Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
20/08/2018 - 11:16
• La photo du jour.

La parité faite crocodile -

Une fois ses œufs pondus, la femelle du gavial du Gange les laisse livrés à eux-mêmes. Au mâle de prendre la suite des opérations, comme ici où, le plus pacifiquement du monde, il offre son dos comme un radeau à la nouvelle génération. Et malgré le nombre de bébés qui crapahutent,sachez que c'est une espèce en voie d'extinction, il n'en reste qu'un millier sur terre.

20/08/2018 - 09:38
À La beauté De Notre Planète...
La Beauté De La Pollonisation Etc...
Avec plusieurs Vidéos magnifiques...
On Vimeo...


CLIC........................The Beauty of Pollination - Moving Art™ from MGA Music Company on Vimeo.

CLIC.......................Swan Lake ballet in nature from Tbfxtcxzo on Vimeo.

CLIC........................Louis Armstrong - What A Wonderful World from Fuochi Artificiali Bernocco on Vimeo.

CLIC........................Wish You Were Here from Scott Smith Media on Vimeo.

CLIC......................."POLLEN" OFFICIAL DISNEY TEASER 2011 from MGA Music Company on Vimeo.
 
CLIC........................Wilderness from Studiocanoe on Vimeo.

CLIC.........................Birds of Paradise from Vistadigitals on Vimeo.

CLIC.........................BIRDS OF PARADISE de Laura Verlinden from Laura Ver on Vimeo

CLIC........................Ruby-throated Hummingbird Eating From My Hand (Part One) from Russ Thompson on Vimeo.


20/08/2018 - 08:07
Afrique du Sud : les ânes, nouvelle cible des braconniers (vidéo)



En Afrique du Sud, les ânes sont devenus la nouvelle cible des braconniers. Très convoités pour leurs peaux, ces équidés sont au centred’un trafic bien plus discret que celui de l’ivoire, mais tout aussi juteux, qui fait chaque année des ravages en Afrique.Aux yeux des contrebandiers, la peau des ânes est devenue une matière première très recherchée, notamment en Chine, pour les besoins de la médecine traditionnelle.
Kabelo Nkoane, responsable de Highveld Horsecare Unit a déclaré qu’“on les a vus les tuer : ils utilisent un marteau, ils tapent sur le front, ou à l’arrière de l’atlas, la colonne vertébrale. C’est comme ça qu’ils les font tomber et ils utilisent alors un couteau pour leur couper la gorge ce qui est inhumain.”
Cette situation résulte surtout de la chute de la population d‘ânes de la Chine, passée de 11 millions de têtes dans les années 1990 à 6 millions en 2013. Mais alors que la légalisation de ce commerce reste une probabilité, les défenseurs des animaux ne cachent pas leur hostilité.
Selon Ikgopeleng Tsietsoane, propriétaire d‘ânes,“la communauté est très en colère. Partout où ça arrive, on appelle la police mais ça ne donne rien. Ils viennent mais l’affaire n’est pas portée devant les tribunaux ; personne n’est arrêté.”
Le Botswana et le Kenya ont déjà franchi le pas et exportent désormais en toute légalité leurs peaux d‘ânes.
(Source : Africanews)





 

19/08/2018 - 09:44
Les animaux du dimanche .










19/08/2018 - 08:55
À Paris, Un Refuge Pour Poissons Rouges Abandonnés.
Un Poisson Rouge
Brice Le Borgne
Agence France-Presse


