Animaux sauvages et domestiques.

Par Yannick Fondin - 1 il y a 10 années 4 mois
17/08/2018 - 08:30
Randonnée Dans Le Parc National Du Serengeti, Tanzanie...


Le Parc National du Serengeti est sans conteste l’une des meilleures destinations pour un safari.
Signifiant « Terre aride et étendue » en langue massaï, Serengeti est le second parc animalier africain. Plus de quatre millions d’animaux se perpétuent dans un habitat naturel. 

 
Le parc s’étend sur près de 14 763 km² de plaines, de savanes et de terresboisées. Inscrit au patrimoine de l’UNESCO, il est surtout connu pour la migration annuelle de millions de gnous, de zèbres et de gazelles. Il abrite également les célèbres Big Five.

Le parc national du Serengeti est un grand parc national situé au nord de la Tanzanie qui s'étend sur 14 763 km².
C'est le second parc animalier d'Afrique ; environ quatre millions d'animaux dont plus de 400 espèces d'oiseaux y sont présents.    Wikipédia

Superficie : 14 763 km²

Le parc du Serengeti et la zone de conservation du Ngorongoro constituent un environnement de rivières et de lacs, favorable aux gnous qui y sont très nombreux. On estime leur nombre à près de deux millions.
Réfugiés au Kenya pendant la saison sèche, ils reviennent avec la pluie et l'on peut voirde longues processions d'animaux en quête d'herbe fraîche. Cette migration annuelle est le phénomène naturel marquant de ce parc.
Outre les gnous qui dominent en nombre, sont également représentés les cinq espèces que constituent les Big Five (nom donné à cet ensemble d'espèces par les chasseurs dans les safaris africains au cours du XXe siècle) que sont le lion, le léopard, l'éléphant, le rhinocéros (en faible nombre) et le buffle africain (Syncerus caffer).
Le parc abrite aussi des hyènes, des guépards, des zèbres, des rapaces, et de nombreuses autres espèces. Cette profusion d'animaux a généré uneéconomie locale tournant autour de ce que l'on appelle parfois l'écotourisme et la Tanzanie est aujourd'hui très attentive à exploiter de manière rationnelle cetterichesse locale à la fois par des politiques de protection et une taxation spécifique des activités touristiques.
Près du parc se trouve Olduvai Gorge, où de nombreux fossiles et vestiges humains ont été exhumés. Le parc est également contigu à l'aire de conservation du Ngorongoro, et est une partie du grand écosystème du Serengeti.
Il est listé par l'UNESCO comme patrimoine mondial. L'entité administrative pour tous les parcs de Tanzanie se nomme Parcs Nationaux de Tanzanie (Tanzania National Parks, ou TANAPA). 
  
Parc national du Serengeti,Myles Turner fut un des premiers gardiens du parc, on lui doit les premières mesures
contre le braconnage. On trouve dans son autobiographie Mes années au Serengeti (My Serengeti Years) une intéressante histoire des débuts du parc.

Le Serengeti a été un des lieux où se sont révélés des photographes animaliers reconnus internationalement comme Yann Arthus-Bertrand et il est aujourd'hui le lieu de rendez-vous de nombreux photographes amateurs ou professionnels en quête de safari photo. De nombreux documentaires animaliers destinés à la télévision y sont tournés...

CLI...............................DJI Inspire 1 // Tanzania from Electric Peak Creative on Vimeo.

CLIC..........................Maasai Mara National Reserve from Tinefis on Vimeo.

CLIC........................BeetleCopter in the Serengeti from Will Burrard-Lucas on Vimeo.


CLIC.......................On Safari in Kenya & Tanzania: Up Close With the Big Five
from Vantage Deluxe World Travel on Vimeo.


