Petite mise au point On est souvent tenté de nourrir les chevaux dans les prés, que l’on croise au détour d’une promenade ou près de chez nous. Vous vous dites qu’ils seront contents, que de toute façon ils n’ont plus d’herbe ni de foin, faut bien qu’ils mangent ou bien que l’on voit leurs côtes à ces pauvres bêtes. De plus vous ne voyez jamais leur propriétaire, il ne vient jamais, il s’en occupe mal. STOP !
Tout d’abord, si vous ne voyez pas le propriétaire, cela ne veut pas dire qu’il ne vient pas vérifier que ses chevaux aillent bien, il passe simplement à ses horaires qui ne correspondent pas forcément aux vôtres .
Le cheval est gourmand ! Le cheval a un régime alimentaire très précis, tout d’abord si son pré ne déborde pas d’herbe tant mieux, le cheval aime l’herbe rase et il est facilement sujet au surpoids, on évite donc les prés remplis d’herbe d’un mètre de haut. Même si vous ne voyez pas de foin, cela ne veut pas dire qu’ils n’en n’ont pas en dose distribuée dans la journée.
Les chevaux sont gloutons et vous ne verrez pas de restes.
Si un cheval est malade cela peut tout empirer ! Si l’état du cheval vous inquiète, ses côtes sont visibles, c’est une raison encore plus valable de ne pas interférer dans son alimentation. Il existe plusieurs cas de figures autre que la sous-nutrition : la maladie ou la vieillesse. Ces deux facteurs peuvent entraîner un amaigrissement de l’animal. En cas de maladie, le cheval suit un régime alimentaire spécifique qu’il ne faut surtout pas altérer. De même que s’il est âgé, il a plus de mal à assimiler les aliments dû à une dentition qui se dégrade (oui comme vous !), il a aussi du mal à garder du gras en hiver. Ce n’est paspour autant que son propriétaire ne lui donne pas à manger, garder un vieux cheval en état surtout en hiver c’est jamais facile ! Quand vous souhaitez nourrir un cheval qui ne vous appartient pas, vous donnez facilement du pain, voir de la tonte de pelouse (ça évite de l’emmener à la déchetterie), ainsi que tous vos déchets vert divers et variés !
Rien n’est plus nocif pour le cheval que tous ces aliments. Le cheval se nourrit de fourrages (herbes, foins), issu de sa pâture ou d’une récolte, en aucun cas il ne peut manger d’herbe tondue qui est souvent broyée. Cela est très mauvais pour leur santé et très difficile à digérer. Tout comme tous vos déchets verts, épluchures et autres mauvaises herbes. En tant que propriétaires on passe du temps dans nos pâtures à enlever les mauvaises herbes qui peuvent nuire à la santé de nos chevaux, ne venez pas en ramener ! Même si c’est mauvais pour lui, le cheval le mangera (comme vous et le chocolat).
Quel effet peut avoir le pain sur le cheval ? Le cheval peut tolérer cet aliment qu’est le pain si celui-ci est très sec et dans de toutes petites quantités. Trop mou ou en grosse quantité, le pain provoque des bouchons dans l’appareil digestif du cheval. Le cheval est ainsi ballonné, les aliments qu’il a ingérés par la suite restent bloqués, il souffre alors de terribles maux de ventre.
Or un cheval ne peut régurgiter, il a un muscle à l’entrée de l’estomac,le cardia, qui s’ouvre pour laisser entrer les aliments mais se refermeet empêche leur sortie. Il y a très peu de chance que le bouchon s’en aille seul, souvent pour se soulager le cheval n’a qu’une option : se coucher, se rouler, or cela aggrave la situation, puisque la douleur persiste et le cheval va avoir des mouvements brusques et violents lorsqu’il se couche.
Fashion, qui souffre d’une colique. Les risques sont nombreux, mais en général cela entraîne le déplacement de certains organes, comme une déviation du colon qui peut par la suite compliquer le passage des aliments vers la sortie. Ces symptômes sont ceux d’une maladie très connue chez le cheval et gravement mortelle, les coliques. Chez l’homme les coliques se soignent facilement mais pas chez le cheval. C’est une maladie très redoutée chez les propriétaires et très éprouvante. Elle peut être causée par différents facteurs, stress, alimentation, parasitismes… En effet un simple bouchon peut tuer un cheval et cela dans d’atroces souffrances. Imaginez un propriétaire passant voir ses chevaux tous lesmatins, vous passez dans la journée, le lendemain il retrouve son cheval mort ou agonisant sans aucune chance de survie après avoir souffert une nuit entière et cela à cause de votre pain !
