais, abrégé de racoon), ce qui expliquerait leur couleur (la plus répandue est le brown tabby.
C'est-à-dire tigré brun) et leur queue très touffue. Bien sûr, il est génétiquement impossible de réaliser un tel hybride, mais la race garde de cette légende son nom.
Article raton laveur sur l’encyclopédie canadienne
(fr) [PDF] Institut de la fourrure du Canada
(fr) Faune et flore du pays
(fr) « Le raton laveur »
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[url=https://commons.wikimedia.org/wiki/Category[img]]rocyon_lotor?uselang=fr">raton[/img], sur Wikimedia Commons
Raton laveur, sur Wikispecies
raton laveur, sur le Wiktionnaire
CLIC........................Zooville : le raton laveur - Bande-annonce from Association Science Télévision on Vimeo.
CLIC........................WWCC ratons laveurs from My Bubbles World on Vimeo.
CLIC........................Ratons laveurs au parc du Mont-Royal, Montréal from David Meignan on Vimeo.
L’Australie n’est jamais ennuyeuse. Récemment, Kerry McKinnon de Strathdownie, dans l’ouest de Victoria, a reçu une surprise unique de son golden retriever Asha. Vous voyez, les températures dans la région chutent parfois à 5 °C au petit matin et lesanimaux n’ont pas tous un manteau de fourrure aussi épais et chaud qu’Asha. « Il était très tôt le matin et mon mari m’a crié de venir voirquelque chose », a déclaré Kerry, âgée de 45 ans, à News.com.au. « Je ne savais pas de quoi il
parlait au début, mais ensuite j’ai vu ce minuscule koala blotti contre Asha. »
Kerry a admis que le moment l’avait prise complètement au dépourvu et qu’ellene savait pas trop comment réagir à l’héroïsme de sa chienne. « J’ai simplement éclaté de rire. La pauvre Asha ne savait pas quoi penser, alors elle continuait à me regarder avec un air déconcerté », a ajouté McKinnon.«On dirait qu’elle se sentait un peu coupable quand je suis sortie pour voir ce qui se passait. Son expression était hilarante. Ellen’arrêtait pas de se tourner la tête pour regarder le koala, mais elle n’essayait pas pour autant de le faire descendre. Elle était heureuse dele laisser se blottir contre elle. »
On ne saura jamais pourquoi le koala a fini par s’accrocher à Asha.
L’explication la plus plausible est que la créature adorable a été séparée de sa mère puisqu’elle était encore assez jeune pour vivre avec elle. « Je pense que le bébé koala est tombé de la poche de sa mère et ne savait pas quoi faire, alors il aurait simplement erré sur notre terrasse arrière. Lorsqu’il a aperçu les chiens dans leurs lits, il a probablement décidé de se blottir dans la fourrure d’Asha parce qu’elle semblait chaude et douillette. « Asha a définitivement sauvé la vie du koala en le maintenant au chaud. Il serait probablement mort gelé s’il était resté seul toute la nuit. Il aurait pu aussi se faire attaquer parun renard ou un prédateur quelconque. »
La femme a dit que le petit koala allait bien. Après avoir été évalué par un vétérinaire, un soignant local l’a pris sous sa garde jusqu’à ce qu’il puisse être relâché dans la nature. « Je pense que les chiens ont cet instinct protecteur. Le koala ne voulait pas quitter Asha. Lorsque nous avons pris le koala pour l’envelopper dans une couverture, il a simplement sifflé et s’est laissé faire. »
« Il était très tôt le matin et mon mari m’a crié de venir voir quelque chose. »
« Je ne savais pas de quoi il parlait au début, mais ensuite j’ai vu ce minuscule koala blotti contre Asha. »
« Je pense que le bébé koala est tombé de la poche de sa mère et ne savait pas quoi faire. »
« Il serait probablement mort gelé s’il était resté seul toute la nuit. Il
aurait pu aussi se faire attaquer par un renard ou un prédateur
quelconque. »
Après avoir été évalué par un vétérinaire, un soignant local a pris le bébé
sous sa garde jusqu’à ce qu’il puisse être relâché dans la nature.