Du petit bocal au grand bain : l'Aquarium de Paris accueille les poissons rouges abandonnés, parfois à regret, par leurs propriétaires pendant l'été, transformant le site aux 10 000 spécimens en refuge aquatique.
« Il était dans un petit bocal, je pense qu'il sera mieux ici » : Alexandre,32 ans, est venu déposer Némo, le poisson rouge d'une amie qui allait partir en vacances. « C'est mieux que de le jeter dans l'évier », glisse-t-il.
Qu'ils ne veuillent plus s'en occuper, déménagent ou souhaitent faire changer d'air à leur animal à nageoires, ils sont une cinquantaine chaque mois...
  À franchir les portes de l'Aquarium de Paris, situé au Trocadéro, au coeur de Paris pour venir déposer leur petit poisson.
Certains avec la larme à l'oeil, signe du rude choix, longuement soupesé en famille ou entre amis, de se séparer de Bubulle.
Des rouges, mais aussi des jaunes, tigrés ou noirs ; cadeaux d'anniversaire ou gagnés dans une kermesse... Depuis que l'établissement a commencé à jouer ce rôle de refuge il y a deux ans...600 Poissons sont venus grossir les 7500 spécimens qu'abrite l'Aquarium qui héberge également 2500 méduses.
Placés en quarantaine pendant plus d'un mois à l'aquarium, les petits « carassius auratus » reçoivent par précaution un traitement antibiotique et antiparasite.
« Certains arrivent faibles. Le transport et le changement de vie, ça augmente leur stress », explique Céline Bezault, soigneuse à l'Aquarium.Fragile, une petite partie des animaux ne survit pas à son déménagement. Ceux qui surmontent l'épreuve seront transférés dans des bassins où ils sontprésentés au public et leur existence va radicalement changer.
Nouvelle Vie.
Nouvel espace pour une nouvelle vie : fini le temps passé à errer contre la vitre du petit bocal.
Les poissons rouges, espèce grégaire, peuvent nager en groupe dans de bien plus grands bassins. Et reprendre leur croissance, stoppée nette lorsqu'ils sont confinés dans un bocal.
« Certains peuvent mesurer jusqu'à 20 ou 30 centimètres », note Céline Bezault.
Derrière cet accueil de petits poissons pointe donc la question du bien-être animal.
« Je pense qu'il y a une prise de conscience générale que la maltraitance animale est un vrai problème », explique...
Le directeur de l'Aquarium, Alexis Powilewicz, considérant qu'avoir un poisson d'ornement dans de mauvaises conditions est une forme de mauvais traitement.
La législation de certains pays européens interdit d'ailleurs de faire vivre son poisson rouge dans un petit bocal, assure l'équipe de l'Aquarium.
« Pour qu'un poisson vive dans de bonnes conditions, il faut quatre choses : au moins 100 litres d'eau, qu'il ne soit pas tout seul...Un système de filtre et des décors dans l'aquarium », ajoute Morgan Percher, un salarié de l'établissement.
Domestiqués depuis des millénaires, notamment en Chine, sélectionnés pour leur beauté au fil des siècles, les poissons rouges...Devraient connaître à l'Aquarium de Paris un meilleur sort que leurs congénères dont l'existence se termine souvent dans un éclat de chasse d'eau ou dans un évier.
Et le lien avec leur ancien propriétaire n'est pas forcément rompu : plusieurs mois après, certains reviennent voir...Leur animal à l'Aquarium. Même s'il est difficile de savoir avec certitude où se trouve, parmi les dizaines de pensionnaires, leur petit Bubulle.

19/08/2018 - 08:02
Quand Le Tourisme Dénature Le Monde.

Selon Alain A. Grenier, professeur en tourisme et en développement durable à l'UQAM et ancien guide en Antarctique, la volonté des touristes d'être toujours plus près des animaux perturbe la faune locale, comme le manchot Adélie.
Photo Pauline Askin, Archives Reuters

Nathaëlle Morissette, Marie-Eve Morasse La Presse.
Aller à la rencontre des ours polaires. Grimper l'Everest. Visiter un villageautochtone. La Terre est grande, mais beaucoup de voyageurs aspirent à vivre les mêmes expériences...Ce qui provoque des bouleversements pas toujours heureux. Tourisme de masse et protection de l'environnement ne vont pas toujours de pair.

Des Sentiers Trop Battus.
Quand il était guide en Antarctique, dans les années 90, Alain A. Grenier, professeur en tourisme et en développement durable se rappelle que «les gens n'étaient jamais satisfaits de la distance qui les séparait des animaux». Être plus près. Avoir le meilleur point de vue. Voilà les revendications des voyageurs qui paient une fortune pour ce genre d'expédition.
Il lui revient également en tête des images où les touristes marchaient aumilieu des manchots, expérience fort perturbante pour ces animaux.
«On joue sur le côté magique du divertissement. Les gens n'apprécient pas vraiment le privilège du spectacle, c'est plutôt un élément qu'ils cochent sur leur liste. On fait des pressions sur les animaux qui sont photogéniques. On veut voir les marqueurs tels qu'on nous les présente.»
Les safaris en Afrique.
Les séances de nage avec des dauphins souvent prisonniers d'un bassin. Voilà d'autres exemples d'activités touristiques qui ne se font pas toujours dans le plus grand respect de la nature.