CLIC.......................TANZANIA SAFARI from Timberpak Video Prod-Ken Roggow on Vimeo.
17/08/2018 - 07:38
Aujourd’hui, il envahit les villes… mais d’où vient le pigeon ? (vidéo)



Si le pigeon est l’animal urbain par excellence, il trouve pourtant son origine dans la nature. 
Une présence encouragée par l’homme.
Vous en croisez tous les jours et ils font partie intégrante de notre paysage… urbain. Ils se sont adaptés à nous et à notre environnement.
Mais l’ancêtre de ce pigeon que nous connaissons bien est le pigeon biset, de la famille des columbiformes à laquelle appartient aussi le dodo. Présents sur tous les continents, les pigeons bisets nichaient initialement dans les falaises et sur les rivages.
Ils se sont rapprochés de l’homme en migrant vers les champs, pour y mangerles graines. L’homme a encouragé ce rapprochement pour les capturer et les élever pour leur chair. Pendant des millénaires, le pigeon a été
l’une des principales sources de viande au Moyen-Orient et en Europe.

Un animal aux multiples fonctions.
Au cours du temps, on a aussi commencé à utiliser les pigeons comme animaux d’apparats, les croisant pour obtenir les plus beaux oiseaux possibles, mais aussi comme animaux de course et comme pigeons voyageurs. Mais au cours des siècles, de nombreux pigeons se sont échappés des élevages et se sont installés dans les villes. Ils s’y sont très bien adaptés, les maisons et immeubles remplissant la même fonction qu’avaient les falaises pour leurs ancêtres.
Cela a entraîné l’apparition du pigeon tel qu’on le connaît aujourd’hui, et la quasi-extinction du pigeon biset pure race.
(Source : France Info)



16/08/2018 - 14:57
Le Héron .

Héron cendré (Ardea cinerea), Canal des Houillères de la Sarre à Sarralbe .

Le Héron

Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où, Le Héron au long bec emmanché
d'un long cou. Il côtoyait une rivière. L'onde était transparente ainsi
qu'aux plus beaux jours ; Ma commère la carpe y faisait mille tours
Avec le brochet son compère. Le Héron en eût fait aisément son profit :
Tous approchaient du bord, l'oiseau n'avait qu'à prendre ; Mais il crut
mieux faire d'attendre Qu'il eût un peu plus d'appétit. Il vivait de
régime, et mangeait à ses heures. Après quelques moments l'appétit vint :
l'oiseau S'approchant du bord vit sur l'eau Des Tanches qui sortaient
du fond de ces demeures. Le mets ne lui plut pas ; il s'attendait à
mieux Et montrait un goût dédaigneux Comme le rat du bon Horace. Moi des
Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse Une si pauvre chère ? Et pour
qui me prend-on ? La Tanche rebutée il trouva du goujon. Du goujon !
c'est bien là le dîner d'un Héron ! J'ouvrirais pour si peu le bec ! aux
Dieux ne plaise ! Il l'ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
Qu'il ne vit plus aucun poisson. La faim le prit, il fut tout heureux et
tout aise De rencontrer un limaçon. Ne soyons pas si difficiles : Les
plus accommodants ce sont les plus habiles : On hasarde de perdre en
voulant trop gagner, Gardez-vous de rien dédaigner ; Surtout quand vous
avez à peu près votre compte. Bien des gens y sont pris ; ce n'est pas
aux Hérons Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ; Vous verrez
que chez vous j'ai puisé ces leçons.

Jean de La Fontaine (1621/1695)



Et, pour mieux connaître le Héron et contredire M. de La Fontaine quant à son régime alimentaire, consultez le n° 30 La Hulotte :


16/08/2018 - 10:55
Le glouton est l’animal le plus féroce du Grand Nord (vidéo).


Il est si féroce qu’il a inspiré la création du super-héro Wolverine. C’est le glouton.