Sans intervention vétérinaire, le cheval peut mourir ! Il faut empêcher le cheval de se coucher et le faire marcher pour essayer de faire passer le bouchon, mais souvent le vétérinaire est obligatoire pour sauver l’animal. Mais sachez que sauverun cheval d’une colique n’est pas anodin, il existe plusieurs traitements selon les différents cas et stades de la maladie qui agit rappelons-le en quelques heures ! D’un simple lavement ou injection, on peut très vite partir sur un acte chirurgical important. Il faut en effet parfois ouvrir l’animal pour extraire le bouchon, et remettre les intestins -chamboulés par les couchers du cheval- en place. Surtout qu’il existe très peu de cliniques en France qui opèrent des coliques, il faut des fois faire des centaines de kilomètres avec un cheval agonisant !
Mais sachez aussi que tout cela a un coût, d’environ 200€, cela peut monter jusqu’à plusieurs milliers d’euros. Avec des chances de survie extrêmement variables, on peut facilement après de longues heures apprendre le décès de notre animal que l’on chérit tant et recevoir par la même occasion une facture de 5000€ (parce que oui, même si notre animal ne survit pas aux soins, nous sommes facturés) à cause de votre bout de pain !
Nous espérons que cet article vous a plu et que maintenant une personne de moins sur cette Terre donnera du pain aux chevaux, car tous les jours des chevaux tombent malades ou meurent à cause de cette pratique populaire très (trop) répandue.
Ce commentaire a été modifié le 13/08/2018 à 14:37
Un nouvel oiseau de paradis identifié grâce à sa drôle de danse en Nouvelle-Guinée (vidéo).
Des biologistes viennent de révéler l’existence en Nouvelle-Guinée non pas d’une, mais deux espèces tout à fait distinctes d’un extraordinaire oiseau : le Paradisier superbe. Connu pour s’adonner à une danse envoûtante lors de sa parade nuptiale, ce passereau aux plumes incroyablement noires semblait ne former qu’un seulet même groupe sur toute l’île. Les individus de la péninsule de Doberai, au nord-ouest du pays, s’avèrent en réalité bien différents du reste de la population, et formeraient donc à eux seuls une espèce à part. Rien ne ressemble plus à un Paradisier superbe qu’un… autre Paradisier superbe ! Et pourtant, ces passereaux de la famille des Paradisaeidae neformeraient pas une, mais bel et bien deux espèces distinctes, comme l’affirment des chercheurs dans une publication parue dans la revue PeerJ. Ils sont reconnaissables à leurs plumes incroyablement noires, si foncées qu’elles semblent absorber la quasi-totalité de la lumière qui leur parvient. Une particularité que ces oiseaux mettent à profit au cours deleur parade nuptiale, lors de laquelle ils agitent frénétiquement leur plumage afin de s’adonner à une danse envoutante et séductrice. Endémique de la Nouvelle-Guinée,le Paradisier superbe se répartit sur l’ensemble du territoire.Mais un groupe secantonne exclusivement à la péninsule de Doberai, à l’extrémité nord-ouest de l’île. Jusqu’à présent, tous lesindividus étaient considérés comme membres d’une seule et même espèce. Un point de vue aujourd’hui bouleversé par les observations de chercheurs de l’Université Cornell, aux États-Unis. Des observations qui laissent peu de place au doute....
« Après avoir vu à quoi ressemble la forme originaire de la péninsule de Doberai et comment elle agit dans la nature, il y a très peu de doute qu’il s’agit d’espèces séparées »,
affirme Ed Scholes, biologiste de l’évolution et membre du projet des oiseaux de Paradis au laboratoire d’ornithologie de l’Université Cornell. En étudiant cette population, de nombreuses différences ont en effet été mises en évidence.
« La danse nuptiale est différente. Les expressions vocales sont différentes. Les femelles paraissent différentes. Même la forme de la parade du mâle est différente », explique le biologiste.