A-t-on perdu la maîtrise de la situation ? «Je ne peux pas vous dire qu'il faut interdire ça», tient à souligner le professeur. Restreindre l'accèset mettre en place des infrastructures pour encadrer l'observation représentent en partie des pistes de solution.
Pour le directeur général d'Aventure Écotourisme Québec, Pierre Gaudreault, la présence d'un guide peut aussi contribuer à réduire les impacts sur l'environnement.
«Il y a de plus en plus de gens qui pratiquent le plein air, ajoute-t-il. La pratique libre n'est pas toujours encadrée et elle peut être plus dommageable [pour l'environnement].»
L'implication de la population locale est elle aussi un gage de développement durable, selon Robert Michaud, directeur scientifique du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM).
«Qui Travaille Dans Ces Bateaux-Là ? Si on veut que l'activité d'observation dans le parc marin soit une activité durable, il faut que les gens qui y travaillent soient des genslocaux, il faut qu'il y ait des retombées pour les gens, il faut que l'activité ait le moins d'impact possible sur la qualité de l'environnement, comment ils vont traiter leurs eaux usées. Quand on amène beaucoup de gens dans un secteur, on risque d'augmenter l'utilisation de l'eau et de créer des problèmes pour les gens qui vivent là à l'année.»
Toutefois, on est loin de la catastrophe, estime Pierre Gaudreault. Le flux de visiteurs ne serait pas assez important pour que l'on tire la sonnette d'alarme.
«Au contraire, plus on a de gens qui font du plein air, plus ça contribue à la préservation des milieux naturels», dit-il.
On cherche souvent à protéger les lieux populaires. Le directeur général d'Aventure Écotourisme Québec cite en exemple le Fjord du Saguenay.
Que serait-il advenu de ce territoire si on ne l'avait pas protégé en faisant de lui un parc national? se demande-t-il.
Et il est encore possible ici d'observer la nature sans lui nuire, comme c'est le cas à l'île Bonaventure, le pays des fous de Bassan.En juillet dernier, on comptait quelque 110 000 oiseaux, selon les chiffres fournis par la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ).
Les visiteurs et les mordus d'ornithologie qui débarquent ici sont servis puisqu'ils peuvent observer ces oiseaux - venus pour se reproduire et ensuite s'occuper de leurs petits - à environ un mètre de distance seulement.
Une corde délimite toutefois le territoire des fous de Bassan, et les observateurs ne peuvent franchir cette frontière.
Selon la SEPAQ, ces oiseaux seraient habitués à la présence de l'homme, et la«visite» des touristes ne perturberait nullement cette plus grosse colonie en Amérique, à condition, bien sûr, de respecter le périmètre desécurité.
Ainsi, selon Pierre Gaudreault, au Québec, ce n'est pas le tourisme qui représente la plus grande menace pour la faune, la flore et les populations locales.
«Nos plus grands défis, ce sont la coupe forestière, les barrages et l'industrie minière», estime-t-il. Mais ça, c'est un autre dossier...


La captivité pèse lourd sur la vie des dauphins, bien qu'ils semblent jouer et afficher un sourire perpétuel. Comme pour bien des animaux, cette activité est source de stress. Photo David Goldman, archives Associated Press

Protection Des Animaux.
Pratique contestée: Nager avec les dauphins.
Dans les mers du Sud, il n'est pas rare que l'on offre aux touristes d'allernager aux côtés des dauphins. Si l'activité se pratique encore abondamment, elle est critiquée depuis des années.
Le problème ? La captivité pèse lourd sur la vie des dauphins, bien qu'ilssemblent jouer et afficher un sourire perpétuel. Comme pour bien des animaux, cette activité est source de stress.
«Le stress causé par leur confinement crée souvent des comportements inhabituels et une faible résistance aux maladies», écrit l'organisme américain de défense des mammifères WDC.
Il précise qu'un dauphin en activité doit parcourir 1320 fois la longueur d'un bassin pour atteindre la distance d'un peu moins de 10 km franchie par ses semblables dans la nature chaque jour.
De nombreuses campagnes remettant en question la garde en captivité des mammifères marins ont été menées par divers groupes au cours des dernières années.
L'an dernier, les parcs d'attractions SeaWorld ont annoncé la fin de tous leurs programmes d'élevage d'orques en captivité après la diffusion d'undocumentaire critique des pratiques de l'entreprise.
Un exemple à suivre: Les excursions aux baleines.
Peut-on participer à une excursion d'observation sur le Saint-Laurent et le Saguenay sans nuire aux baleines, rorquals et marsouins qui y nagent ?
«C'est sûr qu'aller voir les baleines en bateau dans leur habitat naturel, dans les endroits où elles se concentrent, ça cause un certain dérangement.
C'est inévitable», dit Robert Michaud.Par contre, ce dérangement est contrebalancé par les bonnes pratiques adoptées au fil des années par les principaux acteurs de l'industrie, mais aussi par les effets de la sensibilisation du public.
«L'observation des baleines, si c'est bien fait et accompagné de programmes de sensibilisation et d'interprétation, ça a un potentiel d'éveil, de toucher des fibres sensibles incroyables. Au point de modifier la façon dont les gens perçoivent leur environnement et les inciter à adopter des comportements responsables», souligne Robert Michaud.
Entre le «potentiel de dérangement» et le «potentiel de sensibilisation», les conséquences sur les mammifères marins sont réduites, notamment grâce àdes règlements mis en place au fil des années.
Ceux-ci déterminent, par exemple, le nombre maximum de bateaux dans une zone donnée et la distance qu'ils doivent garder avec le mammifère.
Le directeur scientifique du GREMM note que l'évolution des bonnes pratiques dans l'industrie a été progressive et qu'elle suit l'évolutionde la société.
«Au début des années 80, on ne pensait même pas que le bruit avait un impact sur les baleines. Maintenant, on a commencé à prendre les signatures acoustiques des bateaux de la flottille du parc marin pour éventuellement identifier des solutions plus pointues, par exemple modifier les bateaux ou moins utiliser ceux qui sont les plus bruyants», illustre Robert Michaud.
À la question peut-on monter sur un bateau pour aller observer les baleines sans se sentir coupable, Robert Michaud répond oui. Il prédit out de même que l'observation des baleines se fera mieux dans 10 ans qu'aujourd'hui, tout comme elle se fait aujourd'hui d'une manière plus éthique qu'il y a 10 ans. «Il ne faut pas lâcher», dit-il.