Le nom français « glouton » fait référence à la voracité de l’animal. Il pourrait cependant être le résultat d’une dérive étymologique : en Scandinavie, où l’on trouve encore cet animal, son nom ancien était « fjällfräs », « fjellfras » ou « fjellfross », ce qui signifie à peu près « fauve des montagnes ». Ce mot se serait transmis en allemand sous la forme « Vielfraß », qui signifie « qui mange beaucoup », traduit en français par « glouton » et en latin par « gulo ».
Le glouton étant plus rusé que le renard et doué d’une force peu commune, il possède des facultés hors du commun pour échapper aux chasseurs et s’il se fait prendre, tente par tous les moyens de s’échapper ; il possède avant tout un instinct de survie des plus impressionnants, d’où le nom d’« esprit maléfique » que les Micmacs lui donnèrent.
Le glouton se nourrit le plus souvent de carcasses de gros animaux morts de causes naturelles ou tués par des ours ou des loups.Il mange aussi des campagnols, des lièvres, les larves d’insectes, des œufs d’oiseaux et des baies ; il s’attaque parfois au castor du Canada, au renard roux ainsi qu’au porc-épic d’Amérique et à d’autres rongeurs.
Il lui arrive aussi de cacher de la nourriture sous la neige après l’avoir imprégnée de sa forte odeur, dissuadant ainsi tout intrus de la lui dérober. Bien adapté à la vie de charognard, le glouton a des dents et des mâchoires robustes qui lui permettent de broyer de gros os et de manger de la viande gelée.

Comme il n’est pas très efficace à la chasse, il dévore souvent des animaux pris au piège. Il peut plus rarement s’attaquer à des proies beaucoup plus volumineuses, comme l’ours ou l’orignal. Parfois il s’introduit dans les cabanes, ce qui ne lui attire guère la sympathie des trappeurs.Son odorat très fin lui permet de détecter la présence de nourriture sous une épaisse couche de neige jusqu’à 6 mètres . Quand il ne trouve pas de nouvelle carcasse, il retourne vers une précédente et mange ses os gelés. Le glouton parcourt environ 40 km par chasse.Il peut parfois tuer un renne (en Suède et Finlande) ou caribou des bois ou un orignal. Il s’attaque notamment à la femelle gravide et moins souple, au jeune ralenti par la neige ou à l’animal affaibli par la maladie.



16/08/2018 - 07:22
Combattre l'extinction avec la science citoyenne.

Tout comme chaque humain possède un ensemble unique d'empreintes digitales, chaque zèbre a un
motif subtilement différent de rayures - et cette caractéristique s'avère précieuse dans un nouvel effort de conservation.
Un projet de conservation à but non lucratif appelé Wildbook utilise des photos provenant de la foule pour identifier et suivre les animaux appartenant àdes espèces menacées. Mais il ne s'agit pas seulement d'identifier les zèbres.
L'effort s'étend aux requins-baleines, aux raies manta, aux girafes, etc. Cette nouvelle technologie offre un moyen non invasif d'étudier l'espèce au fil du temps. Nous sommes fans du projet, d’autant
plus qu’il aide des amis comme notre zèbre de Grévy, qui est en danger.















Ce commentaire a été modifié le 16/08/2018 à 07:23
15/08/2018 - 22:18
En bon voisinage.

Dans la nature, des animaux très différents se côtoient : généralement, les relations sont pacifiques (je ne parle pas ici de la prédation), parfois agressives ou bien, comme dans le cas présent, vaguement intéressées…



Comme le montrent ces quelques images, des animaux de taille très différente se rencontrent régulièrement dans les prés : ainsi, là où il y a du bétail, il y a forcément des mouches –n’oublions pas que celles-ci sont indispensables pour la dégradation des bouses  et, là où il y a des mouches et, plus généralement, des insectes, il y a l’opportuniste étourneau-sansonnet qui s’en régale et rend ainsi
service au bovin harcelé !

Une cohabitation certes intéressée mais ô combien appréciée de part et d’autre… mis à part peut-être par les mouches !