Si lors de sa parade l’espèce de Paradisier superbe la plus répandue ressemble à un visage souriant, celle de la péninsule de Doberai, elle, s’apparente plutôt à une face renfrognée, aux sourcils froncés. Ces différences ont été relevées sur des séquences vidéos mais aussi sur des enregistrements sonores capturés par Ed Scholes et son collègue Timothy Laman, ornithologue et photo-journaliste spécialiste de la vie sauvage à l’Université Harvard. Des différences très précises. En étudiant de près ces extraits, les scientifiques ont pu relever avec précision l’ensemble des particularités de ce qu’ils considèrent désormais comme deux espèces distinctes. Chez le Paradisier superbe de la péninsule de Doberai, le mâle dresse ses plumes pour former un croissant ponctué d’extrémités pointues. Un aspect tout à fait différent de celui de l’espèce commune, à la forme plus ovale. La danse nuptiale est elle aussi bien particulière chez le Paradisier superbe de la péninsule de Doberai. Pour séduire les femelles, les mâlesenchaînent les pas de manière plus fluide que leurs congénères répartisailleurs sur l’île, qui, pour leur part, s’adonnent à une chorégraphie plus saccadée. La découverte de l’existence de ces deux espèces de passereaux en Nouvelle-Guinée souligne encore une fois la richesse extraordinaire de la biodiversité sur l’île. Une région de la planète qui constitue l’un des derniers sanctuaires au monde pour la vie sauvage tropicale.
Ce commentaire a été modifié le 13/08/2018 à 07:17
Un étrange combat de cris de lynx. Pour marquer leur territoire, les lynx poussent des cris pour le moins étranges qui remplacent l’affrontement physique.
Ces animaux qui vivent le plus longtemps au monde.
Il existe des animaux qui ont vécu et qui vivent encore aujourd’hui depuis des centaines et des milliers d’années. Il est donc tout à fait possible de croiser une tortue géante qui aurait vécu le règne de George Washington ou un requin né au même moment que Louis XIV .
Le TuataraC’ est un reptile qui existe depuis déjà près de 200 millions d’années, en Nouvelle-Zélande. ce fossile constitue l’un des plus anciens reptiles au monde.
L’Oursin de mer RougeCet échinoderme est capable de vivre entre 1 et 2 siècles, se nourrissant principalement d’algues tout au long de sa vie.
La Tortue géante des Galapagosla tortue géante des Galapagos est certainement la tortue terrestre la plus impressionnante.
La Baleine Boréalele deuxième plus gros mammifère du monde après la baleine bleue : ainsi, elle peut peser jusqu’à près de 100 tonnes.
Célébré, sous forme allégorique, dans la littérature et les chansons de tous lestemps, le rossignol symbolise le jaillissement du printemps, le lyrisme, l'exaltation amoureuse. C'est l'éclat de son riche et vigoureuxchant qui lui a donné exclusivement cette place dans l'imaginaire des hommes…
Déguster un bon vin bio "Rossignol" est un vrai plaisir mais entendre, puis voiret enfin photographier un rossignol en train de chanter à gorge déployée nous a littéralement laissés sans voix ! »
Le Rossignol philomèle est un des plus grands oiseaux chanteurs européens. Son chant extraordinairement mélodieux et pur est légendaire. Les mâleschantent jour et nuit, mais ne sont pas tous des « virtuoses » : la qualité de leur chant dépend en effet de celle de l'adulte qu'ils ont entendu quand ils étaient jeunes-apprentis. Cette ritournelle retentit principalement début mai, quand les oiseaux reviennent d'Afrique pour se reproduire.
Le chant consiste surtout en des trilles soutenus, sonores et mélodieuses,repris dans des tonalités différentes et avec une grande variété de notes profondes et flûtées. Le ramage du rossignol est véritablement un merveilleux concerto de phrases cristallines qui se terminent en crescendo. C'est souvent le chant de cet oiseau par ailleurs très discret qui trahit sa présence. Cependant le chant de la fauvette à tête noire, du merle ou de la grive peut parfois rappeler celui du rossignol.
Le rossignol est encore sous nos latitudes actuellement mais, le cycle de la reproduction étant achevé, on ne l'entend plus guère et il est très dur de le voir...