En général, les «alpinistes en herbe» n'escaladent pas l'Everest jusqu'à son sommet, mais se rendent jusqu'à l'un des deux camps de base, à 5154 ou 5364 m d'altitude. Photo Tashi Sherpa, archives Associated Press

Protection De L'environnement.
Pratique contestée: L'ascension de l'Everest.
L'image est frappante: un ciel bleu, des sommets enneigés et... des centaines de bouteilles de plastique qui jonchent le sol.
L'une des plus célèbres montagnes du monde est aujourd'hui victime de sa popularité.
La plupart des «alpinistes en herbe» n'escaladent pas l'Everest jusqu'à son sommet, mais se rendent jusqu'à l'un des deux camps de base, à 5154 ou 5364 m d'altitude.
«Il y a des gens qui se disent qu'ils doivent cocher l'Everest sur leur liste, déplore Richard Rémi, fondateur de l'agence de voyages d'aventure Karavaniers. Beaucoup de gens le font donc pour les mauvaises raisons. Est-ce que ça se traduit par des bonnes pratiques? Je pense que certains d'entre eux ne sont pas préoccupés par la culture et l'environnement.»
Résultat: le paysage de cette montagne mythique est assombri par un amoncellementde détritus laissés par les marcheurs de plus en plus nombreux.
«Où vont-ils, ces déchets ? demande celui qui agit également à titre de guide. Le Népal n'a pas assez d'incinérateurs pour disposer des bouteilles de plastique.»
Il tient toutefois à souligner que la situation n'est, selon lui, pas pire qu'il y a 15 ans, même s'il y a plus d'achalandage.
Un exemple à suivre: Le parc de la Rivière-des-Mille-Îles.
Lieu de villégiature très fréquenté au début des années 1900, la rivière desMille Îles a ensuite été abandonnée parce que trop polluée. «C'était un égout à ciel ouvert», illustre le cofondateur du parc, Jean Lauzon. Puis, au milieu des années 80, avec son collègue Michel Aubé, il a décidé d'agir.
S'est alors amorcée une vaste opération de dépollution et de protection de l'environnement. L'endroit est ensuite devenu un lieu protégé. «Si on n'avait pas été là, le territoire aurait probablement été tout remblayé pour du développement, estime M. Lauzon. Dans les îles, il y aurait des maisons partout», poursuit celui qui décrit l'endroit comme un «joyau en milieu urbain».


Situées dans le nord-ouest du Panamá, face à la mer des Caraïbes, les îles San Blas...Îles qui sont occupées majoritairement par le peuple kuna sont maintenant prises d'assaut par les croisiéristes. Photo Thinkstock

Protection De La Culture.
Pratique contestée: Croisières aux îles San Blas.
Situées dans le nord-ouest du Panamá, face à la mer des Caraïbes, ces îles occupées majoritairement par le peuple kuna sont maintenant prises d'assaut par les croisiéristes.
C'est du moins ce que rapporte Richard Rémi, fondateur de l'agence de voyagesd'aventure Karavaniers. Ce peuple est notamment reconnu pour ses molas,une forme d'artisanat permettant de concevoir des plastrons ou des tuniques.
Les passagers des bateaux se les arrachent, provoquant une forte hausse de la demande. «Il faut qu'ils tissent davantage et ils n'ont plus de tempspour le reste», se désole M. Rémi, qui ajoute du même souffle que l'économie de ce peuple dépend maintenant essentiellement des touristes.
«Si, au moins, ça rapportait beaucoup d'argent.» C'est que les excursionnistes qui débarquent demeurent peu de temps dans l'île, une journée tout au plus. Et la majorité mange et s'abreuve sur le bateau.
Un exemple à suivre: Le site de Wendake.
À proximité de la Capitale-Nationale, la nation huronne-wendat a développé l'art d'accueillir les visiteurs sur son territoire. Les gens de la communauté ont ainsi notamment mis en place l'Hôtel-Musée Premières Nations et reconstruit une maison longue. Ils organisent également des visites guidées sur leur territoire, le tout dans le plus grand respect de la culture huronne, assure Sébastien Desnoyers-Picard, conseiller en marketing pour Tourisme autochtone.S'il admet qu'il existe toujours un danger de «folklorisation» et de mise en scène exagérée, M. Desnoyers estime qu'il est important d'insister sur
le fait qu'il s'agit d'un site de reconstitution.