Ce commentaire a été modifié le 15/08/2018 à 22:19
15/08/2018 - 19:17
La triste raison pour laquelle les kangourous sont ivres (vidéo)

Certains kangourous du sud-est de l’Australie agissent presque comme s’ils étaient saouls. Mais qu’est-ce qui cause leur comportement bizarre ?
Des images récentes montrent les kangourous instables, la tête vacillante et tremblante; ils changent de côté, à peine capables de sauter; ils se balancent précairement en place et même basculent.
L’explication de leur comportement inhabituel est sinistre: ils ont apparemment été empoisonnés par l’ herbe de Phalaris – également connue sous le nom de –l’herbe canari – un genre de pâturage très toxique pour les grands marsupiaux, rapportele Guardian .
Leur état d’ivresse est appelé toxicité par phalaris, ou « les échouages », et il est également observé chez les animaux domestiques tels que les moutons et les bovins qui paissent dans les pâturages où poussent les herbes non indigènes dangereuses. Mais si le bétail peut se remettre de l’effet toxique de l’ herbe de Phalaris , les dommages neurologiques
subis par les kangourous seraient irréversibles, selon le Guardian.

Le 7 juillet, deux vidéos de kangourous touchés ont été partagées sur Facebook par un représentant de Rescue, Rehabilitate, Release, une association à butnon lucratif de sauvetage d’espèces sauvages située à Victoria, en Australie. Dans le premier clip – que l’auteur qualifiait de « très pénible à regarder » et le pire exemple d’empoisonnement par phalaris qu’ils aient jamais vu – un kangourou a montré un comportement erratique caractéristique de la toxicité des phalaris.
« Leurs oreilles sont plates, ils ont un regard vide, confus / étourdi, » écritle secouriste. « Et puis, malheureusement, vous pouvez voir comment ils perdent leur capacité à sauter. »
En fait, le kangourou était tellement agité et incapable de fonctionner qu’une équipe de secouristes ne pouvait pas la maîtriser en toute sécurité, et il a dû être euthanasié.
Une seconde vidéo  montrait un jeune kangourou solitaire qui semblait également désorienté et sans coordination, comme s’il souffrait d’une toxicité par phalaris; son sautétait inhabituellement vertical avec sa queue anormalement haute dans
les airs, et sa tête «très instable», a écrit le secouriste sur Facebook.

Les chercheurs ont abondamment documenté la toxicité des phalaris chez les kangourous gris de l’est ( Macropus giganteus ) en décembre 2014, dans une étude publiée dans l’ Australian Veterinary Journal . Les symptômes présentés par les kangourous reflétaient ceux des moutons qui avaient consommé de l’herbe à canaris et, chez tous les animaux, les
tissus cérébraux présentaient une décoloration dans les tons vert et marron, ce qui pourrait représenter l’effet des toxines sur leurs fonctions neurologiques.

Selon le Guardian, les observations de kangourous présentant des symptômes de toxicité apparente à la phalaris sont en augmentation cette année dans le centre de Victoria, peut-être parce que l’herbe à canaris est plus abondante que d’habitude.
(Source : Live Science)







 

15/08/2018 - 07:24
Ils parcourent 800 km pour retrouver leur chien, disparu depuis six mois.

Une famille a fait plus de 8 heures de route aller-retour pour retrouver son chien, Joyce, qui s’était enfui en janvier dernier lors d’une promenade à Castres, dans le Tarn. 6 mois après, ses maîtres ont récupéré l’animal… à 400 km de là, en Charentes Maritimes.

Joyce voulait vivre une grande aventure. Capture La Dépêche du Midi
.
 
Il en a fait du chemin ce chien. Joyce, un malamute de l’Alaska de 4 ans, s’est laissé tenter par une escapade en solitaire le 12 janvier dernier.
Le fidèle compagnon s’enfuit un beau jour, au grand dam de sa famille d’adoption, et en particulier Sarah, l’aînée quis’occupe beaucoup de lui, rapporte La Dépêche du Midi.

Ses maîtres ne se laissent pas abattre par cette disparition. Ils partent à sa recherche, placardent des affiches, et finissent par utiliser l’application Pet Alert, qui permet de diffuser des avis de disparition ou de découverte d’animaux. Mais toutes ces démarches sont infructueuses.
Jusqu’à ce coup de fil inespéré du 31 juillet. C’est un chenil de Saintes, dans les Charentes Maritimes, qui contacte les propriétaires de Joyce pour leur annoncer que la bête poilue et aventurière a été recueillie… à plusde 400 km de son lieu de résidence habituel.
Dès le lendemain, la famille entreprend un long périple pour retrouver l'animal, après six mois sans nouvelles de lui. Ils ont alors la joie decâliner à nouveau leur compagnon après des mois d’attente, 800 km aller-retour, plus de 8 heures de route et une vive inquiétude.