Au petit matin, un brocard et une chevrette broutent paisiblement au détour d’un chemin : je me fige et savoure pleinement l’instant…
Tout est calme et, hormis le chant fluté d’une petite bande de loriots qui s’interpellent dans les frênes proches et celui aux mille variations d’une alouette des champs qui vole haut dans le ciel, rien ne trouble la beauté de ce moment, pour moi, tout simplement magique ! Le soleil apparaît doucement à l’horizon et éclaire la scène qui n’en devient que plus magnifique encore… Le brocard lève la tête et regarde dans ma direction : immobile, je ne suis pour lui qu’un simple élément du décor ! Rassuré, il continue de brouter… Un de ses bois est cassé : peut-être la conséquence d’une lutte pour conquérir une femelle durant le rut du mois dernier !
Tout en continuant de paître, les deux graciles petits cervidés continuent d’avancer pour, finalement, disparaître derrière une haie… La scène aura duré une petite dizaine de minutes seulement mais, comme à chaque fois,quelle bienfaisante émotion !
Ce commentaire a été modifié le 10/08/2018 à 14:56
Le fossa, un super prédateur peu connu et menacé (vidéo) Ce super prédateur vit uniquement à Madagascar, et il n’en reste plus que 2500 à l’état sauvage. Le fossa a une aire de répartition répandue sur Madagascar, mais les densités de peuplement sont généralement faibles. Il vit uniquement en habitat forestier, et chasse activement la nuit comme le jour. Plus de la moitié de son régime alimentaire se compose de lémuriens, les primates également endémiques de l’île ; les autres proies connues sont représentées par des tenrecs, des rongeurs, des lézards, des oiseaux et divers autres animaux. L’accouplement a habituellement lieu dans des arbres, sur des branches horizontales, et peut durer plusieurs heures. La portée compte un à six petits, qui naissent aveugles et sans dents. Les jeunes sont sevrés au bout de quatre mois et demi, et sont indépendantsau bout d’un an. Ils atteignent la maturité sexuelle à l’âge de deux ans, et la longévité mesurée en captivité est de vingt ans.
Longue et discrète approche d’un lièvre aperçu en train de se toiletter au milieu d’un chemin…
Grâce au champ de maïs dans lequel j’avais pu me dissimuler, j’ai pu approcher cet individu jusque relativement près sans me faire éventer ! Une quasi prouesse car, doté, grâce à ses grandes oreilles, d’une excellente ouïe et d’une vue perçante, on se fait généralement repérer assez vite par ce petit mammifère au tempérament plutôt farouche…
Le saviez-vous ?
Les hases -femelles des lièvres- ont, tout comme les kangourous, la faculté de superfétation : elles peuvent être fécondées avant d’avoir mis bas et portent donc en elles deux générations à la fois !
Ce commentaire a été modifié le 09/08/2018 à 14:25
Des tests pour mesurer l'intelligence des chiens. Des chercheurs britanniques ont mis au point une série de tests permettant de mesurer l’intelligence des chiens et son rapport avec leur santé, selon un rapport publié lundi. Les chercheurs de la London School of Economics (LSE) et de l’Université d’Édimbourg ont testé 68 Border collies, « premier pas dans la mise au point d’un test de QI vraiment fiable pour les chiens », selon Rosalind Arden, assistante de recherche. Ils ont construit une grange spécialement pour mesurer leur capacité d’orientation, leur vitesse et leur aptitude à suivre des indications gestuelles. L’un des tests, effectué avec des chiens actifs dans des fermes du pays de Galles, consistait à se frayer un chemin jusqu’à de la nourriture, visible mais située derrière une barrière. Un autre mesurait la rapidité avec laquelle le chien allait choisir la plus garnie de deux gamelles. Les chercheurs soulignent qu’il est « plus facile de mesurer les différences d’intelligence et la relation entre longévité et intelligence chez les chiens »...Que chez les humains, en l’absence de facteurs brouillant les lignes comme l’alcool, la cigarette et le milieu socio-économique. Les chiens développent tout comme leurs maîtres de la démence sénile, donc les résultats peuvent être comparés, assurent les chercheurs dans leur étude publiée par la revue Intelligence. « Pour une même race de chien, les scores sont différents », soulignent les chercheurs. (Source : Belga)
Petite mise au point
On est souvent tenté de nourrir les chevaux dans les prés, que l’on croise au détour d’une promenade ou près de chez nous. Vous vous dites qu’ils seront contents, que de toute façon ils n’ont plus d’herbe ni de foin, faut bien qu’ils mangent ou bien que l’on voit leurs côtes à ces pauvres bêtes. De plus vous ne voyez jamais leur propriétaire, il ne vient jamais, il s’en occupe mal. STOP !