Les guides portent effectivement des costumes traditionnels, mais on se fait un point d'honneur de remettre les pendules à l'heure...En expliquant que les membres de la communauté ne vivent plus de cette façon.

18/08/2018 - 19:48
Portrait De L'alligator Albinos.

Un Alligator d'Amérique (Alligator mississippiensis) albinos à la California Academy of Sciences.



Un alligator albinos est un alligator qui a subi une mutation génétique héréditaire dite albinisme.
C'est un animal rare incapable de survivre dans le milieu naturel1.

L'animal est albinos uniquement si ses deux parents sont porteurs des gènes responsables de l'albinisme.
La conséquence de cette transmission est que leur présence en captivité est due au croisement du premier alligator albinos avec ses parents, puis ses enfants, afin de pérenniser la souche, notamment chez Shawn Heflick. Cette consanguinité est très décriée car elle affaiblit la résistance des animaux pour un but lucratif.

Caractéristiques Physiques.


Peau

La peau est très pâle en raison de l'absence de mélanine dans les mélanocytes.

Alligator D'Amérique.


Yeux

L'iris est de couleur bleu à gris, le reflet tirant sur le rouge.
Localisation
France Paris, Aquarium tropical du Palais de la Porte dorée.
Civaux.
La Ferme aux crocodiles à Pierrelatte.

États-Unis San Francisco, Académie des Sciences de Californie (Golden Gate Park), un alligator nommé Claude.

CLIC.......................Drôme - Pierrelatte - La ferme aux crocodiles - The crocodile farm - Video from Fenotte on Vimeo.

Visite de la ferme aux crocodiles à Pierrelatte, décembre 2010.
La ferme aux crocodiles c'est une immense serre chauffée de 8.000m2 avec plus de 400 animaux (9 espèces de crocodiles, des tortues géantes des Seychelles et des Galapagos) et plus de 600 plantes exotiques.

Visite en 2014 de la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte.
Au programme, nourrissage des crocos, combat de croco, visite.

La Ferme aux crocodiles est un parc zoologique privé constitué d'une serre de 8 000 m2 et d'un parcours extérieur de 4 000 m2, où l'on peut observer plus de 350 spécimens de Crocodiliens. 
Crocodiles du Nil, alligators, caïmans, etc. ainsi que des tortues.
Cette ferme, outre l'aspect touristique, participe activement à la conservation et à la protection des espèces en collaborant avec des scientifiques du monde entier.

La Ferme aux Crocodiles est située sur la commune de Pierrelatte dans la Drôme en France. Inaugurée en juillet 1994, ce site unique en Europe permet de faire évoluer les espèces dans un climat tropical au sein d'une serre.
Cet espace abrite, en plus de la faune, une flore tropicale particulière composée de 600 espèces végétales (plantes carnivores, fougères tropicales, orchidées, etc.) mais aussi de nombreux arbres fruitiers tropicaux comme le bananier, le papayer ou le manguier. En 2006, la surface de la serre a été portée de 6 500 m2 à 8 000 m2.
Une extension de 4 000 m² de la zone extérieure est inaugurée en 2010, comprenant un parcours ludo-botanique en plein air et un décor végétal reconstituant l'environnement des crocodiliens.
En juillet 1991, 335 crocodiles du Nil ont été importés d'une ferme d'élevage d'Afrique du Sud. Depuis, la reproduction de cette espèce a été régulée de manière à ne pas provoquer une surpopulation.