15/08/2018 - 07:19
Croisements de chiens au résultat incroyable. 
 
Il existe tellement d’espèces de chiens que les croisements entre eux semblent infinis. Des décennies d’élevages ont parfois créé de nouvellesraces étonnantes. Voici les plus  étonnants croisements que nous avons retenus.

1. Pitbull et husky


2. Teckel et dalmatien


3. Bouledogue anglais et berger allemand


4. Schnauzer et caniche


5. Chow chow et berger allemand


6. Roquet et chihuahua


7. Corgi et husky


8. Husky sibérien et golden retriever


9. Labrador et husky


10. Chow chow et husky


11. Poméranie et husky


12. Shar-Peï et cocker

14/08/2018 - 07:44
Un enclos de Tigres au Festivent de Lévis suscite des critiques.
Selon un article d'un journal local, les tigres n'étaient pas les seuls animaux exotiques présentés dans le cadre de l'événement...
Des lémurs, des kangourous, des serpents et des loups étaient aussi sur place.
Photo Tirée De La Page FaceBook potted Festivent
Philippe Teisceira-Lessard La Presse
La photo d'un enclos de tigres installé dans les derniers jours sur une zone asphaltée dans le cadre du Festivent, un festival estival organisé àLévis, suscite des critiques sur les réseaux sociaux.


Deux tigres se partagent l'espace clôturé de quelques mètres carrés. Selon l'organisation, ils ont été rapidement séparés et avaient en réalité chacun leur enclos.
«Combien de fois par année sont-ils déplacés et sortis de leur habitat pour être exposés dans un tout petit enclos au milieu d'une foule ?Ça n'a pas de sens», a écrit l'internaute qui a mis en lignel'image. Elle a été partagée plus d'un millier de fois. 
«Bien contente de ne pas avoir acheté de billet et d'avoir encouragé ça par la même occasion», a écrit une autre internaute.
«Des animaux au Festivent... pas fort comme idée. À travers le bruit et la chaleur intense... pauvres bêtes !»
Sébastien Huot, directeur général de l'événement, a expliqué à La Presse qu'il entendait les commentaires critiques. «Je pense qu'on n'a pas plu à toutle monde.
Nécessairement, ça va faire partie de la balance pour prendre des décisions pour le futur, a-t-il dit.
On ne peut pas être parfait dans la vie. Clairement, on a fait plaisir à beaucoup de gens qui sont passés sur le site, mais il y en a aussi qui sont déçus de ça.Évidemment, Ce N'est Pas Mon Objectif.»
M. Huot a souligné que le festival présentait une fermette avec chèvres et moutons depuis ses débuts, il y a quinze ans, sans s'attirer les critiques de quiconque.
Le Festival A Pris Fin Dimanche.
Les tigres n'étaient pas les seuls animaux exotiques présentés dans le cadre de l'événement: des lémurs, des kangourous, des serpents, des loups et même un chameau étaient aussi sur place.
Il s'agissait d'une activité offerte par le Papanack Zoo, une entreprise ontarienne. 
Selon M. Huot, l'organisation du Festivent s'était assurée d'obtenir des recommandations afin de faire affaire avec une entreprise réputée dans ce secteur.
En entrevue au Journal de Lévis, à l'inauguration de l'événement, le président du festival s'était dit fier de cette nouvelle activité.
«Au cours des dernières années, on a été très attractifs avec les jeux gonflables, avait affirmé Philippe Faucher il y a quelques jours. Comme père de famille, je trouve ça le fun pour mes enfants, mais un peu moins pour moi. Je me suis promené sur le site et c'est fou le pouvoir d'attraction que le zoo a avec les adultes aussi.Ça nous permet d'aller chercher tous les festivaliers. Je suis agréablement surpris de l'engouement autour de cette nouvelle attraction.»