Tout d’abord, si vous ne voyez pas le propriétaire, cela ne veut pas dire qu’il ne vient pas vérifier que ses chevaux aillent bien, il passe simplement à ses horaires qui ne correspondent pas forcément aux vôtres .
Le cheval est gourmand !
Le cheval a un régime alimentaire très précis, tout d’abord si son pré ne déborde pas d’herbe tant mieux, le cheval aime l’herbe rase et il est facilement sujet au surpoids, on évite donc les prés remplis d’herbe d’un mètre de haut. Même si vous ne voyez pas de foin, cela ne veut pas dire qu’ils n’en n’ont pas en dose distribuée dans la journée.
Les chevaux sont gloutons et vous ne verrez pas de restes.
Si un cheval est malade cela peut tout empirer !
Si l’état du cheval vous inquiète, ses côtes sont visibles, c’est une raison encore plus valable de ne pas interférer dans son alimentation.
Il existe plusieurs cas de figures autre que la sous-nutrition : la maladie ou la vieillesse. Ces deux facteurs peuvent entraîner un amaigrissement de l’animal.
En cas de maladie, le cheval suit un régime alimentaire spécifique qu’il ne faut surtout pas altérer. De même que s’il est âgé, il a plus de mal à assimiler les aliments dû à une dentition qui se dégrade (oui comme vous !), il a aussi du mal à garder du gras en hiver. Ce n’est paspour autant que son propriétaire ne lui donne pas à manger, garder un vieux cheval en état surtout en hiver c’est jamais facile !
Quand vous souhaitez nourrir un cheval qui ne vous appartient pas, vous donnez facilement du pain, voir de la tonte de pelouse (ça évite de l’emmener à la déchetterie), ainsi que tous vos déchets vert divers et variés !
Rien n’est plus nocif pour le cheval que tous ces aliments.
Le cheval se nourrit de fourrages (herbes, foins), issu de sa pâture ou d’une récolte, en aucun cas il ne peut manger d’herbe tondue qui est souvent broyée. Cela est très mauvais pour leur santé et très difficile à digérer. Tout comme tous vos déchets verts, épluchures et autres mauvaises herbes.
En tant que propriétaires on passe du temps dans nos pâtures à enlever les mauvaises herbes qui peuvent nuire à la santé de nos chevaux, ne venez pas en ramener ! Même si c’est mauvais pour lui, le cheval le mangera (comme vous et le chocolat).
Quel effet peut avoir le pain sur le cheval ?
Le cheval peut tolérer cet aliment qu’est le pain si celui-ci est très sec et dans de toutes petites quantités. Trop mou ou en grosse
quantité, le pain provoque des bouchons dans l’appareil digestif du cheval. Le cheval est ainsi ballonné, les aliments qu’il a ingérés par la suite restent bloqués, il souffre alors de terribles maux de ventre.
Or un cheval ne peut régurgiter, il a un muscle à l’entrée de l’estomac,le cardia, qui s’ouvre pour laisser entrer les aliments mais se refermeet empêche leur sortie. Il y a très peu de chance que le bouchon s’en aille seul, souvent pour se soulager le cheval n’a qu’une option : se coucher, se rouler, or cela aggrave la situation, puisque la douleur persiste et le cheval va avoir des mouvements brusques et violents lorsqu’il se couche.
Fashion, qui souffre d’une colique.
Les risques sont nombreux, mais en général cela entraîne le déplacement de certains organes, comme une déviation du colon qui peut par la suite compliquer le passage des aliments vers la sortie. Ces symptômes sont ceux d’une maladie très connue chez le cheval et gravement mortelle, les coliques.