Les Espèces Présentes Sont...
Le crocodile du Nil, le caïman à lunettes ou caïman de Guyane française, le gavial du Gange, le crocodile du Mexique ou Crocodile de Morelet, le caïman noir, le crocodile nain, l'alligator de Chine, l'alligator d'Amérique, le faux-gavial de Malaisie, l'alligator albinos (unique en Europe), la tortue géante des Galapagos, la tortue géante des Seychelles, la tortue géante d'Aldabra (plus grosse tortue terrestre du monde), la Tortue sillonnée, la Tortue de Floride et la cistude d'Europe.
La ferme abrite également des oiseaux exotiques (héron garde-bœufs, spréos, merles métalliques) qui évoluent dans la volière qui reproduit leur habitat naturel.
La Ferme aux Crocodiles est équipée d'incubateurs permettant l'éclosion des œufs et le développement des petits crocodiles.
L'incubation est effectué à la demande d'autres zoos ou pour la recherche scientifique (ce qui représente environ 1 000 naissances par an).
La Ferme aux Crocodiles est aussi partie prenante dans un projet de protection du gavial du Gange, le Gharial conservation project.
Celui-ci a consisté à créer une réserve protégée pour ré-introduire et permettre la survie de cette espèce menacée au Népal.
Venus des bayous de Louisiane (USA), deux alligators albinos ont traversé l'Atlantique et sont arrivés à la ferme en février 2010, permettant aux chercheurs d'en apprendre davantage sur les particularités de l'albinisme chez les crocodiliens.En 2001, le site a créé l'association SOS Crocodiles, qui favorise toutes les actions soutenant la protection et la conservation des reptiles, et plus particulièrement des crocodiliens.
Son action est internationale et vise à protéger le biotope autant que l'animal.
L'association participe à divers projets de sauvegarde d'espèces rares comme le Crocodile du Nil dans la réserve du W au Niger et la Cistude d'Europe enmilieux aquatiques.
En 2010, l'équipe de la Ferme aux Crocodiles s'est associée au gouvernement Burkinabé pour l'organisation du « Deuxième Congrès d'Afrique de l'Ouest pour la promotion et la conservation des Crocodiles».
En parallèle, l'association oeuvre pour la construction d'une station à vocation touristique dans la réserve du W au Niger, en partenariat avec la RAMSAR, et est engagée sur un projet de renaturation de la mare aux crocodiles sacrés de Bazoulé, près du Burkina Faso.
La visite dure environ 2 h 30.

Il est accessible aux handicapés sur l'ensemble du parcours, dispose d'un parking gratuit, d'une aire de pique-nique, d'un snack-bar et d'une boutique souvenir.
Il est possible d'observer les chercheurs pendant leur travail, d'assister à l'éclosion d'un bébé crocodile (de fin mai à fin juillet) ou encore d'étudier les soins apportés aux jeunes de l'année.
Le site propose régulièrement des expositions de photographies sur le thème de la nature comme les Baobabs du W, l'expédition aux Galápagos oules crocodiles des 5 continents, ainsi que des sculptures et reproductions grandeur nature, à l'image de la reconstitution du Sarcosuchus Imperator, le plus grand crocodile du monde.
La Ferme aux Crocodiles est le site payant le plus visité du département devant le château de Grignan, le palais idéal du Facteur Cheval, et le Palais du bonbon et du nougat à Montélimar...
Musique"Kalimba" de Mr. Scruff (Google PlayiTuneseMusic)

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Alligator d'Amérique


18/08/2018 - 07:24
Visite En Inde...Au Royaume Du Tigre.

Photo Patrice Halley, Collaboration Spéciale La Presse

Quand on pense safari, c'est immédiatement l'Afrique et non pas l'Inde qui nous vient à l'esprit. Pourtant, un safari dans les paysages qui ont inspiré Rudyard Kipling restera une expérience mémorable, surtout si l'on se souvient que tout ce qui est indien (tigres inclus) n'est pas forcément poli, accueillant et... végétarien.

Il est à peine 6h du matin et l'aube pourpre irise déjà l'horizon.
L'atmosphère est mystérieuse, voilée par des rubans de brume et de fumées épicées provenant des villages environnants. Pourrons-nous enfin apercevoir le fameux tigre du Bengale ? Installés dans une Jeep confortable et spacieuse, au milieu des ficus géants du parc de Bandhavgarh, qui ressemblent à de gigantesques pieds d'éléphant, nous commençons l'attente.


La forêt s'éveille timidement avec le cri lugubre d'un singe. Un cerf samba traverse la piste. Les animaux commencent à bouger avant que la chaleur du jour ne déploie son implacable emprise. Malgré son milliard d'habitants, l'Inde possède encore d'immenses territoires où la nature est reine.
Le réseau de parcs établi en 1972 par Indira Gandhi pour sauvegarder la faune est peuplé de sambas, d'éléphants sauvages, de panthères, de rhinocéros et des derniers lions d'Asie. Mais c'est indéniablement grâceà Jim Corbett, chasseur britannique devenu environnementaliste, que le tigre du Bengale existe encore de nos jours. En 1936, Corbett a
participé à la création du premier territoire protégeant son habitat naturel et un safari en Inde ne serait pas une expérience mémorable si on n'en rencontrait pas un, face à face.

Pour satisfaire le désir de leurs clients de voir le fameux tigre, la plupart des guides choisissent de parcourir le plus de terrain possible.
Dès l'ouverture de la barrière du parc, une horde bourdonnante de jeeps s'élance sur les pistes poussiéreuses. Hada, notre guide, préfère quant à lui la technique de l'affût à celle dite du «shoot and run».