Chez l’homme les coliques se soignent facilement mais pas chez le cheval. C’est une maladie très redoutée chez les propriétaires et très éprouvante. Elle peut être causée par différents facteurs, stress, alimentation, parasitismes…
En effet un simple bouchon peut tuer un cheval et cela dans d’atroces souffrances. Imaginez un propriétaire passant voir ses chevaux tous lesmatins, vous passez dans la journée, le lendemain il retrouve son cheval mort ou agonisant sans aucune chance de survie après avoir souffert une nuit entière et cela à cause de votre pain !
Sans intervention vétérinaire, le cheval peut mourir !
Il faut empêcher le cheval de se coucher et le faire marcher pour essayer de faire passer le bouchon, mais souvent le vétérinaire est obligatoire pour sauver l’animal. Mais sachez que sauverun cheval d’une colique n’est pas anodin, il existe plusieurs traitements selon les différents cas et stades de la maladie qui agit rappelons-le en quelques heures ! D’un simple lavement ou injection, on peut très vite partir sur un acte chirurgical important.
Il faut en effet parfois ouvrir l’animal pour extraire le bouchon, et remettre les intestins -chamboulés par les couchers du cheval- en place. Surtout qu’il existe très peu de cliniques en France qui opèrent des coliques, il faut des fois faire des centaines de kilomètres avec un cheval agonisant !
Mais sachez aussi que tout cela a un coût, d’environ 200€, cela peut monter jusqu’à plusieurs milliers d’euros. Avec des chances de survie extrêmement variables, on peut facilement après de longues heures apprendre le décès de notre animal que l’on chérit tant et recevoir par la même occasion une facture de 5000€ (parce que oui, même si notre animal ne survit pas aux soins, nous sommes facturés) à cause de votre bout de pain !
Nous espérons que cet article vous a plu et que maintenant une personne de moins sur cette Terre donnera du pain aux chevaux, car tous les jours des chevaux tombent malades ou meurent à cause de cette pratique populaire très (trop) répandue.
Des biologistes viennent de révéler l’existence en Nouvelle-Guinée non pas d’une, mais deux espèces tout à fait distinctes d’un extraordinaire oiseau : le Paradisier superbe.
Connu pour s’adonner à une danse envoûtante lors de sa parade nuptiale, ce passereau aux plumes incroyablement noires semblait ne former qu’un seulet même groupe sur toute l’île. Les individus de la péninsule de Doberai, au nord-ouest du pays, s’avèrent en réalité bien différents du reste de la population, et formeraient donc à eux seuls une espèce à part.
Rien ne ressemble plus à un Paradisier superbe qu’un… autre Paradisier superbe ! Et pourtant, ces passereaux de la famille des Paradisaeidae neformeraient pas une, mais bel et bien deux espèces distinctes, comme l’affirment des chercheurs dans une publication parue dans la revue PeerJ. Ils sont reconnaissables à leurs plumes incroyablement noires, si foncées qu’elles semblent absorber la quasi-totalité de la lumière qui leur parvient. Une particularité que ces oiseaux mettent à profit au cours deleur parade nuptiale, lors de laquelle ils agitent frénétiquement leur plumage afin de s’adonner à une danse envoutante et séductrice.
Endémique de la Nouvelle-Guinée,le Paradisier superbe se répartit sur l’ensemble du territoire.Mais un groupe secantonne exclusivement à la péninsule de Doberai, à l’extrémité nord-ouest de l’île. Jusqu’à présent, tous lesindividus étaient considérés comme membres d’une seule et même espèce.
Un point de vue aujourd’hui bouleversé par les observations de chercheurs de l’Université Cornell, aux États-Unis.
Des observations qui laissent peu de place au doute....
affirme Ed Scholes, biologiste de l’évolution et membre du projet des oiseaux de Paradis au laboratoire d’ornithologie de l’Université Cornell. En étudiant cette population, de nombreuses différences ont en effet été mises en évidence.
Si lors de sa parade l’espèce de Paradisier superbe la plus répandue ressemble à un visage souriant, celle de la péninsule de Doberai, elle, s’apparente plutôt à une face renfrognée, aux sourcils froncés.
Ces différences ont été relevées sur des séquences vidéos mais aussi sur des enregistrements sonores capturés par Ed Scholes et son collègue Timothy Laman, ornithologue et photo-journaliste spécialiste de la vie sauvage à l’Université Harvard.
Des différences très précises.
En étudiant de près ces extraits, les scientifiques ont pu relever avec précision l’ensemble des particularités de ce qu’ils considèrent désormais comme deux espèces distinctes. Chez le Paradisier superbe de la péninsule de Doberai, le mâle dresse ses plumes pour former un croissant ponctué d’extrémités pointues. Un aspect tout à fait différent de celui de l’espèce commune, à la forme plus ovale.
La danse nuptiale est elle aussi bien particulière chez le Paradisier superbe de la péninsule de Doberai. Pour séduire les femelles, les mâlesenchaînent les pas de manière plus fluide que leurs congénères répartisailleurs sur l’île, qui, pour leur part, s’adonnent à une chorégraphie plus saccadée.
La découverte de l’existence de ces deux espèces de passereaux en Nouvelle-Guinée souligne encore une fois la richesse extraordinaire de la biodiversité sur l’île. Une région de la planète qui constitue l’un des derniers sanctuaires au monde pour la vie sauvage tropicale.
Pour marquer leur territoire, les lynx poussent des cris pour le moins étranges qui remplacent l’affrontement physique.
Il existe des animaux qui ont vécu et qui vivent encore aujourd’hui depuis des centaines et des milliers d’années. Il est donc tout à fait possible de croiser une tortue géante qui aurait vécu le règne de George
Washington ou un requin né au même moment que Louis XIV .
Le Tuatara C’ est un reptile qui existe depuis déjà près de 200 millions d’années, en Nouvelle-Zélande. ce fossile constitue l’un des plus anciens reptiles au monde.
L’Oursin de mer Rouge Cet échinoderme est capable de vivre entre 1 et 2 siècles,
se nourrissant principalement d’algues tout au long de sa vie.
La Tortue géante des Galapagos la tortue géante des Galapagos est
certainement la tortue terrestre la plus impressionnante.
La Baleine Boréale le deuxième plus gros mammifère du monde après la baleine bleue :
ainsi, elle peut peser jusqu’à près de 100 tonnes.
Célébré, sous forme allégorique, dans la littérature et les chansons de tous lestemps, le rossignol symbolise le jaillissement du printemps, le lyrisme, l'exaltation amoureuse. C'est l'éclat de son riche et vigoureuxchant qui lui a donné exclusivement cette place dans l'imaginaire des hommes…
Déguster un bon vin bio "Rossignol" est un vrai plaisir mais entendre, puis voiret enfin photographier un rossignol en train de chanter à gorge déployée nous a littéralement laissés sans voix ! »
Le Rossignol philomèle est un des plus grands oiseaux chanteurs européens.
Son chant extraordinairement mélodieux et pur est légendaire. Les mâleschantent jour et nuit, mais ne sont pas tous des « virtuoses » : la qualité de leur chant dépend en effet de celle de l'adulte qu'ils ont entendu quand ils étaient jeunes-apprentis. Cette ritournelle retentit principalement début mai, quand les oiseaux reviennent d'Afrique pour se reproduire.
Le chant consiste surtout en des trilles soutenus, sonores et mélodieuses,repris dans des tonalités différentes et avec une grande variété de notes profondes et flûtées. Le ramage du rossignol est véritablement un merveilleux concerto de phrases cristallines qui se terminent en crescendo.
C'est souvent le chant de cet oiseau par ailleurs très discret qui trahit sa présence. Cependant le chant de la fauvette à tête
noire, du merle ou de la grive peut parfois rappeler celui du rossignol.
Le rossignol est encore sous nos latitudes actuellement mais, le cycle de la reproduction étant achevé, on ne l'entend plus guère et il est très dur de le voir...
Si on vous demande d’imaginer un hamster, vous penserez probablement à la boule de poils dans une cage avec une roue. Même si ces rongeurs sont incroyablement populaires comme animaux de compagnie, certains d’entre eux vivent encore dans la nature.
Partout dans le monde, il y a environ 26 espèces différentes de hamsters qui passent leurs journées loin de la captivité. Ces petites créatures sont l’une des choses les plus mignonnes que vous pourriez rencontrer dans la Nature. De la mastication du maïs à l’odeur d’une fleur, ces hamsters prouvent qu’ils ne construisent pas seulement des terriers pour se
cacher des prédateurs vicieux.