Source..."Le Fabuleux Destin de Machli la tigresse"

Depuis une heure, nous sommes postés près d'un point d'eau. Durant quelques jours, notre guide-naturaliste a observé ici une tigresse. Il tente maintenant de percer le langage de la forêt, le système d'alarme des animaux qui s'avertissent de la progression de la prédatrice. Pour observer l'animal dans son intimité, il faut être patient, c'est la seule façon de pouvoir observer le félin royal, qui peu à peu devient indifférent à la présence humaine et reprend son comportement naturel.
Après une attente interminable ponctuée de quelques cris d'alarme provenant d'oiseaux inconnus ou de singes nerveux, Hada chuchote d'un ton triomphant: «Je savais qu'elle viendrait, c'est son terrain de chasse préféré!» Elle, c'est une magnifique tigresse qui navigue précautionneusement au travers des hautes herbes dorées. Cherchant à isoler sa proie, elle avance silencieusement le long de la berge. La tigresse, complètement consciente de notre présence, nous ignore. Ses
rayures noires ondulent gracieusement sur sa robe orangée, le camouflageest parfait. Après une longue approche, elle se prépare à l'assaut.

Pris dans un espace temporel qui ne nous appartient plus, attentifs au moindre mouvement, nous retenons notre souffle. L'animal reste figé dansles herbes. Finalement, le prédateur bouge, mais l'attaque ne viendra pas. La proie, un cerf samba, a senti la menace. Il se précipite dans l'eau du lac, mettant fin à la tentative du tigre qui, bien que bon nageur, n'est pas dans son élément. Beau joueur, il se retire dans les hautes herbes.
Le soleil s'éloigne timidement derrière un rideau de poussière, c'est l'heure de rentrer au lodge.
Dans Le Livre De La Jungle.
Le décor du parc national de Khana, lieu de notre séjour, est complaisant... pour le tigre. Les généreux bouquets de bambou et de sal,un arbre aussi robuste que le teck, offrent un refuge idéal au maître incontesté du parc qui y trouve la toile de fond idéale pour un camouflage presque inégalable. C'est d'ailleurs sur cette toile que Kipling a esquissé son fameux Livre de la jungle.

Mais on ne trouve pas que de l'inspiration à Khana, il y a aussi de la poussière et de la sueur. C'est un endroit sauvage, un paradis pour tigres, et l'observation de l'insaisissable animal s'y mérite encore plus que partout ailleurs. Au détour d'un sentier, un troupeau de gaurs,le bison indien, nous montre sans façon qui est le maître de la route.

Nonchalants, déambulant éparpillés sur la piste, ils nous forcent à prendre le fossé! La Jeep Tata ne fait pas le poids. Nous plongeons dansla forêt luxuriante, résignés et quelque peu inquiets. Soudain, un tigre bondit devant le véhicule! Tout juste le temps d'attraper l'appareil-photo pour prendre quelques clichés, mais le tout n'aura duréque quelques secondes.
Après notre sortie de route involontaire, nous reprenons un chemin de terre.
Les pistes s'enfoncent partout dans la forêt, chacune ayant sa propre identité et son lot de découvertes imprévues...

Une cigogne géante, un loup roux, des chevreuils des marais ou une meute de chiens sauvages en patrouille.
Khana maintient sa réputation, les animaux y abondent et, au milieu de prairies aux herbes flamboyantes, nous observerons 11 tigres dans la même journée !

CLIC..........................INDE Ranthambore 2013 - tigre / tiger La vie sauvage autour des lacs from Pierre Chéron on Vimeo.

Un panorama de ce parc magique avec paysage et animaux; on y voit les langurs, chitals, sambars, paons, tigres, mais aussi les palais et la forteresse de Ranthambore.

CLIC.........................Le tigre du Bengale from Planetphoto on Vimeo.

Situé dans le nord de l'Inde, le parc de Bandhavgarh abrite les derniers tigres du Bengale.
En 2011, ils ne sont plus que 1’636 en Inde.



18/08/2018 - 07:24
Visite En Inde...Au Royaume Du Tigre.

Photo Patrice Halley, Collaboration Spéciale La Presse

Quand on pense safari, c'est immédiatement l'Afrique et non pas l'Inde qui nous vient à l'esprit. Pourtant, un safari dans les paysages qui ont inspiré Rudyard Kipling restera une expérience mémorable, surtout si l'on se souvient que tout ce qui est indien (tigres inclus) n'est pas forcément poli, accueillant et... végétarien.

Il est à peine 6h du matin et l'aube pourpre irise déjà l'horizon.
L'atmosphère est mystérieuse, voilée par des rubans de brume et de fumées épicées provenant des villages environnants. Pourrons-nous enfin apercevoir le fameux tigre du Bengale ? Installés dans une Jeep confortable et spacieuse, au milieu des ficus géants du parc de Bandhavgarh, qui ressemblent à de gigantesques pieds d'éléphant, nous commençons l'attente.