Le Hamster d’Europe
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Eric Baccega
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Au petit matin, un brocard et une chevrette broutent paisiblement au détour d’un chemin : je me fige et savoure pleinement l’instant…
Tout est calme et, hormis le chant fluté d’une petite bande de loriots qui s’interpellent dans les frênes proches et celui aux mille variations d’une alouette des champs qui vole haut dans le ciel, rien ne trouble la beauté de ce moment, pour moi, tout simplement magique !
Le soleil apparaît doucement à l’horizon et éclaire la scène qui n’en devient que plus magnifique encore… Le brocard lève la tête et regarde dans ma direction : immobile, je ne suis pour lui qu’un simple élément du décor ! Rassuré, il continue de brouter… Un de ses bois est cassé : peut-être la conséquence d’une lutte pour conquérir une femelle durant le rut du mois dernier !
Tout en continuant de paître, les deux graciles petits cervidés continuent d’avancer pour, finalement, disparaître derrière une haie… La scène aura duré une petite dizaine de minutes seulement mais, comme à chaque fois,quelle bienfaisante émotion !
Ce super prédateur vit uniquement à Madagascar, et il n’en reste plus que 2500 à l’état sauvage.
Le fossa a une aire de répartition répandue sur Madagascar, mais les densités de peuplement sont généralement faibles. Il vit uniquement en habitat forestier, et chasse activement la nuit comme le jour.
Plus de la moitié de son régime alimentaire se compose de lémuriens, les primates également endémiques de l’île ; les autres proies connues sont représentées par des tenrecs, des rongeurs, des lézards, des oiseaux et divers autres animaux. L’accouplement a habituellement lieu dans des arbres, sur des branches horizontales, et peut durer plusieurs heures. La portée compte un à six petits, qui naissent aveugles et sans dents.
Les jeunes sont sevrés au bout de quatre mois et demi, et sont indépendantsau bout d’un an. Ils atteignent la maturité sexuelle à l’âge de deux ans, et la longévité mesurée en captivité est de vingt ans.
Longue et discrète approche d’un lièvre aperçu en train de se toiletter au milieu d’un chemin…
Grâce au champ de maïs dans lequel j’avais pu me dissimuler, j’ai pu approcher cet individu jusque relativement près sans me faire éventer !
Une quasi prouesse car, doté, grâce à ses grandes oreilles, d’une excellente ouïe et d’une vue perçante, on se fait généralement repérer assez vite par ce petit mammifère au tempérament plutôt farouche…
Le saviez-vous ?
Les hases -femelles des lièvres- ont, tout comme les kangourous, la faculté de superfétation : elles peuvent être fécondées avant d’avoir mis bas et portent donc en elles deux générations à la fois !
Des chercheurs britanniques ont mis au point une série de tests permettant de mesurer l’intelligence des chiens et son rapport avec leur santé, selon un rapport publié lundi.
Les chercheurs de la London School of Economics (LSE) et de l’Université d’Édimbourg ont testé 68 Border collies, « premier pas dans la mise au point d’un test de QI vraiment fiable pour les chiens », selon Rosalind Arden, assistante de recherche.
Ils ont construit une grange spécialement pour mesurer leur capacité d’orientation, leur vitesse et leur aptitude à suivre des indications gestuelles.
L’un des tests, effectué avec des chiens actifs dans des fermes du pays de Galles, consistait à se frayer un chemin jusqu’à de la nourriture, visible mais située derrière une barrière.
Un autre mesurait la rapidité avec laquelle le chien allait choisir la plus garnie de deux gamelles.
Les chercheurs soulignent qu’il est « plus facile de mesurer les différences d’intelligence et la relation entre longévité et
intelligence chez les chiens »...Que chez les humains, en l’absence de facteurs brouillant les lignes comme l’alcool, la cigarette et le milieu socio-économique.
Les chiens développent tout comme leurs maîtres de la démence sénile, donc les résultats peuvent être comparés, assurent les chercheurs dans leur étude publiée par la revue Intelligence.
« Pour une même race de chien, les scores sont différents », soulignent les chercheurs.
(Source : Belga)