La forêt s'éveille timidement avec le cri lugubre d'un singe. Un cerf samba traverse la piste. Les animaux commencent à bouger avant que la chaleur du jour ne déploie son implacable emprise. Malgré son milliard d'habitants, l'Inde possède encore d'immenses territoires où la nature est reine.
Le réseau de parcs établi en 1972 par Indira Gandhi pour sauvegarder la faune est peuplé de sambas, d'éléphants sauvages, de panthères, de rhinocéros et des derniers lions d'Asie. Mais c'est indéniablement grâceà Jim Corbett, chasseur britannique devenu environnementaliste, que le tigre du Bengale existe encore de nos jours. En 1936, Corbett a
participé à la création du premier territoire protégeant son habitat naturel et un safari en Inde ne serait pas une expérience mémorable si on n'en rencontrait pas un, face à face.

Pour satisfaire le désir de leurs clients de voir le fameux tigre, la plupart des guides choisissent de parcourir le plus de terrain possible.
Dès l'ouverture de la barrière du parc, une horde bourdonnante de jeeps s'élance sur les pistes poussiéreuses. Hada, notre guide, préfère quant à lui la technique de l'affût à celle dite du «shoot and run».


Source..."Le Fabuleux Destin de Machli la tigresse"

Depuis une heure, nous sommes postés près d'un point d'eau. Durant quelques jours, notre guide-naturaliste a observé ici une tigresse. Il tente maintenant de percer le langage de la forêt, le système d'alarme des animaux qui s'avertissent de la progression de la prédatrice. Pour observer l'animal dans son intimité, il faut être patient, c'est la seule façon de pouvoir observer le félin royal, qui peu à peu devient indifférent à la présence humaine et reprend son comportement naturel.
Après une attente interminable ponctuée de quelques cris d'alarme provenant d'oiseaux inconnus ou de singes nerveux, Hada chuchote d'un ton triomphant: «Je savais qu'elle viendrait, c'est son terrain de chasse préféré!» Elle, c'est une magnifique tigresse qui navigue précautionneusement au travers des hautes herbes dorées. Cherchant à isoler sa proie, elle avance silencieusement le long de la berge. La tigresse, complètement consciente de notre présence, nous ignore. Ses
rayures noires ondulent gracieusement sur sa robe orangée, le camouflageest parfait. Après une longue approche, elle se prépare à l'assaut.

Pris dans un espace temporel qui ne nous appartient plus, attentifs au moindre mouvement, nous retenons notre souffle. L'animal reste figé dansles herbes. Finalement, le prédateur bouge, mais l'attaque ne viendra pas. La proie, un cerf samba, a senti la menace. Il se précipite dans l'eau du lac, mettant fin à la tentative du tigre qui, bien que bon nageur, n'est pas dans son élément. Beau joueur, il se retire dans les hautes herbes.
Le soleil s'éloigne timidement derrière un rideau de poussière, c'est l'heure de rentrer au lodge.
Dans Le Livre De La Jungle.
Le décor du parc national de Khana, lieu de notre séjour, est complaisant... pour le tigre. Les généreux bouquets de bambou et de sal,un arbre aussi robuste que le teck, offrent un refuge idéal au maître incontesté du parc qui y trouve la toile de fond idéale pour un camouflage presque inégalable. C'est d'ailleurs sur cette toile que Kipling a esquissé son fameux Livre de la jungle.

Mais on ne trouve pas que de l'inspiration à Khana, il y a aussi de la poussière et de la sueur. C'est un endroit sauvage, un paradis pour tigres, et l'observation de l'insaisissable animal s'y mérite encore plus que partout ailleurs. Au détour d'un sentier, un troupeau de gaurs,le bison indien, nous montre sans façon qui est le maître de la route.

Nonchalants, déambulant éparpillés sur la piste, ils nous forcent à prendre le fossé! La Jeep Tata ne fait pas le poids. Nous plongeons dansla forêt luxuriante, résignés et quelque peu inquiets. Soudain, un tigre bondit devant le véhicule! Tout juste le temps d'attraper l'appareil-photo pour prendre quelques clichés, mais le tout n'aura duréque quelques secondes.
Après notre sortie de route involontaire, nous reprenons un chemin de terre.
Les pistes s'enfoncent partout dans la forêt, chacune ayant sa propre identité et son lot de découvertes imprévues...

Une cigogne géante, un loup roux, des chevreuils des marais ou une meute de chiens sauvages en patrouille.
Khana maintient sa réputation, les animaux y abondent et, au milieu de prairies aux herbes flamboyantes, nous observerons 11 tigres dans la même journée !

CLIC..........................INDE Ranthambore 2013 - tigre / tiger La vie sauvage autour des lacs from Pierre Chéron on Vimeo.

Un panorama de ce parc magique avec paysage et animaux; on y voit les langurs, chitals, sambars, paons, tigres, mais aussi les palais et la forteresse de Ranthambore.

CLIC.........................Le tigre du Bengale from Planetphoto on Vimeo.

Situé dans le nord de l'Inde, le parc de Bandhavgarh abrite les derniers tigres du Bengale.
En 2011, ils ne sont plus que 1’636 en Inde.



17/08/2018 - 14:52
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